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L’Origine de Bougdour.

Bougdour, distant de quatre kilomètres au sud d’Ain Défali, est à l’origine un village habité par un homme qui possédait un Gueddour, récipient très apprécié pour la conservation d’olives ou de beurre. Véritable poterie naturelle et traditionnelle, toute unique, car confectionnée à la main experte rurale de Lagdadra, le Gueddour est caractérisé par une grande variété dans l’expression des formes, des volumes et des proportions.







Ce village est connu dans la région du Gharb sous le nom de Lahjafna Bougdour.

On trouve également Bougdour, un autre village près de l’aéroport de Tanger. N’en parlons pas de Bougdour, nom de famille très connu en France.

Combien de temps dure la nidation ?



durée sperme ovule


La nidation est le phénomène d’implantation d’un œuf né de la rencontre d’un ovule par un spermatozoïde. Celle-ci se produit une semaine environ après la fécondation (après 6 à 7 jours).
Près de 99,99 % du temps, c’est dans la cavité de l’utérus (plus précisément au niveau de la muqueuse) que ça se passe. À ce moment, l’œuf va alors se fixer sur l’endomètre. Pendant ce temps, l’enveloppe se scinde. On retrouve alors deux parties : la première va constituer une cavité au sein de l’endomètre où l’œuf va se développer. La seconde apporte les cellules indispensables pour la création de la cavité en question.
C’est ainsi que le placenta va se créer et celui-ci est très important pour la nidation.

La durée de la nidation
La nidation démarre vers le 6ème jour suivant la fécondation et s’achève vers le 21ème jour de grossesse : elle dure donc environ 15 jours (plus ou moins selon les cas).

Organisation mondiale du commerce (OMC)

 L'Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale qui s'occupe des règles régissant le commerce entre les pays. Au cœur de l'Organisation se trouvent les Accords de l'OMC, négociés et signés par la majeure partie des puissances commerciales du monde et ratifiés par leurs parlements. Le but est d'aider les producteurs de marchandises et de services, les exportateurs et les importateurs à mener leurs activités.

C'EST QUOI l'OMC ?



Il y a plusieurs manières de considérer l’Organisation mondiale du commerce. C’est une organisation qui s’occupe de l’ouverture commerciale. C’est une enceinte où les gouvernements négocient des accords commerciaux. C’est un lieu où ils règlent leurs
différends commerciaux. C’est une organisation qui administre un ensemble de règles commerciales. L’OMC est essentiellement un lieu où les gouvernements Membres tentent de régler les problèmes commerciaux qui les opposent.


L’OMC est née de négociations, et tout ce qu’elle fait est le résultat de négociations. La plupart de ses activités ont leur origine dans les négociations dites du Cycle d’Uruguay, qui se sont déroulées de 1986 à 1994, et dans les négociations menées antérieurement dans le cadre de l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT). De nouvelles négociations ont lieu maintenant à l’OMC, dans le cadre du “Programme de Doha pour le développement” lancé en 2001.
Quand les pays se sont heurtés à des obstacles au commerce qu’ils voulaient réduire, les négociations ont permis d’ouvrir les marchés. Mais l’ouverture des marchés n’est pas le seul objectif de l’OMC. En effet, dans certaines circonstances, ses règles préconisent le maintien d’obstacles au commerce — par exemple pour protéger les consommateurs ou empêcher la propagation de maladies.
Au coeur du système, il y a les Accords de l’OMC, qui ont été négociés et signés par la plupart des nations commerçantes du monde. Ces textes énoncent les règles juridiques fondamentales régissant le commerce international. Il s’agit essentiellement de contrats qui obligent les gouvernements à maintenir leurs politiques commerciales dans les limites convenues. Bien qu’ils aient été négociés et signés par les gouvernements, leur but est d’aider les producteurs de biens et de services, les exportateurs et les importateurs à exercer leurs activités, tout en permettant aux gouvernements d’atteindre des objectifs sociaux et environnementaux.
Le but primordial du système est de faire en sorte que le commerce soit aussi libre que possible – dès lors que cela n’a pas d’effets secondaires indésirables – car cela est important pour le développement économique et le bien-être. Cela passe en partie par la suppression des obstacles. Mais il faut aussi veiller à ce que les individus, les entreprises et les gouvernements sachent quelles règles commerciales sont appliquées dans le monde et aient l’assurance qu’elles ne seront pas modifiées brusquement. Autrement dit, les règles doivent être “transparentes” et prévisibles.
Bien souvent, les relations commerciales mettent en jeu des intérêts contradictoires. Les accords, y compris ceux qui sont négociés à grand-peine dans le cadre de l’OMC, ont souvent besoin d’être interprétés. La façon la plus harmonieuse de régler ces divergences est de recourir à une procédure neutre reposant sur des bases juridiques convenues. C’est le but du processus de règlement des différends prévu dans les Accords de l’OMC.




