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La maladie de Crohn

La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique du système digestif, qui évolue par poussées (ou crises) et phases de rémission. Elle se caractérise principalement par des crises de douleurs abdominales et de diarrhée, qui peuvent durer plusieurs semaines ou plusieurs mois. Fatigue, perte de poids et même dénutrition peuvent survenir si aucun traitement n’est entrepris. Dans certains cas, des symptômes non digestifs, qui touchent la peau, les articulations ou les yeux peuvent être associés à la maladie.

En cas de maladie de Crohn, l’inflammation peut toucher n’importe quelle partie du tube digestif, de la bouche à l’anus. Mais le plus souvent, elle s’installe à la jonction de l’intestin grêle et du côlon (gros intestin)


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Maladie de Crohn ou colite ulcéreuse?
La maladie de Crohn a été décrite pour la première fois en 1932 par un chirurgien américain, le Dr Burril B. Crohn. Elle ressemble en plusieurs aspects à la colite ulcéreuse, une autre maladie inflammatoire fréquente de l'intestin. Pour les distinguer, les médecins utilisent différents critères. La colite ulcéreuse ne touche qu’un segment délimité du rectum et du côlon. Pour sa part, la maladie de Crohn peut atteindre d'autres parties du tube digestif, de la bouche aux intestins (parfois en laissant des zones saines). Il arrive qu’il ne soit pas possible de distinguer ces deux maladies. On appelle alors l’affection « colite indéterminée ».


Prévalence
Au Canada, la maladie de Crohn touche environ 50 personnes par 100 000 de population dans les pays industrialisés, mais il y a une très grande variabilité selon la région géographique. L’endroit au monde où il y a le plus de cas rapportés est en Nouvelle Écosse, une province Canadienne, où le taux grimpe à 319 pour 100,000 personnes. Au Japon, en Roumanie et en Corée du Sud, le taux est à moins de 25 pour 100,000.
La maladie peut survenir à tout âge, y compris dans l’enfance. Elle est habituellement diagnostiquée chez les personnes de 10 à 30 ans.


Causes
La maladie de Crohn est due à une inflammation persistante des parois et des couches profondes du tube digestif. Cette inflammation peut entraîner un épaississement des parois à certains endroits, des fissures et des plaies à d’autres. Les causes de l’inflammation sont inconnues et vraisemblablement multiples, impliquant des facteurs génétiques, auto-immuns et environnementaux.

Facteurs génétiques. Bien que la maladie de Crohn ne soit pas une maladie entièrement génétique, certains gènes peuvent augmenter les risques d’en être atteint. Ces dernières années, les chercheurs ont découvert plusieurs gènes de susceptibilité, dont le gène NOD2/CARD15, qui multiplie par 4 ou 5 le risque de souffrir de la maladie. Ce gène joue un rôle dans le système de défense de l’organisme. Cependant, d’autres facteurs sont nécessaires pour que la maladie survienne. Comme dans bien d’autres maladies, il semble qu’une prédisposition génétique combinée à des facteurs de l’environnement ou du mode de vie déclenche la maladie.

Facteurs auto-immuns. Comme la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn a des caractéristiques de maladie auto-immune. Les chercheurs pensent que l’inflammation du tube digestif serait liée à une réaction immunitaire excessive de l’organisme contre des virus ou des bactéries présents dans l’intestin.


Facteurs environnementaux. On remarque que l’incidence de la maladie de Crohn est plus élevée dans les pays industrialisés et tend à augmenter depuis 1950. Cela laisse croire que des facteurs environnementaux, probablement liés au mode de vie occidental, pourraient avoir une influence importante sur l’apparition de la maladie. Cependant, aucun facteur spécifique n’a encore été décelé. Plusieurs pistes sont cependant à l’étude. L’exposition à certains antibiotiques, en particulier de la classe des tétracyclines, est un facteur de risque potentiel. Les fumeurs sont plus à risque de développer la maladie. Les personnes trop sédentaires sont plus affectées que les personnes qui sont plus actives.

Il est possible, mais il n’y a pas de preuve absolue, que l’alimentation trop riche en mauvais gras, en viande et en sucre augmente le risque. On a longtemps pensé que le stress pouvait déclencher des crises. Cependant, les études réalisées jusqu’à présent semblent réfuter cette hypothèse.

Les chercheurs se penchent surtout sur le rôle éventuel d’une infection par un virus ou une bactérie (salmonella, campylobacter) dans le déclenchement de la maladie. Outre une infection par un microbe « extérieur », un déséquilibre de la flore intestinale (c’est-à-dire des bactéries naturellement présentes dans le tube digestif) pourrait aussi être en cause.

Par ailleurs certains éléments semblent exercer un effet protecteur. Il s’agit de la diète riche en fibres et en fruits, le contact avant l’âge d’un an avec des chats ou des animaux de la ferme, l’appendicectomie, de même que d’avoir eu une gastroentérite ou des infections respiratoires. Il n’y a par ailleurs aucune association entre le vaccin RRO (rougeole-rubéole-oreillons) et la maladie de Crohn.

Évolution de la maladie
Il s’agit d’une maladie chronique qui est présente toute la vie. Le plus souvent, la maladie de Crohn évolue par poussées entrecoupées de périodes de rémission qui peuvent durer plusieurs mois. Environ 10 % à 20 % des personnes présentent une rémission durable après la première poussée de la maladie. Les récidives (ou crises) se succèdent de façon assez imprévisible et sont d’intensité variable. Il arrive parfois que les symptômes soient tellement intenses (incapacité à s’alimenter, hémorragies, diarrhées, etc.) qu’une hospitalisation devient nécessaire.

