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Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Santé et Sécurité.

Route Jorf El mellah-Ain Défali à hauteur de l'Oued Rdat
à 700 mètres à vol d'oiseau de l'école d'Ain Défali , située en face, au delà de ce pont.

Se méfiez des maladies transmissibles par l’eau des puits, l’eau de l’oued Rdat, des aliments crus, mal lavés et mal cuits. Consommez des viandes bien cuites.
Attention au soleil, aux différentes allergies (guêpes, abeilles, henné etc…) et aux reptiles (les scorpions, les araîgnées, les serpents, etc …). N’approchez jamais de chiens errants ou domestiques.
Le centre de santé est médicalisé et prend en charge tous les cas médicaux et les accouchements normaux. Une ambulance est prête pour les évacuations des malades selon leur désir vers des centres spécialisés des villes avoisinantes.

Gastronomie.






Ain Défali est très connue pour ses plats traditionnels (tagines, couscous, harira, baissara, kefta, etc…).
La harira est la soupe nationale. Pendant les 30 jours du mois de Ramadan, chaque maison prépare ce potage parfumé, imprégnant les rues de son odeur à l'heure du coucher du soleil.


Le couscous représente la cuisine paysanne, une base de semoule qu'on mouille de bouillon chaud ou de sauce. C'est le traditionnel déjeuner familial du vendredi. Fait à partir de semoule de blé dur, il est cuit à la vapeur. Pour le manger, il faut prendre une poignée de semoule dans la main et en faire une boule avant de la manger. Le couscous se fait dans une couscoussière . C'est en somme un chaudron, dans lequel on fait cuire le poulet ou l'agneau avec les légumes, chapeauté d'un autre chaudron muni d'un couvercle. Ce deuxième chaudron est ni plus ni moins une passoire. La vapeur de cuisson monte par les multiples trous pour faire gonfler et parfumer la semoule. Une fois cuite, on la verse en monticule dans un grand plat creux au centre duquel on creuse un puits pour y déposer viandes et légumes.


Origine des Tribus Marocaines.

Bien que la tribu soit officiellement remplacée par la commune rurale, qui est le premier maillage administratif de la société marocaine, elle n'en constitue pas moins le cadre naturel de la vie rurale. En effet la tribu a été, durant des siècles, le centre de la vie politique, économique et sociale au Maroc.
La tribu est un groupement humain de plusieurs familles, ayant un ancêtre éponyme commun ou pas, sous l'autorité d'un chef et sur un territoire donné.
A la différence du système féodale européen basé sur la seignurie (la terre est la proprièté exclusive du seigneur), le système tribal est plus équitable dans la mesure où chaque tribu possède son propre territoire réparti en propriètés collectives ou privés. Afin d'avoir le droit de pâturage ou de passage sur un territoire, l'accord en amont de la tribu concernée est indispensable et le paiement d'un tribut peut être exigé (Mzrag chez la tribu Zemmour).

les chefs des tribus jurant fidélité au sultan
Les chefs des tribus jurant fidélité 
au sultan Moulay Hassan Ier, 1892 

Les tribus marocaines se divisent en deux catégories:

  • I- Les tribus d'origine berbère

    1-Tribus BATRE: Drissa, Adassa, Louata, Nfzaoua et Nfousa.
    2-Tribus BRANES: Azdaja, Aouraba, Ourdugha, Ketama, Masmouda, Sanhaja et Aguissa
  • II- Les tribus d'origine arabe :