CE QUE FAIT L'OMC ?

L’OMC est conduite par les gouvernements Membres. Toutes les grandes décisions sont prises par l’ensemble des Membres, soit au niveau des ministres (qui se réunissent normalement au moins tous les deux ans) soit au niveau des ambassadeurs ou des délégués (qui se rencontrent régulièrement à Genève).

Même si elle est conduite par ses États Membres, l’OMC ne pourrait pas fonctionner sans son Secrétariat, qui coordonne ses activités. Le Secrétariat emploie plus de 600 personnes. Ses experts — juristes, économistes, statisticiens et experts en communication — aident quotidiennement les Membres à faire en sorte, entre autres, que les négociations avancent de façon harmonieuse et que les règles du commerce international soient convenablement appliquées et respectées.
Négociations commerciales
Les Accords de l’OMC portent sur les marchandises, les services et la propriété intellectuelle. Ils énoncent les principes de la libéralisation et les exceptions autorisées. Ils contiennent les engagements pris par les différents pays pour réduire les droits de douane et les autres obstacles au commerce et pour ouvrir et maintenir ouverts les marchés de services. Ils établissent les procédures à suivre pour régler les différends. Les accords ne sont pas statiques ; ils sont renégociés périodiquement et de nouveaux accords peuvent être ajoutés à l’ensemble. De nombreux accords sont actuellement négociés dans le cadre du Programme de Doha pour le développement, lancé par les Ministres du commerce des Membres de l’OMC à Doha (Qatar), en novembre 2001.
Mise en oeuvre et suivi
Les Accords de l’OMC obligent les gouvernements à assurer la transparence de leurs politiques commerciales en notifiant à l’OMC les lois en vigueur et les mesures adoptées. Les divers conseils et comités de l’Organisation veillent à ce que ces prescriptions soient respectées et à ce que les Accords de l’OMC soient convenablement mis en oeuvre. Les politiques et pratiques commerciales de tous les Membres font l’objet d’un examen périodique, pour lequel le pays concerné et le Secrétariat de l’OMC établissent chacun un rapport.
Règlement des différends
La procédure de règlement des litiges commerciaux prévue dans le cadre du Mémorandum d’accord sur le règlement des différends de l’OMC est indispensable pour faire respecter les règles et donc pour assurer le déroulement harmonieux des échanges. Les pays soumettent leurs différends à l’OMC lorsqu’ils estiment qu’il est porté atteinte aux droits que leur confèrent les Accords. Les décisions rendues par des experts indépendants nommés spécialement sont fondées sur l’interprétation des Accords et des engagements pris par les différents pays.
Renforcement des capacités commerciales
Les Accords de l’OMC renferment des dispositions spéciales applicables aux pays en développement qui prévoient notamment des périodes plus longues pour la mise en oeuvre des Accords et des engagements, des mesures visant à accroître les possibilités commerciales de ces pays et la fourniture d’une assistance pour les aider à renforcer leurs capacités commerciales, à gérer les différends et à appliquer les normes techniques. Chaque année, l’OMC organise des centaines de missions de coopération technique dans
les pays en développement et dispense de nombreux cours à Genève à l’intention des fonctionnaires gouvernementaux. L’Aide pour le commerce vise à aider les pays en développement à se doter des compétences et des infrastructures nécessaires pour accroître leurs échanges commerciaux.
Communication
L’OMC entretient un dialogue régulier avec les organisations non gouvernementales, les parlementaires, les autres organisations internationales, les médias et le grand public sur divers aspects de l’Organisation et des négociations de Doha, afin d’intensifier la coopération et de mieux faire connaître ses activités.

CE QUE DEFEND L'OMC ?

Les Accords de l’OMC sont longs et complexes parce que ce sont des textes juridiques qui portent sur un large éventail d’activités. Mais ils s’articulent tous autour de quelques principes fondamentaux simples qui constituent la base du système commercial multilatéral.

