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Les marabouts encore vénérés à Ain défali.

Bien que relativement inhabituelle pour la plupart des Musulmans, la tradition des Marabouts, des hommes saints, et des demandes de faveurs continue d’être observée à Ain défali en particulier et au Maroc en général.. Les gens qui cherchent la guérison, une aide ou des conseils se rendent sur les tombes de ces notables pour des prières collectives.


Ain Défali compte une dizaine de Marabouts (Sidi M’hamed El Aoula, Sidi Khadir, Sidi M’hamed El Bekkari, Sidi El Alem, Sidi M'hamed Ben Messaoud,etc…) qui gardent encore une place particulière dans la vie de bon nombre de Gharbaouis. Les temples qui abritent les tombes de ces saints continuent d’être visités en masse par des jeunes et des moins jeunes. Bien qu’il ne soit pas habituel dans l’Islam de prier ces saints, cette pratique ancestrale perdure pour ceux qui viennent se recueillir ou demander une faveur.
Les Marabouts, également appelés walis, Moul Al Baraka, Said, cherifs ou saints, sont en général enterrés dans de petites chapelles. A l’intérieur, on retrouve toujours la même scène : des pèlerins, hommes et femmes, assis autour du tombeau tandis que d’autres se couvrent la tête du drap du saint homme et restent un long moment sans bouger comme pour se confesser.
Parmi les visiteurs qui affluent au marabout, on trouve notamment des jeunes filles venant exposer leurs problèmes au wali. Certaines croient encore que la baraka de ces saints existe bel et bien. Les pèlerins lui rendent régulièrement visite pour avoir un apaisement moral et vaquer par la suite à leur occupation en toute quiétude. Quand ils tardent à s’y rendre, c’est le saint homme qui vient les voir dans leurs rêves pour les signaler qu’ils doivent le consulter.



Les tombeaux des Marabouts sont également des lieux de rencontre régulière. Les personnes démunies y affluent chaque vendredi pour manger le couscous servi par des bienfaiteurs, et des festivals annuels tels que le Moussem continuent d’attirer des centaines de milliers de gens. Outre la prière et les demandes de bénédiction, le Moussem est aussi une occasion de retrouver des amis et des parents qui habitent loin. Certains profitent même de cette occasion pour trouver un mari ou une femme pour leurs enfants.
Ceux qui se recueillent aux temples des saints nourrissent mille et un espoirs et implorent la Baraka du Marabout.
Chaque Marabout est réputé pour une compétence particulière qui le distingue des autres. Chaque saint est jugé selon ses "miracles" et les histoires mystiques qui circulent à son propos. Et c’est cet aspect merveilleux qui est le seul capable de satisfaire la mentalité d’une certaine catégorie de personnes dont la nourriture culturelle est, sans conteste, l’imaginaire.
Les gens ont souvent recours en même temps aux méthodes traditionnelles et à la médecine moderne. Même si certains patients se rendent chez un psychiatre, ils continuent à avoir recours aux compétences d’un guérisseur traditionnel, et aux méthodes de prise en charge traditionnelle de la souffrance psychique, qui sont nombreuses : pèlerinage aux marabouts, transe... Cela peut avoir un effet bénéfique pour les personnes atteintes de troubles légers et croyant aux vertus des saints. Mais, pour les autres, ce n’est pas le cas.

Les hirondelles de l’amour


Les soldats marocains qui ont occupé l’Autriche pendant l’été 1945 ont engendré, sans le savoir, des centaines d’enfants. Après une vie marquée par la discrimination, certains ont entrepris de se réconcilier avec leurs racines paternelles. Reconstitution d’un volet méconnu de notre histoire.


Ces enfants ont tous en mémoire une insulte lancée par un voisin ou un camarade d’école. “Poupée nègre”, “diable noir”, “sale Marocain”. Comme eux, 200 à 300 enfants nés dans le Vorarlberg
en 1946, neuf mois après le bref séjour des troupes marocaines de l’armée française, n’ont pas eu de chance. Contrairement aux autres Kriegskinder (enfants de la guerre), comme les rejetons des soldats français, ils avaient le teint trop brun ou les cheveux trop frisés pour passer inaperçus. Dans une Autriche encore marquée par la propagande nazie, il n’en fallait pas plus pour être rejeté par la société. Dans cette région rurale et très catholique, avoir un enfant hors mariage a valu à ces mères autrichiennes injures et humiliations, au point que beaucoup d’entre elles ont refusé, jusqu’à la fin de leur vie, de parler de ce fameux été 1945. L’été des Marocains.