    1-La nation Bani Hilal: Athbedj, Jashame, Riyah et Zughba.
    Les bani Hilal sont des tribus bédouines, passées d'Arabie en Egypte vers le Xe siècle; pour s'en débarrasser, un calife fatimide du Caire les avait lancées sur l'Ifriqiya (Tunisie) révoltée.
    Au XIe et au XIIe siècle le calif Almohade Abd El-Moumen avait dù les mater et les transplanta plusieurs d'entre elles jusqu'au Maroc:Khlout et Sefyan dans le Gharb, Beni Amir et Beni Moussa dans le Tadla, c'est qu'il avait besoin des soldats pour la guerre en Espagne.
    2-La nation Bani Mâaqil: Ce sont des tribus bédouines originaire d'arabie du Sud (Yemen), elles sont arrivées au Maroc entre le XIIIe et le XVe siècle en suivant la lisière nord du Sahara, certains obliquèrent vers le Sud, d'autres remontèrent vers le nord, comme Zaër et les Beni Ahsen du Gharb.
      - Atalibat, résident en Algérie
      - Dou Hassan, au début, ils se sont installer sur les rives de Oued Malouiya, puis à l'époque des   Almohades, ils ont répondu à l'appelle du jihade et se sont installer à Souss, aujourd'huit ils   sont entre Rio de Oro (Oued Edahabe) et Changuite en Mauritanie.
      - Daoui Mansour, entre Drâa et Maouiya.
      - Dou Abdallah, entre Telimsane, Oujda (comme Angade) et Oued Za.
      - Reqaitate, à Souss et aux alentours de Taroudante.
      - Chabanate, aujourd'huit dans la tribu Chrarda; les sultans Alaouites les ont poussé de Marrakech vers Sidi Kacem.
      - Bani Tabet.
      - Ouled Ali.
    3- La nation Bani Sulaym-: Cette tribu est originaire de Nejd en arabie, ils ont immigrées en  
   La Bay'a : Allégeance
        La cérémonie d'allégeance au roi est une tradition séculaire symbolisant 
       les liens qui unissent les marocains et leur souverain a été instaurée par le
       sultan Saâdien, vainqueur de la bataille de Trois Rois: Ahmed El Mansour Ed-
       Dahbi (1578-1603).

       Les chefs des tribus, les dignitaires du pays et les représentants du peuple,
       en tenue d'apparat (Djellaba Bzioui) prêtent serment et donnent allégeance
       au Roi en sa qualité de commandeur des croyants.

Cérémonie d'allégeance au roi Mohammed VI, 
23eme monarque Alaouite dont 
la dynastie règne depuis 1666.

Le Folklore d'Ain Défali.






Avec les Hmadcha et les Gnaoua, les Aïssaoua forment les confréries les plus connues à Ain Défali en particulier et au Maroc en général.- Les Aissaoua :
Fondée au XVIe siècle par Sidi Mohamed Ben Aïssa, la confrérie religieuse d’Aissaoua se rattache au soufisme. Son centre spirituel (zaouia) principal se trouve à Mekhnès où son fondateur est enterré. Sidi Mohamed Ben Aïssa serait né en l'année 872 de l'hégire c'est à dire en 1465-1466 de notre comput.
Le déroulement d'une hadhra (séance - réunion) comprend au moins deux temps :

. Le hizeb (pl.azhab) qui est la récitation des louanges, prières et litanies (dhikr ou dzikr). Son orchestre est disposé en demi-cercle. Il y a plusieurs bendaïr (bendir), grands tambourins ronds à une peau, une ou deux gueçbas, longues flûtes de roseau, parfois un def, petit tambourin rectangulaire couvert de peau de tous les côtés.....deux chœurs qui se font face et répètent en général les mêmes versets. Le texte est formé de versets coraniques, de prières et d'invocations, répétées souvent plusieurs fois, qui culminent en une grande litanie fortement assonancée et rythmée
. L'ijdeb ou danse extatique. En réalité ces deux temps sont séparés par une pause avec des offrandes, des enchères. C'est pendant ces danses et la transe qu'ont lieu les manifestations spectaculaires avec les sabres, les charbons ardents, les chèches...Il faut souligner le fait que l'exubérance et le "désordre" manifestes recouvrent en réalité des conduites qui sont extrêmement codifiées et dont le contrôle est assuré par le cheikh.La hadhra peut varier dans les détails et en importance selon par exemple qu'il s'agit d'un moussem qui est la fête patronale d'une confrérie ou d'une lemma (assemblée - groupe) donné par des particuliers et auquel assistent les Aissaouas.
- Les Gnaoua :
Les Gnaoua ou Gnawa sont, en partie, des descendants d'anciens esclaves issus de populations d'origines d'Afrique Noire (Sénégal, Soudan, Ghana...); Il furent amenés par les anciennes dynasties qui ont traversé l'histoire du Maroc, en commençant par l'empire Almohade pour les travaux et les bâtiments des palais et le renforcement des armées. La constitution en confréries des gnaouas à travers le Maroc s'articule autour de maîtres musiciens (les mâallems), des joueurs d'instrument (quasi exclusivement les qraqech (ou qrâqeb) – sorte de crotales – et le gambri), des voyantes (chouaafa), des médiums et des simples adeptes. Ils pratiquent ensemble un rite de possession syncrétique (appelé Lila) et où se mêlent à la fois des apports africains et arabo-berbères pendant lequel des adeptes s'adonnent à la pratique des danses de possession et à la Transe. Le festival d'Essaouira au Maroc est un haut lieu de rassemblement annuel de ces confréries ou écoles.
- Les Hmatcha :
Appartenant au soufisme, la confrérie des Hmatcha a été fondée au XVII ème siècle par Sidi Ali Ben Hamdouch. Les Hmadcha de Safi et El Jadida sont parmi les plus actifs.Les adeptes de cette confrérie pratiquent l'ascèse individuelle et animent un rituel collectif, comportant plusieurs phases pendant lequel se succèdent des invocations d'Allah, du prophète Sidna Mohammed, des poèmes chantés et des litanies. La dernière phase du rituel aboutit à des danses et des transes extatiquesLes Hmadcha utilisent un grand et un petit tambourin à gobelet fuselé (Harraz, Taârija), un tambour à double membrane (T'bal) auxquels s'ajoutent un hautbois (Ghaïta) et une flûte (Layra).


