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Songkran (Nouvel An bouddhique ou festival des eaux) en Thaïlande.

Songkran est de loin le plus important événement annuel du calendrier thaïlandais, et est célébré pendant trois jours consécutifs du 13 au 15 avril. Songkran est considéré comme le festival du Nouvel An parce qu’il marquait, jusqu’en 1888, le début de l’année bouddhiste. Songkran est également connu sous le nom de « festival de l’eau », car sa manifestation la plus visible réside dans les frénétiques batailles d’eau que se livre la nation entière dans les rues de chaque ville et village.
Traditionnellement Songkran est une fête familiale dans laquelle les plus jeunes rendent hommage à leurs aînés en aspergeant leurs mains de quelques gouttes d’eau parfumée, en échange de bonne fortune pour l’année à venir. C’est de ce rituel que découlent aujourd’hui les batailles d’eau. Le Nouvel An thaïlandais est également un moment où les familles nettoient leur maison et leurs statues du Bouddha. Les monastères organisent la procession dans les rues de leurs plus importantes statues, permettant aux fidèles de les asperger d’un peu d’eau et de gagner ainsi du mérite.



 

Pourquoi le pouvoir Algérien déteste le Maroc ?



«Que ce soit les hauts gradés de l’Armée nationale populaire algérienne, humiliés par leur déconvenue dans la guerre des sables et le conflit du Sahara, où les «politiques» du FLN cultivant un éternel sentiment d’infériorité face à des élites partisanes marocaines plus ouvertes sur le monde, les décideurs algériens en général n’ont eu de cesse de chercher à construire leur nouveau nationalisme en se trouvant un ennemi. Le Maroc était la cible
parfaite».


A chaque fois que le Maroc prend une initiative dans le sens de l’apaisement, Alger répond par une virulence accrue et une fin de non recevoir tonitruante. Ainsi, depuis quatre ans, Rabat tient le discours suivant : laissons la question du Sahara au sein de l’ONU, chaque partie défendant son point de vue. Mais normalisons nos relations, ouvrons les frontières et mettons en marche la construction du Maghreb arabe. Ce discours n’est pas vertueux, il est rationnel. La situation actuelle handicape le développement de toute la région, dont les peuples souffrent, y compris en Algérie où les milliards d’excédents ne peuvent cacher les déficiences. A cela l’Algérie répond par une série d’outrances. Le Maroc obtient un statut avancé avec l’Union européenne, Alger dénonce «un accord avec les deux pays occupants de

la région, le Maroc et Israël»! Deux étudiants sahraouis se font écraser par un car, et le représentant d’Alger à l’ONU dénonce «un véritable crime d’Etat»! Les mêmes autorités algériennes dénoncent partout le Maroc en tant qu’Etat occupant «qui procède à un pillage systématique des ressources du Sahara occidental»! Et c’est encore toute honte bue que l’Algérie parle de «violations quotidiennes, massives, des droits d e l’homme contre le peuple sahraoui résistant». Nous sommes face à un véritable délire.

UN VERITABLE ATAVISME

Les officiels marocains comprennent que ce tapage a d’abord pour but de sortir Alger du piège de la proposition d’autonomie. Il est clair que la majorité des Etats est convaincue que la thèse séparatiste n’est pas réaliste.
Cette conviction est traduite par la résolution 18-13 qui réclame des propositions en vue d’une solution «réaliste et de compromis». En elle-même ,cette phrase élimine la création d’un Etat sahraoui, parce qu’il n’y aurait plus de compromis. La campagne algérienne vise à créer de nouveaux fronts, pour diluer la pression diplomatique qui s’exerce sur elle à la veille de la prise de fonction du nouveau représentant du secrétaire général de l’ONU. L’on sait que le mandat de celui-ci est encadré par la résolution 18-13.
Mais pourquoi est-ce que l’Algérie s’entête-t-elle? Alger ne
vise qu’à perpétuer la tension, sachant pertinemment, que le but avoué, la république sahraouie n’a aucune chance d’aboutir et qu’il n’est même pas dans ses intérêts sécuritaires. L’élite algérienne a un véritable problème avec le Maroc. Elle lui reproche ce qu’elle appelle ‘’le narcissisme historique’’, c’est-à-dire le fait d’être le plus vieux Etat-nation de la région et de se comporter comme tel. Elle a éduqué des générations avec l’idée qu’un Maroc fort est nécessairement un danger pour l’Algérie, parce que ‘’l’expansionnisme est dans les gènes de l’empire chérifien’’. C’est cet atavisme qui explique que l’ensemble de la presse algérienne adhère sans réserve au discours officiel. Contre ce délire maniaco-dépressif, le Maroc ne peut rien. Sauf s’en rendre compte et le prendre en considération. C’est-à-dire se préparer à un voisinage hostile pendant longtemps encore. Parce qu’aucune politique ne peut remplacer le divan de la psychanalyse.

La théorie de l’ennemi extérieur(HAKIM ARIF)

Dans la presse étrangère, Abdelaziz Bouteflika ne recueille pas beaucoup de suffrages. Ainsi, le quotidien français la Croix, qui souligne que l’Algérie a besoin d’un «président capable d’assumer pleinement sa mission, d’un homme qui comprenne les nouveaux enjeux de ce monde et qui puisse mener les réformes nécessaires pour donner enfin un avenir à la jeunesse et de la prospérité au peuple» décide en fin d’analyse que «Abdelaziz Bouteflika, après dix ans passés au pouvoir, n’est pas cet homme». Pour le journal français, la révision de la Constitution (qui offre un troisième mandat au président actuel NDLR) montre que