Voilà deux ans que près de 30 000 jeunes soldats marocains (tirailleurs, goumiers ou spahis) se battent en première ligne de l’offensive alliée lancée en 1943 depuis l’Afrique du Nord. Ils ouvrent plus d’une voie difficile en remontant vers le fief des nazis : Tunisie, Sicile, Corse, Italie, Provence, Alpes, Vosges… Le 31 mars 1945, le sacrifice de plusieurs régiments marocains permet aux alliés de franchir le Rhin. Début mai, après les dernières batailles en Allemagne, les Français envoient une bonne partie des troupes marocaines occuper l’ouest de l’Autriche (le Vorarlberg). Dans ce petit paradis de forêts et de lacs, nous sommes loin des actes de cruauté rapportés en Allemagne, dictés par le désir de vengeance. L’occupation française est plutôt bien acceptée dans le Vorarlberg, y compris ses régiments “exotiques”. « En ces temps de pénurie, il n’était pas rare que des soldats marocains risquent des punitions disciplinaires pour avoir puisé dans les stocks de l’armée française et donné des aliments aux habitants ».
Ces petits cadeaux de nourriture ajoutent au charme des soldats, aux yeux des femmes du pays. “Dès qu’il vous amène du chocolat / ça vous est égal, quelle couleur il a…”, dit l’une des chansons humoristiques qui circulaient à l’époque. Nul doute qu’elles étaient composées par des hommes autrichiens exaspérés par les flirts entre Marocains et Autrichiennes. Les jeunes soldats, issus en majorité de l’Atlas et rarement âgés de plus de 25 ans, écument les bals populaires et leur présence déclenche souvent des rixes avec les rivaux autrichiens. Leur succès auprès des femmes repose sur de multiples raisons. “Beaucoup de femmes étaient séparées de leur mari depuis longtemps, et parfois savaient qu’il ne reviendrait pas de la guerre. Certaines avaient eu des relations avec les soldats allemands et voulaient se racheter, puisque le vent venait de tourner. Pour la même raison, les soldats engagés dans l’armée nazie, quand ils revenaient, n’étaient pas en position de protester contre ces relations”. Les jeunes filles, elles, font ce que font les jeunes filles?: elles tombent amoureuses. “Même si on a signalé quelques viols, la plupart des relations entre les Autrichiennes et les Marocains étaient bien des flirts, voire d’authentiques histoires d’amour”.
Mais ces amours ne durent pas plus d’un été… Dès la mi-septembre, les hirondelles repartent. Le commandement français de l’armée procède au “blanchiment” de ses troupes d’occupation. Des raisons psychologiques sont invoquées : les régiments dits “de couleur” feraient peur à la population. Mais il s’agit probablement, avant tout, d’une décision politique destinée à “remettre les colonies à leur place”. Rapidement, tous les Marocains sont renvoyés dans le Sud de la France. Certains partent en Indochine ou à Madagascar, les autres rentrent au pays. La plupart de ceux qui ont engrossé une Autrichienne l’ignorent. Ceux qui reviennent font l’exception. Deux d’entre eux se sont mariés et ont fait leur vie en Autriche”. Pour toutes les autres mères, le départ des pères marque le début d’un cauchemar. Beaucoup accouchent discrètement auprès des autorités militaires françaises et se voient offrir la possibilité de donner leur bébé en adoption en France. Celles qui gardent leur enfant vont le payer très cher. On les appelle généralement “putes de nègre” et parfois on leur interdit d’entrer à l’église. Toutes sont marquées pour la vie.
Enfants de l’amour ou enfants de la guerre ?
Plus encore que des insultes, ces enfants ont souffert du mystère qui entoure leurs origines.
Après tant d’années de silence et d’inhibitions, ces “enfants des Marocains” à l’âge mûr (et souvent à la mort de leur mère) sont partis à la recherche du père (même si les chances sont minimes), ou du moins de son pays d’origine.


Au Japon, le travail tue !

Des milliers de japonais sont victimes chaque année de mort par épuisement au travail. Poussés jusqu'à leurs limites certains travailleurs japonais bossent littéralement à mort. Les dirigeants japonais commencent à prendre conscience du danger de santé public que cela représente et tentent d'endiguer le phénomène. Malheureusement dans un contexte de crise économique mondiale, on pourrait assister à une croissance du nombre de décès.



Les travailleurs affirme souffrir du stress nuit et jour. "Ils bossent comme des dingues et l'atmosphère est électrique, en particulier lors des périodes les plus chargées quand tout le monde est forcé de travailler jusque tard dans la nuit."
La coutume japonaise qui veut que les employés d'une même entreprise ou d'un même service aille boire un verre ensemble après les heures de travail ne contribue pas à faire baisser le stress, "Très souvent lorsqu’ils sortent entre collègues, ils ressassent les problèmes de la journée. En fait, Il n'y a pas de moment de répit".
Les japonais ont nommé ce problème "karoshi" ou "mort par overdose de travail". Et le contexte économique n'est pas là pour améliorer la situation, avec la baisse des exportations japonaises les entreprises menacent de licencier. Le moral des travailleurs est en berne et leur stress en augmentation.
L'impact de ce stress ne prend pas les mêmes proportions chez tout le monde, pour certains il est juste ennuyeux chez d'autres il se traduit par des problèmes de circulation sanguine ou d'artériosclérose.



Quels sont les bienfaits des fèves ?



Le Programme National Nutrition Santé recommande de consommer des féculents à chaque repas. Les légumineuses peuvent être associées à des légumes, comme accompagnement ou constituer l’ingrédient de base d’un plat complet. On trouve la fève fraiche de mars à juillet. Elle est aussi disponible sous forme sèche toute l’année. Deux ou trois cuillères à soupe bien pleines (ou deux ou trois poignées) correspondent à peu près à une portion d’adulte.


