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1er AOÛT - Pourquoi fête-t-on l’armée au Liban ?

Au cœur de l’été, le Liban fête son armée chaque 1er août. Une sorte de fête nationale bis, héritage d’un processus d’indépendance qui s’étala sur plusieurs années au plus fort de la seconde guerre mondiale.
Si c’est le 22 novembre 1943 que la classe politique libanaise obtient l'indépendance du Liban, il faudra presque deux ans pour que la jeune nation libanaise « récupère » le commandement de sa propre armée. En effet, les régiments d’infanterie formés de Libanais qui étaient sous autorité du mandat français passeront sous total commandement libanais le 1er août 1945, date à laquelle l’armée française se retira totalement.  Ce jour fut consacré en tant que fête nationale de l’Armée. 
Pour les Libanais, leur armée symbolise la nation solide et unifiée au regard d’un État souvent mis à mal par les vicissitudes de la politique locale et de la géopolitique régionale. Les Libanais, toutes confessions confondues, adhèrent à ce symbole d’unité nationale et reconnaissent l’armée comme vecteur de cohésion sociale.

Au pied de l’Acropole se cache une merveille


Rares sont les touristes à s’aventurer au pied du rocher de l’Acropole, à Athènes (Grèce). Dommage. C’est là que se trouve Anafiotika, un vieux quartier populaire totalement atypique.


« L’Acropole ?… C’est par là » : les habitants d’Anafiotika ne se lassent pas de répondre quotidiennement aux touristes perdus dans les ruelles de leur minuscule et méconnu quartier à l’architecture cycladique, incrusté dans le rocher sacré.
Maisons blanches, fenêtres lilliputiennes comme c’est la tradition dans les Cyclades venteuses de la mer Égée, cette centaine d’habitations en pierre de 50 m² environ, toutes simples, sont construites sur le versant nord-est du site antique de l’Acropole et de ses temples illustres comme le Parthénon, haut lieu touristique du pays.


« Nous n’avions aucune idée de ce quartier, si particulier, et c’est par hasard que nous l’avons découvert en descendant du Parthénon », se réjouit Mila Mihaylova, touriste bulgare de 25 ans, qui profite de l’ombre du jasmin grimpant sur les murs des courettes pour se protéger du soleil. Anafiotika est l’un des vieux quartiers populaires du centre historique de l’Athènes moderne, avec une édification remontant à 1834.
« À l’époque, des ouvriers des Cyclades en mer Égée et surtout de l’île d’Anafi, connue pour ses tailleurs de pierre, ont été appelés par le roi Othon Ier pour reconstruire Athènes, capitale du jeune État grec » d’alors, rappelle Eri Paklatzidi, ingénieure civile du service archéologique d’Athènes.
Athènes avait en effet été détruite après la guerre d’indépendance (1821-1829) contre les Ottomans et « ces ouvriers devaient alors construire les bâtiments officiels, dont le palais royal, devenu après l’abolition de la monarchie en 1973 la résidence du Président de la République », précise-t-elle.


Voyage dans le temps 
Pour loger leurs familles, les Anafiotes ont alors construit leurs maisons dans le style de leur île, et à la limite de la légalité, au pied du rocher de l’Acropole et à la lisière du centre historique et très touristique de Plaka, quartier bourgeois de style néoclassique. 
« Anafiotika a une valeur historique, c’est un voyage dans le temps représentant l’architecture populaire avec des éléments cycladiques », explique l’architecte Panayiotis Paraskevopoulos, habitant de Plaka. Au fil des ans, certaines de ces maisons ont été abandonnées ou récupérées par de nouveaux locataires, et il reste aujourd’hui peu de descendants des familles anafiotes.
À la fin des années 1960, les maisons ont été intégrées dans la zone archéologique d’Athènes et une vingtaine ont été démolies trente ans plus tard pour permettre la restitution de l’ancienne promenade pédestre autour de l’Acropole, dans le cadre du lifting général de la capitale en vue des Jeux olympiques d’été 2004.



