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Un projet de loi pour interdire les molosses dangereux.

Ce texte de loi 56.12 (de 21 articles) qui vient d’être publié sur le site du SGG et élaboré par le ministère de l’Intérieur a été accueilli avec un grand soulagement par les victimes des morsures de chiens. Et pour cause, il vient remplir un vide juridique qui permettait au phénomène des chiens dangereux et molosses issus de croisements tels le pitbull, le staff américain, le dogue argentin et autres… de prendre une ampleur considérable avec des dimensions sécuritaires, sanitaires et sociales menaçantes.

Outre les milliers de victimes d’attaques enregistrées chaque année, l’acquisition non règlementée des molosses a favorisé l’émergence de nouvelles formes de délinquance et de crimes, ainsi que tout un marché parallèle lié à des activités illicites tels les combats de chiens. Aujourd’hui cette loi vient proscrire ces pratiques. Ainsi, selon l’article 3, il est interdit d’acquérir tout chien qui se caractérise par son agressivité et constitue un danger pour l’Homme, que ce soit de par sa race ou sa morphologie.

Cet article interdit donc de garder, de vendre, d’acheter, d’importer, d’exporter, de dresser ou d’utiliser ces chiens dont la liste devra être définie par une loi organique. Les personnes en infraction à cet article encourent une peine d’emprisonnement allant de 2 à 6 mois et une amende de 5.000 à 20.000 DH. D’un autre côté, cette loi ne se limite pas à interdire tout usage de ces chiens dangereux prédéfinis dans cette liste que devra élaborer le Parlement, mais elle encadre également l’acquisition des chiens en général. Ceci à travers des règles strictes auxquelles doit obéir le propriétaire sous peine d’être puni. Dans ce sens, l’article 4 de cette loi impose à tout propriétaire de chien de le déclarer à l’administration spécialisée qui élabore une base de données identifiant le chien et son maître. Ce dernier est tenu de vacciner son chien contre la rage et disposer d’un cahier sanitaire consacré au chien et contenant toutes les informations. Le propriétaire de chien est par ailleurs, en vertu de cette loi, dans l’obligation de museler son animal, l’attacher et ne pas le laisser errer sur la voie publique ou dans une copropriété ou un endroit ouvert au public. Ainsi à travers ces dispositions, ce texte vient lutter contre les dangers des chiens errants ou qui n’obéissent pas à un contrôle vétérinaire. Par leurs morsures, ces chiens font chaque année 50.000 victimes. Et en plus de propager la rage, ils sont la cause de transmission de maladies tel le kyste également à l’Homme et à un important nombre de bétail. Par ailleurs, pour ce qui est de rechercher et de signaler ces infractions, selon l’article 7 ceci est désormais du ressort, outre la police judiciaire, des agents du ministère de l’agriculture et de la direction des eaux et forêts. Ces derniers auront le droit de réquisitionner tout chien potentiellement dangereux. Pour sa part, le président du conseil de la commune peut ordonner l’exécution d’un chien s’il fait des victimes dont l’invalidité dépasse 21 jours. Notons que la loi 56.12 relative à la protection des personnes des dangers des chiens entrera en vigueur une fois publiée dans le Bulletin officiel. Les propriétaires des chiens dangereux auront, dès lors, un délai transitoire d’un mois pour livrer aux autorités concernées les chiens interdits.

HEURE D’ETE : GMT+1 officialisé pour de bon.

Ce Dimanche à 02h00, les Marocains devront avancer leurs horloges d’une heure, et du coup le Royaume passera à GMT+1.
Ce changement (Désormais le passage à l’heure d’été sera mesure usuelle annuelle, à la fin du mois de mars, l’heure légale du royaume s’avancera de 60 minutes, jusqu'à la fin du mois de septembre. Exception faite du mois de Ramadan, pour éviter les impressions de journées longues chez les jeûneurs en plus des retards sur les dernières prières nocturnes), approuvé en Conseil de gouvernement inquiète, dérange, ou carrément indiffère. Ce changement, perçu «officiellement» comme une mesure nécessaire qui se veut économe en énergie ( L'ajout d'une heure à l'horaire normal permet d'économiser en moyenne 90 MW par jour ) et permet de maintenir le même décalage horaire avec l’Europe, premier partenaire économique du royaume.

