Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Maroc : le Grand Sud, Ifrane, perle du moyen Atlas
Ifrane, perle du Moyen Atlas marocain, 30 000 habitants, est à 1713m d'altitude. Son architecture et son urbanisme est à l'européenne.
les maisons ont des toits pentus recouverts de tuiles. Bref on ne sent pas au Maroc ! Située au nord du moyen Atlas, c'est la région la plus arrosée du Maroc, après celle du Rif. Il pleut surtout l'hiver.
Compte tenu de son climat et de son environnement, Ifrane est la capitale écologique du Maroc, avec une faune et une flore très riches et diversifiées. Le dernier lion de l'Atlas est en pierre sculptée et repose dans le parc du centre ville. La statue mesure 7m de long pour 1,5m de large et 2m de hauteur. Il aurait été sculpté entre 1930 et 1931, dans un rocher affleurant par Henri Moreau, professeur de dessin du lycée Gouraud de Rabat .
La région est très touristique en saison, surtout pour les marocains qui viennent profiter de la fraîcheur et de la nature environnante.
Saviez-vous que ?
En 1975, lorsque les autorités de la ville chinoise de Haicheng ont été alarmées par des comportements bizarres des chiens et d’autres animaux. Ces observations les ont conduit à ordonner à 90.000 habitants d’évacuer la ville. Quelques heures plus tard, un séisme de magnitude 7,3 a détruit près de 90 pour-cent des bâtiments de la ville.
Les secrets de la longévité exceptionnelle.
Ce ne sont plus des centenaires,
mais des super-centenaires qui vivent dans des "zones bleues", c’est-à-dire
de petites poches géographiques à travers le monde où les gens outre une
longévité exceptionnelle et qui mènent une vie saine et active.
Ces zones bleues sont :
une zone de collines situées sur une île italienne de
Sardaigne, habitée principalement par des
bergers;
une poche à Loma Linda, en Californie, où vit un groupe d'adventistes du septième jour;
une région dans les montagnes du
Costa Rica, sur la péninsule de Nicoya; et finalement
une zone située à Okinawa, au
Japon.
une région située sur l'île d'Ikaria en
Grèce.
Parmi les résidents de ces
communautés, les chances d'atteindre l'âge de 100 ans sont jusqu'à dix fois
supérieures à ce qu'elles sont pour la moyenne de la population en Amérique du
Nord ou en Europe, tandis que l'incidence des maladies cardio-vasculaires et de
cancer sont nettement inférieures à ce que l'on note dans la plupart des autres
régions.
Des similitudes
dans le régime alimentaire
Des aliments naturels, non
transformés.
Produits localement, très souvent
par les habitants eux-mêmes. Beaucoup de légumes, des fruits, peu de viande. Et
l'adoption de ce mode de vie n'est pas compliqué. Le régime "Blue
Zones" permet une variété d'aliments provenant des quatre groupes
alimentaires.
Tous les régimes des zones bleues
comprennent au moins deux légumes plus des fruits à chaque repas. A Okinawa la
plupart des centenaires sont jardiniers et consomment donc les produits du
jardin.
Les haricots et fèves sont également
au menu. Seules les varièté changeront selon la zone géographique. A Okinawa on
consommera plus de soja, dans les soupes de miso ou le tofu, et des fèves
azukis. Dans la péninsule de Nicoya, au Costa Rica, les haricots avec des
tortillas font partie de chaque repas.
Peu de viande.
Aucun des centenaires dans les zones
bleues ne sont de grands carnivores. A Loma Linda, en Californie, les
centenaires adventistes sont pour la plupart végétariens. A Okinawa, en
Sardaigne et dans la péninsule de Nicoya, la viande est réservée pour des
occasions spéciales.
En
Sardaigne, nos centenaires sont principalement des bergers vivant dans les
collines et les montagnes. Ils consomment donc régulièrement du lait et du
fromage de chèvre. Les chercheurs du programme "Zone bleue" ont
relevé que le lait produit par ces chèvres nourries exclusivement des verts
pâturages montagneux, est particulièrement riche en Oméga-3.
Des noix et
encore des noix.
Les adventistes du septième jour à
Loma Linda aiment les noix, et ces Californiens semblent en récolter les
bénéfices.
Une étude de ce groupe a constaté que ceux qui mangeaient des noix
au moins cinq fois par semaine souffraient de moitié d'incidence de maladies
cardiaques par rapport à ceux qui n'en consomment pas. En Sardaigne nos
centenaires consomment régulièrement des amandes.
Manger pour se nourrir
"Hara Hachi Bu." Cette
simple phrase, prononcée à Okinawa avant chaque repas, signifie "manger à
80 pour cent de votre capacité". Le cerveau prend environ 20 minutes pour
communiquer à l'estomac que les besoins nutritifs sont comblés.
Le "hara
hachi" nous apprend à manger jusqu'à ce que nous n'ayons plus faim, et non
pas jusqu'à ce que nous soyons "pleins"!. Cette philosophie a pour
conséquence que les habitants d'Okinawa consomment seulement 1900 calories par
jour.
L'activité physique
Un autre point commun est bien
entendu l'activité physique. Bien entendu tous les centenaires de ces
différentes régions sont restés très actifs. A Okinawa ils continuent à passer
de longues heures à cultiver leur jardin; en Sardaigne ils consacrent toujours
de longs moments à la marche en montagne; les adventistes marches plusieurs
kilomètres par jour et au Costa Rica, nos centenaires de la région de Nicoya
travaillent de longues heures sur les terres des fermes locales ou dans les
bois.
Autres points
communs qui constituent peut-être le véritable secret de nos centenaires des
"Zones Bleues".
Nos
centenaires sont très actifs physiquement tout au long de leur vie et leur
alimentation, si elle diffère sensiblement d'une région à l'autre, est basée
sur la sobriété, des produits naturels de qualité non transformés et la
consommation principalement de légumes, fruits, fèves, noix et très peu de
viande.
Le point de départ de l'enseignement à Ain Défali.
Je parle de cette école, située à l'ancienne gare des chemins de fer (photo ci-dessus). C'est Monsieux Mathieux, Directeur du secteur scolaire de Souk El Arba, qui a inauguré en 1948 l'ouverture de l'école d'Ain Défali et de l'école d'Ouled Ktir. Son passé est glorieux. Plusieurs cadres (ingénieurs, médecins, pharmaciens, professeurs d'universités, etc... sont sortis de cette école. N'en parlons pas des autres professionnels qui y ont fait leurs études primaires. De nombreux instituteurs marocains et étrangers (Ben Abbou Bénoihi, Sbai Abdeslam Belkhammar, Chérif Chtouki, Si Abdellah de Tiflet, Jacques Quittau, Madame Jeannine Quittau, Ben Abbou Mohamed, Ressa Abdelkader, Lamrani Lahcen, etc....) y ont participé à leur formation. Nous les remercions vivement. C'est à partir de 1950 que cet établissement primaire a été supervisé par Monsieur Germaneau (Directeur du secteur scolaire de Méchraâ Bel Ksiri) et à partir de 1952 par monsieur Rollert (Directeur du secteur scolaire d'Had kourt).
A suivre ...
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