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Quelques animaux incroyables aux couleurs inhabituelles

Toutes les couleurs sont dans la nature : Pigeon de Nicobar, homard bleu, dauphin rose de l'Amazone ou rollier à longs brins... Ces noms ne vous disent peut-être rien, mais ces animaux sont pourtant particulièrement remarquables. Il faut dire qu'ils ont tous un point commun : leurs plumes, leur peau, leurs écailles ou encore leurs poils sont d'une originalité rare. En effet, ils présentent des couleurs tout à fait inhabituelles.
  • Une sauterelle rose (L'érythrisme :
Qui a dit que les sauterelles étaient toujours vertes ? 
La preuve que non avec ce spécimen qui voit la vie en rose.
Un rose très vif ! Veut-elle concurrencer les flamants ?
  • Le Rollier à longs brins : Coracias caudatus :
  • Un crustacé décapode, le homard bleu :

Si on a l'habitude de voir des homards rouges ou orangés (dans notre assiette) ou bruns dans la mer, dans les fonds océaniques, le bleu est ici de mise.
  • Un (très bel) oiseau bicolore :
Après les chewing-gums bi-goût… le bicolore : bleu et vert !

  • Une surprenante limace rouge vif !

Sans vouloir la vexer, on a d’abord pensé qu’on était face à un poivron écrasé. Il faut dire que sa robe rouge vif peut prêter à confusion.
  • Un miro incarnat (Petroica rodinogaster) :

Une tête noire pour un corps tout rose, le miro incarnat serait-il une version plus soft du rouge-gorge ? On aime en tout cas la douceur de sa pink attitude.
  • Un insecte : Mante orchidée.

Quel coup de bluff ! Cette mante présente des couleurs étonnantes qui lui permettent de ressembler à la fleur du même nom. Un jeu de chaises musicales auquel s’adonnent aussi les végétaux.
  • Un magnifique paon blanc :

Si les paons sont connus pour leur roue colorée aux reflets bleus et or, celui-ci a préféré opter pour le blanc immaculé. Tout aussi impressionnant au final !
  • Un escargot violet :

Même les escargots peuvent s'y mettre en matière de couleurs : la preuve avec ce spécimen tout violet. Sa coquille ressemble à du nacre aux reflets pourpres. Sublime !
  • La grenouille-taureau Hoplobatrachus Tigerinus :

La grenouille-taureau Hoplobatrachus Tigerinus fait aussi dans l'originalité avec ses joues toutes bleues. On ne lui trouverait pas un air de ressemblance avec la princesse Leia et sa coiffure composée de macarons ?
  • Un drôle de homard bicolore :

Parfois dans la vie, on a du mal à faire des choix. Après le homard bleu, celui-ci a décidé d’arborer deux couleurs. Un moyen de déstabiliser les prédateurs ?
  • Le serpent Diadophis punctatus regalis :

Ne cherchez plus ! On a trouvé le serpent le plus coloré du monde. Il s’agit du Diadophis punctatus regalis. Cela permettra-t-il à ses victimes de voir la vie en rose ? On en doute.
  • Le Pigeon de Nicobar :

Oubliez les pigeons gris. Le Pigeon de Nicobar lui fait dans le multicolore et se pavane fièrement avec ses plumes dignes de la palette des plus grands peintres !
  • La Fourmi de velours, rouge et noir :

La Fourmi de velours peut arborer des couleurs tout à fait originales et même être fan de la chanson de Jeanne Mas « En rouge et noir ».
  • Un écureuil blanc :

Pas facile pour cet écureuil de se fondre dans le paysage avec sa robe toute blanche. On apprécie le changement même si on a toujours un coup de cœur pour sa version rousse. Mais le blanc lui va aussi très bien surtout les jours de neige.
  • Le Cardinal rouge (Cardinalis cardinalis) :

En plus de sa houppette, l’oiseau arbore une surprenante robe bicolore : blanche et pourpre cardinalice. Son nom n’a pas été trouvé par hasard, dans la religion catholique le rouge est la couleur des cardinaux.
  • Un criquet arc-en-ciel :

Pour lui, c’est tous les jours la Fashion Week. Hors de question de passer inaperçu ! Ce criquet défile avec une tenue naturelle qui décline tous les nuanciers du monde de la couleur.
  • Le coq Ayam Cemani :