L’explosion qui fut entendue à 4800 km.



C’est l’explosion du volcan indonésien Krakatau le 27 aout 1883. Elle était si violente qu’on a pu l’entendre à plus de 4.800 km. Soit la distance entre paris en France et Abidjan en Côte-d’Ivoire ! L’explosion tua plusieurs dizaines de milliers de personnes et engendra un tsunami dont les vagues furent alors perceptibles jusqu’en Europe. Un nuage de poussière s’éleva à 80 kilomètres dans les airs, plongea la ville de Djakarta, distante de 160 kilomètres, dans une obscurité totale. L’énergie dégagée équivalait 13.000 fois celle d’Hiroshima. Et le climat mondial a subit des perturbations pendant les cinq ans suivant l’explosion. Un phénomène d’une telle envergure ne se reproduit qu’une fois tous les 10 000 ans.  

Les EMIRATIS possèdent de magnifiques 4 X 4 et de belles voitures sportives


Cette  photo  reflète  90 % des  voitures  de  ce  PAYS ,
que sont les Emirats Arabes Unis











Petit détail AMUSANT mais PEU PRUDENT :
possibilité de regarder un film même 
 pour le conducteur .


Aux EMIRATS ARABES UNIS ,
les LIMITATIONS de VITESSE sont peu respectées .

ROULER à 180 km / heure ... est très répandu .



JOLI NISSAN SWAROVSKI avec des cristaux !


Emirats Arabes Unis : REGLEMENT de la PALMERAIE d ' AL AIN

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Le hooliganisme envahit nos stades .


Les événements de samedi dernier à Casablanca montrent que le vandalisme a atteint son paroxysme. Un mort, plusieurs blessés, plus de 160 arrêtés, sans compter les dégâts matériels... Que faut-il faire pour lutter contre la violence dans les stades ?

Songkran (Nouvel An bouddhique ou festival des eaux) en Thaïlande.

Songkran est de loin le plus important événement annuel du calendrier thaïlandais, et est célébré pendant trois jours consécutifs du 13 au 15 avril. Songkran est considéré comme le festival du Nouvel An parce qu’il marquait, jusqu’en 1888, le début de l’année bouddhiste. Songkran est également connu sous le nom de « festival de l’eau », car sa manifestation la plus visible réside dans les frénétiques batailles d’eau que se livre la nation entière dans les rues de chaque ville et village.
Traditionnellement Songkran est une fête familiale dans laquelle les plus jeunes rendent hommage à leurs aînés en aspergeant leurs mains de quelques gouttes d’eau parfumée, en échange de bonne fortune pour l’année à venir. C’est de ce rituel que découlent aujourd’hui les batailles d’eau. Le Nouvel An thaïlandais est également un moment où les familles nettoient leur maison et leurs statues du Bouddha. Les monastères organisent la procession dans les rues de leurs plus importantes statues, permettant aux fidèles de les asperger d’un peu d’eau et de gagner ainsi du mérite.



 

Pourquoi le pouvoir Algérien déteste le Maroc ?



«Que ce soit les hauts gradés de l’Armée nationale populaire algérienne, humiliés par leur déconvenue dans la guerre des sables et le conflit du Sahara, où les «politiques» du FLN cultivant un éternel sentiment d’infériorité face à des élites partisanes marocaines plus ouvertes sur le monde, les décideurs algériens en général n’ont eu de cesse de chercher à construire leur nouveau nationalisme en se trouvant un ennemi. Le Maroc était la cible
parfaite».


A chaque fois que le Maroc prend une initiative dans le sens de l’apaisement, Alger répond par une virulence accrue et une fin de non recevoir tonitruante. Ainsi, depuis quatre ans, Rabat tient le discours suivant : laissons la question du Sahara au sein de l’ONU, chaque partie défendant son point de vue. Mais normalisons nos relations, ouvrons les frontières et mettons en marche la construction du Maghreb arabe. Ce discours n’est pas vertueux, il est rationnel. La situation actuelle handicape le développement de toute la région, dont les peuples souffrent, y compris en Algérie où les milliards d’excédents ne peuvent cacher les déficiences. A cela l’Algérie répond par une série d’outrances. Le Maroc obtient un statut avancé avec l’Union européenne, Alger dénonce «un accord avec les deux pays occupants de

la région, le Maroc et Israël»! Deux étudiants sahraouis se font écraser par un car, et le représentant d’Alger à l’ONU dénonce «un véritable crime d’Etat»! Les mêmes autorités algériennes dénoncent partout le Maroc en tant qu’Etat occupant «qui procède à un pillage systématique des ressources du Sahara occidental»! Et c’est encore toute honte bue que l’Algérie parle de «violations quotidiennes, massives, des droits d e l’homme contre le peuple sahraoui résistant». Nous sommes face à un véritable délire.