Cependant, la plus grande partie du quartier a été sauvegardée après avoir été érigée au rang de « patrimoine architectural » par le ministère de la Culture. Une décision qui implique une série de restrictions et réglementations en cas de rénovation, toute extension ou construction supplémentaire ayant été interdite.
« Désormais le ministère est propriétaire de cette zone » et veille à la préservation de ces maisons, souligne Mme Paklatzidi. Mais en réalité ce sont surtout les quelque 40 familles y résidant toujours qui veillent sur la survie du quartier, s’accordent à dire autorités et experts.


La menace Airbnb
L’infrastructure de la majorité de ces maisons reste « basique et ne répond pas souvent aux critères modernes de logement, mais la ténacité et l’attachement des habitants à leur quartier » empêchent leur écroulement, indique M. Paraskevopoulos.
De leur côté, les habitants peinent souvent à faire face à la bureaucratie et s’inquiètent de la tendance à l’exploitation de la zone, l’une des plus touristiques du pays. « Ce n’est pas facile à vivre, ici », avoue Alexandra Katsourani, résidente depuis une trentaine d’années à Anafiotika et membre d’un comité de protection du quartier.



« Nous nous battons pour maintenir nos maisons : il faut à la fois respecter les réglementations avec des moyens financiers limités et surtout veiller à empêcher toute tentative de nous transformer en Airbnb géant », déplore-t-elle. Le ministère de la Culture se veut rassurant et l’exploitation commerciale de la zone en hôtels ou restaurants est interdite. Mais beaucoup d’habitants s’inquiètent que certains nouveaux locataires puissent céder à la tentation de faire une exploitation touristique de leur maison, et que les assurances du ministère restent « lettre morte ».
C’est que « toute la Grèce a été bradée ces dernières années… », rappelle Alexandra Katsourani, en allusion aux privatisations tous azimuts (des sociétés publiques aux biens immobiliers de l’État) pendant les huit dernières années de crise, réclamées par les créanciers de la Grèce en échange des prêts internationaux.


Aux USA, de mystérieuses flèches géantes en béton


Dans les années 1920, un système de fléchage et de signaux lumineux a été mis en place pour guider les pilotes de la poste aérienne qui traversaient les États-Unis d’Est en Ouest. Ces grosses flèches n’ont pas totalement disparu mais s’abîment, dans l’indifférence générale.
Au début du XXe siècle, les pilotes n’avaient pas de GPS pour les guider dans les airs. Mais outre-Atlantique, ils pouvaient compter sur un système dont on peut encore observer les vestiges : des grosses flèches en béton parsemées sur le territoire américain, de New York à San Francisco. 


Ces installations historiques datent des années 1920. À cette époque, les États-Unis viennent d’inaugurer une route aérienne qui relie la côte Est à la côte Ouest et qui doit permettre de livrer du courrier plus rapidement. Mais le service manque de flexibilité : les avions ne peuvent pas voler la nuit tombée ou si les conditions météorologiques sont trop mauvaises. Afin de les aider à se repérer, le ministère du commerce crée un système ingénieux.
Les phares des pilotes 
Environ tous les quarante kilomètres, les pilotes de la poste aérienne passaient au-dessus d’une tour en acier de 15 mètres de haut surmontée d’un signal lumineux rotatif, accompagnée d’une énorme flèche en béton au sol, allant jusqu’à 21 mètres de long et peinte en jaune pétant. À peu près 1 500 installations sont mises en place entre 1926 et 1931.

Ce système tombe en désuétude dès les années 1940 avec l’arrivée des communications radio. Les signaux lumineux ont progressivement été démontés jusqu’au début des années 1970 et les flèches ont été laissées à l’abandon. Une partie a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale pour éviter d’aider involontairement les ennemis.
S’il est impossible de savoir exactement combien il en reste, une recherche sur Google Maps (Historic Airways Beacons) permet de voir celles qui ont été répertoriées. Certaines sont encore en très bon état. D’autres en revanche, abîmées par l’homme et la nature, sont méconnaissables.
À la chasse aux flèches
Aujourd’hui, ces vestiges du siècle dernier ne sont pas protégés par une quelconque reconnaissance historique et seulement une petite partie des Américains a conscience de leur existence. C’est ce qui a poussé un couple de retraités californiens à partir à la chasse aux grosses flèches. Depuis 2013, Charlotte et Brian Smith sillonnent les États-Unis pour débusquer ces vieilles installations.