Pas de crête rouge pour ce coq Ayam Cemani. Son truc à lui c'est le noir. Aurait-il lu trop de magazines de mode ? Mais après tout, pourquoi pas : ne dit-on pas que le noir va avec tout ?
  • Le crabe Halloween :

Ce Crabe Halloween porte plutôt bien son nom, non ? Nul besoin de s’acheter chaque année un déguisement. On aura du mal à croire que derrière cette carapace bigarrée se cache un crabe.
  • Le Dauphin rose de l'Amazone :

Flipper n’en revient pas ! Son joli gris risque de passer complètement inaperçu à côté de son cousin légèrement plus flamboyant. Il peut d’autant plus être jaloux que le Dauphin rose de l'Amazone a été décrété « Trésor national ».

Source : Ould Lablad

Quelques oiseaux de mer, les plus populaires

  • Mouette
Oiseau côtier, la mouette fait partie des espèces les plus communes de nos littorales. On distingue plus de 8 variétés différentes de mouettes comme la mouette rieuse, à queue fourchue, blanche, rosé, de sabine, obscure, tridactyle, scopuline. Cet oiseau est devenu célèbre notamment grâce à son cri, le fameux cri des mouettes si distinctif.


  • Pélican
Oiseau disgracieux pouvant pesé plusieurs kilogrammes. Effectivement, les pélicans ont une morphologie bien particulière, notamment la poche extensible située sous leur énorme bec. Grand oiseau atteignant près de 3 mètres d'envergure, les pélicans fréquentent essentiellement les étendues d'eau libre, on les retrouve sur les côtes et à l'intérieur des terres. Vivant principalement dans les régions tropicales jusqu'aux zones tempérées.


  • Albatros
Ces volatiles détiennent le record, les plus grandes envergures de toutes les espèces d'oiseaux actuels avec près de 3.4 mètres. Avantage certain de posséder de si grandes ailes, une capacité à planer hors du commun, la possibilité de voyager sur de grandes distances, cependant cette envergure exceptionnelle n'a pas que des avantages, effectivement, les albatros ressentent de grande difficulté à prendre leur envol.


  • Cormoran
Le cormoran se classe parmi les oiseaux aquatiques moyens, atteignant jusqu'à 100 cm d'envergure. Il possède un corps fin et allongé, son bec crochu est particulièrement puissant. Pesant près 3,5 kilogrammes pour un mâle adulte. Excellent nageur, il peut ainsi plonger en apnée jusqu'à une quarantaine de mètres de profondeur ce qui permet à l'oiseau d'attraper facilement ses proies.


  • Manchot
les pingouins sont des oiseaux vivant essentiellement en colonie de plusieurs milliers voir centaines de milliers d'individus. Se nourrissant principalement de poissons et de petits crustacés, la mise à l'eau du pingouin reste toujours une épreuve, effectivement l'animal n'hésite pas à se jeter du haut des falaises pour pouvoir attraper ses proies. Le pingouin est l'une des rares espèces à pondre qu'un seul œuf, et cela, une fois par an. On estime actuellement la population des pingouins à 700 000 couples.




  • Goéland
les goélands ressemblent étrangement à une mouette, il arrive fréquemment de confondre les deux espèces. On retrouve essentiellement le goéland proche des rivages, effectivement cette espèce ne s'éloigne guère des côtes. Concernant l'alimentation du goéland, l'oiseau n'est pas difficile, il se contente généralement d'animaux marins et parfois en cas de vache maigre, de charognes. Il existe actuellement une trentaine de variétés différentes.


  • Pingouin
es pingouins sont des oiseaux vivant essentiellement en colonie de plusieurs milliers voir centaines de milliers d'individus. Se nourrissant principalement de poissons et de petits crustacés, la mise à l'eau du pingouin reste toujours une épreuve, effectivement l'animal n'hésite pas à se jeter du haut des falaises pour pouvoir attraper ses proies. Le pingouin est l'une des rares espèces à pondre qu'un seul œuf, et cela, une fois par an. On estime actuellement la population des pingouins à 700 000 couples.


 

Ces oiseaux qui battent tous les records

Ces cinq oiseaux fascinent et intriguent les scientifiques.
  • Le faucon pélerin plonge à près de 400 km/h 
Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu’il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n’est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.