le système en place n’envisage pas l’option d’une ouverture politique dans les prochaines années». L’Algérie aurait donc décidé de suivre les pires modèles africains comme celui de Robert Mugabe au Zimbabwe. Quoi qu’il en soit, «le président algérien, âgé, malade et affichant un bilan désastreux sur tous les plans, va pouvoir briguer tranquillement, en avril prochain, un troisième mandat à la tête de l’Etat algérien, dans le cadre d’un scrutin où les Algériens n’auront même pas droit aux faux suspenses connus en 1999 et 2004». Le constat est sans appel. Sur le même sujet Saad Lounès, journaliste militant algérien écrira que «l’Histoire retiendra que l’humiliation du viol constitutionnel du 12 novembre 2008 a signé l’acte de décès du multipartisme né des événements d’octobre 88. L’Algérie est revenue à la case départ du parti unique, l’Alliance présidentielle militaro-islamo-nationaliste». Difficile de trouver à cette alliance une concordance de points de vue avec des forces politiques au Maroc. L’armée au Maroc connaît ses droits et ses devoirs, les islamistes sont parfaitement intégrés au jeu politique et personne ne sera surpris si un jour, ils sont au pouvoir. Quant au Roi Mohammed VI, il poursuit son œuvre de changement au rythme, décide en concertation avec les forces politiques y compris celles qui étaient hier opposées à la monarchie.
Qu’est ce qui a poussé Bouteflika, homme des années 60, à s’opposer si durement au Maroc ? Pourquoi en veut-il tant au Maroc ? Peut-être une explication avancée par le directeur du quotidien algérien «Le Matin», dans son livre “Bouteflika, une imposture algérienne” : «Bouteflika président est resté ministre des Affaires étrangères», dit-il. Pire encore, un ministre des Affaires étrangères des temps passés, dira l’auteur dont le livre cité lui a valu 2 années de prison. Bouteflika a juste commis une omission capitale, souligne Mohamed Benchicou: «quand il était ministre des Affaires étrangères, il y avait des gens dans la boutique, une Algérie debout, un président qui présidait, des ministres qui travaillaient… Aujourd’hui, c’est à lui d’assurer ces missions protectrices. Le fait qu’il estime pouvoir rehausser l’image du pays en voyageant cent fois est une grave illusion : avant, quand il voyageait, l’Algérie ne s’arrêtait pas de travailler. Aujourd’hui, c’est lui qui a la décision : l’Algérie s’arrête de décider quand il voyage.» Un ancien ministre et diplomate, Abdelaziz Rahabi, n’en pense pas moins. Pour lui, «Bouteflika est resté ministre des Affaires étrangères, mais ministre des années révolues.

PRIORITES

Quand il est revenu en 1999, le monde avait complètement changé, la diplomatie algérienne avait déjà d’autres priorités, celles de la nouvelle époque. Il n’avait plus de rapport avec le temps réel.» On répond ainsi à la question de savoir pourquoi l’Algérie a créé le polisario et pourquoi elle continue à le soutenir malgré le bon sens. Benchicou pécise que sur les cinq années de règne, Bouteflika aura passé l’équivalent de deux à l’extérieur, plus en voyages secondaires qu’en visites officielles. «Tout était prétexte au diplomate, devenu chef d’Etat, pour prendre l’avion, quitte à prendre part à de communs rendez-vous d’hommes d’affaires comme ceux de Davos ou de CransMontana». Est-ce la conception du président qui donne la primauté à l’extérieur sur l’intérieur ? Sûrement répond Bachir Boumaza, ancien ministre. Il croit voir dans cette frénésie l’expression d’une forte illusion chez le président : «Il est convaincu de la primauté de l’extérieur sur l’intérieur. Dans sa logique, on peut rétablir le prestige d’un pays par le simple contact avec l’étranger sans forcément l’asseoir par des acquis internes. Quant à Bouteflika, il ne boude pas l’idée : «Mes voyages, je crois que c’est très important pour l’Algérie». Et donc l’extérieur où il ira chercher des ennemis pour faire oublier au peuple les problèmes internes. C’est tombé sur le Maroc. Dans son ouvrage “L’Algérie de Bouteflika”, Jean Jolly explique : «En étant présent au Sahara occidental, le Maroc maintient ses liens séculaires avec l’Afrique noire et contrôle les phosphates de Bou Craa qui, ajoutés à sa production traditionnelle, lui permettent de peser sur les cours mondiaux. En voulant imposer le Front Polisario au Sahara occidental, les Algériens espèrent avoir un accès direct à l’Atlantique et condamner le Maroc à rester un pays agricole. Ce blocage incombe aux généraux liés à la vieille garde arabophone du FLN, aujourd’hui en déclin, mais encore capables de brouiller les cartes. Ces hommes n’ont pas digéré leurs deux défaites militaires face à l’armée marocaine : la première lors du conflit frontalier en 1963-65 ; la seconde à Amgala, en 1976, au Sahara occidental, quand l’armée algérienne, venue aider le Front Polisario, a été mise en déroute par les Marocains.» Nous sommes encore dans les années soixante et soixante-dix.

L’Algérie punit les Marocains et les amis du Maroc (HAKIM ARIF)

