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Les jours qui n'existèrent jamais

Au 16ème siècle, tous les registres du 5 au 14 octobre 1582 sont vides. Aucun mort, aucune naissance, aucun évènement... et pour cause : ces jours n'ont jamais existé!

En 46 avant J.C, Jules César donne 365 jours et 12 mois aux années, prévoit des années bissextiles et fait débuter l'année le premier Janvier (rien à voir donc, avec la naissance du petit Jésus). L'Église, au Moyen-Age, usurpe le calendrier en lui rajoutant quelques années, afin de donner plus de fondement à la religion chrétienne. Vint alors la Renaissance et les grands noms de l'astronomie qui notent un hic : l'année julienne dépasse l'année solaire de 11 minutes et 14 secondes. Le clergé n'aurait peut être pas relevé la chose si elle ne posait également un problème à l'Église : avec le temps qui passe, le clergé a de plus en plus de mal à placer correctement le Lundi de Pâques (qui n'est même pas une fête chrétienne!).

Le Pape Grégoire XIII décide alors d'instaurer les années telles qu'on les connait presque partout aujourd'hui : trois années de 365 jours et une de 366, avec la première année de chaque siècle bissextile uniquement si divisible par 400. La manœuvre permet de faire correspondre à 26 secondes près, les années calendaires et les années solaires. Reste un problème : le cumul de 16 siècles dans l'erreur a généré un retard de près de 10 jours... Que le Pape décide purement et simplement de supprimer. Ainsi, tous les hommes qui se sont endormis le 4 octobre se sont réveillés le 15 octobre, le lendemain. Tous? Thérèse d'Avila, une sainte catholique, n'a pas vu la nouvelle ère grégorienne : elle est morte dans la nuit du 4 au 15 octobre! 

Tous les pays ne se sont pas mis au nouveau calendrier tout de suite. La France a adopté le nouveau calendrier à partir du 9 décembre, passant directement le jour d'après au 20 du même mois.  Ces différences de changement eurent des effets insolites : les anglicans ayant toujours l'ancien calendrier julien au moment de son décès, Shakespeare mourut à la même date que Cervantès, mais pas le même jour...

Mosquée Hassan II


Historique :

La mosquée Hassan II (masjid al-Hassan ath-thani) est une mosquée située à Casablanca (Maroc). Érigée en partie sur la mer, elle est un complexe religieux et culturel, aménagé sur neuf hectares et comporte une salle de prières, une salle d’ablutions, des bains, une école coranique (madrasa), une bibliothèque et un musée.
La salle de prière peut accueillir 25 000 fidèles d’une superficie totale de 20 000 m2. Et l’esplanade 80 000 fidèles (l’ensemble complet peut accueillir 105 000 personnes).


La Mosquée Hassan II est construite sous le règne et les directives du roi Hassan II. Planifiée sur le site de l’ancienne piscine municipale, sa construction a débuté le 12 juillet 1986 et son inauguration a eu lieu le 30 août 1993, après sept ans de travaux.
Étant donné que la mosquée se trouve au bord de l’Océan Atlantique, les fondations ont nécessité 26 000 m de béton et 60 000 m d’enrochement afin de lutter contre les effets de la houle. Cependant, la stabilité des ouvrages de protection à la mer s’est avérée insuffisante et d’importants travaux de renforcement de l’endiguement sont en cours depuis octobre 2006. Soumise à de très fortes contraintes climatiques (houle, humidité, embruns), la mosquée Hassan II a, en dépit d’un entretien constant, accusé des signes de vieillissement précoce dès 1998 (fissures, chute de panneaux de coffrage), a constaté l’Associated Press.
Pour l’édification du bâtiment contenant la salle de prière, le minaret et la madrasa, douze grues à tour de 220 t/m et huit grues mobiles ont été installées.


Pour la réalisation du minaret, une grue d’une hauteur record de 210 m a été mise en place. Les structures de l’ensemble de la mosquée sont en béton armé habillé de décors issus de l’artisanat marocain. La réalisation de l’ensemble de l’œuvre a mobilisé environ 10 000 ouvriers et artisans effectuant plus de 80 millions d’heures de travail.



La salle de prières est surmontée d’une toiture mobile de 3 400 m2 et de 1 100 t qui peut se déplacer en cinq minutes grâce à un système de roulement motricé. Lorsque le toit est fermé, la salle des prières est éclairée par 50 lustres et 8 appliques vénitiens de Murano. Les plus imposants mesurent six mètres de diamètre, dix mètres de hauteur et pèsent 1 200 kg. La couverture de la toiture a nécessité la pose de 300 000 tuiles spécialement réalisées en fonte d’aluminium par les équipes du groupe Bouygues dirigés par Aldo Carbonaro (directeur du projet) et Abdelatif Haboubi (directeur du chantier), imitant la tuile en terre cuite vernissée traditionnelle de Fès mais quatre fois plus légère. Ces tuiles ont apporté un gain de poids de 65 % par rapport aux tuiles traditionnelles avec des performances de fiabilité beaucoup plus élevées.
Pour la finition et les objets religieux, des artisans de tout le royaume ont contribué à couvrir plus de 53 000 m2 de bois sculpté et assemblé plus de 10 000 m2 de zellige représentant 80 motifs originaux. Le plâtre sculpté et peint a été entièrement travaillé sur place par 1 500 maâlems sur plus de 67 000 m2. Les coupoles en bois de cèdre ont été fixées sur des charpentes réalisées avec 971 t d’acier inoxydable et suspendues à la structure en béton armé. Les revêtements de marbre et granit d’origine marocaine représentent 50 hectares de superficie avec une épaisseur moyenne de 14 cm.





