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Le virus Ebola pourrait se propager "comme un feu de forêt"

Ebola se transmet par le sang, les larmes, la sueur. Il tire son nom d'une rivière du Congo qui coule à proximité du village où on l'identifia pour la première fois, en 1976. Depuis, le virus sème épisodiquement la terreur dans certains pays d'Afrique centrale et depuis peu de l'Ouest. De la famille des Filoviridae (virus de structure filamentaire), il constitue l'un des agents infectieux les plus redoutables que l'on connaisse, même si le nombre relativement bas de ses victimes (comparé par exemple à celui des victimes du sida) empêche de le considérer comme un fléau majeur de santé publique, et donc de lui consacrer des moyens suffisants.
Avant qu'on le connaisse, le virus sévissait sans doute depuis la nuit des temps.  En 1976, lors de la première épidémie documentée qui avait permis son identification, ce satané filovirus manifesta d'emblée sa capacité de nuisance. Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), il devait contaminer 318 personnes et en tuer 280. Une effarante proportion : pas loin de 90% de mortalité, ce qui est très supérieur aux ravages statistiques des pestes noires médiévales.
Le virus tue ses victimes de façon si foudroyante qu'il ne laisse guère de temps aux personnes contaminées pour le propager. C'est pourquoi les épidémies restent courtes et localisées, avec des morts qui se comptent à chaque fois par dizaines, voire par centaines, jamais par milliers ou millions.
Le virus Ebola est hautement contagieux et se transmet par contact avec les fluides corporels (le sang, les larmes, et sans doute la sueur). Il ne s'agit pas d'un virus respiratoire, contrairement à celui de la grippe par exemple, Ebola ne se propage pas par voie aérienne et n'entre pas dans les poumons.
L'épidémie d'Ebola, la plus meurtrière depuis la découverte des premiers cas en 1976, dure depuis janvier 2014 dans trois pays africains (Guinée, Sierra Leone et Liberia) et a déjà causé la mort de plusieurs centaines de personnes.


Les personnes qui voyagent en Afrique de l'ouest doivent prendre un maximum de précautions là où sévit la pire épidémie de l'histoire.
L'épidémie est hors de contrôle. Avec l'apparition de nouveaux foyers  dans ces pays, le risque d'une propagation à d'autres zones est aujourd'hui réel.

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