Près de 400 Marocains expulsés d’Algérie ont manifesté le 18 décembre à quelques pas de l’ambassade d’Algérie à Rabat. Selon Mohamed El Herrouachi, le président de l’Association des Marocains expulsés d’Algérie (ADMEA), créée en 2005 à Nador, «les souffrances des Marocains qui avaient été expulsés d’Algérie en 1975, le jour de l’Aïd Al Adha, perdurent. Un véritable drame humain. Le 8 décembre 1975, les autorités algériennes avaient décidé de renvoyer des Marocains établis en Algérie à leur pays d’origine. Des familles ont été désintégrées, des enfants séparés de leurs parents, des femmes de leurs maris et tout le monde a été dépossédé des biens meubles et immeubles qu’ils ont pu accumuler durant des années de labeur. A l’époque, Houari Boumédienne régnait sur l’Algérie et Abdelaziz Bouteflika était ministre des Affaires étrangères. C’est-à-dire pas étranger à cette douloureuse affaire. Aujourd’hui, les expulsés n’ont rien oublié. Ils gardent des séquelles de ce passé trop présent. L’ADMEA poursuit donc son combat. Elle vient d’organiser un sit-in devant l’ambassade d’Algérie à Rabat et a remis au bureau des Nations Unies un message adressé au SG de l’ONU. Elle veut l’ouverture d’une enquête sur les crimes contre l’humanité perpétrés dans la ville de Sebkha, près d’Oran. Selon l’ADMEA, les fosses communes sont un témoin à charge sur cette période. Elles remontent aux années 63, 65, 68 et 75. Dans les archives de l’association, les victimes se comptent par milliers, 45.000 familles pour la seule année 1975. L’Association demande la réouverture des frontières «pour permettre le regroupement des familles séparées par les autorités algériennes et la restitution aux victimes de cette mesure de leurs biens spoliés et de la liberté d’en disposer». Elle veut aussi, que le pouvoir algérien présente des excuses aux victimes. Peut-on s’attendre à une période de réconciliation ? Peu probable, la méthode n’a pas cours dans le pays de Bouteflika. Pourquoi une si terrible vengeance ? Selon Mohamed Harouachi, l’Algérie a riposté à la Marche verte en organisant sa «Marche noire». Le lien ne semble pas évident, le Maroc venait de récupérer ses territoires sous domination espagnole. Une affaire maroco-espagnole.
C’était en 1975. Aujourd’hui encore, l’Algérie fait tout pour entraver la marche du Maroc. Selon le directeur de publication du journal malien L’Indépendant, l’Algérie est directement responsable de «l’attaque meurtrière menée samedi 20 décembre par les rebelles touaregs contre les militaires maliens». Encore une action dirigée contre le Maroc par pays ami interposé. L’Algérie «nourrit une solide rancœur envers le Mali dont une partie du territoire est transformée en colonie de vacances permanente pour les terroristes d’Al Qaïda au Maghreb et où ils se sentent plus libres que l’air». L’Algérie nourrit et arme les hommes du chef rebelle Ibrahim Ag Bahanga. C’est ainsi qu’ils ont attaqué le poste militaire à Nampala à 500 Km au nord-est de Bamako, la capitale. Si l’Algérie en veut tant au Mali, c’est à cause de son rapprochement avec le Maroc, dit le directeur de publication. «Ce rapprochement économique est d’autant plus irritant, voire inquiétant pour Alger qu’il s’accompagne, au plan diplomatique, d’un effort de rééquilibrage de la partie malienne sur le dossier du Sahara», dit l’auteur. Il rappelle que depuis le départ de l’ancien président Moussa Traoré, les Maliens ne voient plus «les pseudo ministres de la fictive RASD parader au palais de la République et dans nos ministères». Plus encore, «le ministre des Affaires étrangères ne prononce plus une phrase, dans les forums internationaux, sur l’autodétermination du peuple sahraoui». Ce que justement déteste l’Algérie. Et pourtant, le Mali n’a fait que rejoindre une très grande majorité de pays qui ont compris la position marocaine. En plus du Mali, 40 autres pays ont retiré leur reconnaissance à la république arabe sahraouie de Mohammed Abdelaziz. Plus récemment le Danemark a fermé le bureau de représentation du polisario à Copenhague. Le Malawi et les Seychelles aussi. C’est l’échec non pas du polisario, mais de l’Algérie. Abdelaziz Bouteflika était pourtant ministre des Affaires étrangères. Tout compte fait, il ne reste plus que quelques pays à tolérer la république de Abdelaziz : aucun Etat en Europe, aucun Etat arabe, à part l’Algérie bien sûr et seulement 8 Etats d’Afrique. En Amérique Latine, le compte est tout aussi défavorable à l’Algérie. Dans ce contexte, on ne comprend pas bien ce que veut exactement dire l’ancien ministre et chef du FLN Abdelaziz Belkhadem, lorsqu’il affirme que «le Maroc est un pays frère, sa sécurité c’est la nôtre, sa stabilité c’est la nôtre».

MEMOIRE COLLECTIVE

Sur le front de la mémoire collective, l’Algérie essaie de tout faire oublier. L’affaire de l’organisation d’un colloque commémorant le cinquantenaire de la Conférence de Tanger en est un bel exemple. Elle a été tout simplement annulée par le pouvoir algérien. Abdelhamid Mehri, ex secrétaire général du Front de libération l’époque écrit à Abdelaziz Bouteflika pour protester. Extrait : «J’ai participé, depuis deux mois ou plus, avec le frère, directeur général du Centre national des archives et le Docteur Amine Zaoui, directeur de la Bibliothèque nationale, à la préparation d’un colloque historique à caractère scientifique se rapportant au cinquantenaire de la conférence de Tanger qui a regroupé, en avril 1958, les partis qui ont conduit la bataille des indépendances en Tunisie et au Maroc, et le Front de libération nationale. J’ai été informé hier, 14 avril, que des instructions fermes, dont je ne connaissais pas la source, ont été signifiées aux deux institutions afin d’interrompre l’ensemble des dispositions et préparatifs de ce colloque et à renoncer définitivement à sa tenue». Le fait est donc là. Reste à savoir qui a donné un tel ordre. Pas facile : «Je ne sais toujours pas ce qui s’est produit. Abdelmadjid Chikhi et Amine Zaoui m’ont juste confirmé qu’ils avaient reçu des instructions pour tout arrêter. Mais ils ne m’ont pas donné la source qui a donné ces instructions», dira encore Abdelhamid Mehri. Qui pouvait prendre une telle décision éminemment politique? Le pouvoir algérien ne voulait plus entendre parler du soutien des Marocains à leurs voisins algériens dans leur lutte pour l’indépendance. Il voulait donc effacer de la mémoire collective, cet unique épisode de fraternité et de collaboration. H. Mehri se révolte donc : «Cette grave insulte à l’intelligence et à notre glorieuse Révolution peut-elle enfin être comprise comme un dernier signal d’alerte, un appel ultime à la révolte contre un pouvoir primitif, inculte, anti-révolutionnaire et anti-populaire qui dicte leur conduite aux intellectuels et aux grands commis de l’Etat assermentés. Les élites doivent enlever leurs lunettes, poser les stylos, dédaigner les privilèges, se relever et se battre.

