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10 pays africains dotés des plus grandes armées en 2024


Rang

Pays

Personnel

Militaire

Total

Personnel

Actif

Reserves

Paramilitaire

1.

Egypte

1 220 000

440 000

480 000

300 000

2.

Algérie

610 000

325 000

135 000

150 000

3.

Maroc

395 800

195 800

150 000

50 000

4.

Nigeria

280 000

230 000

50 000

5.

Érythrée

250 000

120 000

130 000

6.

République

Démocratique

du Congo

207 580

166 580

31 000

10 000

7.

Soudan

194 500

92 000

85 000

17 500

8.

Soudan du sud

185 000

185 000

9.

Ethiopie

162 000

162 000

dix.

Afrique du Sud

150 585

71 235

29 350

50 000

 

                                                                          Source : AfrikMag.


 

 

Pâques 2024.

Pâques est la fête la plus importante et la plus anciennement attestée du christianisme. Elle commémore la Résurrection de Jésus, que le Nouveau Testament situe le surlendemain de la Passion, c'est-à-dire le « troisième jour ». La solennité, précédée par la Semaine sainte, dernière partie du carême, commence dans la nuit qui précède le dimanche de Pâques, par la veillée pascale.
Cette année, Pâques sera célébrée le 31 mars, soit dix jours plus tôt que l'année dernière. Contrairement à Noël, la fête la plus importante de la chrétienté ne dispose pas de date fixe et s'étend généralement du 22 mars au 25 avril. Le résultat d'un mode de calcul basé sur l'astronomie.

Le microbiote intestinal, un allié précieux pour notre santé.

 


Dans l’organisme, il existe différents microbiotes : celui de la peau, de la bouche, du vagin… Mais le plus important est le microbiote intestinal. Les scientifiques connaissent son potentiel depuis longtemps mais la mise au point de nouvelles techniques permet d’approfondir les recherches pour décrire la nature des interactions hôte-microbiote, celles des micro-organismes entre eux, et leur incidence en matière de santé.
Nos intestins réclament des fibres alimentaires contenues dans les végétaux, à la fois pour la santé du microbiote intestinal et le bien-être général. Et en particulier de la cellulose, le matériau résistant qui tapisse les parois cellulaires des plantes. Une nouvelle étude menée par une équipe internationale de chercheurs suggère que le manque de fibres de nos régimes alimentaires industrialisés pourrait changer la façon dont nos intestins digèrent les matières végétales « coriaces ».
Depuis une vingtaine d'années, les scientifiques ont découvert des bactéries intestinales capables de digérer la cellulose. Une espèce est fortement associée aux mammifères qui ruminent, une autre aux primates et une autre à l'humain, appartenant toutes au genre Ruminococcus.


Des changements dans les intestins modernes.
Les chercheurs ont utilisé des échantillons de matières fécales pour analyser le microbiote intestinal d'humains de différentes époques et régions. Les trois types de bactéries étaient abondants chez les sociétés humaines anciennes, les communautés de chasseurs-cueilleurs et les populations rurales. En revanche, dans les populations des sociétés modernes et industrialisées, ces mêmes microbes intestinaux étaient « manifestement rares ». Un cercle vicieux pourrait alors s'installer dans nos populations modernes. Les bactéries Ruminococcus, privées de fibres végétales, diminuant en nombre dans l'intestin. Cela pourrait contribuer à une digestion plus difficile et à une mauvaise santé métabolique de manière générale.

Les auteurs de l'étude estiment qu'il sera peut-être possible de réintroduire ces espèces dans l'intestin humain grâce à des compléments alimentaires ou des probiotiques.

compléments alimentaires.

Quels sont les animaux du pôle sud (antarctique) ?

L'Antarctique est la région la plus froide et sèche de la planète. Une immense couche de glace s'étend sur 98% de sa surface
  • Manchot de Magellan.