UN VERITABLE ATAVISME

Les officiels marocains comprennent que ce tapage a d’abord pour but de sortir Alger du piège de la proposition d’autonomie. Il est clair que la majorité des Etats est convaincue que la thèse séparatiste n’est pas réaliste.
Cette conviction est traduite par la résolution 18-13 qui réclame des propositions en vue d’une solution «réaliste et de compromis». En elle-même ,cette phrase élimine la création d’un Etat sahraoui, parce qu’il n’y aurait plus de compromis. La campagne algérienne vise à créer de nouveaux fronts, pour diluer la pression diplomatique qui s’exerce sur elle à la veille de la prise de fonction du nouveau représentant du secrétaire général de l’ONU. L’on sait que le mandat de celui-ci est encadré par la résolution 18-13.
Mais pourquoi est-ce que l’Algérie s’entête-t-elle? Alger ne
vise qu’à perpétuer la tension, sachant pertinemment, que le but avoué, la république sahraouie n’a aucune chance d’aboutir et qu’il n’est même pas dans ses intérêts sécuritaires. L’élite algérienne a un véritable problème avec le Maroc. Elle lui reproche ce qu’elle appelle ‘’le narcissisme historique’’, c’est-à-dire le fait d’être le plus vieux Etat-nation de la région et de se comporter comme tel. Elle a éduqué des générations avec l’idée qu’un Maroc fort est nécessairement un danger pour l’Algérie, parce que ‘’l’expansionnisme est dans les gènes de l’empire chérifien’’. C’est cet atavisme qui explique que l’ensemble de la presse algérienne adhère sans réserve au discours officiel. Contre ce délire maniaco-dépressif, le Maroc ne peut rien. Sauf s’en rendre compte et le prendre en considération. C’est-à-dire se préparer à un voisinage hostile pendant longtemps encore. Parce qu’aucune politique ne peut remplacer le divan de la psychanalyse.

La théorie de l’ennemi extérieur(HAKIM ARIF)

Dans la presse étrangère, Abdelaziz Bouteflika ne recueille pas beaucoup de suffrages. Ainsi, le quotidien français la Croix, qui souligne que l’Algérie a besoin d’un «président capable d’assumer pleinement sa mission, d’un homme qui comprenne les nouveaux enjeux de ce monde et qui puisse mener les réformes nécessaires pour donner enfin un avenir à la jeunesse et de la prospérité au peuple» décide en fin d’analyse que «Abdelaziz Bouteflika, après dix ans passés au pouvoir, n’est pas cet homme». Pour le journal français, la révision de la Constitution (qui offre un troisième mandat au président actuel NDLR) montre que