  • Le martinet peut passer 200 jours sans se poser
L’étude a été publiée dans la revue Nature Communications, en 2013. Des chercheurs de la Station ornithologique suisse ont doté des martinets à ventre blanc de capteurs miniatures pour suivre la migration de ces derniers entre l'Europe et l'Afrique de l'Ouest. Surprise : les données ont montré que les oiseaux étaient restés en vol 200 jours et nuits d’affilée, soit plus de six mois, sans jamais se poser. Pour se nourrir, pas de mystère, le volatile jette son dévolu sur des insectes volants. Mais comment se repose-t- il ? Les scientifiques ont émis plusieurs hypothèses : ce martinet pourrait dormir par phase de quelques secondes, utiliser une moitié de son cerveau pendant que l'autre moitié se repose ou, tout simplement, ne pas dormir du tout. Infatigable !




  • La doyenne des oiseaux est un albatros ... et elle pond toujours
C’est le plus vieil oiseau sauvage connu : Wisdom (« Sagesse ») est une femelle albatros de Laysan, de l’atoll américain Midway, dans le Pacifique. Elle a été baguée à la patte droite en 1956 par le biologiste Chandler Robbins, qui estimait qu’elle avait déjà atteint son âge adulte. Puis, silence radio pendant quarante-six ans. Le scientifique la perd de vue… jusqu’à sa réapparition inattendue sur l’atoll en 2002. Aujourd’hui, l’âge de Wisdom est estimé à 66 ans minimum. En décembre dernier, le Service de la pêche et de la vie sauvage des États-Unis (USFWS) indiquait qu’elle avait été repérée, en pleine forme, dans l’atoll Midway. Elle avait rejoint son lieu de ponte habituel pour couver un œuf.


  • Les sternes arctiques détiennent le record du vol le plus long
Elle pèse à peine 100 g mais la sterne arctique, petit oiseau au bec rouge, à la tête noire et au plumage blanc, est endurante. En 2015, des chercheurs britanniques de l’université de Newcastle ont réussi à munir vingt-neuf individus des Îles Farne, au nord-est de l’Angleterre, de puces GPS avant le début de leur migration, fin juillet. À son retour au printemps 2016, l’un d’entre eux avait pulvérisé le record du vol le plus long jamais enregistré : 96 000 km ! Son parcours ? Une première étape en Afrique du Sud, un passage dans l’océan Indien pour atteindre les côtes de l’Antarctique, puis retour en Angleterre par le même chemin. Le record précédent, qui s’élevait à 91 000 km, était déjà détenu par une sterne arctique, originaire des Pays-Bas.

  • Le courlis d'Alaska a semé les scientifiques pendant presque deux siècles.
Une belle aventure scientifique signée National Geographic. Tout commence en 1769, plus d’un siècle avant la création de la National Geographic Society. Le ministère de la Marine britannique mandate le capitaine James Cook pour une expédition dans l’océan Pacifique. Un an plus tard, le navigateur jette l’ancre dans l’archipel de Tahiti. Des naturalistes de son équipage font une collecte inédite : des courlis, Numenius tahitiensis, au long bec effilé. Problème : aucune trace de leurs œufs. Les années suivantes, des indices suggèrent que l’aire de nidification du volatile pourrait se trouver à plus de 9500 km de là, en Alaska. Mais le mystère demeure, la science patine. Jusqu’à ce qu’un ornithologue passionné s’empare de l’affaire près de deux siècles plus tard. En 1948, le professeur Arthur Allen reçoit le soutien de la Society pour résoudre l’énigme. Il suit les traces de l’oiseau jusqu’à la péninsule de Seward, sur la côte ouest de l’Alaska… Enfin, en juin, un télégramme lapidaire arrive au siège social de la Society : « Avons trouvé nid du courlis. » Quatre œufs camouflés dans une touffe de lichens venaient d’être découverts par le fils d’Allen. Mission accomplie !



Source : Ould Lablad

À quelle vitesse la Terre se déplace-t-elle dans l’espace ?


