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La véritable histoire de la fin des tribus Amérindiennes

La véritable histoire de la fin des tribus Amérindiennes (désolé pour le titre un peu dans le désordre, cela s'est passé à l'encodage, héhé). De la rébellion aux placements dans les réserves en passant par la tentative d'assimilation dans et par la Société des blancs. C'est un montage à l'aide de plusieurs documentaires sur l'Ouest Américain dans lesquels on n'avait pas pris que ce qui traitait des Indiens .


















La Colombie.


La Colombie, officiellement République de Colombie (espagnol : República de Colombia), est une république constitutionnelle unitaire comprenant 32 départements. Le pays est situé dans le nord-ouest de l'Amérique du Sud, bordé à l'ouest par le Panama, au nord par la mer des Caraïbes, à l'est par le Venezuela et le Brésil, au sud par l'Équateur et le Pérou, et à l'ouest par l'océan Pacifique.


 La Colombie est le 26e plus grand pays par sa superficie et le quatrième en Amérique du Sud. Avec plus de 46 millions d'habitants, la Colombie est le 27e pays le plus peuplé du monde et le troisième de tous les pays de langue espagnole après le Mexique et l'Espagne. La Colombie est une moyenne puissance, la quatrième plus grande économie d'Amérique latine, et la troisième en Amérique du Sud. La production de café, des fleurs, d'émeraudes, de charbon et de pétrole forme le principal secteur de l'économie colombienne. La troisième plus grande banque, HSBC, a un point de vue sur les perspectives économiques de 2050 où la Colombie est vue jouant un rôle décisif dans l'économie mondiale, en particulier dans les Amériques, en étant au 25e rang par PIB au niveau mondial.
Le territoire de ce qui est aujourd'hui la Colombie était à l'origine habitée par des peuples autochtones dont les Muiscas, les Quimbayas et les Tayronas. Les Espagnols arrivent en 1499 et lancent une colonisation aboutissant à la création du Royaume de Nouvelle-Grenade puis de la vice-royauté de Nouvelle-Grenade comprenant les actuels pays de Colombie, Venezuela, Équateur, le nord-ouest du Brésil et le Panama, avec sa capitale à Bogota. L'indépendance de la Colombie est acquise en 1819, mais en 1830 la Grande Colombie s'effondre avec la sécession du Venezuela et de l'Équateur. Les futurs pays de Colombie et du Panama forment alors la République de Nouvelle-Grenade. La nouvelle nation expérimente avec le fédéralisme en devenant la Confédération grenadine (1858), puis les États-Unis de Colombie (1863), avant de redevenir un pays centralisé sous le nom actuel de République de Colombie en 1886. Le Panama fait sécession en 1903, à la suite de la guerre des Mille Jours (1899-1902). La Colombie est le premier gouvernement constitutionnel en Amérique du Sud, et un promoteur important des organisations panaméricains, d'abord par le Congrès de Panama et plus tard en tant que fondateur de l'Organisation des États américains. Les partis libéral et conservateur, fondée en respectivement en 1848 et 1849, sont deux des plus anciens partis politiques toujours actifs en Amérique.
La Colombie est ethniquement diverse. L'interaction entre les descendants des premiers habitants indigènes, les colons espagnols, les populations africaines déportées dans le pays comme esclaves et l'immigration du XXème siècle venue d'Europe et du Moyen-Orient, ont produit un patrimoine culturel varié, également influencé par la grande variété géographique du pays. La majorité des centres urbains sont situés dans les hauts plateaux de la cordillère des Andes, mais le territoire colombien englobe également la forêt amazonienne, les Llanos et les côtes Caraïbes et Pacifique. Écologiquement, la Colombie est l'un des 17 pays mégadivers du monde, et est considéré comme le plus mégadivers par kilomètre carré.

Les tensions entre les partis politiques ont fréquemment dégénéré en violence, et plus particulièrement durant la guerre des Mille Jours (1899-1902) et La Violencia, à partir de 1948. Depuis les années 1960, l'Armée nationale colombienne, les insurgés de gauche (FARC, ELN) et les paramilitaires d'extrême droite sont engagés dans le plus long conflit armé du continent alimenté par le narcotrafic, qui a pris son essor dans les années 1980. Depuis 2010, la violence a diminué, avec quelques démobilisation des groupes paramilitaires dans le cadre d'un processus de paix controversé et les guérilleros ont perdu le contrôle d'une grande partie du territoire qu'ils dominaient autrefois. Dans le même temps le taux d'homicide colombien a presque diminué de moitié entre 2002 et 2006. Grâce à une politique d'éradication des cultures, la Colombie, premier producteur mondial de cocaïne pendant de nombreuses années, est maintenant largement considérée comme étant au deuxième ou troisième rang, bien que certaines sources la placent encore au premier.