Son nom vient de l’explorateur Magellan, premier européen à découvrir l’extrême sud du continent américain. Cet oiseau haut de 70 cm se caractérise par un dos noir et un ventre blanc traversé par deux bandes noires entre la tête et la poitrine. A l’inverse, la tête est noire avec une bande blanche. Ce manchot vit principalement aux îles Malouines et sur les côtes sud de l’Argentine et du Chili. Ces manchots vivent en colonie et communiquent entre eux par des sons qui peuvent devenir très bruyants lorsque toute la colonie se met à répondre en même temps.
  • Dauphin de Commerson.

Une des plus petites espèces de dauphin, ce cétacé se distingue par des nageoires dorsales et caudale noires mais le reste du corps est blanc. On le retrouve sur les côtes sud de l’Argentine et du Chili et aux îles Malouines, mais aussi dans une autre aire géographie, aux îles Kerguelen. Il vit en petit groupe et aime faire des bonds hors de l’eau.
  • Manchot royal.


Cet oiseau ressemble beaucoup au manchot empereur, mais se distingue par une plus petite taille et une tache orangée en forme de goutte qui s’étend depuis les oreilles jusqu’au haut de la poitrine. Il vit en larges groupes appelés colonies, dans toute la zone subantarctique, notamment aux Malouines, en Géorgie du Sud et dans les archipels de Crozet et Kerguelen.
  • Manchot empereur.



Le plus grand et le plus emblématique des manchots vit presque exclusivement sur les côtes du continent de l’Antarctique et ses mers environnantes. Une des plus grandes colonies se trouve en mer de Ross. Son corps aux 4 couches de plumes s’est adapté pour résister aux conditions extrêmes de ce continent où les températures peuvent atteindre les – 60 degrés. Ils ont également adapté leur comportement, par exemple en se rassemblant en petits groupes très serrés au moment de couver afin de limiter les pertes de chaleur. D’ailleurs, les manchots empereurs ne font pas de nid mais couvent les œufs directement sur leurs pieds. Il est en principe très curieux et peut-être viendra-t-il de lui-même vous dévisager. Ces instants seront à n’en pas douter inoubliables et amusants.

  • Eléphant de mer.


Ce mammifère de la famille des phoques et au pelage gris-brun est reconnaissable par son nez protubérant en forme de trompe qui apparait chez les mâles vers l’âge de 3 ans. On le retrouve aussi bien dans les mers du nord que dans les mers du sud. L’éléphant de mer du Sud est plus massif et habite sur le continent antarctique et les îles subantarctiques. Hormis pendant la période de reproduction, il vit principalement dans l’eau. A ne pas confondre avec le lion de mer, qui appartient à la famille des otaries et que l’on retrouve dans l’océan pacifique principalement.

  • Manchot papou.


Contrairement à ce que son nom indique, il ne vit pas en Papouasie mais bien sur la péninsule antarctique et les îles subantarctiques, telles que les Malouines et la Géorgie du Sud. Il est reconnaissable à la bande blanche qui relie ses yeux en passant par la tête, et à son bec et ses pattes orange-rouge. Contrairement aux manchots Adélie et à jugulaire, il fait son nid sur un lieu sec (sans neige), sur les côtes rocheuses. S’il court facilement sur le sol, il est surtout fait pour nager : c’est un des manchots les plus rapide en mer. Il vit en colonie sur terre comme en mer.

  • Albatros à sourcils noirs.


Cet oiseau au corps blanc et au dessus des ailes noires, possède un long bec jaune-orange et des pattes palmées roses. Ouvertes, ses ailes peuvent atteindre une très grande envergure d’environ 2 à 2.4 mètres. Il vit dans des régions aux forts vents car il ne vole pas en battant des ailes mais en planant. Pour décoller, il doit courir face au vent. On peut l’observer occasionnellement en haute mer dans l’hémisphère nord, mais vous le verrez plus facilement dans l’hémisphère sud, et plus particulièrement sur les îles des Malouines, de la Géorgie du Sud et Kerguelen pendant la nidification. Il se rend à terre uniquement lors des périodes de reproduction, réuni en colonies.