       


Pour les personnes consommant peu ou pas de protéines animales, il est intéressant de combiner les légumineuses et les produits céréaliers : leurs protéines sont en effet complémentaires. Les associer régulièrement permet de mieux compenser l’absence de protéines animales, et d’éviter toute déficience en acides aminés essentiels.
Les fibres alimentaires et les protéines végétales contenues dans les légumineuses seraient associées à divers effets bénéfiques sur la santé. De nombreuses études ont en effet démontré qu’une consommation régulière de légumineuses pouvait diminuer le risque de diabète, de maladies cardiovasculaires, et de cancer colorectal.

Portraits des touristes : les pires restent les Français !

Les Japonais restent les meilleurs touristes au monde. Quant aux Français, ils conservent leur place de mauvais élève en se classant dans le trio de tête des pires touristes au monde.

Les Japonais élus « meilleurs touristes… au monde » :
Ce sont les « meilleurs touristes au monde » devant les Allemands et les Britanniques ex-æquo, suivis des Canadiens.
Ils semblent incarner à merveille l’art du savoir-vivre en voyage. Ils sont appréciés pour leur comportement général, leur discrétion, leur courtoisie, leur facilité à mettre la main au porte-monnaie, ils ne se plaignent jamais et ont donc toutes les qualités du « vacancier idéal ».
Les Japonais meilleurs touristes, oui, mais quand même ! Quasi parfaits, ils rencontrent néanmoins quelques difficultés à parler la langue du pays visité : ils arrivent ainsi à la 3ème position des touristes les plus réfractaires à converser avec les hôteliers des pays visités, derrière les Chinois, eux-mêmes devancés par les Français qui emportent la palme des touristes pratiquant le moins la langue du pays qu’ils visitent.
Ils éprouvent par ailleurs un manque d’intérêt flagrant pour la cuisine locale. Inutile donc de leur présenter foie gras, fajitas et autre carbonnade flamande, ils vous remercieront très poliment, mais peu de chance qu’ils touchent à leur assiette.



Les Français, les pires :
A la tête du classement des mauvais élèves, caracolent les Chinois, suivis de près par les Indiens et les Français !
Les hôteliers invoquent des raisons diverses et variées : les Français parce qu’ils se plaignent toujours autant, les Chinois parce qu’ils ne prêtent guère attention à leur « look », les Indiens parce qu’ils ont, selon eux, une autre idée de la propreté mais aussi, et c’est sans doute la principale raison, parce que l’ensemble de ces touristes dispose d’un budget serré pour voyager, ce qui leur interdit toute dépense futile.
Les Français se classent donc dans le trio de tête des pires touristes au monde.



Les Américains, les plus râleurs :
S’il est un luxe que les touristes s’octroient en vacances, c’est bien souvent de se plaindre… Jamais contents les Américains ?
Toujours à redire les Allemands ?
Des vrais râleurs les Français ?



Les Italiens, fashion victims :
Exit les bermudas, tee-shirts promotionnels et autres casquettes à visière... Les Italiens sont bien au dessus de ça. Fidèles à leur réputation de « fashion victims » habitées du culte du bon goût et de l’élégance, pour lesquels le monde idéal serait fait de marques de luxe, de lunettes fumées et de chemises cintrées, nos éternels rivaux en matière d’habillement prouvent une fois de plus que le dressing code à l’italienne fait d’eux les touristes les mieux habillés au monde.



Les américains, avides de nouvelle cuisine :
Ce sont eux qui font le bonheur des restaurateurs tant leur appétit et leur envie de découvrir des sensations inédites sont insatiables. Couleur, aspect, odeur, présentation… Ils sont avides de tout et goûtent avec plaisir les plats locaux. Une curiosité qui prouve que ces épicuriens savent profiter un maximum de leurs vacances.
Longtemps réputés pour leurs goûts si particuliers en matière de cuisine, les Britanniques se montrent souvent volontaires, enthousiastes et prêts à se laisser guider par des restaurateurs impatients de leur faire connaître les spécialités du pays.
Les Français sont les plus intéressés par la cuisine locale des pays visités. Ils sont plus sensibles aux cuisines exotiques
A l’inverse, les Chinois, les Indiens, et les Japonais auraient plus de mal à s’accoutumer aux cuisines locales des pays visités.

Le roi de la pop, Michael Jackson, est mort à 50 ans.


Surnommé “Bambi , Michael Jackson, superstar de la musique populaire, est mort brutalement aujourd’hui, à 21 heures 26 minutes, à l’âge de 50 ans au centre hospitalier de l'université de Californie.

Le chanteur, né le 29 août 1958 à Gary, dans l'Etat de l'Indiana, septième enfant d'une fratrie de neuf, père de trois enfants (Prince Michael I, Paris Michael et Prince Michael II ), a fait irruption sur la scène musicale dès l'âge de 11 ans avant d'obtenir un succès planétaire au début des années 1980 puis de vivre une vie recluse et excentrique.