Les instuments de musique de cette région :


- La Kamanja : c’est un violon avec archet et une caisse de résonance aplatie en forme de huit. Utilisé dans tous les genres musicaux.

- La Nira : Flûte à anche en roseau comportant six à huit trous. Utilisée principalement dans les fêtes et par les bergers.

- Le Bendir : Instrument à percussion, formé d’une bande mince de bois sur laquelle est tendue d’un côté une peau de chèvre. Une variante comporte des ouvertures sur le côté logeant des rondelles en cuivre.

- Les tebilats : tambourin composé de deux éléments jumelés, fixés par des lacets en cuir et comportant deux ouvertures couvertes de peau de mouton parcheminée.

- La taârija et la darbuqqa, Instrument de percussion constitué d’une poterie, comportant une ouverture couverte de peau de mouton parcheminée.

- Le guenbri : sorte de guitare en bois de forme semi-conique ou ronde recouverte d’une peau de mouton feutrée. Emploie deux ou trois cordes. Nombreuses variantes.

- Le rebab : constitué de bois, sa forme est celle d’un corps de fève présentant une surface plane en bois avec des rosaces ajourées, couverte en partie par une peau de chèvre

- L'aoud est utilisé traditionnellement dans la musique andalouse. Il est constitué d’une caisse de résonance concave qui comporte une surface plane décorée de motifs floraux et géométriques ajourés, sur laquelle sont tendues six cordes.

- El Ghayta :
Instrument connu pour son son aigu et fort. Cet instrument est accompagné par des tambourins ( Alloun, Tallount) marquant très fort le rythme et la mesure. Il est très utilisé à Ain Défali.

- Ahidous :
Il semble que cette danse avait été créée pour permettre de mieux apprécier la beauté des poèmes d’une part et celle des danses d’autre part. « Alloun », ou le tambourin est l’unique instrument utilisé dans cette danse que pratiquent, ensemble, hommes et femmes alignés épaule contre épaule.
- Ahouach
Ahidous a subi l’influence de la danse « Ahouach » à laquelle elle a emprunté un instrument « Annakous » (la cloche) qu’elle a ensuite remplacé par de grands ciseaux. L’influence a aussi affecté le rythme devenu plus rapide et plus léger. Son rythme et sa réglementation ont été affectés à tel point que les femmes n’y participent plus.
- Chioukh, Chikhat , Al Aïta
C’est aussi de la danse Ahidous que découle l’art des Chioukh et des Chikhat et celui d’Al Aïta en général.


Les traditions.

Avant de rentrer dans une pièce revêtue d’un tapis ou d’une « hssira », se déchausser.
Accepter plusieurs verres de thé même si vous n'avez pas soif. Pour engager le conversation avec un inconnu, commencez par un "Salam" avec un léger hochement de la tête (Salam = paix, c'est un engagement de ne pas nuire). Au cours d'un repas à Ain Défali, ne pas oublier de manger avec la main droite, la gauche étant réservée à la toilette. Pendant le mois du ramadan (Mois Sacré), les musulmans jeûnent pendant le jour. Les non-musulmans ne sont pas concernés, mais il est de bon ton de ne pas manger, boire, fumer ou mâcher du chewing-gum dans la rue.

De quelle région du Maroc, fait-elle partie ?