  
Sur leur site dédié à cette cause, Arrow Accross America, ils compilent leurs trouvailles, mettent des photos qui rendent compte de leur état, notent leur géolocalisation. À ce jour, ils ont parcouru plus de 35 400 kilomètres et ont visité 19 États au cours de quatre grandes expéditions. Ils sont eux-mêmes allés photographier 94 flèches sur les 123 qu’ils ont repérées. Les autres ont été vérifiées par des contributeurs.


« Notre but est d’informer les gens et de souligner l’importance de ces flèches dans l’histoire de l’aviation américaine », expliquent-ils au bout du fil. Ils ont notamment remarqué que plusieurs de ces blocs de béton avaient récemment été peints, décorés. « Des éléments importants comme de la peinture d’époque ou des marquages sont dissimulés. Cela compromet leur inscription au patrimoine », préviennent-ils.
Grâce à leur travail de sensibilisation et aux actions individuelles de quelques personnes qui se battent pour que ces flèches soient inscrites au patrimoine américain, le couple espère que leur caractère historique sera bientôt reconnu.

Pourquoi la Chine se lance à la conquête de la face cachée de la Lune ?

La Chine a lancé, lundi 21 mai, un satellite chargé d’assurer les communications entre la Terre et un petit robot, qui devrait se poser sur la face cachée de la Lune courant 2018. Lors de l’arrivée du robot téléguidé sur la Lune, le satellite se trouvera à un endroit lui permettant d’assurer des échanges avec la Terre, tout en ayant dans sa ligne de visée la face cachée de la Lune. La face cachée de la Lune désigne l’hémisphère de l’astre lunaire qui n’est pas visible de la Terre. Elle est photographiée depuis 1959 mais elle n’a jamais été explorée.

Ce sera le deuxième véhicule téléguidé chinois envoyé sur la Lune. En 2013, la Chine y avait déjà fait débarquer un rover nommé « Lapin de jade ». La Chine investit des milliards d’euros dans son programme spatial, coordonné par l’armée. Le pays espère avoir une station spatiale habitée d’ici à 2022, et envoyer à terme des humains sur la Lune.





Les oiseaux dorment-ils en volant ?

Certains oiseaux passent le plus clair de leur temps en vol. Ils se nourrissent et se reproduisent dans les airs, mais qu'en est-il la nuit ? La majorité des oiseaux dorment perchés ou sur le sol, sauf une espèce qui dormirait en planant à 1,5 km de haut, dans le ciel...
Une grande partie des espèces d'oiseaux dorment la nuit, comme l'Homme. Bien sûr, il existe des espèces nocturnes, 

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l'eider à duvet ou le grand-duc d'Europe par exemple, et certaines espèces dorment aussi bien de nuit que de jour. Pour le reste, une fois le soleil couché, les oiseaux dorment, mais où est une question loin d'être complètement élucidée. Lorsque les étourneaux sont en France, on peut les observer se regrouper à la tombée de la nuit, pour trouver ensemble un nichoir. Ceux-ci ne dorment pas en vol, et comme la grande majorité des oiseaux, ils cherchent pour dormir un endroit similaire à leur lieu de nidification.

Le martinet noir, un oiseau qui dormirait en volant

Le lieu et le mode de sommeil dépendent grandement de l'espèce considérée, il existe encore beaucoup de zones d'ombres sur la façon dont dorment les oiseaux. À ce jour, on ne peut assurer que certaines espèces dorment en volant, mais de fortes suspicions planent sur le martinet noir. Ce petit oiseau est migrateur, il quitte l'Afrique équatoriale à la fin de l'hiver et couvre, jusqu'à la fin de l'été, une grande partie de l'Eurasie.