Le drapeau de la Colombie :

Les Armoiries de la Colombie :


Devise nationale : Libertad y Orden (Liberté et Ordre)
Hymne national : Oh, gloire impérissable!
Forme de l'État : Rép. à régime présidentiel
Langues officielles : Espagnol
Capitale : Bogota, 4° 36′ 36″ N 74° 04′ 55″ O : Bogotá (anciennement Santa fé de Bogotá Distrito Capital) est la capitale de la Colombie et du département de Cundinamarca. Elle a été fondée le 6 août 1538 par l'Espagnol Gonzalo Jiménez de Quesada. La population de la ville de Bogotá comptait 6 778 691 habitants après le recensement 20051 et son aire urbaine comprenait 8 millions d'habitants en 2006.
C'est une métropole administrative et culturelle, divisée en 20 districts.



Plus grande ville : Bogota



Superficie totale : 1 141 748 km2
Superficie en eau            8,8 %
Fuseau horaire  UTC -5
Indépendance : de l'Espagne Date : 20 juillet 1810
Gentilé : Colombiens, Colombiennes
Population totale (2012) : 46 591 147 (estimation) hab.
Densité : 40 hab./km2
IDH (2011) :  0,710 (haut)
Monnaie : Peso colombien (COP​)
Code ISO 3166-1 : COL, CO​
Domaine Internet :  .co
Indicatif téléphonique : +57

TOURISME EN COLOMBIE Bien que le gouvernement tente de sécuriser son pays, il est actuellement prématuré de se rendre en voyage de tourisme en Colombie, à cause des enlèvements potentiels, qui sont monnaies courantes pour l’obtention de rançon (commerce qui a eu tendance à se développer ces dernières années).
La Colombie connaît l'un des taux de criminalité les plus élevés du monde. Les dangers sont liés à la délinquance, aux guérillas et au trafic de stupéfiants. Toutes les régions du pays présentent des risques en raison de l'activité des guérillas, comme des groupes paramilitaires armés. Les déplacements par voie routière sont à proscrire dans le pays entier, à l'intérieur du pays comme aux frontières avec l'extérieur, Venezuela, Equateur et région amazonienne. Il est dommage de ne pouvoir visiter en toute sérénité les sites touristiques tels que San Agustín ou la Cité Perdue (Sierra Nevada près de Santa Marta), car il est fortement déconseillé de sortir des villes où l'on se trouve.
Il convient d'éviter, bien évidemment, les signes extérieurs de richesse (bijoux, montres, etc.), de n'avoir que peu de liquidités sur soi et d'être vêtu simplement.














La région de Quindío, au centre-ouest de la Colombie, forme une partie du « Ere cafetero » (la zone du café), qui fait la fierté de la Colombie. Grâce à l'eau des nombreux ríos de cette région, qui descendent tout droit des sommets andins, et à un climat pluvieux, favorable à la culture du café, le Quindio participe à 16 % de la production nationale.
Tourisme rural dans le triangle du café
Après bien des voyages, Bruno accède enfin au Paradis -- ou Quindío en langue indigène -- le nom donné à cette région de vallées et de forêts luxuriantes, au cœur de ce que l'on appelle le triangle du café.
Il se rend à la finca de Don Alberto pour passer la nuit. Cet homme exceptionnel perpétue la tradition du café à l'ancienne pour «le bien-être de l'environnement». En sa compagnie, Bruno apprend le long travail caché derrière une simple tasse de café. Le voyage se poursuit au Jardin botanique de Quindío, au milieu de papillons géants et d'arbres qui poussent à vue d'œil, jusqu'à 25 cm par jour !



La voix des indigènes s'élève face au tourisme de plus en plus important dans la région amazonienne de la Colombie. Certains ont même interdit l'accès aux curieux qui s'aventurent près de leur village situé au bord du fleuve. Les habitants se plaignent du partage inégal des profits du tourisme.