Non-discrimination
Un pays ne doit pas faire de discrimination entre ses partenaires commerciaux ; il ne doit pas non plus faire de discrimination entre ses propres produits, services et ressortissants et ceux des autres pays.
Plus d’ouverture
L’abaissement des obstacles au commerce est l’un des moyens les plus évidents d’encourager les échanges ; ces obstacles comprennent les droits de douane (ou tarifs) et les mesures telles que les interdictions à l’importation ou les contingents, qui limitent les quantités de façon sélective.
Plus de prévisibilité et de transparence
Les entreprises, les investisseurs et les gouvernements étrangers devraient avoir l’assurance que des obstacles au commerce ne seront pas érigés de façon arbitraire. La stabilité et la prévisibilité encouragent l’investissement et la création d’emplois et permettent aux consommateurs de profiter pleinement des avantages de la concurrence – plus large choix et prix plus bas.
Plus de compétitivité
En décourageant les pratiques « déloyales » telles que les subventions à l’exportation et la vente de produits à des prix de dumping, c’est-à-dire à des prix inférieurs aux coûts de production pour gagner des parts de marché ; les questions sont complexes, et les règles tentent d’établir ce qui est loyal et déloyal et d’indiquer comment les gouvernements peuvent réagir, notamment en imposant des droits d’importation additionnels calculés de manière à compenser le dommage causé par le commerce déloyal.
Plus d’avantages pour les pays moins développés
En leur laissant plus de temps pour s’adapter et une plus grande flexibilité et en leur accordant des privilèges spéciaux ; plus des trois quarts des Membres de l’OMC sont des pays en développement et des pays en transition vers une économie de marché. Les Accords de l’OMC leur accordent des périodes de transition pour leur permettre de s’adapter aux dispositions moins familières et peut-être plus difficiles de l’OMC.
Protection de l’environnement
Les Accords de l’OMC permettent aux Membres de prendre des mesures pour protéger non seulement l’environnement, mais aussi la santé des personnes et des animaux et pour préserver les végétaux. Toutefois, ces mesures doivent être appliquées de la même manière aux entreprises nationales et aux entreprises étrangères. Autrement dit, les Membres ne doivent pas utiliser les mesures de protection de l’environnement comme des mesures protectionnistes déguisées.





D’où vient le nom de LAGDADRA ?

Les récits oraux avancent que Lagdadra tire son nom de « fabricant de Lagdadr pluriel de guedra », sorte de marmites fabriquées à partir de l’argile dans la nuit des temps, dans cette agglomération englobant deux douars, distants l’un de l’autre de six cent mètres et situés à quatre kilomètres au nord de la ville de Jorf El Malha. Les potiers de ce village étaient surtout réputés dans la fabrication entre autres de cette poterie artisanale réservée à la conservation de beurre ou de l’eau.
Jadis, pour la fabrication, les potiers de Lagdadra extraient des galeries souterraines des limons argileux des berges de l’oued Ouergha. Après extraction et séchage au soleil, la terre est un peu concassée jusqu’à l’obtention d’une barbotine homogène, celle-ci est alors étalée sur une surface balayée, foulée au pied puis massée sur une natte.
Les fours traditionnels, alimentés par des buissons secs ramassés dans les environs des douars, sont percés d’un à cinq trous au sommet laissant s’échapper la fumée pour atteindre une haute température. Accroupi devant le four pendant toute une journée, le potier va monter les piles de pièces. Les bols sont superposés à l’envers et intercalés à l’aide de trépieds en terre pour qu’ils ne collent pas entre eux à la cuisson. Les portes du four sont fermées à l’aide de morceaux d’argile et de pierres. La cuisson dure 3 à 4 heures.

Principaux produits fabriqués à Lagdadra :

- Marmites ( lguedra , gueddours, barma et tanjia ) et couscoussiers,




- Grands plats ( guessaâ , qasria ),


- Urnes ( khabia ) et jarres ( guenboura , berrada ),




- Gobelets ( ghoraf , kas fakhar ),


- Braseros et barbecue marocain ( majmar, farma , nafekh ),


- Poele ( ferrah , maqla ),
- plats ( mtreds , baz , makhfia , ghtar , tabsil ),




- soupière ( jebbana) , et bols ( zlafa , tarbouch),


- Tambourins ( taârija , lagoual , dahdouh , derbouka ),


- Pots ( mhebqua ),


- Tajines.

Ces produits sont écoulés principalement au souk d’Ain Défali et au souk de Jorf El Melha.