le système en place n’envisage pas l’option d’une ouverture politique dans les prochaines années». L’Algérie aurait donc décidé de suivre les pires modèles africains comme celui de Robert Mugabe au Zimbabwe. Quoi qu’il en soit, «le président algérien, âgé, malade et affichant un bilan désastreux sur tous les plans, va pouvoir briguer tranquillement, en avril prochain, un troisième mandat à la tête de l’Etat algérien, dans le cadre d’un scrutin où les Algériens n’auront même pas droit aux faux suspenses connus en 1999 et 2004». Le constat est sans appel. Sur le même sujet Saad Lounès, journaliste militant algérien écrira que «l’Histoire retiendra que l’humiliation du viol constitutionnel du 12 novembre 2008 a signé l’acte de décès du multipartisme né des événements d’octobre 88. L’Algérie est revenue à la case départ du parti unique, l’Alliance présidentielle militaro-islamo-nationaliste». Difficile de trouver à cette alliance une concordance de points de vue avec des forces politiques au Maroc. L’armée au Maroc connaît ses droits et ses devoirs, les islamistes sont parfaitement intégrés au jeu politique et personne ne sera surpris si un jour, ils sont au pouvoir. Quant au Roi Mohammed VI, il poursuit son œuvre de changement au rythme, décide en concertation avec les forces politiques y compris celles qui étaient hier opposées à la monarchie.
Qu’est ce qui a poussé Bouteflika, homme des années 60, à s’opposer si durement au Maroc ? Pourquoi en veut-il tant au Maroc ? Peut-être une explication avancée par le directeur du quotidien algérien «Le Matin», dans son livre “Bouteflika, une imposture algérienne” : «Bouteflika président est resté ministre des Affaires étrangères», dit-il. Pire encore, un ministre des Affaires étrangères des temps passés, dira l’auteur dont le livre cité lui a valu 2 années de prison. Bouteflika a juste commis une omission capitale, souligne Mohamed Benchicou: «quand il était ministre des Affaires étrangères, il y avait des gens dans la boutique, une Algérie debout, un président qui présidait, des ministres qui travaillaient… Aujourd’hui, c’est à lui d’assurer ces missions protectrices. Le fait qu’il estime pouvoir rehausser l’image du pays en voyageant cent fois est une grave illusion : avant, quand il voyageait, l’Algérie ne s’arrêtait pas de travailler. Aujourd’hui, c’est lui qui a la décision : l’Algérie s’arrête de décider quand il voyage.» Un ancien ministre et diplomate, Abdelaziz Rahabi, n’en pense pas moins. Pour lui, «Bouteflika est resté ministre des Affaires étrangères, mais ministre des années révolues.

PRIORITES

Quand il est revenu en 1999, le monde avait complètement changé, la diplomatie algérienne avait déjà d’autres priorités, celles de la nouvelle époque. Il n’avait plus de rapport avec le temps réel.» On répond ainsi à la question de savoir pourquoi l’Algérie a créé le polisario et pourquoi elle continue à le soutenir malgré le bon sens. Benchicou pécise que sur les cinq années de règne, Bouteflika aura passé l’équivalent de deux à l’extérieur, plus en voyages secondaires qu’en visites officielles. «Tout était prétexte au diplomate, devenu chef d’Etat, pour prendre l’avion, quitte à prendre part à de communs rendez-vous d’hommes d’affaires comme ceux de Davos ou de CransMontana». Est-ce la conception du président qui donne la primauté à l’extérieur sur l’intérieur ? Sûrement répond Bachir Boumaza, ancien ministre. Il croit voir dans cette frénésie l’expression d’une forte illusion chez le président : «Il est convaincu de la primauté de l’extérieur sur l’intérieur. Dans sa logique, on peut rétablir le prestige d’un pays par le simple contact avec l’étranger sans forcément l’asseoir par des acquis internes. Quant à Bouteflika, il ne boude pas l’idée : «Mes voyages, je crois que c’est très important pour l’Algérie». Et donc l’extérieur où il ira chercher des ennemis pour faire oublier au peuple les problèmes internes. C’est tombé sur le Maroc. Dans son ouvrage “L’Algérie de Bouteflika”, Jean Jolly explique : «En étant présent au Sahara occidental, le Maroc maintient ses liens séculaires avec l’Afrique noire et contrôle les phosphates de Bou Craa qui, ajoutés à sa production traditionnelle, lui permettent de peser sur les cours mondiaux. En voulant imposer le Front Polisario au Sahara occidental, les Algériens espèrent avoir un accès direct à l’Atlantique et condamner le Maroc à rester un pays agricole. Ce blocage incombe aux généraux liés à la vieille garde arabophone du FLN, aujourd’hui en déclin, mais encore capables de brouiller les cartes. Ces hommes n’ont pas digéré leurs deux défaites militaires face à l’armée marocaine : la première lors du conflit frontalier en 1963-65 ; la seconde à Amgala, en 1976, au Sahara occidental, quand l’armée algérienne, venue aider le Front Polisario, a été mise en déroute par les Marocains.» Nous sommes encore dans les années soixante et soixante-dix.