Complications et conséquences possibles
La maladie de Crohn peut entraîner divers problèmes de santé. La gravité des symptômes et des complications varie toutefois énormément d’une personne à l’autre.

Complications possibles
  • Une obstruction du tube digestif. L’inflammation chronique peut entraîner un épaississement de la paroi du tube digestif, pouvant conduire à un blocage partiel ou total du tube digestif. Cela peut entraîner des ballonnements, de la constipation, voire des vomissements de matières fécales. Une hospitalisation d’urgence peut être nécessaire pour éviter une perforation de l’intestin.
  • Des ulcères dans la paroi du tube digestif.
  • Des plaies autour de l'anus (des fistules, des fissures profondes ou des abcès chroniques).
  • Des hémorragies du tube digestif, rares mais parfois graves.
  • Les personnes atteintes de la maladie de Crohn au côlon ont un risque légèrement accru d’être victimes d’un cancer du côlon, surtout après plusieurs années de maladie, et même si elles sont en traitement. Il est donc conseillé de subir un dépistage précoce et régulier du cancer du côlon.
Conséquences possibles
  • Une dénutrition, car durant les crises, les malades ont tendance à moins manger en raison des douleurs. De plus la capacité d’absorber les aliments à travers la paroi de l’intestin est compromise, en langage médical on parlera de malabsorption.
  • Un retard de croissance et de puberté chez les enfants et les adolescents.
  • Une anémie ferriprive, en raison de saignements dans le tube digestif, qui peut survenir à bas bruit et être invisible à l’œil nu.
  • D'autres problèmes de santé, comme de l'arthrite, des affections de la peau, une inflammation des yeux, des ulcères buccaux, des calculs rénaux ou des calculs biliaires.
  • La maladie de Crohn, lorsqu’elle est en phase « active », augmente le risque d’avortement spontané chez les femmes enceintes qui en sont atteintes. Elle peut rendre difficile la croissance du foetus. Il est donc important que les femmes qui souhaitent devenir enceintes contrôlent très bien leur maladie à l’aide de traitements et en discutent avec leur médecin.

Les symptômes de la maladie de Crohn

La maladie de Crohn peut toucher n’importe quelle partie du tube digestif. Les symptômes (et leur intensité) sont variables d’un cas à l’autre.

Symptômes principaux

  • Des douleurs et crampes abdominales fréquentes, qui s'accentuent après les repas.
  • Une diarrhée chronique (qui dure plus de 2 semaines).
  • De la fatigue et un malaise général.
  • Un faible appétit et une perte de poids, même avec un régime alimentaire équilibré.

Autres

  • Du sang dans les selles, parfois en quantité importante (hémorragies).
  • Des glaires dans les selles. Les glaires sont un mucus épais et filant ayant la consistance d’un blanc d’oeuf.
  • Des nausées et des vomissements.
  • Une légère fièvre (de 38 ºC à 40 ºC).
  • Des douleurs aux articulations.

Les personnes à risque et les facteurs de risque de la maladie de Crohn

Personnes à risque

  • Les personnes ayant des antécédents familiaux de maladie inflammatoire de l'intestin (maladie de Crohn ou colite ulcéreuse). Ce serait le cas pour 10 % à 25 % des personnes atteintes.
  • Certaines populations sont plus à risque que d’autres, en raison de leur patrimoine génétique. La communauté juive (d’origine ashkénaze), par exemple, serait de 4 à 5 fois plus touchée par la maladie de Crohn.

Facteurs de risque

  • Le tabagisme accroît le risque d’être atteint de la maladie de Crohn.

La prévention de la maladie de Crohn

Peut-on prévenir?
Comme on ne connaît pas précisément les causes de la maladie, aucun moyen de la prévenir n'est connu.
Une étude publiée en 2010, menée auprès de plus de 67 000 femmes en France, a toutefois montré qu’une consommation importante de protéines animales (viandes et poissons) était associée à un risque accru de souffrir de la maladie. Ces données restent à confirmer pour les hommes et les enfants.


Mesures pour prévenir l’aggravation et les récidives
Suivre le traitement à la lettre. Le traitement, s’il est adapté et bien suivi, permet de réduire la fréquence des crises et de prévenir l’aggravation des lésions.

Ne pas fumer. Le tabagisme, même léger, augmente l’intensité des symptômes, le nombre de récidives et d’interventions chirurgicales liées à la maladie.

Éviter les médicaments anti-inflammatoires en vente libre ou sur ordonnance. Ceux-ci sont contre-indiqués, car ils peuvent déclencher une crise ou aggraver les symptômes. Comme antidouleur, privilégier l’acétaminophène. Aux doses recommandées, l’acétaminophène (Tylenol®) est sans danger pour le système digestif.

Remarque

L’alimentation. Plusieurs études se sont penchées sur l’utilité de divers changements du régime alimentaire pour prévenir les récidives. Certaines ont testé l’effet d’un apport réduit en sucres raffinés et accru en oméga-3. D’autres ont testé l’exclusion de certains aliments. Ces expériences n’ont toutefois pas permis de découvrir une diète particulière qui permettrait de prolonger la durée des périodes de rémission chez la majorité des patients.

Dans certains cas, il semble toutefois que certains aliments aggravent les symptômes, mais ces aliments varient d’une personne à l’autre. Il peut s’agir de la viande rouge, des céréales (blé ou maïs), des produits laitiers, de certains fruits ou légumes, etc. Il est conseillé à chaque personne atteinte de découvrir ces aliments, par exemple en notant dans un carnet la composition des repas et l’intensité des symptômes après chaque repas. Certains médecins suggèrent d’exclure les aliments « déclencheurs » pendant 2 à 4 semaines pour voir si les symptômes s’atténuent ou non. En effet, les réactions aux aliments ne sont pas nécessairement immédiates.