 FOLKLORE COLOMBIEN :











Pasto, au sud de la Colombie, vibre au rythme du Carnaval des Noirs et des Blancs, un évènement culturel organisé chaque année début janvier et classé au patrimoine immatériel de l'Unesco.



MUSIQUE COLOMBIENNE :









FESTIVAL COLOMBIEN :





Pirouettes acrobatiques et pas de deux enflammés à Cali, en Colombie, qui accueille le Festival mondial de salsa.





LES TRADITIONS COLOMBIENNES :
Dans le cadre de la célébration du cent cinquantenaire de la 2ème abolition de l'esclavage par la France (Victor Schoëlcher - 1848), deux réalisateurs africains revisitent le terme générique de ci-marron en faisant découvrir une communauté colombienne oubliée issue du marronnage : les palenqueros.
C'est un siècle et demi (1713) avant l'abolition de l'esclavage en Colombie et ce jusqu'à 1853 (5 ans après la 2ème abolition en France), que des communautés noires se révoltent puis s'affranchissent en créant des "Palenque", villages libres entre montagnes et océans Atlantique et Pacifique. Ces populations portent aujourd'hui encore les témoignages du processus de résistance à l'esclavage au travers de leur culture ; mélange des traditions et de la créativité toujours vivantes dans cette région.
En 1991, le gouvernement colombien change sa Constitution et reconnaît les droits spécifiques des minorités indiennes et afro-colombiennes : droit de propriété et d'usufruit des terres qu'ils occupaient, inscription aux registres d'État Civil...
En 1998, Juan de Dios Mosquera, leader du "Mouvement National Ci-Marron" en Colombie, reçoit à Matignon le prix des Droits de l'Homme. À cette occasion, l'écrivain et documentariste camerounais Blaise Ndjehoya et le réalisateur et comédien ivoirien Sidiki Bakaba rencontrent Juan de Dios Mosquera et décident de filmer sous une forme documentaire les palenqueros de la côte pacifique. Cette population afro-colombienne a en effet ceci de spécifique qu'elle est isolée depuis près de cinq siècles des échanges et du brassage international caractéristiques de la côte atlantique, rendant ainsi encore plus prégnantes les problématiques d'identité et d'acculturation.
A la manière des juifs espagnols christianisés qui pendant l'Inquisition réinventèrent leur religion interdite, les auteurs mettent en lumière le profond phénomène d'acculturation qu'ont connu ces populations afro-colombiennes. Ils montrent comment ces palenqueros travaillent aujourd'hui à reconstruire la mémoire africaine qui s'était inscrite dans leurs cultes religieux, leurs musiques traditionnelles, leurs arts et leurs techniques. Cette mémoire constitue l'axe d'identification culturelle essentielle de la nouvelle afro-colombianité revendiquée par les mouvements ci-marrons.


Les musiques afro-colombiennes sont héritières de multiples traditions de l'Afrique occidentale. Le tambour, la marimba, le sonajero et les chants étaient utilisés par la population africaine pour invoquer leurs ancêtres, célébrer les naissances et les deuils. Ces pratiques, croyances et connaissances musicales, remplis d'une profonde spiritualité, traversèrent aussi l'Atlantique avec les esclaves. Ce type de musique continue à accompagner la vie des personnes Afro-colombiennes. Un des meilleurs représentants de ce type de musique en Suisse, est le groupe TAMBO Afro-Colombia--Musique de Colombie.



Des milliers de Colombiens affluent de tout le pays pour admirer les illuminations de Noël à Medellin, une tradition qui a coûté à la ville pas moins de 4 millions de dollars.



La Colombie est un pays riche en traditions, couleurs et festivités : « Penser à la Colombie, c'est penser aux richesses archéologique, culturelle et artisanale qui forment la combinaison parfaite de trois cultures : indienne, européenne et africaine ».


Amoo Hadji, l'homme le plus sale du monde !

Amoo Hadji, originaire de la ville de Dezgah, dans la province de Fars en Iran, ne se serait tout simplement pas lavé depuis 60 ans. Avec sa barbe et son visage buriné, il a l'apparence d'un vieil ermite.

 

Enfin, un vieil ermite avec une couche de crasse  en guise de seconde peau. Il affirme en effet n'avoir pas pris un seul bain lors des 60 dernières années. Une performance qui pourrait peut être entrer dans le livre des records si l'on se penchait sur la question. Vu l'odeur qui doit émaner de sa personne, c'est sans surprise que l'on constate qu'il vit en dehors de la ville, seul.