Quelles sont les têtes d’affiche de l’antimarocanisme ? (MOHAMED SEMLALI)

L’antimarocanisme est une donnée incontournable dans les cercles militaires et politico-médiatiques algériens. D’ailleurs, pour acquérir plus de visibilité et de crédibilité à Alger, il est recommandé d’être antimarocain et de le montrer ostensiblement. Pour comprendre cette haine qui relève du psychisme, il faut rappeler que l’identité révolutionnaire algérienne s’est forgée en totale contradiction avec un Maroc, monarchie séculaire.
Que ce soit les hauts gradés de l’Armée nationale populaire algérienne, humiliés par leur déconvenue dans la guerre des sables et le conflit du Sahara, où les «politiques» du FLN cultivant un éternel sentiment d’infériorité face à des élites partisanes marocaines plus ouvertes sur le monde, les décideurs algériens en général n’ont eu de cesse de chercher à construire leur nouveau nationalisme en se trouvant un ennemi.
Le Maroc était la cible parfaite. Le royaume a connu une indépendance plutôt apaisée et l’Etat marocain n’a jamais cessé d’exister. Cependant, aux yeux des Algériens, le Maroc était l’antithèse de ce qu’ils voulaient construire. Monarchie centenaire, solidement ancrée dans la société, le pouvoir marocain jouissait également de ressorts de légitimation religieux et historiques. Choses qui faisaient défauts aux «révolutionnaires» algériens même auréolés par une héroïque guerre de libération.
D’ailleurs, pour les dirigeants algériens, la nation algérienne dont la genèse s’est faite pendant la guerre de libération menée contre la France ne pouvait être consolidée que sur les décombres du royaume du Maroc. La nouvelle «Prusse» du Maghreb n’allait faire qu’une bouchée de ce voisin que l’on qualifiait d’ «archaïque».
Ainsi, tour à tour Ahmed Ben Bella, Houari Boumèdienne, Abdelaziz Bouteflika vouaient pendant les années soixante et soixante-dix au Maroc une haine inégalée. D’autres seconds couteaux du pouvoir algérien n’ont pas hésité non plus à verser dans l’antimarocanisme primaire. Ce fut le cas de Cherif Messaïdia, d’Ahmed Taleb Ibrahimi et Ahmed Yahyaoui. Aujourd’hui, les antimarocains se recrutent dans toutes les sphères algéroises. Armée, services de renseignement, gouvernement et médias. Si les générations ont changé, la haine est demeurée la même, sinon elle a gonflé… Mais pas pour le peuple algérien frère qui, n’aspirant qu’à la paix, se montre conscient de l’importance de la place du Maroc aux côtés de l’Algérie pour la construction d’une Union du Maghreb Arabe forte et paisible.

Le Chouari.

Deux couffins tressés en fibres de palmiers nains (ou paniers en alfa)) reliés ensemble ou grand panier double de fabrication artisanale, que l'on place sur le dos des mulets ou des ânes (bête de somme) pour le transport des marchandises.


Avant 1920 et quelque temps après encore, les légumes et les figues barbaries n'étaient pas vendus au poids, mais par chouari.
Fréquemment utilisé par nos parents, le chouari tend à disparaître pour être relayer par les triporteurs


Mais, surtout n’oubliez pas le dicton qui dit : Si la bête vient à se renverser sur le chouari, les enfants ne peuvent la libérer.

L’homme enceinte : étrange et insolite !

Un transgenre peut tomber enceinte et donner naissance à un bébé après avoir subi une opération de changement de sexe.
Ne soyez pas surpris si vous entendez parler d’un homme enceinte. L’homme, est en réalité un transsexuel qui est né femme. La trans-identité ou transsexualité est chez un individu le fait d'avoir une identité de genre opposée à son sexe physique de naissance. On parle parfois aussi plus globalement de transgenre pour désigner la situation d'un individu dont l'identité sexuelle est différente de ses apparences et attributs sexuels (barbe, seins...), ou pour évoquer les personnes transsexuelles ne souhaitant pas se faire opérer. La trans-identité rassemble : transgenre, transsexuel(le), l'hermaphrodisme, le travestisme, l'androgynie, etc. Indépendamment de cela le sentiment d'appartenance à l'un ou l'autre sexe peut relever d'un trouble de genre dite pathologie de société selon son ressenti plus ou moins prononcé. La notion de « sexe anatomique » ne correspond pas nécessairement à la notion de sexe chromosomique. L'identité sexuelle était jusqu'à présent définie par la présence de chromosomes XX ou XY, mais on sait depuis les années 2000 qu'il existe aussi des femmes XY et des garçons XX.


Pour être acceptée sous son genre et pour s'accepter soi-même, une personne transsexuelle peut avoir besoin de porter des vêtements du sexe auquel elle s’identifie, être opérée, que ce soit pour des modifications esthétiques (insertion de prothèses mammaires, par exemple) ou pour conduire à la reconstruction d'un nouvel appareil génital. Certaines personnes ont également recours à des traitements hormonaux (qui sont souvent une des premières étapes de leur transformation physique). Dans tous les cas, le but premier reste le besoin impératif d'être en cohérence physique avec son identité de genre.
Le premier homme, connu et reconnu dans les médias pour avoir été enceinte, est Thomas Beatie, né en 1974, de nationalité Américaine. Il était de sexe féminin à la naissance, mais transgenre, il est devenu officiellement un homme suite à une intervention chirurgicale (réduction mammaire) et des injections de testostérone. Marié depuis 10 ans avec une femme stérile, il a bénéficié d'une insémination artificielle afin de concevoir l'enfant du couple.

Les smartphones, au service de la triche aux examens, dans nos écoles.

Avec la généralisation des "smartphones" (iPhone, Androïd ou autre), les fraudes aux examens et aux concours liées aux téléphones portables ont augmenté.

Pour freiner les fraudeurs, l'utilisation des téléphones portables et, plus largement, de tout appareil permettant des échanges ou la consultation d'informations, doit être interdite. Dès lors, ils "doivent être impérativement éteints" et rangés dans le sac du candidat ou remis aux surveillants de salle.


Les techniques deviennent de plus en plus sophistiquées avec la montre téléphone, le stylo-téléphone, l’oreille intra-auriculaire. etc…




Ce joli stylo est équipé d’un petit micro et fourni avec un tout petit écouteur d’oreille. Il fait fonction de téléphone portable particulièrement difficile à déceler.