Les traitements médicaux de la maladie de Crohn

Il n'existe pas de traitement permettant de guérir la maladie de Crohn. L’objectif du traitement est de corriger les insuffisances alimentaires et de contrôler l'inflammation ce qui aura pour effet de soulager la douleur, la diarrhée et les autres symptômes. Pendant les périodes de rémission, il est souvent nécessaire de suivre un traitement d’entretien pour diminuer la fréquence des rechutes et limiter la progression des lésions. Dans la majorité des cas, il faut souligner que les traitements actuels permettent de bien contrôler la maladie. 
Puisque la maladie évolue par poussées entrecoupées de périodes de rémissions, il est parfois difficile pour le médecin d’évaluer l’efficacité des traitements entrepris. Pour mieux juger de l’efficacité d’un traitement, il est donc recommandé de tenir un journal où l’on note quotidiennement :
- le nombre de selles;
- l'état des selles (liquides ou solides);
- la fréquence, la durée et l'intensité (sur une échelle de 1 à 10, par exemple) des douleurs abdominales ou des crampes d'estomac;
- la qualité de l'appétit;
- les aliments qui aggravent les symptômes;
- les moments de la journée où les symptômes sont le plus présents;
- le poids (chaque semaine).

Médicaments

Anti-inflammatoires

Il s’agit des traitements prescrits en première ligne pour calmer l’inflammation en cas de crise. Les choix du médicament et de sa voie d’administration dépendent de l’intensité des symptômes et de leur localisation dans le système digestif.
  • Les aminosalicylates (ou dérivés salicylés), parmi lesquels la sulfasalazine (Azulfidine®) et la mésalazine ou mésalamine (Rowasa®, Canasa®, Asacol® Pentasa®, Apriso™, Lialda®, Mezavant®) sont administrés par voie orale, rectale (suppositoires) ou par lavement. Ils sont utilisés à la fois pour calmer les poussées et pour maintenir la rémission. Les effets secondaires les plus courants sont les nausées, les vomissements et les maux de tête.
  • Si les aminosalicylates intestinaux ne suffisent pas à soulager les symptômes, le médecin suggère des anti-inflammatoires plus puissants, comme les corticostéroïdes oraux, qui ont un effet anti-inflammatoire général. Les corticostéroïdes les plus communément prescrits pour soigner la maladie de Crohn sont la prednisone et la prednisolone. Ils sont habituellement employés pendant quelques semaines, jusqu’à ce que la rémission soit obtenue. La dose est ensuite diminuée progressivement. Dans certains cas où la maladie est localisée et modérément active, le budésonide, un corticoïde qui agit localement dans le tube digestif, donc avec moins d’effets secondaires, peut être proposé.
     
    Les corticostéroïdes oraux à effet systémiques comportent cependant des risques d’effets indésirables plus marqués, qui limitent leur usage à long terme. Il s’agit notamment d’une prise de poids, d’acné, d’une pilosité accrue, de troubles de l’humeur et d’insomnie. À long terme, les corticostéroïdes peuvent aussi induire une ostéoporose.

Immunomodulateurs et biothérapies

Les immunomodulateurs (dont les immunosuppresseurs) agissent de manière très ciblée sur certains acteurs du système immunitaire pour calmer les réactions inflammatoires. Ces médicaments sont généralement utilisés pour maintenir la rémission après le traitement « d’attaque » par aminosalicylates ou corticostéroïdes. Ils contribuent aussi à la guérison des fistules. Le 6-mercaptopurine (6-MP, Purinethol®) et l'azathioprine (Imuran®) sont les immunomodulateurs les plus souvent prescrits aux personnes atteintes de la maladie de Crohn. Le méthotrexate (Rheumatrex®) peut aussi être employé. Ces médicaments peuvent causer des effets indésirables (nausées, vomissement, diarrhée) et diminuer la résistance aux infections si la dose est mal ajustée.
Les agents anti-TNF alpha, comme l’infliximab (Remicade®) ou l’adalimumab (Humira®), sont des médicaments récents qui ciblent le facteur de nécrose tumoral (TNF), une substance jouant un rôle dans l’inflammation. Ces médicaments sont réservés aux patients qui ont des symptômes modérés à graves et chez qui les autres médicaments sont inefficaces ou causent trop d’effets indésirables. Ils peuvent aussi être utilisés comme traitements d’entretien.

Autres médicaments

Des antibiotiques peuvent être prescrits en cas d’aggravation soudaine des symptômes causée par une infection intestinale. Les antibiotiques permettent également de traiter les abcès et les plaies situées dans la région anale.
Dans certains cas, des antidiarrhéiques peuvent contribuer à réduire la diarrhée. Du psyllium ou de la méthylcellulose permettent notamment de réguler le transit. Cependant, les antidiarrhéiques ou les laxatifs peuvent aussi irriter le tube digestif et causer des complications graves chez les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire intestinale. Il est impératif de demander conseil à votre médecin avant de prendre un anti-diarrhéique, un antispasmodique ou un laxatif, quel qu’il soit.
Des suppléments de fer, à prendre par voie orale, peuvent être nécessaires en cas d’anémie.
Les analgésiques soulagent les légères douleurs abdominales. Privilégier l'acétaminophène (Tylenol®)
Important : les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), comme l'aspirine, l'ibuprofène (Advil®, Motrin®) ou le naproxène (Aleve®) sont contre-indiqués chez les personnes atteintes de la maladie de Crohn, car ils peuvent aggraver les symptômes ou déclencher une crise aiguë.