Il s’agit d’une commune rurale de la province de Sidi kacem, de 21 000 habitants, située au Nord-Ouest du Maroc, dans les pré hauteurs du Rif. Elle fait partie du Gharb Chrarda Beni Hssen, l’une des 16 régions administratives du royaume :
1 - Oued Eddahab-Lagouira
2 - Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra
3 - Guelmim (Es Smara)
4 - Souss-Massa-Draâ
5 - Gharb-Chrarda-Béni Hssen : Cette région (en arabe : الغرب شراردة بني حسين) est l'une des seize régions du Maroc. Elle est située au Nord- Ouest du pays. Sa superficie est de 8 805 km² pour une population de 1 859 540 [] habitants. Son chef-lieu est la ville de Kénitra. La région est composée des provinces suivantes :
· La province de Kénitra
· La province de Sidi Kacem - Tél. : 037 59 21 70 / 59 29 70/59 29 21
fax.:037 59 27 59

Ces deux provinces regroupent à 61 communes rurales et 12 communes urbaines.
La région couvre une superficie totale de 8 805 km² répartis ainsi entre les deux provinces :
- 4 745 km² pour la province de Kénitra
- 4 060 km² pour la province de Sidi Kacem
La région atteint une superficie égale à 1,2 % celle du Maroc
6 - Chaouia-Ourdigha
7 - Marrakech-Tensift-El Haouz
8 - Oriental
9 - Casablanca
10 - Rabat-Salé-Zemmour-Zaër
11 - Doukkala-Abda
12 - Tadla-Azilal
13 - Meknès-Tafilalt
14 - Fès-Boulmane
15 - Taza-Al Hoceima-Taounate
16 - Tanger-Tétouan
Depuis la réforme de 1997 portant décentralisation de l'administration marocaine, le Maroc est subdivisé en trois niveaux :
Les 16 régions économiques, créées par la loi de 1997, ayant chacune à sa tête un Wali (gouverneur de région), ainsi qu'un Conseil régional, représentatif des « forces vives » de la région. Ces régions ont le statut de collectivité locale.
Ces régions rassemblent les 45 provinces et 26 préfectures, équivalant urbain des premières, qui constituent le deuxième maillon de l'organisation locale du pays et sont dirigées par un gouverneur.
Enfin, le pays est aussi divisé en 1547 communes, dont 249 urbaines et 1298 rurales.

Distance qui sépare Ain Défali des villes avoisinantes.


- 23 km d'had kourt
- 15 km de Jorf El Melha
- 42 km de Mechra Bel Ksiri
- 56 km de Souk El arba du gharb
- 30 km d'Ouezzane : Cette ville située sur les pentes du Jbel Bou-Hellal, près des montagnes du Rif, à environ 100 km de la mer Méditerranée et de l'océan atlantique. Ouezzane est connue pour être une ville sainte à double titre, ville de convivialité entre religions où les communautés musulmanes et juives ont longtemps cohabité. Elle a en effet accueilli par le passé Chérif Moulay Abdallah Ben Brahim, descendant de Idriss II (membre de la dynastie arabe des Idrissides qui régna sur le Maroc entre 789 et 974) et Rabbi Amrane Diourane, un rabbin juif qui faisait des miracles. Moulay Abdallah créa en 1727 à Ouezzane une zaouïa, c'est-à-dire un centre religieux et savant. Berceau de la confrérie religieuse des Taïbia, cette zaouïa devint au cours des XVIIIème et XIXème siècle un centre politique important. La légende dit que les personnes qui y trouvaient refuge voyaient leurs voeux s'exaucer. Aujourd'hui, Ouezzane attire chaque année des pèlerins venus de tout le Maroc. Si la ville est doublement sainte, c'est que les musulmans viennent y visiter un haut lieu de la civilisation arabo-musulmane tandis que les Juifs se rendent sur le tombeau du rabbin Amrane, situé à 9 km du centre de la ville. La zaouïa possédait par le passé une prestigieuse bibliothèque dont les ouvrages traitaient de thèmes aussi divers que la spiritualité, l'astronomie, les sciences humaines, le soufisme ou la philosophie. Outre son influence Politique, la zaouïa jouissait d'un rayonnement spirituel dans toute la région. Aujourd'hui, on peut encore visiter la zaouïa, dominée par un minaret de forme octogonal ainsi que la mosquée Moulay Abdallah Chérif qui constitue le lieu de rendez-vous des pèlerins musulmans. Une balade dans la vieille ville de Ouezzane donnera par ailleurs l'occasion aux visiteurs de découvrir le souk couvert où sont présentés des produits locaux tels de l'huile d'olive, des figues ainsi que des vêtements en laine tissée.
- 100 km de Fès,
- 100 km de Meknes,
- 70 km de Moulay Idriss Zerhoun (Vestiges de l'antique cité romaine de Volubilis, thermes, mosaïques, arc de triomphe datant du 3e siècle AV JC avec 240 années d’administration romaine, qui marquent l’âge d’or de Volubilis).
- 60 km de Sidi Kacem.
- 154 km de Tétouan.