La disparition du roi de la pop, artiste phare de la fin du XXe siècle, artiste spectaculaire, une icône de la musique, a provoqué une vague d'émotion à travers la planète.

L'album "Thriller", sorti en 1982, s'est vendu à 118 millions d'exemplaires dans le monde, un record inégalé

dans l'histoire de la musique.

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Le plus vieil ancêtre de l’éléphant a été identifié au Maroc

Des chercheurs franco-marocains ont découvert Eritherium, le plus vieil ancêtre de l’éléphant, dans un gisement de phosphates au Maroc. Ce petit mammifère ne possédait ni trompe ni défense et ne pesait pas plus de 5 kilos. Il vivait il y a environ 60 millions d’années, au début de l’ère tertiaire. Cette découverte permettra de mieux comprendre l’évolution des mammifères placentaires.



Les hirondelles de la mort.


c’est l’étrange surnom que l’armée d’Hitler donnait aux soldats marocains Pourtant, à l’origine, il était plutôt flatteur. L’expression est née chez les Allemands pendant la première guerre mondiale, après plusieurs combats menés au printemps. Un poème écrit en 1915 par un officier évoque pour la première fois ces « hirondelles » qui annoncent, avec leurs capuches sombres, non pas le printemps, mais une mort certaine. Le surnom s’appliquait au départ à certains régiments particulièrement coriaces, comme le premier régiment de tirailleurs marocains (1er RTM), avant de prendre le sens de « soldat nord-africain ». En plus des tirailleurs, les troupes marocaines comprennent des régiments d’infanterie, des spahis (cavaliers), et des tabors (unités auxiliaires composées de goumiers). Ces unités réputées ont pris part aux deux guerres mondiales, mais aussi à toutes les guerres coloniales. Ainsi, les soldats marocains sont largement utilisés par les Français dans la guerre d’Indochine (1946-1954). Beaucoup rejoignent alors les indépendantistes du Viet-Minh et s’installèrent au Vietnam. Même après l’indépendance du Maroc, ils y sont vus comme des dissidents potentiels : Hassan II ne les autorise à rentrer au pays qu’en 1972.

Victimes de la crise, les expatriés reviennent au Maroc

Rattrapés par le chômage dans une Europe en récession, nombre d'immigrés marocains partis pour mieux gagner leur vie retournent au pays où ils vivent d'expédients en attendant des jours meilleurs de l'autre côté de la Méditerranée. Beaucoup d'entre eux se retrouvent le week-end au marché pour y vendre de l'électroménager ou des vêtements d'occasion venant d'Espagne ou d'Italie.

Le Maroc, dont le marché du travail ne répond pas à la pression démographique, compte plus trois millions d'expatriés. L'argent qu'ils font parvenir à leurs familles représente une part importante de l'économie nationale et contribue à équilibrer des comptes marqués par la dépendance énergétique. La vie est plus facile au Maroc qu'en Europe maintenant. On n'a jamais vu autant de gens affamés que là bas et, Il n'y a plus de travail, même pour un étranger avec un permis de séjour. En Italie, les gens, en particulier des Marocains, sont proches de la famine. Ils passent leurs journées dans les mosquées sans manger, à fumer et à boire. Quelques uns ont décidé de rentrer au Maroc et de travailler ici, mais ils gardent leur permis de séjour dans l'espoir que ça s'arrange en 2010.. Les incitations au retour adoptées par les autorités espagnoles avaient été un échec. Seuls 4.000 immigrés ont eu recours à ce dispositif, alors que Madrid visait 100.000 rapatriements.

Solstice d’été : le 21 juin 2009, l’été arrive !

L'arrivée de l'été, qui se produit le 21 juin au solstice d'été, constitue un évènement d'importance puisque qu'elle coïncide avec l'approche des vacances et permet à chacun d'abandonner enfin ses vêtements chauds. Adieu imperméable et chaussures fermées, vive les sandales et les manches courtes !

Qu'est-ce que le solstice d'été ?

Le solstice d'été, qui a lieu généralement le 21 juin, correspond au jour lumineux le plus long de l'année. C'est le jour où la terre est le plus éloignée du soleil, mais également où son inclinaison permet à l'hémisphère nord de bénéficier du rayonnement maximal. Le solstice d'été est fêté depuis des temps immémoriaux. Cette fête était déjà célébrée par les peuples païens. On allumait un immense feu de joie symbolisant la lumière du soleil.

Les précautions de saison...

Si le plaisir est grand d'offrir enfin aux doux rayons du soleil nos bras et jambes nus, n'oublions pas les bons réflexes et adoptons rapidement lunettes de soleil et crème solaire. Contrairement à ce que pensent bon nombre de personnes, la crème solaire n'est pas réservée à l'exposition au soleil lors des vacances à la plage ! Se protéger en ville, à la campagne, à la montagne, est également indispensable dès lors que le soleil brille. Une astuce intéressante permet de ne pas oublier de se protéger, en toutes circonstances : remplacer sa crème de jour habituelle par une crème hydratante enrichie en filtres solaires. N'oubliez surtout pas de protéger les enfants : crème solaire et casquette seront leurs meilleurs alliés, ainsi que des vêtements léger mais couvrants. Bon à savoir : avant l'age de 3 ans la peau des enfants est particulièrement vulnérable aux rayons nocifs, il faut donc redoubler de vigilance avec les bébés et ne pas les exposer au soleil. Pour les sorties de bébé, adoptez les horaires les plus sûrs : jusqu'à 11 heure le matin, et après 17 heure l'après-midi.