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Le martinet passe la majeure partie de sa vie dans les airs. Ses pattes sont si petites qu'elles ne lui permettent pas d'initier son vol depuis le sol. En réalité, les seules pauses qu'on lui connaît sont durant la nidification, où il couve. Il perche en altitude, car le martinet ne sait se mettre à voler autrement qu'en se laissant tomber, profitant de la vitesse de chute pour amorcer son vol. Les juvéniles, une fois sortis du nid, passent deux ans en vol constant, ils ne se posent jamais.

S'il n'est pas prouvé avec exactitude que le martinet dort en volant, l'idée est tout de même communément admise. La nuit, les radars les perçoivent, les oiseaux se regroupent et « dorment » en volant en cercle, jouant avec les inversions de température pour se laisser planer.

Un zoo égyptien peint un âne et le fait passer pour un zèbre


Les directeurs de ce zoo égyptien pensaient certainement que cela passerait inaperçu auprès des visiteurs. Mais leur stratagème n'a pas vraiment marché.

Dans un post sur sa page Facebook, Mahmoud A. Sarhan a partagé une photo de ce que le zoo du Caire présente comme un zèbre. Mais à y regarder de plus près, l'animal ressemble étrangement à un âne. Oreilles allongées, crinière différente et rayures brouillons... Les gestionnaires du parc auraient donc peint des rayures sur la robe de l'âne, qui se seraient mises à couler avec la chaleur. Pas très malin, d'autant que plusieurs vétérinaires ont confirmé qu'il ne s'agissait pas d'un équidé africain.


Le cannabis thérapeutique va être autorisé au Royaume-Uni


Le cannabis thérapeutique va être autorisé au Royaume-Uni sur prescription à partir de l'automne, a annoncé jeudi le ministre britannique de l'Intérieur Sajid Javid. "Cela aidera les patients avec des besoins médicaux spécifiques mais cela ne constitue en aucun cas un premier pas vers la légalisation du cannabis à usage récréatif", a déclaré le ministre dans un communiqué.


Quel est le plus grand oiseau volant ?

Le plus grand oiseau volant serait le grand albatros ou albatros hurleur, avec une envergure qui peut atteindre 3,70 m, devançant ainsi le condor des Andes avec 3,50 m d'envergure. La particularité du grand albatros ? Être un champion du vol plané sur de longues distances.


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Albatros hurleur ou grand albatros

Le plus grand oiseau volant serait le grand albatros ou albatros hurleur, avec une envergure qui peut atteindre 3,70 m, devançant ainsi le condor des Andes avec 3,50 m d'envergure. La particularité du grand albatros ? Être un champion du vol plané sur de longues distances.

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Condor des Andes.

A Ceuta, 600 migrants pénètrent en Espagne dans la violence

L’« assaut » mené jeudi est le plus important depuis février 2017, quand plus de 850 personnes étaient parvenues à pénétrer dans la ville sous administration espagnole.

Des migrants en train d’escalader la clôture de la frontière de Ceuta, jeudi 26 juillet.
Des migrants en train d’escalader la clôture
de la frontière de Ceuta, jeudi 26 juillet.

De la chaux vive et des excréments contre les policiers. Après un « assaut » particulièrement violent, plus de 600 migrants africains sont parvenus, jeudi 26 juillet, à entrer dans l’enclave espagnole de Ceuta au nord du Maroc.
Près de 800 personnes ont tenté de passer de l’autre côté de la barrière, selon la garde civile. Une centaine a été stoppée par la police marocaine, d’autres ont été interceptés par les agents espagnols et renvoyés au Maroc ; finalement, 602 ont atteint le territoire espagnol.

Ce franchissement de la frontière de Ceuta, hérissée de barbelés, est le plus important depuis février 2017, quand plus de 850 migrants étaient parvenus à pénétrer dans la ville.
L’incident accroît la pression sur l’Espagne, devenue la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, dépassant l’Italie qui, en refusant d’accueillir davantage de migrants, a fermé la route maritime qui passait par la Libye.