Locomotive à vapeur

Une locomotive à vapeur est un type de locomotive, c'est un engin moteur pour les chemins de fer, mu par une machine à vapeur. Ce type de moteur thermique est le plus couramment utilisé, de la naissance du chemin de fer jusque dans les années 1950. Il reste toujours employé très localement dans certains pays au xxie siècle, notamment pour des trains touristiques ou dans l'industrie minière vu que le carburant y est localement disponible à bas coût.
Désormais, la plupart des trains sont cependant tractés par des locomotives électriques ou thermiques (Diesel), ou bien sont constitués par des rames automotrices, ou des autorails, parfois indivisibles, intégrant la motorisation répartie sous les véhicules et/ou à l'intérieur des caisses.
Histoire :
C'est au Royaume-Uni, au début du xixe siècle, que commence l'histoire des chemins de fer où la première locomotive à vapeur est construite par Richard Trevithick en 1804.
La traction à vapeur est inaugurée le 12 août 1812, sur le Middleton Railways, dans le Yorkshire. Il s'agit de locomotives pour rails à crémaillère, remorquant des wagonnets de charbon. Les locomotives sont construites par Matthew Murray et John Blenkinsop.
Le 27 septembre 1825 est inauguré le chemin de fer de Stockton et Darlington, première ligne ouverte au transport de passagers. La locomotive est celle conçue par George Stephenson.
En 1827, l'ingénieur français Marc Seguin met au point la chaudière tubulaire, qui permet de quasiment décupler la puissance des machines.
Bien que la traction électrique soit à l'étude dès les années 1880, et utilisée dès les années 1900, c'est en fait la traction Diesel qui entraîne la disparition de la traction vapeur, là où l'électrification ne semble pas rentable ou pas souhaitable, stratégiquement.
L'après-guerre marque le déclin de la traction à vapeur, qui sera achevé dans la plupart des pays tout à la fin des années 1970. Cela est effectué par la livraison de nouvelles locomotives Diesel (la transition era en Amérique du Nord) ou le programme d'électrification des lignes (en Europe). Des locomotives à vapeur sont construites en Europe durant cette période, tentant d'utiliser de nouvelles technologies (turbine à gaz par exemple) ou de nouvelles configurations de machines (programmes d'André Chapelon en France). Elles restent sans descendance. La dernière locomotive à vapeur est construite en France, en 1953.
Certains pays, particulièrement bien dotés en ressources naturelles de charbon ou de tourbe, continuent à utiliser la traction à vapeur de manière principale, jusqu'à la fin du xxe siècle, dont la République démocratique allemande, l'Afrique du Sud, la Chine et l'Inde.
La SNCF arrête l’exploitation vapeur pour le service passager en 1972. Le 29 mars 1974, la 141 R 420 assure le dernier convoi de marchandises en France entre la gare de Béning et celle de Sarreguemines.
Les locomotives à vapeur conservent également un certain succès pour les lignes de haute montagne parce que la traction à vapeur est favorisée par la baisse de la pression atmosphérique due à l'altitude abaissant le point d'ébullition de l'eau. Cela permet des économies de combustible et de meilleures performances.
Un portrait filmé à forte intensité de vapeur de cette puissante et élégante locomotive à vapeur universelle. La machine 1-D-1, construite à partir de 1936 pour le service de trains de marchandises rapides, était également souvent utilisée dans le trafic touristique en raison de son excellente conception. Notre film est également basé sur la large échelle de performances du 41. Découvrez le 41 018 en tant que puissant cheval de trait devant les trains de marchandises et de voyageurs lors de trajets en été et en hiver propices à la vapeur (sur la route de l'Arlberg). Bien sûr, il y a eu de nombreux tournages dans la cabine du conducteur et sur les itinéraires, bien sûr, le spectacle à vapeur est plein de sons géniaux.

Quelques photos du Maroc d'Antan.

  • Maroc Fantasia, 1905
  • Fés, 1912
  • Foire de Fés, 1916
  • Casablanca, 1920
  • CASABLANCA, 1922
  • La Gare d'Ain Défali en 1924


  • Foire de Fès, 1926
  • Fes, 1930
  • Parmis les premières photos de Chellah à Rabat.
  • centre ville de Casablanca en 1933.
  • L’Hôtel hilton à Rabat
  • Des marocains découvrent le principe du feu rouge
  • Maroc 1936
  • Maroc 1937

  • La balade en voiture à Tanger 1940
  • Déjeuner de la famille royale, autour d'une table, en 1950
  • Un concours d’élégance, au sun beach à Ain Diab, en 1955
  • Des jeunes des années 70
  • Dans les années soixante, Hassan II circule dans les rues de la capitale Rabat sans garde corps
  • Premier téléviseur au Maroc en 1940
  • A l'hôpital Cocard à Fès en 1940
  • La fontaine de Casablanca en 1962.
  • La fête du livre en 1950 à Tétouan
  • Le Premier présentateur du journal télévisé, Larbi Skali, dont la diffusion débutait à partir des studios de la RTM de Ain Chok, à Casablanca, en 1962
  • Parmis les premiers appareils photos au Maroc
  • Les sapeurs pompiers à Rabat pendant les années 40
  • Un four public à Rabat pendant les années 40
  • Une équipde de Baseball à Sidi Yahya El Gharb en 1944























Tentative d'assassinat de Ronald Reagan

 La tentative d'assassinat de Ronald Reagan se déroule le 30 mars 1981 à l'issue d'une allocution devant l'AFL-CIO à l'hôtel Hilton de Washington. Le quarantième président des États-Unis est visé seulement soixante-neuf jours après le début de sa présidence.