Alimentation

Durant les crises. Afin d’alléger les malaises, on conseille de diminuer la consommation de fibres alimentaires (produits de boulangerie à la farine de blé entier, plusieurs fruits et légumes crus ou non pelés, etc.). Notons que ces aliments n’ont pas d’effet néfaste en soi sur le tube digestif. Mais les fibres alimentaires, en augmentant le volume des selles, font pression sur la paroi enflammée des intestins, ce qui a pour conséquence d’accroître les troubles digestifs. Quand la crise s’estompe, ces restrictions ne sont plus nécessaires.
S’informer auprès de son médecin, d’une nutritionniste ou d’une association de patients pour en savoir plus sur le type d’aliments à privilégier durant les crises.
Alimentation de soutien. Bien que ce soit rare, il arrive que l’intestin trop irrité n’arrive plus à absorber correctement les nutriments. Pour éviter la dénutrition, il est alors possible d’injecter des solutions nutritives par voie intraveineuse (nutrition parentérale). Il s’agit de suppléments de complexes vitaminiques et de minéraux et de préparations liquides hautement caloriques. Cela permet d’éviter les carences, notamment en protéines, en vitamines (A, acide folique, B12, C, D, E et K) et en minéraux (calcium, cuivre, fer, magnésium, sélénium et zinc). La personne peut reprendre une alimentation normale dès que l’atténuation des symptômes le permet.

Chirurgie

Une intervention chirurgicale est parfois nécessaire, surtout en cas de complications (fistules, obstruction complète du tube digestif ou ulcère perforé). Si une section du tube digestif est trop abîmée par l’inflammation, il est possible de retirer cette section par chirurgie puis de relier les deux extrémités entre elles. La chirurgie peut donc traiter certaines complications, mais la maladie demeure présente.
Conseils concernant la maladie de crohn
La maladie de Crohn et une maladie qui en général va vous suivre pour toute la vie. La compréhension qu’on a de cette maladie et ses traitements peuvent procurer une excellente qualité de vie à la majorité des patients atteints.

Cette maladie évolue en poussée et rémissions. Il faut donc se méfier des associations fortuites que vous pouvez faire. Si vous avez plus de douleurs un vendredi matin, ce n’est pas nécessairement en lien avec ce que vous avez mangé le jeudi soir. Et si vous vous sentez mieux, ce n’est pas nécessairement à cause des granules homéopathiques que vous avez pris la veille. C’est seulement avec les recherches randomisées en double aveugle que l’on peut affirmer qu’un traitement peut être efficace ou pas.

Restez vigilants, évitez les cures miracles, ayez une excellente hygiène de vie, et trouvez un médecin qui vous suivra attentivement. Le suivi conjoint avec un gastro-entérologue est fortement suggéré. On peut bien vivre avec la maladie!

Approches complémentaires

Important. À cause de l’imprévisibilité, tant de la survenue des crises que de la durée des périodes de rémission, l’effet thérapeutique des approches complémentaires suivantes est difficile à évaluer. Il est préférable de consulter son médecin avant d’entreprendre tout traitement.