De nombreux blessés
Les « assauts » de la barrière « sont tous violents », précise José Cobo, porte-parole de l’Association espagnole de gardes civils (AEGC), mais cette fois, cela s’est aggravé. « Ils ont employé une méthode qu’ils n’avaient jamais utilisée avant, la chaux vive », dit-il. La garde civile a dénoncé l’emploi de « méthodes virulentes ». Selon le communiqué du corps de police espagnol, des migrants ont lancé aux agents « des récipients de plastique avec des excréments et de la chaux vive », ont utilisé des sprays enflammés à la manière de « lance-flammes » en plus de pierres et de bâtons.
Quinze agents ont été blessés, dont cinq ont dû être soignés à l’hôpital pour des brûlures au visage et aux bras. Beaucoup des migrants ont été blessés aux mains et aux jambes en escaladant la clôture. Seize ont dû se rendre à l’hôpital, tandis que les autres sont allés au centre de séjour pour migrants où ils peuvent déposer une demande d’asile, précise la garde civile.
Le gouvernement socialiste espagnol a annoncé en juin, à son arrivée au pouvoir, son intention de retirer les barbelés coupants des clôtures de Ceuta et de Melilla, les deux villes espagnoles en Afrique du Nord, seules frontières terrestres de l’Union européenne (UE) avec l’Afrique. L’association espagnole de garde civile a reconnu dans un communiqué que cette mesure pourrait être « humanitaire », mais réclame en échange « plus de gardes civils et plus de matériel antiémeute et de protection ».

Explosion démographique en Afrique subsaharienne 
La pression migratoire aux portes de l’UE, qui a nettement diminué depuis la crise de 2015, se concentre désormais de plus en plus sur l’Espagne, après que l’Italie a fermé ses frontières. « Il est clair que Rome a fermé cette route de manière discutable », en refusant de recevoir les migrants secourus en mer par des ONG humanitaires, a commenté, mercredi, le ministre espagnol des affaires étrangères, Josep Borrell, lors d’une rencontre avec la presse : « Si le passage par la Méditerranée centrale se ferme et le flux migratoire ne se tarit pas dans les pays d’origine, (…) le flux va être dévié vers la Méditerranée occidentale ; c’est déjà le cas. »
Et d’appeler l’UE, pour l’heure profondément divisée sur la question, à adopter une « vraie politique migratoire, avec une perspective de vingt ou trente ans », tenant compte de l’explosion démographique en Afrique subsaharienne :

Les plus grands ..... arbres du monde

Quel est l’arbre dont la hauteur est la plus grande? Quel est l'arbre dont la circonférence est la plus importante? La croissance d’un arbre, comme pour tout autre être vivant, n’est pas infinie même si on a trouvé des arbres qui avaient plus de 8000 ans. Mais à partir d’une certaine taille, la sève risque de ne plus pouvoir alimenter les feuilles. C’est comme pour la circulation sanguine pour le cerveau. Si un cerveau n’est plus irrigué, il meurt. 

Les circonférences record des arbres

Le conifère Taxodium mucronatum est l'arbre le plus gros du monde avec 50 mètres de circonférence au sol et 34.50m à 1m50 du sol. Il se trouve au Mexique.


Taxodium mucronatum 


Les baobabs sont également proche de ces records et sont présents beaucoup plus couramment en Afrique.

baobab


Les arbres les plus grands

Hypérion, âgé de 800 ans environ, est actuellement le plus grand arbre du monde jamais mesuré. C'est un séquoïa a feuilles d’ifs qui mesure 115,55 m, soit 2,5 fois la hauteur de la Statue de la Liberté ou un peu plus haut que l'Arche de la Défense. La plupart des plus grands arbres sont des Séquoias aux Etats-Unis et ils sont la plupart protégés dans les parcs Humboldt et Yosémite. Leur nom vient du chef indien Sequoyah (1770-1843), inventeur de l’alphabet cherokee. On distingue les séquoias à feuilles d’if de plus de 100 mètres de haut et des séquoias géants, un peu plus petits (80 m) mais beaucoup plus larges (10 mètres de diamètres contre 8 en moyenne). 
 