Si visiblement l'hygiène corporelle ne fait pas partie de ses centres d'intérêt, Amoo Hadji ne se montre pas non plus très intéressé par les possessions matérielles. En fait, il n'en a que deux : une bicoque (vétuste et entourée de déchets) et une pipe en pierre. 


Un maigre patrimoine, qui suffit cependant à satisfaire Amoo Hadji. L'homme a des goûts simples, et passerait le plus clair de son temps à errer dans la nature. C'est en matière de fumée que les goûts d'Amoo Hadji sont un peu plus surprenants. Il ne remplit pas sa pipe avec du tabac, de l'opium ou du cannabis mais avec des déjections animales qu'il collecte lors de ses promenades. Un choix déconcertant, mais visiblement pas si nocif que ça puisqu'en dépit de son hygiène corporelle inexistante, l'homme a dépassé les 80 ans. Si on se doute qu'Amoo Hadji est de bonne constitution, pour avoir survécu dans ses conditions, on ne sait en revanche toujours pas pourquoi il a choisi ce mode de vie.












FES DANS LES ANNEES 1920


L'Homme le plus fort du monde est Zydrunas Savickas, capable de soulever 524 kilos !


 Zydrunas Savickasis est ce que l'on appelle une force de la nature. Ce Lituanien de 38 ans est un adepte de plusieurs disciplines où c'est justement la force qui compte : haltérophilie, powerlifting, sport de force... Considéré par beaucoup comme l‘homme le plus fort du monde, il s'est montré à la hauteur de sa réputation en réussissant à soulever 524 kilos à bout de bras lors de l'édition 2014 du concours de force Arnold Strongman.



Zydrunas Savickasis est un powerlifter lituanien et un haltérophile professionnel. Il est considéré comme l'un des plus grands concurrents de compétition de force de tous les temps. Son palmarès est en effet long comme le bras, et il est le seul concurrent de Powerlifting à avoir remporté toutes les compétitions importantes. Parmi ses succès, on pourra notamment citer ses victoires lors de l'Arnold Classic en 2003, 2004, 2005, 2006, 2007 et 2008, lors du Fortissimus en 2009 ainsi qu'à l'occasion des World's Strongest Man 2009, 2010 et 2012.



Une performance unique.
Parfois surnommé "Big Z", Zydrunas Savickasis a encore prouvé qu'il méritait le titre d'Homme le plus fort du monde. Lors de l'édition 2014 du concours Arnold Strongman, il est parvenu à soulever 524 kilos à la force de ses bras, rien que ça. Vous pouvez assister à cette performance exceptionnelle sur la vidéo qui accompagne cet article. Son exploit, bien qu'accompli en quelques secondes, est une performance unique. 



Le powerlifting, c'est quoi ?
Aussi appelé force athlétique ou dynamophilie au Québec, le powerlifting est un sport de force pouvant être apparenté à l'haltérophilie, mais qui s'en distingue par des mouvements techniquement plus basiques, où les charges sont plus lourdes et où l'amplitude est plus réduite. Le powerlifting n'a divergé que récemment de l'haltérophilie. Des compétitions sont peu à peu apparues aux États-Unis après la seconde guerre mondiale, mais les premières compétitions internationales officielles datent du début des années 1970. Dans le même temps l'haltérophilie s'est concentrée sur les deux mouvements olympiques (arraché et épaulé-jeté), et les deux sports sont devenus distincts

Règles de politesse et coutumes à respecter au Japon.