Tanger Med s'agrandit avec Tanger Med 2 et se dote d'infrastructures routières et ferroviaires.

Nouveau temps fort du gigantesque chantier lancé en 2003 : l’inauguration par le roi Mohamed VI du second port en eau profonde.


Malgré la crise, les autorités marocaines maintiennent leur volonté de passer le grand braquet. Et le gigantesque chantier « structurant » lancé en 2003 dans le nord du royaume va connaître un nouveau temps fort avec l’inauguration par le roi Mohammed VI du projet du second port en eau profonde de Tanger-Méditerranée.

Tanger-Med II est un projet piloté par l’Agence spéciale Tanger-Méditerranée (ASTM Les chiffres annoncés pour cette deuxième phase sont très ambitieux: les deux nouveaux terminaux doivent accueillir à partir de 2012 quelque 5 millions de conteneurs EVP (équivalent vingt pieds), qui vont s’ajouter aux 3 millions actuels qui transitent par Tanger-Med I. Soit un total de 8 millions de conteneurs, un volume qui devrait faire de Tanger le premier port marchandises du continent africain, à 14 km des côtes européennes.

Circuler dans le Maroc septentrional donne une idée de ce chantier structurant. Autoroutes, zones franches, voies ferrées, assainissement: une véritable toile économique est en train de se tisser autour du nouveau port.

Et c’est une nouvelle ambassade économique du continent africain que le Maroc peut déjà présenter à ses partenaires européens avec qui il a conclu un « statut avancé ».

HISTOIRE DES JUIFS DU MAROC.

L'ANTIQUITE :
L'histoire des juifs d'Afrique du nord se confond avec la création de Carthage par les Phéniciens , il y a 28 siècles , et le développement de comptoirs commerciaux de la Tunisie au Maroc.
Des témoignages existent sur le commerce que les juifs du Maroc pratiquaient avec les romains , des le IVe siècle avant JC.
Ces premières communautés seront rejointes par les juifs de la première diaspora , lors de destruction du Temple de Jérusalem , en 581 avant notre ère.
Des villes comme Sala (près de la Rabat actuelle) et Ifrane deviennent des centres importants de négoce pour les juifs du Maroc pratiquant le commerce de l'or et du sel.
Au début de l'ère chrétienne , les romains envahissent la région , sans que les tribus juives et berbères n'opposent une très grande résistance , et donnent au Maroc le nom de Mauritanie.
Des traces archéologiques attestent d'une présence juive importante dans ces nouvelles provinces romaines.
A partir du IIe siècle , le christianisme commence a pénétrer au Maroc et trouvera même un certain écho , auprès de quelques tribus juives.

PERIODE PRE-ISLAMIQUE :
Au début du Ve siècle , les Vandales commencent a envahir le Maroc et , en 430 , chassent les Romains de l'Afrique du Nord.
Sous l'occupation vandale les juifs connaissent une très grande liberté de culte et ce pendant un siècle.
En 533 , les chrétiens de Byzance envahissent à leur tour le Maghreb.
Les juifs vont alors connaître une période très sombre , avec conversions forcées , brimades , culte restreint et persécutions , ce qui n'empêchera pas , au début du VIIe siècle , l'arrivée de juifs venus d'Espagne et persécutes par les wisigoths.