Ne touche pas pas à mon Roi, Mohammed VI, que Dieu le garde, صاحب الجلالة محمد السادس ملك المغرب





Les Marocains et Marocaines témoignent de leur attachement au Roi Mohammed VI, et à la dynastie alaouite qui règne sur le Maroc depuis 1659,
Le Maroc est en ordre de marche sur le plan économique, social et démocratique sous les règnes de sa majesté le Roi Mohamed VI.
Le Maroc est l'un des rares pays arabe a avoir réalisé beaucoup de progrès en peu de temps dans tous les domaines et surtout dans celui de la liberté d'expression et des droits de l'homme.
C'est pourquoi l'appel à manifester le 20 février 2011 sera rejeté. Le refus à cet appel de manifestation sera une reconnaissance citoyenne au progrès que connait le Maroc depuis que sa Majesté le Roi Mohammed VI règne sur le Trône.
Les choses fondamentales et essentielles dans la vie des marocains sont :
- ALLAH (Dieu),
- AL WATTAN (la patrie qui est le Maroc),
- Et AL MALIK (Le Roi, Mohammed VI que Dieu le garde).

Le Royaume de Belgique

La Belgique est un Etat (monarchie constitutionnelle) fédéral régional à tendance communautaire linguistique. Depuis la réforme constitutionnelle de 1993, le pays est découpé officiellement en trois régions économiques autonomes : La Flandre (néerlandophone), la Wallonie (francophone) et la capitale Bruxelles (mixte). La fracture linguistique et culturelle entre flamands et Wallons remonterait aux invasions de peuples germanophones et saxons qui s'installèrent dans le nord de la Gallica Belgica, gaule belge dont les premiers habitants étaient d'origine celte. Aujourd'hui, les tensions communautaires sont renforcées par des différences sociales marquées entre une Flandre riche et une Wallonie plus pauvre avec un taux de chômage deux fois plus important, à l'image du nord de la France.


Carte de la Belgique

La Belgique est un pays plat et monotone, bordé à l’ouest par la mer du Nord et des polders, très peuplé, avec quelques pôle touristiques comme les villes d'Anvers, Bruges, Bruxelles et les forêts ardennaises.

Capitale : Bruxelles
Superficie : 30518 km²
Population : 10,51 millions d'habitants
Densité : 346 habitants/km²
Langues officielles : néerlandais, français, allemand
Religion : catholique (80%)
Monnaie officielle : Euro
Indicatif téléphonique : 32

Démission du président égyptien Hosni Moubarak,

Le président Hosni Moubarak a décidé de démissionner ce vendredi 11 février 2011.


Au pouvoir depuis 1981, le raïs sous la pression de la rue et de la communauté internationale a été contraint de quitter le pouvoir et de remettre le pays entre les mains de l’armée. Les Nations unies, l’Union européenne, la France, les Etats-Unis et de nombreuses chancelleries ont salué la démission du président égyptien Hosni Moubarak.
L’annonce de son départ du pouvoir a été faite à 18 h heure locale par le vice-président Omar Souleimane. La pression de la rue a eu raison d'Hosni Moubarak.

La joie des manifestants sur la place Tahrir.

Après dix-huit jours de mobilisation, l'opposition égyptienne obtient ce vendredi soir 11 février 2011 ce qu'elle réclamait à corps et à cri : la démission de son président. La place Tahrir est en liesse.


Un Anglais place sa femme sur la liste des terroristes pour se débarrasser d'elle.


Un fonctionnaire anglais, en charge de l'immigration au Royaume Uni, a trouvé un moyen peu conventionnel pour se débarrasser de son épouse qu'il devait juger un peu trop envahissante à son goût.
Il a en effet placé le nom de son épouse sur une liste de terroristes recherchés et interdites d'entrée sur le territoire britannique.
Son épouse, partie au Pakistan en vacances quelques jours dans sa famille, a eu la surprise de sa vie au moment de reprendre l'avion pour la Grande Bretagne. La police lui a formellement interdit de reprendre l'avion sans lui donner plus d'explications.


Elle a alors téléphoné à son mari, qui lui a promis de se renseigner, mais n'a pas bougé le petit doigt et l'a laissée, coincée au Pakistan, durant... trois années, au cours desquelles il a pris du bon temps.
L'officier a été démasqué quand il a postulé pour une promotion. Ses patrons ont alors réalisé que sa femme était sur la liste et lui ont demandé des explications. Il n'a eu d'autre choix que de confesser ce qu'il avait fait et a été licencié.