 Règles générales :
-        Les règles de base sont la politesse, la modestie, la propreté, la ponctualité et plus généralement le respect de l’autre.
-        Lorsque l’on rencontre quelqu’un, on doit éviter les contacts physiques, pas de bise ni de poignée de main, mais on s’incline légèrement. Une légère et rapide inclinaison de la tête suffit.
-        Lors d’une première rencontre, il est d’usage d’utiliser les formules de politesse « hajimemashite » (enchanté de vous rencontrer) en guise d’introduction, puis lorsque les présentations sont finies on dira alors « yoroshiku onegaishimasu » (je m’en remets à vous).
-        Pour s’excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d’une brève inclinaison de la tête. Si l’on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt « gomen nasai » (pardon). Entre amis un simple « gomen » ou « warui » est souvent employé.
-        Eviter de se mettre en avant, de donner trop d’importance à ses actions et refuser poliment les compliments.
-        Lorsque l’on offre un cadeau, il faut également éviter de le mettre en avant et plutôt dire qu’il s’agit d’une petite chose sans grand intérêt. «Tsumaranai mono desu kedo,douzo»
-        Porter une importance particulière à l’emballage des cadeaux aussi bien quand vous offrez que lorsque vous recevez (ne pas déchirer l’emballage ou s’excuser si vous ne pouvez pas faire autrement).
-        On utilise ses deux mains pour donner ou recevoir quelque chose, notamment un cadeau ou une carte de visite.
-        Les cadeaux s’ouvrent souvent hors de la présence de la personne qui offre sauf s’il s’agit de nourriture que l’on désire partager. Si vous n’êtes pas sûr demandez si vous pouvez ouvrir un cadeau maintenant.
-        On ne refuse pas directement. Le « non » japonais (iie) n’est employé que dans de très spécifiques occasions.

À l’extérieur :
-        Ne pas fumer dans la rue sauf aux endroits prévus à cet effet, c’est interdit par la loi.
-        Ne rien jeter dans la rue et trier les ordures dehors comme à la maison.
-        Eviter de s’embrasser en public.
-        Eviter de manger dans la rue ou dans le train.
-        Sur un escalator se serrer du côté gauche pour laisser passer les gens du côté droit (à Osaka c’est le contraire).
-        On attend le bus, le train ou le métro en file indienne, on ne se bouscule pas et on laisse sortir les gens avant de rentrer. Les bousculades sont tout de même fréquentes lors des rushs.
-        Eviter de se moucher en public, surtout dans un mouchoir en tissu.
-        Couper la sonnerie de son téléphone dans le train.
-        Respecter les interdictions dans certains wagons comme le téléphone sur off ou l’interdiction aux hommes à certaines heures.

Magasins et bâtiments publics :
-        Laisser son parapluie à l’entrée ou utiliser les sacs plastiques spéciaux souvent à disposition.
-        Faire attention à se déchausser à certains endroits.

À la maison :
-        Apporter un cadeau (omiyage), souvent de la nourriture, lorsque vous êtes invité chez quelqu’un.
-        Se déchausser dans l’entrée et ne pas laisser ses chaussures dans le chemin.
-        Si des chaussures d’intérieur sont à disposition les utiliser.
-        Une fois déchaussé il est d’usage de dire « ojamashimasu » (je vous dérange un peu) lorsqu’on entre chez quelqu’un.
-        Avant de partir de chez soi on dira « ittekimasu » (je pars et je reviens) ce à quoi les personnes restant dans la maison répondent « itterashai » (reviens-nous).
-        De même lorsque l’on revient chez soi on dira « tadaima » (je suis juste de retour) ce à quoi on se verra répondre « okaerinasai » (bon retour).