Avec ce système on se croirait dans le film “Les sous doués passent le bac” quand un
des pères pilote son fils, à l’extérieur de la salle d’examens.
Du coup, les centres d'examens doivent opter pour le brouillage des téléphones portables.

Transe Soufie d'Alep - Syrie

Fondé par Julien Jâlal Eddine Weiss, virtuose du qânun (cithare orientale), l'Ensemble Al-Kindi est reconnu à travers le monde, comme l'un des meilleurs ensembles de musique classique arabe pour la rigueur de son travail et l'excellence de ses interprètes. Aussi, leur musique accessible à toutes les oreilles, même non initiées, constitue un écrin rêvé pour la voix de Sheikh Habboush, élevé dans la plus grande tradition mystique et disciple des meilleurs chanteurs religieux d'Alep.
Alors lorsque ces musiciens exceptionnels sont accompagnés par des Derviches Tourneurs, il se déploie sur scène une fabuleuse alchimie, à
 la fois
mystique et sensuelle, qui nous donne l'occasion rare d'assister à la quintessence d'un art traditionnel réservé en principe aux initiés : la recherche de l'extase ou de la communion physique avec la divinité.




Le Maroc, sous protectorat français de 1912 à 1956


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Le Maroc cèdera de son autorité en signant une série de conventions, au profit des colonialistes, qui aboutiront au rétrécissement de l'indépendance du Maroc, considéré comme un lion en papier. La "colonisation" du Maroc est donc très particulière comparativement aux autres pays colonisés, étant d'une part sous protectorat français, et ayant subi, d'autre part, moins longtemps la présence française             
Sous la Troisième République (1870-1940), Jules Ferry, était un partisan actif voire zélé de l'expansion coloniale française: Il déclara lors de son intervention au Sénat le 28 juillet 1885: " Dans la crise que traversent toutes les industries européennes, la fondation d'une colonie, c'est la création d'un débouché pour les excédents de capitaux, ou bien un excédent de produits. Les colonies sont pour les pays riches un placement de capitaux des plus avantageux".
En 1902, la France avait mis en exécution son plan de "colonisation" du Maroc. Depuis 1902, la pénétration économique et militaire européenne s’est intensifiée au point que le sultan Moulay Abd al-Hafid, est contraint de signer en 1912 le traité de protectorat qu’est la Convention de Fès.
Le traité institue, à partir du 30 mars 1912 le régime du protectorat français.  
Le protectorat français du Maroc (en arabe: حماية فرنسا في المغرب) est le régime politique mis en place au Maroc, sur une bonne partie de son territoire, par le traité franco-marocain conclu à Fès le 30 mars 1912 entre la France et le sultan Moulay Hafid. Officiellement, il était nommé Protectorat français dans l'Empire chérifien  ou Protectorat de la République française au Maroc.
Ce protectorat, tout comme celui sur la zone nord du protectorat espagnol au Maroc, perdura jusqu'en 1956.

Peut-on utiliser son téléphone portable à l'école ?

A l'école et au collège, l'utilisation du téléphone portable pendant les heures de cours doit être interdite. L'élève ne peut donc pas l'utiliser que ce soit en remplacement de sa calculatrice, pour consulter ses messages ou regarder l'heure. Il pourra le faire pendant les heures d'interclasse ou de récréation.

Dans les lycées, c'est le règlement intérieur qui doit s'appliquer. Le lycéen devra donc veiller en début d'année à vérifier ce qui est stipulé à ce propos dans le règlement intérieur qui lui sera remis et qu'il devra approuver. Les sanctions sont prévues par le règlement intérieur. Elles peuvent aller de la simple remarque jusqu'à la confiscation du téléphone, pendant une durée variable

Où et comment fabrique-t-on l’eau lourde ?

L’eau lourde est chère : elle se négocie à plusieurs milliers d’euros le litre. Le Canada caracole en tête de la production d’eau lourde, suivi par l’Inde, l’Argentine et la Norvège. De fait, toutes les nations qui développent les armes nucléaires en produisent plus ou moins. Distillation, électrolyse ou échange isotopique sont les méthodes les plus répandues.
La distillation exploite les différences de masse entre l’hydrogène et son isotope lourd, le deutérium. L’eau lourde étant moins volatile que l’eau légère (elle bout à 101,4 C), le chimiste américain Harold Urey, futur Prix Nobel, fait évaporer de grandes quantités d’eau et obtient ainsi, en 1932, un résidu contenant de l’hydrogène lourd, qu’il identifie par spectroscopie.
Les réactions chimiques auxquelles participe l’eau lourde étant plus lentes que dans le cas de l’eau légère, on peut aussi procéder par électrolyse. L’eau légère réagit préférentiellement aux électrodes pour libérer de l’hydrogène et de l’oxygène et le bain réactionnel s’enrichit progressivement en eau lourde. En réitérant l’opération, Gilbert Newton Lewis et Mac Donald réussissent à fabriquer de petites quantités d’eau lourde pure en 1933.
En 1934, on en était encore au stade artisanal, quand Norsk Hydro construisit la première installation commerciale à Vemork en Norvège, pays riche en hydroélectricité. L’usine, qui produisait douze tonnes par an, se montrait particulièrement gourmande en énergie : 100 kWh en effet s’avéraient nécessaires pour obtenir un gramme d’eau lourde. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Alliés décidèrent de saboter l’usine occupée par l’Allemagne, désireuse de s’assurer le concours du précieux liquide pour gagner la course à la bombe atomique et développer les armes nucléaires.