  • Albatros hurleur.


Cet oiseau qui doit son nom au cri perçant qu’il émet est probablement l’oiseau de mer à la plus grande envergure d’ailes, qui peuvent atteindre jusqu’à 3.5 mètres. Il est principalement blanc, aux ailes noires ponctuées de taches blanches. Son long bec et ses pattes sont rose clair. Présent dans l’hémisphère sud, il fait son nid dans les îles subantarctiques telles que la Géorgie du Sud, les îles Kerguelen et les îles Crozet. Mais s’il est capable de franchir de très longues distances en vol, il est plutôt maladroit sur terre ou en mer.

  • Gorfou sauteur.


Il possède des aigrettes, soit des plumes jaunes qui forment des sourcils au-dessus des yeux, qui deviennent beaucoup plus longues vers l’arrière de l’oeil. Son bec et ses yeux sont rouges, et ses pattes rose pâle. Il est principalement présent dans les îles et mers subantarctiques et construit son nid en haut de falaises qu’il atteint en faisant des petits bonds, d’où son nom. Les colonies, très grandes et bruyantes, peuvent parfois se mélanger avec celles des albatros ou des cormorans.

  • Otarie à fourrure.

Les otaries se distingue de la famille des phoques notamment par leurs oreilles visibles et par leur déplacement sur terre beaucoup plus agile grâce à leur membre plus grands. Ce mammifère se trouve aussi bien dans le nord que dans le sud. Ceux du sud sont présents dans les régions subantarctiques. Comme toutes les espèces d’otaries, les mâles sont beaucoup plus gros que les femelles. Pendant la période de reproduction, les mâles défendent leur territoire qui abrite leur harem de femelles, les amenant parfois à des combats violents.

  • Gorfou macaroni.


S’il n’est pas le seul à posséder des plumes jaunes au-dessus des yeux appelées aigrettes, il se distingue cependant en étant le seul, avec le gorfou de Schlegel, à avoir les aigrettes se rejoignant au niveau du front. Son nom ne vient pas des pattes italiennes mais d’un type de chapeau anglais porté au 18e siècle. On le retrouve en très large colonies lors de la reproduction dans les iles subantarctiques et sur la péninsule Antarctique, sur les côtes rocheuses et les falaises.

  • Baleine à bosse.


Plus petites que la baleine boréale, les plus grandes baleines à bosse atteignent environ 15m de long pour 25 tonnes. Le dessus du mammifère est noir alors que le ventre est plutôt blanc. La tête et la mâchoire inférieurs sont couvertes de petites protubérances qui sont des follicules pileux caractéristiques de l’espèce. Elle présente une grande nageoire caudale, pouvant atteindre jusqu’à un tiers de la longueur de la baleine, qui sort largement de l’eau lorsque la baleine plonge. On retrouve cet animal dans les océans du monde entier.

  • Baleine boréale.


Ce mammifère marin est le deuxième plus gros après la baleine bleue, avec une taille pouvant approcher les 20 mètres pour 100 tonnes. La baleine boréale habite dans les eaux froides arctiques et subarctiques.

  • Baleine de Minke.

Ce cétacé également appelé petit rorqual compte parmi les plus petits de son espèce et vit aussi bien dans les eaux du nord que du sud. Cette baleine à fanons se caractérise par un corps fuselé, et une tête pointue et aplatie. Il est capable d’effectuer des sauts à la verticale, qui offrent un spectacle impressionnant.

  • Orque.


Ce mammifère marin noir aux larges taches blanches sur l’abdomen, le flanc et derrière l’œil est très facilement reconnaissable. Il vit aussi bien dans les régions arctiques que antarctiques. Il se nourrit selon les régions de poissons mais aussi de mammifères tels les lions de mer, les phoques, les morses voire même les baleines. Ce redoutable chasseur pouvant atteindre les 9 mètres de long est le plus grand des dauphins. Sa nageoire dorsale pouvant atteindre les 2 mètres est la plus haute et la plus pointue de tous les cétacés.
  • Rorqual commun.