Efficacité incertaine Absinthe (Artemisia absinthium). En 2007, des chercheurs ont évalué les effets d’un traitement adjuvant à base de poudre d’absinthe, une plante aux propriétés médicinales diverses. Quarante personnes atteintes de la maladie de Crohn ont participé à cette étude contrôlée avec un placebo. Deux groupes de 20 sujets devaient prendre, durant 10 semaines, soit la préparation à base d’absinthe (SedaCrohn®) soit un placebo, à raison de 3 capsules 2 fois par jour. Ces traitements étaient pris en association avec de la cortisone et les médicaments usuels pour la maladie. Après 8 semaines de traitement à l’absinthe, 13 personnes sur 20 ont rapporté une rémission presque complète de leurs symptômes, et aucune dans le groupe placebo. De plus, dans le groupe placebo, 16 personnes sur 20 ont vu leurs symptômes s’exacerber lorsque leur dose de corticostéroïde a été diminuée, contre seulement 2 sur 20 dans le groupe ayant reçu le SedaCrohn®. Bien qu’il s’agisse d’un petit nombre de patients et que les résultats devront être confirmés par d’autres études, cela suggère que l’absinthe améliorerait l’efficacité de la cortisone. En 2010, les mêmes chercheurs ont montré que l’absinthe pourrait agir en diminuant le taux de TNF-alpha, une substance exacerbant l’inflammation chez les personnes atteintes de la maladie de Crohn.
Efficacité incertaine Huiles de poisson et oméga-3. Une revue systématique publiée en 2005 a recensé 11 études sur l’effet des huiles de poisson pour soulager les symptômes liés à l’inflammation des voies digestives (maladie de Crohn et colite ulcéreuse). L’analyse de l’ensemble des données n’a toutefois pas permis de juger de leur efficacité clinique. En 2009, une revue systématique s’est penchée sur l’utilité des acides gras oméga-3 pour maintenir la rémission chez des personnes atteintes de la maladie de Crohn. Six études ont été analysées et les auteurs ont conclu que les oméga-3 étaient probablement inefficaces.  
Efficacité incertaine Probiotiques. Les probiotiques sont des bactéries utiles qui permettent de restaurer la flore bactérienne naturelle du système digestif. La bactérie Lactobacillus acidophilus en est un exemple. La flore intestinale est souvent perturbée par l'inflammation chronique. Quelques essais préliminaires ayant combiné traitement classique et différents probiotiques ont donné des résultats décevants avec L. acidophilus. En revanche, une revue systématique publiée en 2010 conclut qu’une autre souche de probiotique, Saccharomyces boulardii, semble efficace pour réduire la diarrhée chez les personnes atteintes de la maladie de Crohn.
Efficacité incertaine Acupuncture. En 2004, un essai aléatoire a évalué l’effet de l’acupuncture sur 51 personnes atteintes d’une maladie de Crohn légère à modérée. Dix séances étaient réalisées sur une période de 4 semaines. Les auteurs de l’étude ont conclu que l’acupuncture permettait d’améliorer le bien-être général des patients. En 2007, une revue systématique a analysé plusieurs essais portant sur l’efficacité de l’acupuncture sur les maladies inflammatoires intestinales chroniques. Les auteurs ont conclu que l’acupuncture pouvait soulager les symptômes, en spécifiant que la qualité méthodologique des études était critiquable.
Usage reconnu Camomille allemande (Matricaria recutita). La camomille allemande a longtemps été utilisée en préparations médicinales pour les troubles du système digestif (comme la diarrhée et les ulcères gastriques). La Commission E reconnaît son utilité pour soigner la dyspepsie, les gonflements, les flatulences, l'inflammation et les spasmes gastro-intestinaux.
Dosage
Pour les troubles digestifs, elle s'utilise par voie interne sous forme d'infusion, d'extrait liquide ou d'extrait sec. Voyez la fiche Camomille allemande pour plus de détails sur la posologie.
Usage traditionnel Boswellie (Boswellia serrata). La résine de boswellie fait partie de la pharmacopée officielle de l'Inde et de la Chine. La médecine traditionnelle ayurvédique (Inde) lui attribue des propriétés anti-inflammatoires utiles pour le traitement de l'inflammation du tube digestif. En 2001, les résultats d'une étude comparative, mais sans groupe placebo, indiquaient que la boswellie (H15® à raison de 1 200 mg, 3 fois par jour) est aussi efficace, effets indésirables en moins, que la mésalazine, un des médicaments classiques utilisés pour traiter la maladie de Crohn. Cependant, une nouvelle étude publiée en 2010 et menée sur 108 patients atteints de la maladie de Crohn n’a pas pu prouver l’efficacité d’un extrait de boswellie (le Boswelan) pour maintenir la rémission.
Dosage
Prendre de 300 mg à 400 mg d'extrait de résine standardisé (37,5 % d'acide boswellique) en capsule ou en comprimé, 3 fois par jour.
Approches à  considérer Formule de Bastyr. Une préparation composée de plusieurs plantes médicinales et de quelques autres ingrédients (poudre de chou, pancréatine, vitamine B3 et substance duodénale) est recommandée par le naturopathe J.E. Pizzorno afin de soulager l'inflammation qui sévit dans le tube digestif. Il s'agit d'un vieux remède naturopathique non documenté par des études scientifiques.
Les plantes médicinales suivantes font partie de la recette : la guimauve (Althea officinalis), l'orme rouge (Ulmus rubra), l'indigo sauvage (Baptisia tinctoria), l'hydraste du Canada (Hydrastis canadensis), l'échinacée (Echinacea angustifolia), la phytolaque d'Amérique (Phytolacca americana), la consoude (Symphytum officinale) et le géranium tacheté (Geranium maculatum). Informez-vous auprès d’un thérapeute dûment formé.
Approches à  considérer Méthodes de relaxation. Des spécialistes recommandent des séances d'hypnose aux personnes qui souffrent de la maladie de Crohn. La pratique clinique démontre que l'hypnothérapie réduit certains symptômes, grâce à son effet relaxant. L’hypnothérapie améliorerait les fonctions immunitaires tout en diminuant le stress et l'anxiété. En 2008, un petit essai clinique a confirmé les bienfaits de l’hypnose, qui permettrait d’améliorer la qualité de vie et de diminuer le recours aux corticostéroïdes. La respiration profonde, plus accessible, ainsi que des approches comme le biofeedback ou le training autogène auraient des effets semblables, en permettant la détente.
Approches à  considérer Modifications alimentaires. En naturopathie, on considère que, puisque la maladie de Crohn fragilise le système digestif, le type d’aliments ingérés a des répercussions sur l'état de santé. On recommande donc d’être attentif aux aliments et aux boissons qui semblent aggraver les symptômes et de les exclure. Cette démarche demande l’aide d’un naturopathe ou d’un diététiste. Le naturopathe J.E. Pizzorno rapporte que, lors d’études préliminaires, le blé et les produits laitiers figuraient au haut de la liste des aliments les plus souvent problématiques. Par ailleurs, selon lui, il est préférable d’écarter les aliments susceptibles de causer des flatulences et des ballonnements, comme les haricots, les légumes de la famille des choux, les oignons, les agrumes, les boissons gazeuses et le maïs éclaté.
Approches à  considérer Psychothérapie. Le Dr Andrew Weil recommande de considérer un travail en psychothérapie, en complément aux traitements médicaux. Selon lui, le stress et les émotions liées à des besoins insatisfaits pourraient exacerber les symptômes de la maladie de Crohn. D’après une synthèse d’études ayant porté sur 14 études, la psychothérapie n’aurait pas réellement d’effet sur l’évolution de la maladie de Crohn. Cependant, pour certaines personnes, elle peut contribuer à améliorer la qualité de vie et à atténuer des symptômes de dépression ou d’anxiété.



Le plus vieil homme du monde, âgé de 256 ans, révèle les secrets de sa longévité.