La bataille de l’eau lourde, riche en péripéties, devait coûter la vie à nombre de personnes. L’épisode final du lacTinnsjo, dans lequel des partisans norvégiens coulèrent le bac destiné à convoyer l’eau lourde vers l’Allemagne, a servi de toile de fond au film d’Anthony Mann : les Héros de Télémark.
Par la suite, les procédés d’échange isotopique (ammoniac-hydrogène ou eau- sulfure d’hydrogène) qui exploitaient les différences d’affinités de l’hydrogène léger et du deutérium pour différents composés, devaient
des industriels et occuper le devant de la scène. Au Canada, ce fut le procédé au sulfure d’hydrogène de Girdler, peu écologique car libérant de grandes quantités de ce gaz à odeur d’œufs pourris. Au-delà d’une centaine de degrés, le deutérium contenu dans l’eau a plus d’affinités pour le sulfure d’hydrogène et va s’y fixer. Le sulfure d’hydrogène enrichi en deutérium passe ensuite dans une tour où se produit l’échange inverse car, à la température de 30 à 40 °C qui règne dans cette partie de l’installation, c’est l’eau qui a le plus d’affinité pour le deutérium. Au bilan, par cascades, l’eau s’enrichit jusqu’à 30 % avant qu’une unité de distillation ne parachève le travail à 99,75 % (l’utilisation d’eau lourde requiert une pureté minimale de 99 %). Créée en 1979, d’une capacité annuelle de 700 tonnes, l’usine d’eau lourde de Bruce, dans l’Ontario au Canada, était la plus grande du monde. Fermée en 1997, elle a été progressivement démantelée et le site dépollué.
La France possède des stocks d’eau lourde, à Saclay et à Cadarache, importée de Norvège et des États-Unis avant 1967. Un pilote industriel a fonctionné à Toulouse pendant un an environ, de même qu’une usine à Mazingarbe dans le Nord, entre 1967 et 1972.







Ouf, mais il n’est plus là !

C’est fini la politique, l’argent, les fermes, les voitures, les mensonges, les bulldozers, etc…..
Il est parti une fois pour toute, il ne reviendra plus jamais. Sidi M’hamed El Khadir peut enfin se reposer en paix. Les moutons sont plus libres de brouter leurs herbes et sillonner tranquillement leur paturage.
Mais les ossements déterrés, il va les rencontrer là bas et sera jugé la bas et...

Enfin, ces genres d'éléments nuisibles disparaissent avec le temps et Ain Défali va retrouver progressivement son calme d’autrefois.

Les 10 Plus Grands Mystères Inexpliqués.

L’histoire recèle un nombre considérable de mystères, dont une grande partie demeure non élucidée à ce jour. Bien sûr, on sait aujourd’hui que la Papesse Jeanne n’a jamais réellement existé, et que le Chevalier d’Éon était bien un homme. Mais l’histoire de France cache bien d’autres secrets à révéler.
Partout dans le monde, des énigmes non résolues jalonnent l’histoire de l’humanité. Ce top 10 des plus grands mystères ayant jamais existé vous révèle quelle Merveille du monde antique reste introuvable sur le site de Babylone, mais aussi quelle guerre légendaire questionne encore les historiens de toute la planète.
Savez-vous quelle reine illustre fait l’objet des plus intenses recherches pour retrouver sa sépulture, qui est peut-être sur le point d’être découverte ?
  • Les jardins suspendus de Babylone.

Parmi les Sept Merveilles du monde antique, les jardins suspendus de Babylone figurent parmi les plus légendaires. En effet, si l’on en trouve des traces écrites dans la littérature depuis plus de deux mille ans, l’emplacement des jardins reste introuvable sur le site de Babylone, en Irak.
Pourtant, des fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour les ruines de monuments célèbres, tels que la Tour de Babel, la porte d’Ishtar, et les grandes murailles de la ville. Selon la légende, les jardins auraient été construits vers le VIe siècle avant notre ère, sous l’ordre de Nabuchodonosor II. Ils auraient disparus avec le déclin de la ville, puis son abandon.
Alors, les célèbres jardins suspendus ont-ils réellement existé ? L’historien Hérodote, qui a visité et décrit la ville de Babylone, n’en fait jamais mention. Néanmoins, à 350 km de là, sur le site de Ninive, des indices tendent à prouver que la ville antique possédait des jardins royaux en terrasse.
Se peut-il que les mystérieux vestiges de Ninive soient en fait les jardins suspendus de la légende ?

  • Le trésor des Templiers


Dès l’an 1129 et jusqu’à leur fin tragique, en 1312, les Templiers formaient un ordre religieux et militaire puissant, dépendant du pape. Grand propriétaire foncier, l’Ordre du Temple pratiquait également le prêt et le dépôt d’argent. Mais sa richesse comptait probablement des archives et des reliques inestimables.
En effet, certaines personnes racontent que les Templiers auraient retrouvé l’Arche d’alliance sous le site du Temple de Jérusalem, mais aussi qu’ils auraient mené à bien la quête du Graal ! Pas étonnant, dès lors, que le roi de France se soit senti menacé par cet ordre riche et puissant.
Qu’est devenu le mystérieux trésor des Templiers ? Il se trouve peut-être dans le petit village belge de Wodecq… C’est là qu’un philologue retraité pense avoir retrouvé sa trace, après avoir décrypté les « Centuries » attribuées à Nostradamus. Le texte aurait été écrit par un moine cistercien, deux cents ans plus tôt, dans le but de mener au trésor perdu. 

  • La guerre de Troie a-t-elle eu lieu ?


Selon le mythe, le prince troyen Pâris déclenche la guerre en enlevant l’épouse du roi Ménélas, appelée Hélène, la plus belle femme du monde. L’épisode du cheval de Troie, dans lequel des guerriers grecs se cachent dans un cheval de bois pour entrer dans la ville, est resté célèbre de nos jours.
Raconté par Homère dans l’Iliade et l’Odyssée, ce conflit légendaire se serait déroulé vers le XIIe siècle avant notre ère. Mais de nombreux historiens, après lui, ont relégué la guerre de Troie au rang de conte pour enfants !
Cependant, au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Turquie révèlent un site identifié comme l’antique ville de Troie. D’après l’étude des vestiges, la cité aurait été rebâtie pas moins de neuf fois, elle aurait notamment été incendiée… à l’occasion d’une guerre ?

  • L’assassinat de John F. Kennedy.


Le 22 novembre 1963 est entré dans l’histoire d’une bien triste manière. C’est ce jour-là que le 35ème président des États-Unis, l’inoubliable John Fitzgerald Kennedy, est mortellement blessé par balle, lorsque le cortège présidentiel traverse le centre de Dallas.
Bien sûr, tout le monde connaît la thèse du tireur isolé. Selon la théorie officielle, Lee Harvey Oswald, aurait tiré trois balles en direction de la Lincoln Continental, manquant sa cible à une reprise. Deux jours après son arrestation, Oswald a lui aussi été assassiné, devant les caméras du monde entier.
Or, plusieurs investigations ultérieures ont mis en lumière les invraisemblances de la première commission d’enquête: la trajectoire improbable de la première balle, la seconde semblant avoir été tirée du côté opposé, ainsi que de nombreux témoignages attestant de la présence d’autres tireurs sur les lieux.