Le deuxième plus grand cétacé après la baleine bleue possède un corps très allongé de couleur grise sur la partie dorsale, et de couleur plus sombre sur les flancs. Le ventre et le dessous des nageoires sont blancs. Il possède également jusqu’à une centaine de plis parallèles au niveau de la gorge. Ce mammifère marin fréquente toutes les mers et océans du globe. Contrairement à la baleine bleue, le rorqual commun vit en groupe d’une dizaine d’individus, même si certains groupes atteignent la centaine.
  • Manchot adélie.



Tout blanc et noir, il habite sur les côtes du continent Antarctique et sur quelques îles environnantes. Ils se rassemblent à terre en très grandes colonies au moment de construire leur nid et de couver. Le reste du temps, ils sont plutôt en mer.
  • Manchot à jugulaire.


Ce manchot aux plumes blanches et noires et au pattes roses, tire son nom de la fine bande noire qui autour sa gorge blanche. Il habite principalement sur les îles Sandwich du Sud mais aussi sur quelques autres îles alentours, dont la Géorgie du Sud, et est réputé pour son intrépidité. Il se ressemble en large colonie au moment de la nidification, souvent près des colonies des manchots papous et adélie.
  • Phoque léopard.


Aussi appelé le léopard des mers, il est présent dans les eaux froides de l’océan Atlantique sud, de l’océan Pacifique sud et de l’océan Austral. Son pelage sombre est ponctué de petites tâches grises et son corps est plus fin que ses cousins. Sa tête à une apparence de reptile et présente une mâchoire puissante. Solitaire, il vit principalement dans l’eau et ne se regroupe que lors des périodes de reproduction. Il est l’un des phoques les plus féroces, qui en plus de se nourrir de poissons, se nourrit notamment de jeunes phoques (d’espèce différente) et de manchots.
  • Phoque crabier.


Phoque au long corp svelte et au pelage de couleur uniforme gris-blanc l’été et brun l’hiver, il habite principalement sur le continent antarctique, même si on peut également le retrouver sur les côtes de l’Amérique du Sud, de l’Australie et de l’Afrique du Sud en hiver. Elle est l’espèce de phoques la plus nombreuse. Un de ses principaux prédateurs est le phoque léopard.
  • Phoque de Weddell.


Faisant partie des plus gros phoques, ce phoque solitaire vit sur les côtes du continent Antarctique et dans les eaux environnantes. Il est un très bon plongeur et peu rester plus d’une heure sous l’eau. Son pelage est de couleur plutôt brune ou grise sur le dos et blanche sur le ventre. Il possède également de larges tâches.

Quels sont les animaux du pôle Nord ?


Le pôle Nord se trouve située dans l'océan arctique, il est formé par une énorme calotte de glace flottante et n'est pas composée de terre ferme. Géographiquement positionné entre les parallèles 66º - 99º de latitude nord, cet endroit est le seul au monde où le sud se trouve dans toutes les directions. Néanmoins, l'être humain connaît très mal cet endroit car, en raison de notre biologie et des conditions de de l'environnement, vivre au pôle Nord est pratiquement impossible et n'est réalisable que par une poignée de personnes qui n'ont peur de rien.
La zone arctique profite de 6 mois de lumière solaire continue suivis de 6 mois de nuit totale. Durant l'hiver et l'automne, la température du pôle Nord oscille normalement entre les -43ºC et les -26ºC, ce sont les saisons les plus dures de l'année et, bien que ça semble incroyable, c'est un temps plutôt "chaud" en comparaison aux hivers du pôle Sud, où les températures peuvent facilement atteindre les -65ºC en hiver.
Durant les saisons les plus lumineuses, qui sont le printemps et l'été, les températures du pôle Nord sont situées autour des 0ºC. C'est précisemment à cette époque que peut être observé une grande quantité d'être vivants luttant pour survivre. C'est aussi l'époque durant laquelle s'observe le plus la fonte des glaces.
Le problème de la fonte des glaces au pôle Nord est un des problèmes mondiales les plus préoccupant dans l'actualité. Bien que l'épaisseur de la glace marine de l'arctique est d'environ 2 ou 3 mètres, elle ne garde pas toujours la même épaisseur. De nombreuses études démontrent que l'épaisseur moyenne a considérablement diminuée ces dernières années et qu'il est très probable que durant les étés des prochaines décennies le pôle Nord ne soit plus du tout recouvert de glace..
Le réchauffement global s'accélère, menaçant la persistance des pôles, les animaux qui y vivent et notre propre survie. La perte des pôles supposera de très graves complications pour la santé de la planète, de son climat général et de la survie des écosystèmes.
  • L'Ours polaire.