Li Ching Yuen, un chinois aurait passé 256 ans sur la terre des hommes. Il serait né en 1677 et mort en 1933. Avant de mourir, il a révélé les secrets de sa longévité. Vraiment incroyable quand on sait que l’espérance chez les occidentaux se situe entre 70 et 85 ans

Selon un article du New York Times paru en 1930, Wu Chung-chieh, professeur émérite de l’université de Chengdu, a découvert des manuscrits du gouvernement impérial chinois en date de 1827 qui félicitent Li Ching-Yuen pour son 150ème anniversaire et d’autres documents attestent qu’il a aussi été félicité pour son 200ème anniversaire en 1877.
Li Ching Yuen aurait commencé sa carrière d’herboriste à l’âge de 10 ans, où il a rassemblé des herbes des chaînes montagneuses et a appris à connaitre leur puissance en matière de longévité. Pendant près de 40 ans, il a survécu grâce à un régime d’herbes telles que le lingzhi, la baie de goji, le ginseng sauvage, l’il Shoo wu et le gotu kola ainsi que le vin de riz.
Selon les récits généralement reconnus et racontés dans sa province, Li a été en mesure de lire et d’écrire quand il était encore un enfant en bas âge, et à l’occasion de son dixième anniversaire il a voyagé en Kansu, Chansi, au Tibet, à Annam, dans l’empire Siam et la Mandchourie pour récolter des herbes.
En 1749, à l’âge de 71 ans, il rejoint les armées chinoises en tant que professeur d’arts martiaux.
Pendant ses cent premières années, il a poursuivi les recherches de sa profession. Puis il est passé à la vente d’herbes recueillies par d’autres personnes.
Wu Pei-fu, le guerrier qui est allé le voir pour connaitre tous ses secrets, voici la réponse du vieillard « Restez calmes dans votre cœur, asseyez-vous comme une tortue, marchez comme un pigeon et dormez comme un chien. »
Li maintient qu’une vie intérieure paisible combiné à des techniques de respirations étaient les secrets pour une longévité incroyable. Evidemment, son régime alimentaire a joué un rôle important. Mais c’est fascinant de voir qu’une vieille personne a pu vivre aussi longtemps sans ne jamais perdre la tête.
Li qui s’est marié 23 fois et engendré plus de 200 enfants disait être un personnage bien-aimé de sa communauté.
Sur son lit de mort, le vieil homme a déclaré « j’ai fait tout ce que je devais faire dans ce monde. »

La plus grande piscine du monde.

Une piscine infinie ou presque... Longue de 1 kilomètre, la piscine du complexe de loisirs San Alfonso del Mar est la plus grande du monde. Située au bord de la mer, dans la ville d'Algarrobo au Chili, cette piscine a été inaugurée en janvier 2008. Elle représente l'équivalent de 6000 piscines familiales standard et occupe une superficie de 8 hectares. Elle contient 250 millions de litres d'eau, une eau parfaitement transparente, puisée dans la mer à 3 mètres de profondeur. Cette technologie, baptisée Crystal Lagoons, permet de garantir une température de 26° été comme hiver. La piscine accueille des baigneurs et des adeptes de sports aquatiques.



Les 10 commandements des WC.




Papier WC - Les dix commandements


1 – Ce lieu tu respecteras.
2 – De station prolongée tu ne feras.
3 – A côté tu ne viseras point.
4 – De gros bouquin tu n’emporteras point.
5 – Du bon papier tu utiliseras
6 – Mais une seule feuille à la fois tu utiliseras
7 – La chasse d’eau toujours tu tireras
8 – En sortant la fenêtre tu ouvriras
9 – Et un parfum tu diffuseras
10 – Si le besoin s’en fait sentir, y revenir tu devras

Des douars d’Ain Défali alimentés en courant électrique



La majorité absolue des douars d’Ain Défali possèdent l'électricité, malgré que la facture reste toujours élevée par rapport au niveau de vie. Les besoins en électricité concernent, en priorité, l’amélioration des conditions de vie : l’accès à la santé, l’hygiène, l’éducation, l’alphabétisation, l’information (audiovisuel) mais aussi les activités économiques (agriculture, artisanat, commerce). Ils portent autant sur les usages individuels que collectifs.



Ci-joint la liste des douars raccordés au courant électrique et l’année correspondante de leur raccordement à l’ONE.

COOPERATIVE LAAYOUNE AIN SEDDINE 2005
AIN CHAMIA 2001
AIN KBIR 2005
BCHALA 2005
BENI SENANA 2001
BENI ZID AOUF 2001
BOUAJOULATE 2007
BOUKOUIRATE (EXT BT) 2005
CHAOUIA EL BIR 2001
CHAOUIA RMAL 2001
CHAOUIA BOURYATEL+ 2005
CHAOUIT RMEL 2005
CHLOUHE+ 2008
COOPERATIVE SAHARA 2005
COOP ERATIVE EL FADILIA 2005
COOPERATIVE WAFA 2005
DAAF OULED ALI 2005
DAAF LAHFIRA+ 2005
DHAR KHARRAZE 2005
EL FASAHIYINE (EXT BT) 2002
EL KALAA+ 2001
EL KHOBZIYINE 2001
EL KRANESSE 2003
EL KRAOUCHA 2001
EL MOUALDA 2002
HJAFNA BOUGHDOR 2000
HRAHRA 2005
JAAWNA 2008
JDID 1999
KRAWCHA 2 2007
LAAMAMA + 2005
LAAMIRATE 2002
LAAOUIFATE 2003
LAAOULA 2003
LAHJAFNA RDATE 2005
LAHJAJMA 2003
LAMRABIH 2003
MKAM RAOUIGUI 2005
OULED BOUAMER 2008
OULED GAID 2005
OULED MAHIOU 2004
OULAD NOUAL + 2005
OULED BEN YAFFOU 2005
OULED BOUBKER 2003
OULED BOUCHRIHA 2002
OULED KTIR 1999
SLAHMA (EXT BT) 2005
SLIME 2000
SOUHATE 2007
SOUISSATE 2005