Hypérion


Les arbres les plus vieux

Le doyen des arbres sur Terre est un épicéa commun découvert en Suède. Son âge est de 7890 ans (datation au carbone 14). Le précédent record était détenu part un pin qui a eu 4 844 ans en 2012.  Dénommé "Mathusalem", car il était considéré, depuis 1964, comme l'organisme vivant non-clonal le plus âgé de la planète, son nom fait référence à Mathusalem, personnage mythologique mentionné dans l'Ancien Testament et décédé à l'âge de 969 ans. 
Old-Tjikko

Histoire : Quand une bombe nucléaire a pris feu dans une base militaire US à Sidi Slimane ...


En 1958, un bombardier Boeing B-47 Stratojet avait failli créer d’importants dégâts au Maroc. L’avion porteur d’une bombe nucléaire avait pris feu dans une base militaire américaine à Sidi Slimane. L’incident était un secret bien gardé et est l’une des flèches brisées américaines, surnom des avions porteurs de bombes nucléaires qui se sont écrasés, les plus sérieuses.

Dans les années 50, un bombardier Boeing B-47 Stratojet 
avait failli provoquer d'importants dégâts au Maroc.

En janvier 1958, les Marocains ne furent pas au courant de l’incident qui faillit ravager le royaume à cause d’une bombe nucléaire. La base aérienne de Sidi Slimane, une installation militaire construite en 1951 et utilisée à ce moment-là par le Strategic Air Command (SAC), le commandement des forces aériennes américaines, fut le théâtre d’un grave accident. Le secret fut bien gardé pendant des années.
Le 31 janvier de la même année, un bombardier B-47 (un avion propulsé par 6 réacteurs conçu pour voler à des vitesses subsoniques à haute altitude) porteur d’une bombe à hydrogène de seconde génération prit feu, indiquent des sources militaires, relayées par le média Face2Face Africa.

Des composants nucléaires au Maroc
Sept ans avant l’incident, le Maroc était sous protectorat français. La France avait alors permis aux Etats-Unis de construire des bases militaires dans le royaume. Les Américains construisirent trois sites, dans un contexte de Guerre froide qui avait scindé le monde en deux pôles.
Toutefois, à l’insu de la France, le SAC déploya des bombardiers stratégiques vers ses bases marocaines. L’information a été confirmée par une enquête déclassifiée réalisée par l’Institut américain des analyses de défense (IDA). «Suite à une requête faite par les chefs d’Etat-Major en novembre 1951, le président en fonction en janvier 1952 a autorisé le stockage de composants non-nucléaires au Maroc sous protectorat français. Les Français ne devaient cependant pas être informés de cette opération», précise le même document.
 
Plus tard, l’accident survenu en 1958 a prouvé que les composants stockés dans la base de Sidi Slimane étaient d’origine nucléaire. Selon le «Bulletin of the Atomic Scientists», un journal académique sur la sécurité globale et la politique publique reliée aux dangers des menaces nucléaires, le bombardier B-47 à Sidi Slimane transportait la «Mark 36» (l’appellation de la bombe en question).
La même source décrit l’arme comme étant une bombe à hydrogène qui «fait presque la moitié du poids des premiers thermonucléaires, mais pèse dix fois plus que les nouvelles bombes produites en masse par le SAC [Strategic Air Commande].»
«La partie avant de la bombe contenait des cristaux piézoélectriques. Une fois que celle-ci touche le sol, les cristaux sont déformés et émettent un signal vers l’unité X qui active le tir des détonateurs et creuse un trou très profond. La bombe a une charge de 10 mégatonnes. C’était l’une des armes les plus puissantes des Etats-Unis.»
The Bulletin of the Atomic Scientists


La «Mark 36» en feu
La même source indique que lors du jour de l’accident, l’avion était au sol pour des exercices de manœuvre sur le tarmac. «Quand le B-47 a atteint une vitesse de près de 130 km/h, l’un des pneus arrières a explosé, causant un incendie».
Les flammes se sont rapidement propagées vers l’intérieur de l’avion. L’équipage s’est échappé au moment où l’avion s’est scindé en deux. Les pompiers ont «lutté contre l’équipement en feu pendant 10 minutes, dépassant le temps limite de la ‘‘Mark 36’’, puis se sont retirés», ajoute la même source.
Les flammes ont alors atteint la bombe et la base a été évacuée suite aux ordres du général commandant de Sidi Slimane. Certains des aviateurs ont même quitté la région et ont conduit jusqu’au désert marocain pour éviter le désastre nucléaire.