A table :
-        C’est à table que l’on trouve le plus de règles à respecter, surtout concernant le maniement des baguettes. Afin de bien comprendre il faut savoir que les repas japonais sont généralement constitués de plusieurs petits plats plutôt que d’un grand plat principal et que ceux-ci sont disposés au centre de la table pour que tout le monde puisse s’y servir.
-        Avant de commencer à manger, on doit dire « itadakimasu » (si possible avec les mains jointes et les baguettes tenues horizontalement entres les pouces et les index). Cette expression ne signifie pas « bon appétit » mais plutôt « merci pour la nourriture que je reçois ».
-        Avant de boire on trinque souvent en disant « kampai » (évitez « chin chin » qui désigne le sexe masculin).
-        Souvent on ne se sert pas soi-même en boisson, si vous remarquez qu’une personne à table a son verre vide vous pouvez la servir, elle fera de même pour vous. C’est surtout valable pour l’alcool.
-        Tenir son bol de riz dans la paume de la main gauche et le porter près de sa bouche avant d’y prendre le contenu avec ses baguettes (le contraire pour les gauchers).
-         Manger son riz blanc, sans mettre de sauce dessus.
-         Ne pas donner une forme arrondie à son riz dans le bol (c’est réservé au riz de Bouddha).
-        Parmi les très nombreuses règles concernant l’usage des baguettes on notera les suivantes :
-        Eviter de se servir dans les plats principaux avec ses propres baguettes si d’autres baguettes sont prévues à cet effet.
-        Ne pas pointer quelque chose ou quelqu’un avec ses baguettes.
-        Ne pas planter ses baguettes verticalement dans la nourriture, surtout le riz (ça rappelle l’encens qui brûle en hommage aux morts), ne pas non plus pendre les aliments en piquant une baguette dedans.
-        Ne pas se passer de nourriture d’une paire de baguettes à une autre (après une crémation les proches du défunt se passent les restes d’ossements de cette manière).
-        Ne pas lécher ses baguettes.
-        Ne pas pousser ou rapprocher un plat avec ses baguettes.
-        Ne pas chercher quelque chose dans le plat en bougeant les autres aliments.
-        Ne pas prendre quelque chose du côté opposé du plat mais ce qu’il y a devant soi.
-        Ne pas poser ses baguettes sur le bord de son assiette ou de son bol mais sur le repose-baguettes ou sur la table.
-        Ne pas choisir les meilleurs morceaux seulement ou hésiter en choisissant un morceau ce qui laisse penser que vous choisissez le meilleur.
-        Ne pas croiser ses baguettes ni les serrer dans son poing.
-        Ne pas faire tomber de sauce ou d’aliments de ses baguettes.
-        Ne pas mélanger les aliments avec ses baguettes.
-        Rapprocher le bol de ses lèvres et pousser les aliments dans sa bouche avec les baguettes.
-        Tenir ses baguettes à la main alors que l’on boit.
-         Il existe encore d’autres règles du même type. Ce qu’il faut surtout éviter est de planter les baguettes dans son riz et de s’échanger quelque chose de baguettes à baguettes ce qui peut vraiment choquer les personnes alentour.
-        On finit le repas avec l’expression « gochisou sama deshita » (c’était très bon et copieux).

La salle de bain :
-        On prend sa douche et on se lave avant d’entrer dans le bain qui est un bain commun, tous les habitants de la maison utilisent la même eau.
-        Pas de savon ou shampoing dans le bain, la baignoire sert à se détendre et il faut que l’eau reste claire pour les personnes suivantes.
-        Il faut aussi que l’eau reste chaude, ne pas verser d’eau froide et refermer le dessus de la baignoire après utilisation.
-        Bien sûr ne pas vider l’eau du bain qui servira aux personnes suivantes et parfois comme eau pour la machine à laver en fin de journée ou le matin suivant.

Onsen / Sentou (sources chaudes et bains publics) :
-        Mêmes règles que pour la salle de bain, douche avant d’entrer dans l’eau, pas de savon ni de shampoing dans le bain.
-        Mêmes règles que pour la salle de bain, douche avant d’entrer dans l’eau, pas de savon ni de shampoing dans le bain.
-        Les tatouages sont souvent interdits surtout s’ils sont très voyants.
-        Pas de vêtement, on entre dans l’eau totalement nu, on peut juste se munir d’une petite serviette qui peut servir à se cacher le sexe lors de ses déplacements.
-        Ne pas plonger sa serviette dans l’eau du bain, la déposer à côté de l’eau ou sur sa tête.
-        Eviter les pansements ou bandages.
-        Les bains et les vestiaires sont généralement séparés pour les hommes et les femmes. Les vestiaires des hommes sont généralement marqués du kanji bleu, pour les femmes on verra le kanji rouge. C’est la même chose pour les toilettes.

Aux toilettes :
-        Souvent on trouve des sandales spéciales pour les toilettes dans les maisons et les restaurants. Les utiliser.

Le travail :
-        Après une journée de travail ou un dur labeur accompli on congratule généralement son interlocuteur d’un “otsukaresama” pour le féliciter de ses efforts.
-        Si l’on quitte son travail avant ses collègues on utilise l’expression “o saki ni” (je pars avant vous).

En vélo (comportements sanctionnés par une amende) :
-        Ne pas utiliser de téléphone ou de parapluie en roulant (sauf si vous avez un accroche-parapluie au guidon).
-        Ne pas utiliser sa sonnette à outrance.

Autres :
-        Ne pas souffler sur une bougie ou un bâton d’encens, on les évente avec un courant d’air de la main.
-        Lors d’un mariage on donne généralement de l’argent, éviter de donner un nombre de billets pair car ça peut se diviser en deux et c’est synonyme de rupture.
-        Ne pas siffler le soir, cela attire les serpents selon une vieille superstition.
-        Pour souhaiter un bon rétablissement à quelqu’un on utilise l’expression « o daiji ni » (prenez soin de vous) avant de le quitter.