Parmi les animaux qui se distinguent le plus dans cet environnement inhospitalier, on retrouve les célèbres ours polaires (ursus maritimus). Ces magnifiques "oursons", parce qu'ils ressemblent à des peluches, sont en fait un des animaux les plus puissants du pôle Nord. Cette espèce si particulière est uniquement visible dans les régions arctiques, ce sont des animaux solitaires, intelligents et très protecteurs avec leurs bébés, qui naissent durant la période d'hibernation de leur génitrice.
Ces animaux carnivores du pôle Nord se nourrissent d'une très grande variété de mammifères, comme les bébés phoques ou ceux des rennes. Malheureusement, l'animal le plus emblématique du pôle Nord est aussi une des espèces qui se trouvent en voie de disparition. Il faut que vous sachiez que l'ours polaire est en voie d'extinction à cause du changement climatique (fonte des glaces) et de la chasse..
  • Le phoque du Groenland.

Les phoques, comme dans le reste du monde, sont légions au pôle Nord. Les phoques sont des animaux grégaires qui s'alimentent de poissons et de mollusques. En outre, ces mammifères, catégorisés dans le groupe des pinnipèdes, peuvent plonger jusqu'à 60 mètres de profondeur et rester jusqu'à 15 minutes sous l'eau sans respirer.
Les phoques du Groenland (Pagophilus groenlandicus) sont nombreuses en Arctique et se distinguent grâce à leur magnifique pelage blanc et jaunâtre à leur naissance, qui devient gris au fur et à mesure qu'ils vieillissent. À l'âge adulte, ils peuvent finir par peser entre 400 et 800 kg et atteindre, en dépit de leur poids, des vitesses supérieures à 50 km/h.
Bien qu'ils soient la proie de nombreuses prédateurs du pôle Nord, cette espèce est tout particulièrement longève, en effet, certains spécimens ont réussi à atteindre les 50 ans !
  • La baleine à bosse.

Ainsi, parmi les animaux aquatiques du pôle Nord, on se doit de parler des baleines ou des rorquals car ils sont les animaux aquatiques les plus grands du pôle Nord. Malheureusement, ces colossales baleines se sont aussi vues gravement affectées par l'action humaine et, aujourd'hui, elles sont presque toutes en état dit "vulnérable" ou "menacée".
La baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) est un des mammifères aquatiques les plus grands. Elle mesure environ 14 mètres et pèse autour de 36 tonnes, même si les espèces propres à l'arctique peuvent finir par peser autour de 50 tonnes.
Concrètement, cette espèce est reconnaissable par sa bosse caractéristique située au niveau de sa nageoire dorsale. En outre, c'est un animal très sociable qui possède un chant légèrement plus aiguë que celui du reste des baleines et elles ont pour coutume de réaliser des sauts hors de l'eau et d'extraordinaires mouvements aquatiques que tout le monde devrait voir !
  • Morse.