L'ISLAM :
La conquête arabe commence au début du VIIe siècle , avec une opposition des tribus juives , mais cela n'empêchera pas la création du grand Maghreb arabe.
En 711 , les arabes traversent le détroit de Gibraltar et entreprennent la conquête de l'Espagne , avec une armée composée , en partie , de soldats juifs.
Pendant près de 4 siècles , les juifs participent a l'essor de la civilisation arabe en Afrique du Nord.
Certains d'entre eux accédant a des postes très èlevés , avec des hauts et des bas , comme au XIe siècle , sous le règne des Almoravides.
Cette même période verra également , le rayonnement , jusqu'au Maroc , du judaisme espagnol.
Au milieu du XIIe siècle , une nouvelle dynastie , les Almohades , s'installe par la force , au Maroc.
Sous leur règne , les juifs du Maroc et même d'Espagne , subiront les pires persécutions.
En 1165 , le Dayan de Fès est brûlé vif.
Les juifs sont restreint a porter des vêtements distinctifs , bleus et larges , avec la tête couverte d'un châle jaune.
Du XIIIe au XVe siècle , sous la dynastie des Merivides , la situation des juifs va s'améliorer.
De nouveau , ils retrouvent une grande influence et des postes importants comme ministres ou ambassadeurs.
En 1438 , les juifs de Fès sont accuses d'avoir profane une mosquée et sont contraint de s'installer dans un nouveau quartier , près d'une mine de sel , qui prendra le nom de mellah.
Tous les juifs , pauvres ou riches , doivent s'y installer.
Beaucoup de juifs fuient alors vers l'Espagne.
Malgré tout , le Judaisme sépharade va s'étendre autour de toute la Méditerranée.
Au Maroc , c'est aussi la rivalité entre les communautés juives originaires d'Espagne et du Portugal , et les communautés juives "indigènes".
Les XVIe et XVIIe siècles , sous la dynastie des Saadiens , les persécutions vont reprendre.
conversions , brimades et impôts exorbitants.
En outre , des épidémies vont faire des milliers de victimes dans la population juive.
Mais malgré tout , certains dignitaires juifs continuent d'occuper des postes importants.
La fin du règne des Saadiens sombre dans l'anarchie et favorise l'avènement des Alaouites , dynastie qui continue , de nos jours , a régner sur le Maroc.
Sous leur règne , la situation des juifs va s'améliorer considérablement.
Les juifs vont occuper , de plus en plus , des charges très importantes.
Quand en 1704 les anglais prennent Gibraltar , de nombreux juifs s'y établirent.
En 1765 , le Sultan Mohammed ben Abdallah fonde Mogador et octroie a plusieurs familles juives , des privilèges commerciaux qui favorisent le développement de la ville.
Le début du XIXe siècle confirme l'ouverture du Maroc vers l'occident et l'installation de nombreux juifs marocains en Angleterre et en Amérique.
En 1803 la première école de l'alliance israélite est créée à Tétouan , en 1865 a Tanger et en 1867 a Mogador.
La fin du XIXe siècle sera des plus troublées , émeutes à Sefrou (plus de 40 victimes juives) , pillage du mellah de Mogador , persécution des communautés a Fès, Meknes, Demnat et Marrakech.

LE PROTECTORAT :
En 1880 , la conférence de Madrid consacre la pénétration des grandes puissances au Maroc.
En 1906 , la conférence d'Algésiras s'oriente vers une zone d'influence française et une zone espagnole.
En 1907 , au Maroc , des français sont assassinés.
Ces meurtres fournirent le prétexte au général Lyautey de commencer a occuper le Maroc.
En 1912 , un traite de protectorat est signe avec la France.
Les opérations de pacification se poursuivront jusqu'en 1927.
Grâce a l'alliance israélite , l'enseignement du français va prendre une importance considérable dans la communauté juive marocaine.
Création de journaux , d'imprimeries et de maisons d'éditions.
Hôpitaux , dispensaires et associations de bienfaisance.
Le protectorat permettra également l'immigration des juifs vers l'Amérique du nord et du sud.
Le sionisme va se développer des 1924 et une conférence se tiendra a Casablanca en 1930.
Des secours seront organises pour les réfugies fuyant l'Europe nazi.
Apres l'armistice de 1940 , Vichy instaure les lois d'exception avec numerus clausus dans la fonction publique , professions libérales , enseignement et d'autres secteurs de l'économie.
Le futur Mohammed V soutiendra la communauté juive a plusieurs reprises.
En novembre 1942 , les Américains débarquent au Maroc , accueillis avec joie par la population juive.
Les lois de Vichy et le statut des juifs ne seront abroges que plusieurs mois après.
En 1948 , l’état d'Israel voit le jour.
Des troubles éclatent au Maroc qui feront plus de 40 victimes juives.
Ces émeutes provoquent le début de l'émigration vers Israel.

L'INDEPENDANCE :
Le sultan Mohammed V est dépose par les autorités françaises en 1953.
En 1954 , des émeutes éclatent dans diverses villes , des écoles juives sont saccagées et mellahs pillés.
Mohammed V revient au Maroc et l'indépendance est proclamée en 1956.
Des juifs vont occuper des postes importants dans le gouvernement et l'administration marocaine.
Les positions hostiles de l'Istiqlal a Israel et l'action des mouvements sionistes vont favoriser une nouvelle émigration , souvent dans la clandestinité.
Cette émigration se fera vers Israel , la France , le Canada et les Etats Unis.
Mais tous ces juifs , installes aujourd'hui a Paris , Jérusalem , Montréal ou New York , gardent toujours une partie de leur coeur dans ce Maroc ou leurs ancêtres ont vécu pendant près de trois millénaires.

Nota : le texte que vous venez de lire ne se veut pas une histoire complète du Judaisme et des juifs du Maroc.
il est un résumé et ne peut qu'indiquer des grandes lignes et des repères.


Bouhmara, l’homme qui voulait être sultan.

Aventurier, rebelle, charlatan, homme de sciences et de guerre, Bouhmara est un personnage intrigant et complexe.
On est au tout début du 20 ème siècle. Le Royaume Chérifien fait face aux convoitises grandissantes des puissances europèennes et les réformes amorcées par le sultan Moulay Hassan peinent à donner leurs fruits, dans un pays éclaté en mille foyers de sedition. Son successeur, Moulay Abdelaziz, est un jeune homme, épris de gadgets et ébloui par le développement économique et militaire de l’Occident. Le jeune sultan est ce que l’on appelerait de nos jours « geek », un passionné de nouvelles technologies et d’inventions : sa cour abonde de jeux et de distractions ramenés par cargaisons d’Europe. Il est un sultan réformateur qui aspire à moderniser le Maroc et l’arrimer à un Occident fort et développé. Aux yeux de ses sujets, Moulay Abdelaziz apparaît comme « le sultan du bouleversement universel et le seul marocain de son espèce ».