Dans l’Univers, la quasi-totalité des objets sont en mouvement. Des comètes aux astéroïdes, en passant par les étoiles, les planètes, les galaxies et même les amas de galaxies, tous ces objets se déplacent constamment. C’est donc également le cas pour la Terre qui, en plus d’évoluer autour du Soleil, effectue également une rotation sur elle-même. Quelles sont les vitesses de ces mouvements ?
La Terre est en mouvement constant. En tournant autour du Soleil, la Terre tourne également sur son axe. Alors, à quelle vitesse la Terre se déplace-t-elle ? En d’autres termes, à quelle vitesse tourne-t-elle sur son axe et à quelle vitesse tourne-t-elle autour du Soleil ? Et pour aller encore plus loin, à quelle vitesse le Système solaire orbite-t-il autour de la Voie lactée ?


La Terre tourne sur elle-même environ une fois toutes les 24 heures (ou, pour être précis, toutes les 23 heures, 56 minutes et 4 secondes). La Terre fait 40 070 kilomètres de circonférence, donc lorsque l’on divise la distance par le temps, cela donne une vitesse de rotation de 1670 km/h. La Terre tourne autour du Soleil à environ 110 000 km/h. Les astrophysiciens déterminent cela en prenant la distance parcourue par la Terre autour du soleil et en la divisant par le temps que la Terre met pour terminer une orbite (environ 365 jours).

Animation montrant la rotation et la révolution de la Terre :

  • Terre, Système solaire et Voie lactée : des objets en mouvement
Pour calculer la distance de la Terre autour du Soleil, il faut simplement déterminer la circonférence d’un cercle. Nous savons que la Terre est située, en moyenne, à environ 149.6 millions de km du soleil, et nous savons qu’elle se déplace généralement selon une trajectoire circulaire (c’est en fait plus elliptique, mais il est plus simple de faire cette équation avec un cercle). Cette distance entre le Soleil et la Terre est le rayon du cercle. Pour obtenir la circonférence de ce cercle, l’équation est 2*pi*rayon, ou 2*3.14*149.6 millions de km. Une fois que la circonférence (la distance parcourue par la Terre autour du Soleil sur une orbite) est calculée, sa vitesse orbitale peut être déterminée.

Le Système solaire, qui comprend notre soleil et tous les objets en orbite autour, est également en mouvement ; il est situé dans un bras de la Voie lactée, qui orbite autour du centre de la galaxie. Les astronomes savent que ce bras de la Voie lactée est en orbite autour d’un centre galactique sur la base d’observations d’autres étoiles. Si des étoiles très éloignées semblent se déplacer, c’est parce que le Système solaire se déplace par rapport à la position relative de ces étoiles éloignées.



Vidéo expliquant en détail le mouvement du Système solaire autour du centre galactique :


En étudiant les mouvements d’autres étoiles par rapport au Soleil, les astrophysiciens ont déterminé que le Système solaire orbite autour du centre galactique de la Voie lactée à environ 720 000 km/h. Ensuite, il y a toute la Voie lactée, qui est tirée dans différentes directions par d’autres structures massives, telles que d’autres galaxies et amas de galaxies. Tout comme les chercheurs peuvent dire que le système solaire se déplace en fonction du mouvement relatif d’autres étoiles, ils peuvent utiliser le mouvement relatif d’autres galaxies pour déterminer à quelle vitesse la Voie lactée se déplace dans l’Univers.
  • Vitesses et ressenti
Même si tout bouge tout le temps, les organismes vivants à la surface de la Terre ne le ressentent pas pour la même raison que les passagers d’un avion ne ressentent pas non plus la vitesse en vol. Lorsque l’avion décolle, les passagers ressentent l’accélération de l’avion alors qu’il accélère sur la piste et décolle ; cette sensation de poids est causée par la vitesse changeante de l’avion. Mais une fois que l’avion vole à l’altitude de croisière, les passagers ne ressentiront plus la vitesse car celle-ci ne change pas.
Les passagers ne sentiront pas la vitesse parce qu’ils se déplacent en fait à la même vitesse et dans la même direction que l’avion. Il n’y a pas de mouvement relatif ; tout les passagers assis dans l’avion se déplacent à la même vitesse que l’avion lui-même. La seule façon pour les passagers de remarquer leur mouvement et celui de l’avion est de regarder par la fenêtre le paysage qui défile. Pour les humains qui se trouvent à la surface de la Terre, ils ne sentent pas la Terre évoluer autour du Soleil car ils tournent également autour du Soleil à la même vitesse.