Sa Majesté Mohammed VI, L'Actuel Roi du Maroc.


Descendant du Prophète, Commandeur des Croyants (le chef religieux du Maroc), Mohammed VI (en arabe : جلالة الملك محمد السادس « Sa Majesté le roi Mohammed VI »), né Mohammed Ben Al-Hassan le 21 août 1963 à Rabat, est l'actuel roi du Maroc depuis le 23 juillet 1999, suite au décès de son père, le roi Hassan II. Il devient ainsi le 18ème roi de la dynastie chérifienne depuis 1664.


Le prince Moulay Hassan né le 8 mai 2003 à Rabat est le fils aîné de Mohammed VI, actuel roi du Maroc, et de la princesse Lalla Salma. Selon la constitution marocaine, Moulay Hassan est le prince héritier du royaume du Maroc. Il est le premier en ligne de succession dans la dynastie alaouite, lignée descendante directe en ligne féminine du Prophète Mahomet, et qui gouverne le Maroc depuis près de trois siècles et demi. Le prince Moulay Hassan a une petite sœur, la princesse Lalla Khadija, née le 28 février 2007.

Al Mamlakah Al Maghribiyah-Le Royaume du Maroc

Les charmes du Maroc sont largement connus : les vacances au Maroc rencontrent un beau succès et le pays est devenu l'une des plus importantes destinations touristiques.
Situé à l'extrême nord-ouest du continent africain, entre le 36e et le 21e parallèle, sur une superficie de 710 850 Km2, le royaume du maroc est limité à l'est et au sud-est par l'Algérie, au sud par la Mauritanie, à l'ouest par l'océan Atlantique sur 2934 km de côte, au nord par la mer Méditerranée sur 512 km de côte. Les frontières terrestres comptent 2 018 km et les pays limitrophes sont l'Algérie, l'Espagne et la Mauritanie. Le Maroc est à quelques kilomètres de l'Espagne par le Détroit de Gibraltar.Le Royaume du Maroc, pays fascinant, est l'une des plus vieilles monarchies du monde.
Fondée il y a 12 siècles, la Royauté constitue le garant de l'unité du pays et de la liberté des citoyens. Le Maroc a conservé son attachement à ses fondements traditionnels tout en s'engageant dans la modernité. Il est membre de l'Union du Maghreb arabe, de la Ligue arabe et de l'Organisation de la conférence islamique.

Ses coordonnées géographiques.

En degré minutes et secondes : WGS84
Latitude : 34°35'00 nord
Longitude : - 5°33'00 ouest
Altitude (mètres) : 95 m
Altitude (feet) : 314
En degré décimal : WGS84
Latitude : 34.583
Longitude : -5.550

Le mur de Berlin.

  Le mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer), « mur de la honte » pour les Allemands de l'ouest et « mur de protection antifasciste » d'après la propagande est-allemande, est érigé en plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA), qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA). Le mur, composante de la frontière intérieure allemande, sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le Rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Un nombre indéterminé de personnes sont victimes des tentatives de franchissement du mur. Cependant, il apparait que les gardes-frontière est-allemands et les soldats soviétiques n'hésitent pas à tirer sur les fugitifs.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Aujourd'hui, plusieurs musées lui sont consacrés.



L'Hymne National de notre pays.

L'Hymne chérifien, écrit par Ali Squalli Houssaini et dont la musique a été composée par Léo Morgan, est l'hymne national du Maroc depuis son indépendance en 1956.



Hymne national du Maroc


Paroles :

manbita al ahrar;
machriqa al anwar;
mountada sou'dadi wa himahh;
doumta mountadah wa himah;
ichta fi l awtan;
liloula ounwan;
mil'a koulli janane;
dikra koulli lissane;
birrouhi, biljassadi;
habba fatak;
labba nidak;
fi fami wa fi dami hawaka thara nour wa nar;
ikhwati ahya;
liloula sa'aya;
nouch'hidi dounya;
anna houna nahya;
bichia'ar;
Allah, Alwatan, AlMalik;

TRADUCTION

Berceau des hommes libres,
Source des lumières.
Terre de souveraineté et terre de paix,
Puissent souveraineté et paix y être à jamais réunis.
Tu as vécu parmi des nations
Tel un titre sublime,
Emplissant chaque cœur,
Déclamé par chaque langue.
Par son âme, par son corps,
Ton champion s'est levé
Et a répondu à ton appel.
Et dans ma bouche et dans mon sang ton amour a secoué lumière et braises,
Mes frères, allons
Vers ce qu'il y a de plus haut.
Nous proclamerons au monde
Que c'est ici que nous vivons
Avec pour étendard
Dieu, la Patrie, et le Roi

Recyclez vos coquilles d’œufs, bon pour le jardin et la santé .