C’est en cette période trouble et agitée que Bouhmara apparaît. Le futur rebelle, pur produit du Makhzen, connaît très bien ses rouages et ses secrets. Il appartient au corps des ingénieurs « Tolbas Mouhandissine », créé par le sultan Moulay Hassan. Après une formation de topographie à la prestigieuse école parisienne des Ponts et Chaussées, il est devenu secrétaire personnel de Moulay Omar, frère du Sultan, avant qu’une intrigue à la cour ne l’éloigne complètement des arcanes du Makhzen.
Après sa disgrâce, Bouhmara change son fusil d’épaule et commence à voir plus grand. L’homme, malin et ambitieux, parcourt les tribus du Maroc- à dos de son ânesse grise, ce qui lui vaut son surnom- et se fait passer pour un marabout, un homme de sainteté et de grâce. Il hume l’air du temps, qui est à la colère et à la révolte. Les rumeurs sur les penchants occidentaux de Moulay Abdelaziz et son entourage composé essentiellement de conseillers français et d’anglais, exaspèrent les gens. Bouhmara comprend que son moment est arrivé et qu’il faut tenter un vrai coup de poker. Il s’adresse à des tribus de l’est et du nord du Maroc, en prétendant qu’il est Moulay Mohammed, le frère du sultan. Il montre à ces tribus des lettres, écrites de sa propre main, et les présente comme des missives envoyées par des chefs de tribus du sud pour le soutenir dans sa guerre sainte contre Moulay Abdelaziz, « le roi des anglais ».Pendant ce temps-là, Moulay Mohammed, le vrai frère du sultan, croupit dans une cellule au palais de Meknes, après un différend qui l’a opposé à Moulay Abdelaziz. Bouhmara rallie autour de lui les tribus des Ghiata et les Hyayna, qui vont former l’essentiel de ses troupes.


En décembre 1902, une « mehalla », expédition militaire makhzénienne, est envoyeé pour mater la rébellion et ramener la tête de Bouhmara. Les troupes du sultan sont défaites et décimées. Des tribus alors fidèles à Moulay Abdelaziz tournent casaque et rejoignent l’armée de Bouhmara. Ce dernier marche victorieusement sur Taza, qui devient sa capitale.
A Fès, la psychose règne. Les rumeurs d’une attaque imminente du prétendant s’amplifient et font fuir les quelques Européens qui vivent dans la ville. Bouhmara est alors au firmament de sa gloire. Il adopte l’organisation et les signes du makhzen : le parasol qui symbolise le pouvoir religieux et politique du sultan, le harem, les troupes régulières vêtues d’uniformes fournis par les Espagnols. En quelques mois,l’ancien scribe, le faux marabout, devient le « le sultan de l’est ». Les tribus du Rif et de l’Oriental reconnaissent son pouvoir et voient en lui un symbole du Jihad contre la présence occidentale. Il est le maître d’un territoire qui s’étend de Tétouan à Oujda, qu’il se prépare à conquérir au printemps 1903. Pour Moulay Abdelaziz et sa cour, l’heure est grave et la menace grande. L’armée du sultan recrute à tour de bras et des émissaires négocient les ralliements des tribus et sollicitent le soutien des marabouts et des « chorfas ». En juin 1903, une nouvelle expédition militaire, dirigée par le Caid Mnebhi, ministre de la guerre, part à l’assaut de Taza. Mieux organisées et mieux dotées en armes, les troupes du sultan s’emparent de la capitale de Bouhmara, qui se réfugient avec ses hommes à Selouane, dans le Rif. Le rebelle limite alors, pendant plusieurs années, ses activités dans cette région du Maroc en attendant les jours meilleurs.


En 1908, le sultan Moulay Abdelaziz est destitué et son frère Moulay Abdelhafid prend sa place. Comme tous les nouveaux sultans, Moulay Abdelhafid part à la reconquête de son royaume et du rétablissement de l’autorité du makhzen. Bouhmara, qui perçoit le changement du sultan comme une opportunité à saisir, entreprend également la reconquête de son ancienne capitale. Il s’empare, sans coup férir,de Taza, et décide de fondre, avec les tribus de Jbala, sur Fès. Mais les alliances avec les tribus sont mouvantes et les allégeances fragiles. Bouhmara se retrouve finalement à la tête d’un faible effectif et ses troupes ne cessent de se réduire. L’armée du sultan parvient à le localiser, pendant sa tentative de rameuter d’autres tribus, et réussit à défaire ses hommes. En Août 1909, Bouhmara est capturé pendant sa fuite avec son harem et ses esclaves. Le sultan envoie une cage basse et munie de barreaux en fer, pour y mettre son rival. Le prisonnier fait le tour de la ville de Fès dans sa cage avant d’être présenté à Moulay Abdelhafid, qui l’interroge sur les motifs de sa dissidence.