La Tour Hassan de Rabat, Rabat

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La Tour Hassan est le seul vestige d'une mosquée qui se voulait le plus grand édifice religieux de son temps. Aujourd'hui, elle est considérée par beaucoup comme le symbole de Rabat. Lorsque, en 1196, le calife almohade Yacoub El Mansour (« Yacoub le Magnifique ») lança la construction de la Mosquée Hassan, c'était pour en faire la plus grande mosquée du monde. Et même, le plus grand bâtiment religieux du monde. Un édifice à la taille de Rabat, dont il voulait faire la capitale de son empire et qu'il voyait comme l' « Alexandrie de l'Atlantique ». Yacoub El Mansour, appelé en réalité Abou Youssef Yacoub, régne de 1184 à 1199 et est l'un des plus puissants califes de la dynastie Almohade. Sa réputation de bâtisseur d'écoles et de mosquées, de protecteur de la science (Averroès vivra longtemps à sa cour) lui vaudront le surnom du Magnifique. La Tour Hassan devait être construite dans le style de la Koutoubia de Marrakech, mosquée initiée par son grand-père Abd El Moumen, et de la Giralda de Séville. Toutefois, à la mort du Calife en 1199, les travaux sont abandonnés. L'édifice se dégrade petit à petit et fait l'objet de pillages par les habitants de Rabat. Le tremblement de terre de Lisbonne finit de détruire les colonnades. Aujourd'hui, le seul vestige de la mosquée est son minaret de style arabo-andalou haut de 44 mètres et qui a donné son nom au monument. L'oratoire, qui aurait dû se trouver devant la tour, était constitué de 312 colonnes et 44 pilliers. 14 portes avaient été percées. La Tour Hassan est remise en état à partir des années 60 et, fait hautement symbolique, c'est au bout de son esplanade qu'a été érigé le Mausolée Mohammed V, tombeau du roi Mohammed V et de ses fils. Depuis quelques années, des jardins suspendus ont été réhabilités en contrebas de la Tour Hassan et sont ouverts au public en journée.

La Tour Hassan de Rabat est l'emblème de la capitale marocaine. Sa construction a été ordonnée en 1196 par le sultan Yacoub el Mansour. Son but était de construire la plus grande mosquée au monde après la mosquée de Samarra située en Irak. Son minaret devait culminer à 60 mètres, mais les travaux se sont arrêtés à 40 mètres, après la mort du sultan. Aujourd'hui, cette tour inachevée jouit d'une réputation touristique qui va au-delà des frontières. A l'esplanade de la Tour Hassan de Rabat se trouve le mausolée Mohamed V où repose le roi Mohammed V et ses deux fils Moulay Abdallah (décédé le 20 décembre 1983) et Hassan II (décédé le 30 juillet 1999). La construction de ce mausolée a nécessité 10 ans de travaux soit de 1961 à 1971. Il est tout simplement une pure merveille architecturale avec son toit pyramidal et son marbre blanc d'Italie. Les visiteurs peuvent rejoindre la chambre funéraire par le biais d'un grand escalier, ils peuvent observer à partir d'une sorte de balcon le sarcophage du roi Mohammed V et les deux tombeaux de ses fils. Mémorisez bien les images dans vos têtes, les photos sont interdites.

Salé, Rabat

Salé a tous les atouts pour faire parler d'elle et même pour concurrencer les autres villes touristiques du Maroc : emplacement à seulement 3 km de Rabat, richesse naturelle, culturelle et historique et pourtant c'est loin d'être le cas. La ville vit encore à l'ombre de sa voisine et n'attire pas les convoitises comme elle devrait. Alors si le Maroc vous tente, mais pas les foules massives des touristes, Salé est votre destination. Si vous êtes branché culture, à la Médina de Salé vous trouverez votre bonheur. Avec ses vieux remparts couleurs ocres, ses jolies petites ruelles, l'architectures des maisons, ses marchés parsemés ici et là, la ville vieille n'a rien perdu de son charme d'antan. Pour une visite culturelle de la ville de Salé, la visite de la Medersa s'impose. Cette ancienne construction datant de 1333 sous l'ordre de Mérinide Abou el-Hassan. Vous y trouverez une architecture authentique avec du mobilier ancien et des murs décorés par des versés de coran. Après une visite de tous les recoins de la Medersa, faites place au charme visuel. Pour ce faire, montez à l'étage où une vue panoramique sur tout Salé s'offre à vous. Et si vous êtes plutôt branché nature et écotourisme, c'est à 13 kilomètres de Salé, plus exactement à la ville de Kenitra qu'il faut se rendre. Cette petite ville abrite l'une des plus importante réserve naturelle du Maroc qui s'étend sur 650 hectares. Il ne nous reste qu'à vous souhaiter bonne découverte naturelle, culturelle et historique de Salé.

SALE.






RABAT.












Les plus hauts sommets du monde.

Les dix sommets les plus hauts du monde sont tous situés dans l’Himalaya :
  • l’Everest (8844 m), situé sur la frontière entre le Népal et la Chine (Tibet).

  •  le K2 (8611 m), situé sur la frontière entre la Chine et le Pakistan.

  •  le Kangchenjunga (8586 m), situé sur la frontière entre l’Inde et le Népal.

  •  le Lhotse (8516 m), situé sur la frontière entre le Népal et la Chine (Tibet).

  •  le Makalu (8463 m), situé sur la frontière entre le Népal et la Chine (Tibet).

  •  le Cho Oyu (8201 m), situé sur la frontière entre le Népal et la Chine (Tibet).

  •  le Dhaulagiri (8167 m), situé au Népal.

  •  le Manaslu (8163 m), situé au Népal.

  •  le Nanga Parbat (8126 m), situé au Pakistan.

  • l’Annapurna (8091 m), situé au Népal. C’est le premier sommet de plus de 8000 mètres à avoir été gravi (en 1950, par une expédition française menée par Maurice Herzog et Louis Lachenal).
 