Cet autre animal carnivore impressionnant et semi-aquatique vit dans les mers et sur les côtes arctiques. Le morse (Odobenus rosmarus) appartient à la famille des pinnipèdes et a une apparence vraiment spéciale qui est caractérisée par ses énormes défenses qu'on retrouve aussi bien chez les mâles que chez les femelles et qui peuvent finir par mesurer jusqu'à un mètre de longueur.
Comme chez les autres animaux du pôle Nord, le morse a une peau très grasse, le poids des mâles oscille entre 800 et 1.700 kg alors que celui des femelles est situé entre 400 et 1.250 kg.
  • Renard polaire.

Ce canidé se distingue pour sa beauté singulière qui lui est accordée par son immaculé manteau ainsi que par son caractère extrêmement social. En outre de son pelage, le renard polaire (Alopex lagopus) possède des grandes oreilles pointues ainsi qu'une truffe toute mignonne. Étant donné que c'est un animal nocturne, son odorat et son ouïe sont extrêmement développés.
Le renard polaire se nourrit principalement de lemmings, de restes de phoques (chassés et tués par des ours polaires) et de poissons. De cette manière, en dépit d'être un animal de petite taille qui pèse entre 3 et 9,5 kg, c'est un prédateur naturel de cette zone géographique.
  • Narval.

Le narval aussi appelé licorne des mers (Monodon monoceros) appartient à la famille des Monodontidae. Il est surnommé licorne des mers car les mâles ont une défense en forme de corne sur le haut du crâne qui peut mesurer jusqu'à 3 mètres de long. En moyenne, un narval mesure entre 4 et 5 mètres. Cette corne est en fait un genre d'organe sensoriel bourré de terminaisons nerveuses qui permettent à l'animal de percevoir les variations de la pression, de salinité et de température.
  • Lions de mer.

Les lions de mer aussi appelé otariinées (Otariinae) apprtiennent à la famille des Otariidae. C'est un animal carnivore qui se nourrit de poissons.
  • Éléphant de mer.

Les éléphants de mer (Mirounga) sont les plus gros phoques qui existent, les mâles appartenant sont caractérisés par un nez en forme de trompe et, c'est d'ailleurs en référence à cette caractéristique, qu'ils ont hérité de ce surnom. Ils sont capables de plonger très profondément.
  • Béluga.


Le béluga (Delphinapterus leucas), surnommé baleine blanche dauphin blanc ou marsouin blanc, appartient à la famille des Monodontidae. Le mâle de cette espèce peut mesurer 5,5 m et peser quasiment 1,5 tonne, la femelle atteint facilement les 4,1 mètre pour un poids avoisinant les 1,1 tonne. Le béluga possède le sonar le plus sophistiqué de tous les cétacés ! il a besoin d'un outil si performant car c'est ce dernier qui lui permet de s'orienter dans le labyrinthe des icebergs.
  • Renne.

Le renne (Rangifer tarandus) qu'on appelle caribou au Canada est un animal endémique de plusieurs régions froides du globe, en effet, on en retrouve au niveau des régions arctiques et subarctiques de l'Europe, de l'Asie et d'Amérique du Nord. Le mâle peut facilement peser jusqu'à 180 kg pour une taille de 1 mètre 30 au garrot, les femelles pèsent, quant à elles, environ 100 kg pour une taille de 1 mètre 10. C'est un animal herbivore qui se repaît d'herbes, de buissons, d'écorces et de lichens. Quand le froid s'intensifie, il n'hésite pas à effectuer de très longues migrations à travers de la toundra arctique afin de survivre.
  • Loup arctique.

Comment faire un article appelé Animaux du pôle Nord et ne pas parler du magnifique loup arctique ? C'est effectivement impossible pour nous... Le loup arctique (Canis lupus arctos) est plus petit que les autres espèces de loups, en effet, un adulte ne mesurera pas plus de 90 cm pour une hauteur au garrot variant de 65 à 80 cm, bien qu'il soit plus petit, le loup arctique est généralement plus lourd que les autres loups ! Avec un poids moyen situé autour de 45 kg, c'est un réel poids lourd des loups ! À l'état sauvage, le loup arctique a une espérance de vie située entre 10 et 15 ans, en captivité il peut facilement atteindre les 20 ans !
  • Sterne arctique.