L’Algérie punit les Marocains et les amis du Maroc (HAKIM ARIF)

Près de 400 Marocains expulsés d’Algérie ont manifesté le 18 décembre à quelques pas de l’ambassade d’Algérie à Rabat. Selon Mohamed El Herrouachi, le président de l’Association des Marocains expulsés d’Algérie (ADMEA), créée en 2005 à Nador, «les souffrances des Marocains qui avaient été expulsés d’Algérie en 1975, le jour de l’Aïd Al Adha, perdurent. Un véritable drame humain. Le 8 décembre 1975, les autorités algériennes avaient décidé de renvoyer des Marocains établis en Algérie à leur pays d’origine. Des familles ont été désintégrées, des enfants séparés de leurs parents, des femmes de leurs maris et tout le monde a été dépossédé des biens meubles et immeubles qu’ils ont pu accumuler durant des années de labeur. A l’époque, Houari Boumédienne régnait sur l’Algérie et Abdelaziz Bouteflika était ministre des Affaires étrangères. C’est-à-dire pas étranger à cette douloureuse affaire. Aujourd’hui, les expulsés n’ont rien oublié. Ils gardent des séquelles de ce passé trop présent. L’ADMEA poursuit donc son combat. Elle vient d’organiser un sit-in devant l’ambassade d’Algérie à Rabat et a remis au bureau des Nations Unies un message adressé au SG de l’ONU. Elle veut l’ouverture d’une enquête sur les crimes contre l’humanité perpétrés dans la ville de Sebkha, près d’Oran. Selon l’ADMEA, les fosses communes sont un témoin à charge sur cette période. Elles remontent aux années 63, 65, 68 et 75. Dans les archives de l’association, les victimes se comptent par milliers, 45.000 familles pour la seule année 1975. L’Association demande la réouverture des frontières «pour permettre le regroupement des familles séparées par les autorités algériennes et la restitution aux victimes de cette mesure de leurs biens spoliés et de la liberté d’en disposer». Elle veut aussi, que le pouvoir algérien présente des excuses aux victimes. Peut-on s’attendre à une période de réconciliation ? Peu probable, la méthode n’a pas cours dans le pays de Bouteflika. Pourquoi une si terrible vengeance ? Selon Mohamed Harouachi, l’Algérie a riposté à la Marche verte en organisant sa «Marche noire». Le lien ne semble pas évident, le Maroc venait de récupérer ses territoires sous domination espagnole. Une affaire maroco-espagnole.
C’était en 1975. Aujourd’hui encore, l’Algérie fait tout pour entraver la marche du Maroc. Selon le directeur de publication du journal malien L’Indépendant, l’Algérie est directement responsable de «l’attaque meurtrière menée samedi 20 décembre par les rebelles touaregs contre les militaires maliens». Encore une action dirigée contre le Maroc par pays ami interposé. L’Algérie «nourrit une solide rancœur envers le Mali dont une partie du territoire est transformée en colonie de vacances permanente pour les terroristes d’Al Qaïda au Maghreb et où ils se sentent plus libres que l’air». L’Algérie nourrit et arme les hommes du chef rebelle Ibrahim Ag Bahanga. C’est ainsi qu’ils ont attaqué le poste militaire à Nampala à 500 Km au nord-est de Bamako, la capitale. Si l’Algérie en veut tant au Mali, c’est à cause de son rapprochement avec le Maroc, dit le directeur de publication. «Ce rapprochement économique est d’autant plus irritant, voire inquiétant pour Alger qu’il s’accompagne, au plan diplomatique, d’un effort de rééquilibrage de la partie malienne sur le dossier du Sahara», dit l’auteur. Il rappelle que depuis le départ de l’ancien président Moussa Traoré, les Maliens ne voient plus «les pseudo ministres de la fictive RASD parader au palais de la République et dans nos ministères». Plus encore, «le ministre des Affaires étrangères ne prononce plus une phrase, dans les forums internationaux, sur l’autodétermination du peuple sahraoui». Ce que justement déteste l’Algérie. Et pourtant, le Mali n’a fait que rejoindre une très grande majorité de pays qui ont compris la position marocaine. En plus du Mali, 40 autres pays ont retiré leur reconnaissance à la république arabe sahraouie de Mohammed Abdelaziz. Plus récemment le Danemark a fermé le bureau de représentation du polisario à Copenhague. Le Malawi et les Seychelles aussi. C’est l’échec non pas du polisario, mais de l’Algérie. Abdelaziz Bouteflika était pourtant ministre des Affaires étrangères. Tout compte fait, il ne reste plus que quelques pays à tolérer la république de Abdelaziz : aucun Etat en Europe, aucun Etat arabe, à part l’Algérie bien sûr et seulement 8 Etats d’Afrique. En Amérique Latine, le compte est tout aussi défavorable à l’Algérie. Dans ce contexte, on ne comprend pas bien ce que veut exactement dire l’ancien ministre et chef du FLN Abdelaziz Belkhadem, lorsqu’il affirme que «le Maroc est un pays frère, sa sécurité c’est la nôtre, sa stabilité c’est la nôtre».