Une
Une base américaine

Miraculeusement, les puissants explosifs de la «Mark 36» ont brulé mais n’ont pas explosé comme prévu. Le «Bulletin of Atomic Scientists», citant un rapport de l’accident, écrivait que «la bombe à hydrogène et des parties du bombardier B-47 ont fondu en une sorte de bloc de scories d’un poids de près de 3 600 kilos, approximativement d’une longueur de 2 mètres et d’une largeur de 5 mètres avec une profondeur de 25 cm».
L’incendie a duré deux heures et demie. Les forces sont alors intervenues pour casser les scories en petits morceaux et les mettre dans des boîtes avant de les enterrer près du tarmac. Malheureusement, la base de Sidi Slimane n’avait pas l’équipement nécessaire pour «mesurer les niveaux de contamination».
L’accident n’a pas été fatal, mais il a tout de même été gardé secret et toutes les parties impliquées ont choisi de garder le silence et suivre les ordres. Le «Bulletin of Atomic Scientists» indique que dans un premier temps, la base américaine a planifié de diffuser un communiqué pour informer le monde sur ce qui s’est passé ce 31 janvier, mais s’est rétractée en réalisant que ce n’est pas une idée judicieuse.
Lors d’une réunion concernant l’accident, un responsable du département d’Etat américain a déclaré que «le moins on en disait sur cet accident, le mieux c’était». Le roi Mohammed V a en revanche été informé de ce qui s’est passé dans la base américaine.

Corée du Sud : qu'est ce que le Molka Porn ?

Attention à vos jupes mesdames ! En Corée du Sud, un nouveau phénomène a envahi les rues : le Molka Porn. Des hommes filment les dessous des femmes, à leur insu. 


En voyage en Corée du Sud, vous pouvez devenir star du porno sans le savoir. Sur twitter des messages d'alerte fleurissent : "Ne venez pas en Corée, vous vous retrouverez sur un site porno sous le pseudo de : 'femme étrangère'". Ce phénomène s'appelle le "Molka Porn", espionnage sexuel en français. Le mode opératoire est simple : filmer une femme à l'aide d'une caméra miniature et à son insu. Ces contenus sont alors diffusés sur des plateformes spécialisées en ligne. Ces situations se passent dans les rues, dans les vestiaires, mais aussi dans les toilettes publiques. 

Les plus beaux oiseaux de la Terre

A travers ces photos, ce ne sont pas moins de vingt oiseaux différents disséminés à travers le monde et dont les couleurs incroyables n'ont pas finis de nous émerveiller.
  • Le Quetzal resplendissant
Niché dans les forêts humides des montagnes du Mexique et de l'Amérique centrale jusqu'au Costa Rica, cet oiseau doté d'une huppe de plumes effilochées, fait le fier posé sur sa branche. Sa couleur dominante vert émeraude le rend resplendissant et lui permet de se fondre parfaitement dans les arbres feuillus où il reste perché la plupart du temps.
  • La Sterne inca
Cet oiseau dont le plumage est des plus originaux, vit sur les côtes du Pérou et du Chili. On le repère facilement au bord de l'eau de par son plumage gris foncé et ses moustaches blanches qui le rendent unique en son genre. C'est en grandissant qu'apparaissent leurs poils et le cri de leur espèce rappelle le miaulement d'un chat.
  • Le Barbican d'Arnaud
Le Barbican d'Arnaud est une espèce remarquable de par les détails présents sur son plumage. Les nombreuses mouchetures blanches tapissent le brun du dos tandis que la tête est tachetée d'orange. Plus qu'un simple oiseau, c'est un spectacle vivant à observer dans les pays d'Afrique Orientale.