Recyclez vos coquilles d’œufs, bon pour le jardin et la santé .

Attention, avant consommation, lavez soigneusement vos œufs et ensuite vos mains, sinon risque infime mais risque quand même de salmonellose.


Gharb

Avec l’arrivée des arabes au VIIe siècle, les termes « gharb » et « maghrib » étaient plus ou moins synonymes, s’appliquant tous deux à la partie occidentale du monde arabo-islamique. L’effritement des grands empires maghrébins, surtout après la perte d’Al Andalus au XVe siècle, restreint l’aire sémantique du terme pour ne couvrir que l’extrême ouest du Maghrib ou le Maroc actuel. D’ailleurs, avant l’adoption du terme « maghrib » par le Maroc au XVIIIe, le sultan du Maroc ne s’identifiait dans ses correspondances avec l’étranger qu’en tant que « calife des musulmans du gharb » (khalifat al-muslimin bi al-gharb). Mais à l’intérieur du Maroc, le terme « gharb » désignait tout ce qui se trouvait au nord de l’Atlas, c’est-à-dire un large triangle qui encadrait les territoires compris entre Essaouira, Tanger et Taza. Vers le milieu du XVIIIe siècle, on trouve le terme « gharb » avec un sens encore plus restreint. Il s’appliquait juste pour l’extrême nord-ouest marocain, c’est-à-dire une zone comprise entre Tanger, Larache et Taza. Le fin mot de l’histoire revient au Protectorat, avec lequel le terme prend son sens définitif, celui de l’arrière-pays de Port-Lyautey ou Kénitra.


Le plus long match de boxe

Le 6 avril 1893 les deux challengers au titre de champion poids léger, Jack Burke et Andy Bowen, ont livré le match le plus long de l'histoire de la boxe (avec gants) : 7 heures et 19 minutes de combat, pour 111 rounds. Le match fut officialisé "No Contest" par l'arbitre John Duffy lorsqu'il constata qu'à la 111ème reprise, aucun des deux participants n'était en mesure de continuer le combat.

Dans quel contexte s'est déroulé ce match? Précédemment, l'ancien champion Jack McAuliffe s'est retiré, invaincu dans la défense de son titre de champion poids léger. Le match censé déterminer lequel des challengers du moment méritait le plus ce titre laissé vacant, prit donc part à la Nouvelle-Orléans, le 6 avril 1893. "Texas" Jack Burke, alors âgé de 24 ans, rencontrait Andy Bowen, 26 ans. Le gagnant serait promu au titre de champion des poids légers, en même temps qu'il recevrait une somme confortable pour l'époque, de 2500 dollars.
 
Andy Bowen (à gauche) & Jack Burke (à droite)   
Débutant en soirée, les premiers rounds furent à l'image de l'ensemble du combat : aucun des boxeurs ne voulait laisser l'avantage dans une véritable rixe à couteaux tirés. Les rounds se succédèrent sans qu'on puisse en déterminer l'issue. Après 7h19 de combat ponctuées en 110 rounds (3 minutes chacun),  les combattants n'en peuvent plus, ils sont tuméfiés et fatigués. A la 111ème reprise, chacun des challengers reste dans son coin à l'appel de l'arbitre, signifiant ainsi leur abandon simultané. Malgré la vaillance de chaque boxeur, l'arbitre est obligé de déclarer le match "No Contest", c'est-à-dire sans vainqueur ni vaincu, No contest signifiant "comme si le match n'avait jamais eu lieu".

Et pourtant, non seulement il eu lieu, mais il laissa des traces tant dans l'histoire de la boxe que dans la vie des deux hommes. Jack Burke avait à la fin du combat la majorité des os des deux mains brisés, et envisagea de mettre fin à sa carrière de boxeur. Bien que quelques autres rencontres eurent lieu par la suite, jamais il ne put atteindre son niveau précédent. Andy Bowen, quant à lui, tenta de continuer sa carrière de boxeur en remontant par ailleurs sur le ring face à Jack Everhardt le 31 mai suivant. Le match fut à nouveau d'une longueur incroyable, de 5h35 minutes, à l'issue desquelles Andy gagna par KO mais remit un an avant de reprendre la boxe en match officiel. Ces deux matchs l'avaient durement touché. A l'issue d'un KO infligé par Georges Kid Lavigne le 14 décembre 1894, Andy chuta tête la première sur le sol et mourut le lendemain des suites de ces blessures, ne s'étant jamais réveillé après le KO.