MEMOIRE COLLECTIVE

Sur le front de la mémoire collective, l’Algérie essaie de tout faire oublier. L’affaire de l’organisation d’un colloque commémorant le cinquantenaire de la Conférence de Tanger en est un bel exemple. Elle a été tout simplement annulée par le pouvoir algérien. Abdelhamid Mehri, ex secrétaire général du Front de libération l’époque écrit à Abdelaziz Bouteflika pour protester. Extrait : «J’ai participé, depuis deux mois ou plus, avec le frère, directeur général du Centre national des archives et le Docteur Amine Zaoui, directeur de la Bibliothèque nationale, à la préparation d’un colloque historique à caractère scientifique se rapportant au cinquantenaire de la conférence de Tanger qui a regroupé, en avril 1958, les partis qui ont conduit la bataille des indépendances en Tunisie et au Maroc, et le Front de libération nationale. J’ai été informé hier, 14 avril, que des instructions fermes, dont je ne connaissais pas la source, ont été signifiées aux deux institutions afin d’interrompre l’ensemble des dispositions et préparatifs de ce colloque et à renoncer définitivement à sa tenue». Le fait est donc là. Reste à savoir qui a donné un tel ordre. Pas facile : «Je ne sais toujours pas ce qui s’est produit. Abdelmadjid Chikhi et Amine Zaoui m’ont juste confirmé qu’ils avaient reçu des instructions pour tout arrêter. Mais ils ne m’ont pas donné la source qui a donné ces instructions», dira encore Abdelhamid Mehri. Qui pouvait prendre une telle décision éminemment politique? Le pouvoir algérien ne voulait plus entendre parler du soutien des Marocains à leurs voisins algériens dans leur lutte pour l’indépendance. Il voulait donc effacer de la mémoire collective, cet unique épisode de fraternité et de collaboration. H. Mehri se révolte donc : «Cette grave insulte à l’intelligence et à notre glorieuse Révolution peut-elle enfin être comprise comme un dernier signal d’alerte, un appel ultime à la révolte contre un pouvoir primitif, inculte, anti-révolutionnaire et anti-populaire qui dicte leur conduite aux intellectuels et aux grands commis de l’Etat assermentés. Les élites doivent enlever leurs lunettes, poser les stylos, dédaigner les privilèges, se relever et se battre.

Quelles sont les têtes d’affiche de l’antimarocanisme ? (MOHAMED SEMLALI)