 

Les autres sommets les plus élevés sont, par continent :

  • Amérique du Sud : l’Aconcagua (6959 m), situé en Argentine.

  • Amérique du Nord : le mont McKinley (6194 m), situé en Alaska.

  • Afrique : le Kilimandjaro (5895 m), situé en Tanzanie.

  • Europe : l’Elbrouz (5642 m), situé dans le Caucase (qui marque la séparation entre l’Europe et l’Asie), sur la frontière entre la Russie et la Géorgie.

  • Antarctique : le massif Vinson (4892 m).

  • Océanie : la pyramide Carstensz (4884 m).


VENEZ VOUS INSTALLER A AIN DEFALI

Le Maroc attire chaque année de plus en plus d’étrangers et surtout de Français à la recherche de soleil et de bien-être à la recherche d’un bien immobilier marocain.


Destination de vacances favorite des étrangers, le Maroc est devenu le pays qui arrive en tête pour leurs résidences secondaires ou permanentes : en effet, c’est aujourd’hui en France que la demande immobilière pour le Maroc dans l’achat immobilier marocain prestige est la plus forte.
Ils sont de plus en plus nombreux à investir ou à venir s’installer au Maroc, attirés par une fiscalité particulièrement avantageuse et l’immobilier marocain prestige est devenu une demande particulièrement prisée des retraités français. Ils sont déjà plusieurs milliers à avoir choisi de s’y installer.


Ain Défali, emplacement idéal pour vivre et situé dans un environnement de grande qualité, très agréable à vivre et très ensoleillée, est une étape à ne pas rater quand on a choisi pour destination le Maroc.
Si vous appréciez la vie à la campagne, la situation de ce terrain vous offre une vue sur les champs cultivés, la forêt et bois ainsi que sur la rivière de R’DAT et les villages sur les flancs de montagne.
Il s’agit d’une opportunité à ne pas rater, venez s’installer à Ain Défali, la perle du Gharb.


Le meilleur moment pour s’expatrier au Maroc :

Entre 20 et 30 ans… et bien au-delà !

Si vous venez de terminer vos études, c’est le moment opportun pour partir vivre au Maroc. L’immersion dans une culture différente se révèle être un enrichissement personnel mais aussi un accélérateur de carrière. Surtout que le chômage est en baisse constante et que le pays manque d’une main d’œuvre qualifiée. Il n’est donc jamais trop tard pour tenter l’aventure, d’autant plus que le contrat d’expatrié est très favorable. En effet, une prime d’expatriation s’ajoute au salaire brut et les dépenses courantes sont prises en charge. Il est également possible de négocier les avantages sociaux avec l’employeur et de choisir de dépendre de la fiscalité française ou marocaine.

Les jeunes couples

Sans enfant, les jeunes couples sont libres de choisir l’endroit où s’installer au Maroc. Alors que l’un voit là l’espoir de booster sa carrière, l’autre conjoint le suit pour continuer ses études ou acquérir uneexpérience professionnelle à l’international. La qualité de vie étant meilleure qu’en France et l’atmosphère plus détendue, c’est également le moment idéal pour fonder une famille. Le couple peut toutefois être mis à rude épreuve. En effet, le salarié doit fournir davantage d’efforts pour s’adapter à son nouvel environnement culturel, tandis que son époux(se) peut éprouver des difficultés à trouver un emploi pour finalement se sentir isolé(e). Ainsi, partir au Maroc doit être une décision mûrement réfléchie à deux, sans penser que l’expatriation est la solution aux problèmes conjugaux.

Avec des enfants

S’établir au Maroc en famille permet de s’ouvrir sur le monde et de resserrer les liens affectifs, en s’adaptant ensemble à un cadre de vie différent. Au milieu de tous ces bouleversements, la stabilité familiale offre un sentiment de sécurité et crée un mouvement d’alliance. Évidemment, les conflits font aussi partie du voyage au Maroc, surtout quand la famille compte un enfant de 5 à 10 ans car à cet âge, changer de camarades de jeu et de règles sociales n’est pas facile. Par ailleurs, si vous envisagez d’inscrire vos enfants dans un établissement scolaire d’enseignement français, les frais sont élevés et l’acceptation se fait sur dossier. À défaut, l’école publique demeure gratuite, de la maternelle au lycée. Seuls les titulaires d’un baccalauréat avec au minimum mention Assez Bien peuvent suivre un cursus universitaire au Maroc. Quoi qu’il en soit, vous constaterez très vite que vos enfants représentent un merveilleux facteur d’intégration !

Pendant le chômage

Le Maroc bénéficie d’une bonne croissance économique. Dans ce contexte, les opportunités sont nombreuses pour les expatriés et ce, dans tous les secteurs professionnels. Et pourquoi ne pas créer votre entreprise ? Le statut d’autoentrepreneur est très avantageux, puisqu’il n’est aucunement soumis à la TVA et dispense de la taxe professionnelle durant 5 ans, sans parler du faible taux d’imposition sur le chiffre d’affaire. Qu’importe l’âge, les employeurs recherchent principalement des personnes ayant de l’expérience professionnelle.

 

À la retraite

Passer sa retraite au Maroc est un rêve que beaucoup de séniors concrétisent. En à peine 3 heures d’avion, le dépaysement est total.

Chaleureux, les locaux parlent français sont beaucoup plus sereins que dans l’Hexagone. De plus, le coût de la vie y est beaucoup moins cher selon l’endroit où vous décidez d’établir votre résidence. Et puis à la retraite, le temps ne manque pas pour découvrir toute la richesse du patrimoine culturel et architectural marocaine !