  • La sépulture de Cléopâtre.


L’illustre reine d’Égypte perpétue sa légende énigmatique grâce au mystère qui entoure le lieu de sa sépulture. En effet, bien que les historiens pensent connaître les circonstances et la date de la mort de Cléopâtre, son tombeau n’a jamais été découvert, et personne ne sait exactement où chercher !
La fin tragique de Cléopâtre a marqué l’histoire: son amant Marc-Antoine s’étant mortellement blessé à l’aide de sa propre épée, croyant au suicide de sa bien-aimée, elle s’empoisonne avec le venin d’un aspic. Les deux amants sont probablement inhumés ensemble, dans un lieu inconnu.
Mais le mystère pourrait bientôt être résolu. Dans la banlieue d’Alexandrie, des fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour un cimetière, des artefacts royaux, mais aussi des statues et des pièces de monnaie frappées à l’effigie de Cléopâtre et Marc Antoine.

  • La Bête du Gévaudan.


Entre 1764 et 1767, un animal inconnu s’attaque férocement à une centaine d’habitants de l’ancienne province du Gévaudan, dans le sud de l’Auvergne. Ses victimes sont de préférence jeunes et faibles, et les traumatismes observés sont inexplicables: décapitations, morsures de taille démesurée.
Des témoignages font état d’une bête aux pattes griffues, aux flancs rouges et au dos noir, avec une grosse tête. Habitués aux loups, les habitants du Gévaudan sont sûrs que ce n’en est pas un. Mais quel est donc cet animal féroce qui s’attaque aux hommes ?
Deux créatures furent abattues. La première était sans doute un leurre, destiné à rassurer le roi Louis XV. Mais après le meurtre de la seconde bête, les attaques cessèrent. Était-ce, comme on l’a prétendu, un croisement entre le chien et le loup, dressé par l’homme pour tuer ? La Bête du Gévaudan reste encore aujourd’hui l’un des plus grands mystères non résolus de l’histoire de France.

  • La carte de Piri Reis.


Découvert en 1929, dans la bibliothèque d’un palais d’Istanbul, en Turquie, ce mystérieux fragment de carte remet en question les connaissances géographiques attribuées à nos ancêtres. Piri Reis, un amiral ottoman, l’aurait tracé en 1513, selon des expertises scientifiques concordantes, basées sur la datation au carbone 14 et l’étude des encres utilisées.
La carte représente la côte ouest de l’Afrique et la côte est de l’Amérique du Sud, de manière extraordinairement précise. Or, au XVIe siècle, les longitudes et latitudes étaient encore inconnues.
En outre, une autre portion de terre est représentée, une côte semblable à celle de l’Antarctique. Comment Piri Reis aurait-il pu connaître l’existence de ce continent, qui ne sera découvert que trois siècles plus tard ? Par ailleurs, l’amiral ottoman dessine un littoral aussi nu que celui de l’Amérique du Sud, alors que l’Antarctique serait recouvert de glace depuis au moins 10 000 ans !

  • Le Miracle du soleil de Fátima.


Les témoignages d’apparitions mariales sont nombreux à travers le monde, depuis le début de l’ère chrétienne. Mais en 1917, le petit village portugais de Fátima est le théâtre d’un phénomène véritablement inexpliqué.
Durant l’année, à cinq reprises, trois enfants bergers prétendent que la Vierge se présente à eux, promettant un miracle visible aux yeux de tous pour le 13 octobre. Le jour dit, plus de 50 000 personnes sont présentes pour assister au Miracle du soleil. Selon les récits, à midi, la pluie cesse et un soleil nacré paraît brusquement. Il colore le paysage, comme si sa lumière passait à travers les vitraux d’une cathédrale. Puis, le disque solaire se met à tournoyer, et semble tout à coup foncer vers la terre.
S’agit-il d’une hallucination collective ? Les spectateurs ont assuré que leurs vêtements et le sol avaient été instantanément séchés quand le soleil s’était rapproché de la terre. Évidemment, l’astre n’a pas pu bouger dans le ciel. Un phénomène météorologique a été envisagé, mais comment expliquer que trois enfants illettrés l’aient prédit trois mois à l’avance ?

  • Qui était l’homme au masque de fer ?


L’un des plus grands mystères de l’histoire de France demeure l’identité de l’homme au masque de fer. Emprisonné en 1669 sous le nom d’Eustache Danger, isolé et forcé à porter un espèce de heaume de fer et de velours, il meurt à la Bastille en 1703, avant d’être enterré sous le nom de Marchioly.
Les raisons de son anonymat caché sous de faux noms, mais surtout sous ce masque emblématique, restent mystérieuses. Nombreux sont les auteurs ayant avancé les théories les plus insolites. Voltaire, puis Alexandre Dumas, ont prétendu que le roi Louis XIV avait fait incarcérer son frère jumeau, puis cacher son visage afin qu’il ne puisse être reconnu et accéder au trône de France.
Selon d’autres théories, l’homme au masque de fer aurait été un enfant illégitime du Roi, un amant de la Reine, un opposant politique, ou encore un valet qui en savait trop. Certains pensent aussi avoir démasqué D’Artagnan, voire même Molière, non pas mort mais arrêté après sa dernière représentation du Malade imaginaire !

  • L’âge du Sphinx de Gizeh.