Un sort d’une rare cruauté est réservée aux hommes de Bouhmara : on ampute chacun d’eux d’une main et d’un pied, devant les cris et les hourras jubilatoires des habitants de Fès. Les têtes coupées sont confiées aux juifs de la ville, qui se chargeraient de les poudrer de sel, les coudre au niveau du cou avec une plaque de cuir, avant de les empaler sur les murailles de la ville. Un exemple pour dissuader les éventuels rebelles et les dissidents.
Après deux semaines de captivité, Moulay Abdelhafid décide de sortir Bouhmara de sa cage…pour le faire rentrer dans une autre. Il est conduit vers la ménagerie du palais, où des fauves ramenées d’Afrique et d’Europe servaient de distraction à l’ancien sultan, Moulay Abdelaziz. On fait rentrer le rebelle dans la cage d’un lion, en pensant que l’animal le dévorera. Mais le fauve se contente de blesser Bouhmara à l’épaule et retourne au fond de sa cage pour roupiller. Les compagnons du sultan croient au miracle de celui qui se présentait à ses débuts comme un marabout. Furieux, Moulay Abdelhafid fait sortir Bouhmara de la cage du lion et demande à l’un de ses hommes de le tuer. Ce dernier s’approche de Bouhmara, sort son revolver et tire à bout portant. La tête du rebelle est fracassée par la décharge. Deux esclaves traînent le corps gisant de Bouhmara dans un coin de la cour, l’arrosent de pétrole et y mettent le feu.
Ainsi fut réduit en cendres l’un des rebelles les plus célèbres de l’histoire du Maroc.

Le parti de l'Authenticité et de la Modernité (PAM) remporte les élections communales du 12 juin 2009.

Le Parti de l'Authenticité et de la Modernité (PAM), créé il y a quelques mois par Fouad Ali El Himma, a remporté 6015 des 27 795 des sièges à pourvoir, soit 21,7% du total, à l’issue des élections communales qui ont eu lieu le 12 juin 2009,



devant l'Istiqlal (nationaliste, 19 %) et le Rassemblement national des indépendants (RNI, 14,8 %). Vient ensuite l'Union socialiste des forces populaires (USFP, 11,6 %). Le score modeste des islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD, 5,4 %).
Le taux des bulletins nuls enregistré lors de ces élections communales se situe autour de 11% et le taux de participation définitif a atteint à l'échelon national 52,4%.

Le Bac, et après !


En ces jours-ci, la question somme toute logique pour les concernés, qui se pose est où s’inscrire, une fois bachelier ? Nous y sommes. De toutes les étapes qui jalonnent le long fleuve des études, il en y a une, décisive et déterminante : après le bac. Une importante étape qui angoisse les jeunes tout autant que les parents. 


Il se trouve que le bac n’a plus la même résonance symbolique qu’il avait par le passé. En clair, ce diplôme ne débouche sur rien. Sauf peut être, pour mener, pour certains, une vie de farniente dans une faculté de lettres ou de droit, ou, pour les plus heureux, errer dans les fausses passerelles des filières du privé.
Les autres, ceux dont les parents ont les moyens, c’est « sauve qui peut » pour partir s’installer à l’étranger.




Les heureux élus de ce bac là, à la fois plus cher et plus valorisant, bénéficient d’un traitement préférentiel pour l’entrée à certains instituts plus prisés que d’autres.
Sans vouloir leur jeter la pierre, il se trouve que ces jeunots, un peu plus égaux que les autres, restent minoritaires. Les « autres » forment un chiffre qui devrait donner des insomnies à notre ministère de l’enseignement.

Origine du Pantalon Kandrissa.

 

Le pantalon KANDRISSA tire son origine de la société française d’André société anonyme ( André S A) crée pendant le protectorat à Fès où le A se prononse K. Alors le pantalon ANDRESA devient pantalon Kandrissa.

La corruption s’amplifie au Maroc.

La corruption s’amplifie au Maroc. Les résultats du baromètre mondial de la corruption au titre de l’année 2009 le confirment.
Les secteurs les plus touchés par la corruption sont :
- le secteur public,
- le système judiciaire,
- les partis politiques,
- etc…

De plus, dans notre pays, la corruption est généralisée, elle n’épargne aucun secteur et atteint toutes les sphères du pouvoir. Car ce n’est pas seulement une question de bas revenu, même des hauts fonctionnaires et des personnes largement rémunérées perçoivent des dessous de table.
Un Marocain sur deux est convaincu que la corruption est le moyen le plus efficace pour régler ses problèmes administratifs. Certains n’y croient pas à son utilité.
Les citoyens pensent de plus en plus que la corruption est devenue non plus un phénomène à bannir, mais un simple mode de fonctionnement de nos administrations.

Si la corruption gangrène autant notre pays, elle est simplement liée à l’absence d’instances de contrôle, de sanctions fermes et à la non-application de la loi. C’est, en somme, un problème de gouvernance