L’antimarocanisme est une donnée incontournable dans les cercles militaires et politico-médiatiques algériens. D’ailleurs, pour acquérir plus de visibilité et de crédibilité à Alger, il est recommandé d’être antimarocain et de le montrer ostensiblement. Pour comprendre cette haine qui relève du psychisme, il faut rappeler que l’identité révolutionnaire algérienne s’est forgée en totale contradiction avec un Maroc, monarchie séculaire.
Que ce soit les hauts gradés de l’Armée nationale populaire algérienne, humiliés par leur déconvenue dans la guerre des sables et le conflit du Sahara, où les «politiques» du FLN cultivant un éternel sentiment d’infériorité face à des élites partisanes marocaines plus ouvertes sur le monde, les décideurs algériens en général n’ont eu de cesse de chercher à construire leur nouveau nationalisme en se trouvant un ennemi.
Le Maroc était la cible parfaite. Le royaume a connu une indépendance plutôt apaisée et l’Etat marocain n’a jamais cessé d’exister. Cependant, aux yeux des Algériens, le Maroc était l’antithèse de ce qu’ils voulaient construire. Monarchie centenaire, solidement ancrée dans la société, le pouvoir marocain jouissait également de ressorts de légitimation religieux et historiques. Choses qui faisaient défauts aux «révolutionnaires» algériens même auréolés par une héroïque guerre de libération.
D’ailleurs, pour les dirigeants algériens, la nation algérienne dont la genèse s’est faite pendant la guerre de libération menée contre la France ne pouvait être consolidée que sur les décombres du royaume du Maroc. La nouvelle «Prusse» du Maghreb n’allait faire qu’une bouchée de ce voisin que l’on qualifiait d’ «archaïque».
Ainsi, tour à tour Ahmed Ben Bella, Houari Boumèdienne, Abdelaziz Bouteflika vouaient pendant les années soixante et soixante-dix au Maroc une haine inégalée. D’autres seconds couteaux du pouvoir algérien n’ont pas hésité non plus à verser dans l’antimarocanisme primaire. Ce fut le cas de Cherif Messaïdia, d’Ahmed Taleb Ibrahimi et Ahmed Yahyaoui. Aujourd’hui, les antimarocains se recrutent dans toutes les sphères algéroises. Armée, services de renseignement, gouvernement et médias. Si les générations ont changé, la haine est demeurée la même, sinon elle a gonflé… Mais pas pour le peuple algérien frère qui, n’aspirant qu’à la paix, se montre conscient de l’importance de la place du Maroc aux côtés de l’Algérie pour la construction d’une Union du Maghreb Arabe forte et paisible.

Le Chouari.

Deux couffins tressés en fibres de palmiers nains (ou paniers en alfa)) reliés ensemble ou grand panier double de fabrication artisanale, que l'on place sur le dos des mulets ou des ânes (bête de somme) pour le transport des marchandises.


Avant 1920 et quelque temps après encore, les légumes et les figues barbaries n'étaient pas vendus au poids, mais par chouari.
Fréquemment utilisé par nos parents, le chouari tend à disparaître pour être relayer par les triporteurs


Mais, surtout n’oubliez pas le dicton qui dit : Si la bête vient à se renverser sur le chouari, les enfants ne peuvent la libérer.

L’homme enceinte : étrange et insolite !

Un transgenre peut tomber enceinte et donner naissance à un bébé après avoir subi une opération de changement de sexe.
Ne soyez pas surpris si vous entendez parler d’un homme enceinte. L’homme, est en réalité un transsexuel qui est né femme. La trans-identité ou transsexualité est chez un individu le fait d'avoir une identité de genre opposée à son sexe physique de naissance. On parle parfois aussi plus globalement de transgenre pour désigner la situation d'un individu dont l'identité sexuelle est différente de ses apparences et attributs sexuels (barbe, seins...), ou pour évoquer les personnes transsexuelles ne souhaitant pas se faire opérer. La trans-identité rassemble : transgenre, transsexuel(le), l'hermaphrodisme, le travestisme, l'androgynie, etc. Indépendamment de cela le sentiment d'appartenance à l'un ou l'autre sexe peut relever d'un trouble de genre dite pathologie de société selon son ressenti plus ou moins prononcé. La notion de « sexe anatomique » ne correspond pas nécessairement à la notion de sexe chromosomique. L'identité sexuelle était jusqu'à présent définie par la présence de chromosomes XX ou XY, mais on sait depuis les années 2000 qu'il existe aussi des femmes XY et des garçons XX.


Pour être acceptée sous son genre et pour s'accepter soi-même, une personne transsexuelle peut avoir besoin de porter des vêtements du sexe auquel elle s’identifie, être opérée, que ce soit pour des modifications esthétiques (insertion de prothèses mammaires, par exemple) ou pour conduire à la reconstruction d'un nouvel appareil génital. Certaines personnes ont également recours à des traitements hormonaux (qui sont souvent une des premières étapes de leur transformation physique). Dans tous les cas, le but premier reste le besoin impératif d'être en cohérence physique avec son identité de genre.
Le premier homme, connu et reconnu dans les médias pour avoir été enceinte, est Thomas Beatie, né en 1974, de nationalité Américaine. Il était de sexe féminin à la naissance, mais transgenre, il est devenu officiellement un homme suite à une intervention chirurgicale (réduction mammaire) et des injections de testostérone. Marié depuis 10 ans avec une femme stérile, il a bénéficié d'une insémination artificielle afin de concevoir l'enfant du couple.