Le plus grand mystère non résolu de l’histoire est, sans conteste, l’âge du Sphinx de Gizeh. Cette statue monumentale, dressée devant les trois grandes pyramides d’Égypte, a déjà livré plusieurs secrets. Ainsi, sa tête et son corps semblent taillés dans le même calcaire que celui utilisé pour la base des pyramides.
Bien que le Sphinx ait subi de nombreuses rénovations tout au long de son histoire, la plupart des égyptologues ont fini par s’accorder sur une date de construction aux alentours de 2500 avant notre ère, c’est-à-dire à l’époque du chantier de la deuxième grande pyramide, celle de Khéphren.
Pourtant, des traces d’érosion par l’eau sur le corps du Sphinx suggèrent qu’il aurait résisté à de longs siècles de pluie. Or, les dernières périodes pluvieuses, dans cette région aujourd’hui désertique, se sont terminées 4000 ans avant notre ère.

Comment éviter les odeurs de cuisine dans la maison.

Après les repas faire bouillir de l'eau et y verser une cuillère à soupe d'essence d'eucalyptus, laisser bouillir et ça retire même les odeurs de friture.
Petit avantage ça soigne le rhume !

SIGNIFICATIONS DE HCHOUMA ou HICHMA EN ARABE DIALECTALE.

Nous sommes tous des enfants d’une culture « hchouma » qui nous destabilise tant. Nous l’avons tous subie, combien d'entre nous la font subir à leur tour ? Il reste difficile de cerner le contenu de ce seul mot, véritable spécificité d’Ain Défali en particulier et au Maroc en général, sans équivalent en français. Il peut s’agir de :

- Déshonneur, humiliant, honte, opprobe. Pourquoi y-t-il chez tous ce préjugé selon lequel la danse est Hchouma ?


- Pudeur, Décence, sentiment de gêne ou de honte qu’une personne peut éprouver en parlant ou en envisageant des choses qui ont rapport avec la sexualité. Le sida au Maroc entre l’houchama et la tolérance. Tu ne dois pas parler de ces choses là devant les garçons. Un peu de hchouma s’il te plaît. Vous savez c’est difficile de parler de la sexualité devant ses enfants. J’éprouve c’est de la hchouma à parler de sexe. Le sida, c’est 80 000 victimes par jour dans le monde. Et au Maroc? Hchouma mon amour ! Leur capacité de ressentir ne peut que s’en trouver mutilée, étouffée par la hchouma et la crainte de choquer le conjoint.


- Honteux, indécent et, par extension, tabou. Les charettes, elles, avaient disparues de la circulation. Elles sont jugées hchouma. « J’ai honte, et même s’il place ma main sur son sexe, je n’ose plus la bouger, car c’est hchouma ! Pourtant quelqu’un a osé. Il marmonne à l’adresse du goujat : « Mais c’est illégal, c’est …hchouma ». La séduction, on en parle peu ou pas du tout. Un tabou ? Hypocrisie ? La réponse est à chercher du côté de la morale. C’est hchouma.

Le Carnaval de Rio de Janeiro, au Brésil.

Le Carnaval de Rio, le plus connu et le plus riche du Brésil, attire tous les ans des milliers des touristes nationaux et étrangers. Il s'agit du plus grand événement de Rio après le Réveillon du nouvel an. Il a lieu tous les ans entre l'Épiphanie et le Carême, durant les 4 jours qui précèdent le mercredi des Cendres.

La particularité du Carnaval de Rio se trouve dans son organisation gigantesque. Les écoles de Samba se préparent pendant toute une année afin de participer au défilé sur l'avenue Marquês de Sapucai (le Sambodromo). Cette avenue, connue comme la passerelle du rêve, est aménagée pour recevoir les spectateurs, majoritairement des touristes, des personnalités et des artistes brésiliens Auparavant, pendant plus de 30 ans, les défilés des écoles de sambas étaient organisés de façon très spontanée. Ce n'est qu'à partir de 1963 qu'on a commencé à vendre des entrées pour assister aux défilés. C'est une fête de luxe qui n'est pas accessible facilement à tout le monde, même aux participants. Certains économisent toute une année pour pouvoir payer leurs costumes afin de défiler dans une école de samba.
 



LA LEGENDE DU VILLAGE DE « KRANESS ».

La légende du nom de ce village prétend qu'autrefois y vivait un bon connaisseur de la région d’Ain Défali à une époque sauvage où rien n’existait. Il donnait des renseignements exacts sur n’importe quel individu de cette vaste région du Gharb peu peuplée. Depuis « Kra » qui veut dire « connaît ou étudie » et « Ness » synonyme de « gens » sont devenus l’appellation du charmant village « KRANES », très connu à Ain Défali et réputé pour ses habitants accueillants.



Parmi les croyances qui existent chez nous depuis la nuit des temps, la rencontre d’un « Kernoussi », le matin à la première heure, est de mauvaise augure, personne dont l'arrivée laisse présager et prévoir quelque chose de fâcheux ou de mauvais.

Combien de temps dure l’ovulation ?

L’ovulation est un phénomène naturel qui survient naturellement chez la femme. Il correspond à l’expulsion d’un ovule par l’ovaire. Cet « œuf » se dirige alors vers la trompe de l’utérus. C’est un follicule arrivé à maturité qui produit l’ovule.

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Durée de l’ovulation
L’ovulation proprement dite dure seulement quelques secondes. En fonction de la durée du cycle de chaque femme, cet événement survient le 14ème jour qui précède le cycle suivant. Au cours de la vie d’une femme, l’ovulation se produit à partir de la période de la puberté (qui survient au cours de l’adolescence) jusqu’à la ménopause.

Au départ, l’ovulation survient de manière irrégulière. Vers l’âge adulte, le cycle se régularise. L’ovulation prend généralement fin après 50 ans. Il n’existe néanmoins pas d’âge exact, tout dépend de chaque femme.

Ce qu’il faut savoir retenir, c’est qu’à chaque femme naît avec un certain nombre d’ovules. Ces œufs diminuent petit à petit jusqu’à disparaître complètement lorsque survient la ménopause.

ORIGINE DU MOT «LAAMIRAT».

Une personne, habitant dans la nuit des temps ces fameuses collines rouges, avait perdu accidentellement sa vue pendant des dizaines d’années, a retrouvé par la suite et soudainement sa vision.



Depuis, « laami » qui veut dire «aveugle» qui a commencé à « voir » c’est à dire « raate » est devenu définitivement «laami-raate» nom du douar que l’on connaît actuellement à Ain Défali sous l’appellation de «Laamirate».