Voilà enfin une espèce d'oiseau dans notre article Les animaux du pôle Nord, la sterne arctique (Sterna paradisaea) appartient à la famille des laridés, on la retrouve dans toutes les régions arctiques et subarctiques de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique du Nord. Sa robe blanche est typique des animaux du pôle Nord, la Sterne arctique n'est pas un petit oiseau, en effet, son envergure peut facilement atteindre les 85 cm pour une taille oscillant entre 33 et 36 cm. Cet oiseau vit deux étés à l'année, c'est en effet un des oiseaux migrateurs qui effectuent la migration la plus impressionnante, on estime qu'entre son aire de reproduction jusqu'aux océans près de l'antarctique où ils hivernent ils peuvent parcourir 70.000 km ! Ces oiseaux passent environ 8 mois par an à voler, plutôt impressionnant non ?
  • Lièvre arctique.

Le magnifique lièvre arctique (Lepus arcticus) est caractérisé par sa fourrure toute blanche qui lui permet de se camoufler et de résister un maximum aux terribles températures du pôle. Cette petite créature est parfaitement équipée à la survie aux conditions climatiques du grand Nord et ce, aussi bien grâce à sa chaude fourrure que par son comportement. On peut le surnommer "lièvre à raquettes" car ses doigts arqués lui permettent de marcher facilement sur la neige.
  • Méduse à crinière de lion.

La méduse à crinière de lion (Cyanea capillata) appelée aussi cyanée capillaire est une cnidaire qui appartient à la famille des Cyaneidae. C'est l'une des plus grandes méduses du monde, le plus grand spécimen jamais enregistré mesurait 2,4 mètres de diamètre pour une longueur totale de 36,5 mètres. L'âge de cette méduse fait varier sa couleur, ainsi, les plus jeunes seront de couleurs roses et jaunes, les plus vieilles auront des couleurs oscillant entre le rouge et le brun.
  • Harfang des neiges.

Le Harfang des neiges (Bubo scandiacus) appartient à la famille des strigidés, les inuits l'appellent ookpik, c'est l'emblème du Québec. Le mâle est tout blanc alors que les bébés et la femelle sont légèrement tachetés et plus ils vieillissent et plus ils blanchissent ! Il est intéressant de savoir que le mâle est généralement plus petit que la femelle ! les mâles ont généralement une envergure oscillant entre 160 cm et 170 cm alors que l'envergure des femelles varient entre 170 et 177 cm, sacré dimorphisme sexuel, non ?
  • Bœuf musqué.

En dépit de son apparence bovine et de son nom, le bœuf musqué (Ovibos moschatus) est en fait une espèce de caprinés, c'est d'ailleurs la dernière espèce du genre Ovibos. Il est recouvert d'une longue et épaisse toison isolante, sa laine est appelée Qivuk et s'avère plus fine que le cachemire. Un boeuf musqué a une hauteur au garrot d'environ 1,4 mètre pour une longueur de 2,5 mètre et pour un poids de 315 kg chez les mâles et 215 kg pour les femelles.
  • Lemmus lemmus.

 C'est un adorable petit rongeur, cousin des campagnols et des hamsters. Pour survivre à ces températures extrêmes, le lemmus lemmus creuse dans son territoire de vastes galeries dans laquelle la femelle mettra au monde ses petits. C'est un animal dont les femelles peuvent se reproduire plusieurs par an ! Le lemming est sujet à de très nombreuses variations démographiques. Les raisons de ces fluctuations ne sont pas vraiment connues, on suppose que l'influence des prédateurs (mustélidés) et la surexploitation de leurs ressources jouent un rôle important des ces fluctuations. Quand les lemmings n'ont plus de quoi se nourrir, ils migrent tous ensemble dans toutes les directions et il n'est pas rare que des millions de ces rongeurs périssent au cours de cette migration sans but.
  •  Il n'y a pas de manchot dans l'hémisphère Nord !