  • Le Coq-de-roche orange
Le coq-de-roche est reconnaissable par son incroyable plumage orange vif. Impossible de louper cet oiseau au très fort caractère de séduction. Sa huppe hérissée en permanence cache en partie son bec et lui donne cet aspect si singulier.

  • Le Cotinga de Cayenne
Ses ailes et sa queue sont de couleurs noires et sa gorge est marquée d'un rouge brillant, ce qui permet de le différencier de ses congénères. Ses couleurs sont amplifiées par un phénomène de rétractation de la lumière, ce qui lui donne un aspect métallique et brillant et fait de lui l'un des plus beaux oiseaux du bassin amazonien.

  • Le Calao de Malabar
De loin, on pourrait le confondre avec un toucan, mais pourtant de près, on se rend compte qu'il s'agit d'un calao avec deux becs positionnés l'un sur l'autre. Tel un casque sur le bec, cet oiseau originaire de l'Inde, ne manque pas de surprendre au premier abord.
  • Le Motmot à sourcils bleus
Le motmot a comme particularité d'avoir la tête marquée par deux sourcils bleu turquoise pâle. C'est cette particularité qui le rend si unique et incroyable.


  • La rousserolle de la ligne
    Cette espèce ne vit que dans la République des Kiribati, et est le seul oiseau terrestre endémique de l'archipel des îles de la Ligne. Toutes ces particularités font de lui l'un des oiseaux les plus difficiles à observer au monde.
Cette espèce ne vit que dans la République des Kiribati, et est le seul oiseau terrestre endémique de l'archipel des îles de la Ligne. Toutes ces particularités font de lui l'un des oiseaux les plus difficiles à observer au monde.
 

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  • Le colibri
Le colibri est l'oiseau le plus petit du monde, et est ainsi surnommé « oiseau mouche » à cause de sa petite taille. Chaque année, il migre depuis le Québec jusqu'en Floride du mois de juillet à septembre : malgré sa petite taille il peut donc parcourir de très longues distances. Un autre aspect incroyable de ce petit oiseau est qu'il ne s'arrête jamais de voler même la nuit.  

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  • Le flamant rose
Les flamants roses ne se déplacent qu'en groupe qui peuvent parfois aller jusqu'à plusieurs milliers d'individus. Présent en Afrique, en Asie et en Europe, cet animal possède l'un des plus beaux plumages d'animaux au monde : un blanc rosâtre qui lui a donné son nom.

  • Le Trapogan de Hastings
Sa couleur orange vif permet de le distinguer de ses autres congénères avec qui il ne semble pas se mélanger. Craintif, il préfère vivre seul sur les branches des arbres et reste sans arrêt sur le qui-vive pour se protéger des prédateurs.


  • La grue royale
Cette grue est nommée grue royale à cause de la couronne dorée présente sur sa tête. La journée de cet oiseau est occupée uniquement par la recherche de nourriture qui semble l'obsédé plus que tout le reste. La nuit, il se perche sur un arbre pour dormir et entamer une période de repos.


  • Le faisan doré
Chez les faisans dorés, il n'y a que le mâle qui possède une longue huppe aux plumes jaune d'or. Elle descend jusque sur le haut de la nuque et sur la collerette orange vif et rayée de noir recouvrant le cou.
  • L'Ara hyacinthe
L'Ara hyacinthe possède un plumage bleu-cobalt magnifique et resplendissant. Espèce endémique de l'Amérique du Sud on le trouve seulement au Brésil, au Paraguay et en Bolivie.
 


Aussi nombreux soient-ils, les oiseaux ne sont pas souvent reconnus à leur juste valeur. L'image que l'on peut avoir d'eux est pour la plupart du temps négative. Pourtant, à partir du moment où l'on découvre les différentes espèces qui peuplent certains pays, les oiseaux se révèlent à nous comme des animaux incroyables.
A travers ces photos, ce ne sont pas moins de vingt oiseaux différents disséminés à travers le monde et dont les couleurs incroyables n'ont pas finis de nous émerveiller.