Le match opposant Jack Burke et Andy Bowen est resté célèbre comme étant l'un des matchs les plus long de l'histoire du combat, au point d'avoir une date de début et de fin différente : commencé en soirée le 6 Avril 1893, il s'est terminé dans la matinée nocturne du 7 avril 1893 !

15 octobre 1582 : Naissance du calendrier grégorien

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Le lendemain du jeudi 4 octobre 1582, les Romains se réveillèrent le vendredi... 15 octobre 1582. Cette nuit du 4 au 15 octobre 1582 avait été choisie par le pape Grégoire XIII pour l'entrée en application de sa réforme du calendrier julien, ainsi nommé d'après Jules César. 


 

  • La réforme de Jules César

À Rome, l'année débutait en mars et comportait 355 jours et dix mois.
Les Romains payaient leurs dettes au début de chaque mois, ces jours étant appelés calendes (ou calendae). D'où le mot «calendrier» qui désigne le registre où sont inscrits les comptes puis la mesure du temps elle-même.
En 46 avant JC, Jules César donne à l'année 365 jours et 12 mois. Il la fait débuter le 1er janvier et prévoit des années bissextiles. Ce nouveau calendrier est dit julien en référence à son promoteur. L'Église, au Moyen Âge, lui demeure fidèle tout en faisant remonter le décompte des années à la naissance du Christ (ce décompte s'est aujourd'hui imposé à toute la planète).
Mais sous la Renaissance, les astronomes s'aperçoivent que l'année calendaire dépasse l'année solaire de... 11 minutes 14 secondes. Le cumul de cette avance quinze siècles après la réforme julienne se monte à une dizaine de jours avec pour conséquence de plus en plus de difficultés à fixer la date de Pâques !
  • La réforme de Grégoire XIII

Grégoire XIII décide donc d'attribuer désormais 365 jours, et non 366, à trois sur quatre des années de passage d'un siècle à l'autre. Les années en 00 ne sont pas bissextiles sauf les divisibles par 400 : 1600, 2000, 2400...
Cette modeste réforme ramène à 25,9 secondes l'écart avec l'année solaire (une broutille).
Par ailleurs, le pape décide de rattraper les dix jours de retard du calendrier julien entre le 4 et le 15 octobre 1582.
La réforme va s'étendre peu à peu à l'ensemble des pays. Le calendrier grégorien est aujourd'hui d'application universelle ou à peu près.

Photos rares de PETIT JEAN (Sidi Kacem).

 

Une rue de Petit Jean

La casbah de Petit Jean

Campagne de Petit Jean

Campagne de Petit Jean

Mausolée de Petit Jean

Zaouia et passage en bois sur le R'dom

Sidi Kacem (en arabe Sīdī Qāsim سيدي قاسم) est une ville de taille moyenne du Nord-Ouest du Maroc et capitale de la province du même nom. Ses habitants, les "Kacemis" sont au nombre de 74 062 (d'après recensement 2004). Sur les axes Meknès (45 km) - Tanger (210 km) et Fès (85 km)- Rabat (120 km), elle est située à l'endroit où la rivière Rdom quitte les hauteurs du plateau de Meknès pour s'engager dans la grande et fertile plaine du Gharb ("Gharb" signifie en arabe l'Ouest, par rapport à Fès, ancienne capitale du royaume).
Chef-lieu de la "province de Sidi Kacem" (région de Gharb-Chrarda-Beni Hssen) ou plus communément des "Chrardas", la ville est un centre de collecte des céréales produites dans les collines situées à l'Est et au Nord. Les grossistes en blé portent localement le nom de "céréalistes". La ville est aussi un marché actif dans le coin Sud-Est de la riche plaine du Gharb qui produit des agrumes, de l'huile d'olive, du coton, des betteraves, du riz. La ville a deux souks importants, celui du jeudi, en ville, ou on trouve tous les paysans de la region, et celui du dimanche ou on trouve surtout les citoyens de la ville.
La ville a été fondée en deux étapes qui lui ont valu deux pôles distincts et toujours séparés : la Zaouia et le centre ville avec le souk al-Khmis.
La zaouia de Sidi Kacem==
Elle a donné son nom à la ville peu après l'indépendance (1956). C'est le tombeau d'un sage musulman qui a mérité d'être appelé Sidi ("saint") et le siège de la confrérie religieuse (Zaouia) qui s'occupe de l'entretenir et d'accueillir les pèlerins. La fondation pieuse occupe les dernières hauteurs qui dominent le Rdom sur la rive gauche. Sidi Qāsim bou 'Asriya ou encore Sidi Qāsim Moulāl-Héri attire à lui les pèlerins depuis quatre siècles. Son tombeau est devenu le centre religieux de la [[tribu guich]] des Chérardas arrivée bien plus tard dans la région. Autour de la Zaouia et de part et d'autre de la rivière, se sont installés des quartiers d'ouvriers agricoles qui travaillent à la journée dans les grandes exploitations de la plaine.
La zaouia de Sidi Kacem==
Elle a donné son nom à la ville peu après l'indépendance (1956). C'est le tombeau d'un sage musulman qui a mérité d'être appelé Sidi ("saint") et le siège de la confrérie religieuse (Zaouia) qui s'occupe de l'entretenir et d'accueillir les pèlerins. La fondation pieuse occupe les dernières hauteurs qui dominent le Rdom sur la rive gauche. Sidi Qāsim bou 'Asriya ou encore Sidi Qāsim Moulāl-Héri attire à lui les pèlerins depuis quatre siècles. Son tombeau est devenu le centre religieux de la [[tribu guich]] des Chérardas arrivée bien plus tard dans la région. Autour de la Zaouia et de part et d'autre de la rivière, se sont installés des quartiers d'ouvriers agricoles qui travaillent à la journée dans les grandes exploitations de la plaine.


Gare de Petit Jean
 
Grand Hôtel de Petit Jean Restaurant, cinéma, Dancing

Les honneurs du drapeau : Petit Jean

Jardin Public de Petit Jean

Raffinerie du Pétrole de Petit Jean

Le camp de Petit Jean en 1916

La Mosquée en carte Postale


Quelques photos de Tetouan vers 1840

 






Ce village espagnol a été construit sous un rocher !


View of historic center in Setenil de las Bodegas, Spain


Le petit village de Setenil de las bodegas se situe au sud de l’Espagne non loin de la province de Cadix.
Ce village abrite 3000 habitants et sa particularité notoire est d’avoir été construit sous un rocher. Il s’agit là d’une des attractions touristiques les plus célèbres de la région menant à la création de cartes postales et à l’arrivée de photographes professionnels. À certains endroits, les rochers passent au-dessus de certaines rues.
Ce village a été bâti au Moyen-âge et a su résister à tous les assauts qui auraient pu le détruire. De ce fait, il conserve l’authenticité du village traditionnel espagnol. Certaines habitations n’ont pas de toit à proprement parler, le toit étant constitué à partir de la roche présente au-dessus.
La rivière qui traverse la ville a creusé avec le temps une faille où de grosses gorges et crevasses ont pu servir à la création de maisons spécifiques.


Khénichet, centre urbain de la Province de Sidi Kacem.


C'est le centre urbain de la commune rurale de Khénichet (en arabe : الخنيشات) située sur l'Oued Ouergha et fait partie de la province de Sidi Kacem, au sein de la région de Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Sa population est de l'ordre de 10.000 habitants.
Ses Coordonnées  sont : 34° 26′ Nord  et  5° 40′ Ouest


Son Altitude est de 21 mètres.
Son Code postal : 16102
Code de Région (ISO2) : MA-SIK
Fuseau Horaire (TZ) :Africa/Casablanca
Temps Universel Coordonné (UTC) : UTC 
Sa localisation sur la carte administrative est : 





Khénichet tire son nom du pluriel du nom arabe  "Khanecha Sghira"  qui veut dire des petits sacs.  Dans le passé lointain, cette localité était bien placée, sur une route, très fréquentée par les anciens voyageurs à pieds et à dos d'ânes et de mûlets, qui menait à Sidi kacem et à Meknes.  Et avec le temps, ce point de passage obligatoire a pris le nom de Khénichet. 

Les inondations sont très fréquentes à Khénichet et peuvent être plus ou moins importantes chaque année.
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Inondations (2009-2010)


Folklore de Khénichet




Le souk hebdomadaire (Samedi) de Khénichet


La commune rurale de Khénichet


                                                         Source : Ould Lablad