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Cet arbre abritait un torrent d’eau aux États-Unis !

Ce tronc d'arbre cache un véritable torrent En Alabama, des hommes qui désiraient couper un arbre ont eu une drôle de surprise ! Un véritable de torrent d'eau sale a jailli de ses entrailles creuses. L'arbre, probablement vieux ou malade, semble avoir stocké en son sein les restes d'une pluie intense ou d'une inondation, des phénomènes fréquents dans la région.


Le tronc d'un arbre peut cacher un torrent ! Ces Américains l'ont appris en voulant tronçonner cet arbre, probablement vieux et malade. Au centre du tronc, on peut apercevoir un creux duquel jaillit l'eau. Les arbres se creusent à la suite d'un stress intense, biotique ou abiotique. Par exemple, la chute d'une grosse branche peut laisser un trou à la surface du tronc. De ce cas-ci, le creux est situé au cœur de l'arbre. Il se pourrait que ce soit l'œuvre de champignons xylophages qui dévorent le bois - ou plus précisément la lignine, l'un de ses constituants principaux. Si les tissus qui entourent la cavité sont sains, l'arbre peut survivre ainsi. Les arbres creux servent de refuge pour les animaux. Les mésanges ou les pics-verts, par exemple, utilisent les cavités pour y construire leur nid. Tombés au sol, les troncs creux sont les abris privilégiés de beaucoup d'espèces.


Quant à l'eau, elle s'est probablement infiltrée dans le tronc suite à d'intenses pluies ou d'une inondation. L'Alabama, l'État où la vidéo a été tournée, a déjà été le théâtre de crues éclair ou d'orages violents, notamment en automne-hiver 2021. Le tronc creux semble avoir stocké toute cette eau jusqu'à ce que des hommes décident de l'abattre et découvrent le torrent caché en son sein.

Explosion de vente de Bunkers souterrains aux Etats-Unis


Il semblerait que la population mondiale, et notamment américaine, se soit précipitée vers les bunkers souterrains. La vente de bunkers souterrains a explosé de 500 % en 2020 et une hausse de 2 000 % de demandes de renseignements a été enregistrée dès l'annonce des confinements. 
Après les pâtes, le riz, la farine, le papier toilette...C'est au tour des bunkers souterrains d'être victimes de leur succès. Certains clients sont même allés jusqu'à emménager dans ces structures fortifiées. 

Entre le Mexique et les Etats-Unis, le "Mur de Trump" avance un peu chaque jour

 

Progressant au rythme d'une centaine de mètres par jour, le "mur de Trump" qui sépare les Etats-Unis du Mexique, ressemble encore à une passoire loin de dissuader les migrants.


A voir la douzaine d'ouvriers au visage couvert qui travaillent pourtant jour et nuit à Puerta Palomas, au milieu des 3.142 km de frontière, il semble difficile de croire qu'aboutira le projet tonitruant du président républicain qui doit quitter la Maison Blanche dans 45 jours.
D'autant que son successeur démocrate Joe Biden a fait savoir que s'il ne démolira pas ce qui a été érigé, il ne poursuivra pas les travaux.
Dans la poussière du désert et le vent glacial, la construction se poursuit 24 heures sur 24.


A ce rythme, selon le service américain des douanes et de la protection des frontières (CBP), seuls 5,5 km de mur devraient être construits d'ici le 19 janvier, dernier jour du mandat de Trump.
"Nous avançons de 120 mètres chaque jour. On ne nous a pas dit d'arrêter. Avec tout ce qui a déjà été dépensé, comment peut-on laisser ce travail inachevé ?", s'étonne un ouvrier avant d'être contraint de se taire par son contremaître.


Une grue déplace une grille d'acier qui est ensuite déposée dans une étroite tranchée de 2,4 mètres de profondeur.
Prochaine étape : la pose d'énormes barres d'acier de près de dix mètres de haut qui sera effectuée par la prochaine équipe.


Le segment de Puerto Palomas fait partie d'une section de 92 kilomètres de mur dans le secteur d'El Paso, au Texas, plaque tournante de nombreux migrants, selon le CBP.
De facto, sous la présidence Trump, 661,4 km de mur ont été érigés sur les 1.187,7 km initialement prévus, selon des données du CBP. Sa promesse électorale de fortifier la frontière sud des Etats-Unis est donc loin d'avoir été tenue.
Et seuls 94,8 kilomètres de mur ont été édifiés sur une portion de frontière entièrement ouverte.
La plus grande partie des autres segments a été renforcée. Coût total: 14,9 millions de dollars.
- Rêves brisés de Terre Promise -
La hauteur du mur ne dissuade cependant pas les migrants bien que beaucoup aient vu leurs rêves de passer aux Etats-Unis s'effondrer à cause de lui.
"J'ai vu ici des hommes se briser le crâne, les bras, les jambes. Certains sont aujourd'hui en fauteuil roulant, gravement handicapés à cause du mur. Il y en a beaucoup", confie Alejandro Calderon, un migrant cubain de 55 ans.
Il a été contraint de rester au Mexique en raison des restrictions imposées par la pandémie de coronavirus et gère un refuge pour migrants.
Pour lui, le désespoir peut inciter ceux qui fuient la pauvreté ou la violence dans leur pays à escalader la structure géante et à sauter dans le vide pour s'écraser en "Terre Promise".
"Ils sont renvoyés ici et comme nous n'avons pas de médecins, nous devons leur donner les premiers soins. C'est notre devoir", dit le Cubain, ingénieur de profession.
- Avec Biden, l'espoir -


Domingo Barahona, un Guatémaltèque de 45 ans, a échoué lors de deux tentatives d'entrée aux États-Unis. Momentanément logé à Puerto Palomas, il va faire un troisième essai.
Il y a quelques jours, il a vu deux autres immigrants sans papiers dont les os de la jambe étaient exposés par une déchirure, après s'être jetés par-dessus la barrière.
"Ils n'ont même pas eu droit à une aspirine", s'insurge-t-il.
"Ils arrivent à grimper, ils mettent un harnais, mais pour redescendre, il faut s'attacher", dit Barahona qui n'exclut pas de sauter.
L'homme pleure en se souvenant de son fils de 12 ans, qui l'attend à la maison, et du meurtre de son frère, un policier victime d'une vengeance de la part de "gens méchants", selon lui. Lui-même menacé de mort, Barahona voit les Etats-Unis comme sa seule option.
"Je vais mourir en me battant et non pas en restant assis à attendre d'être tué", promet-il.
Joe Biden "semble être une personne très humaine, non pas que Trump ne le soit pas, mais il ne nous aime pas", estime Elienai Lopes, un Brésilien de 27 ans qui a tenté à quatre reprises de traverser la frontière.
"Nous avons beaucoup d'espoir", souffle-t-il.

USA : Mort en Direct d'un noir par 4 policiers

État Unis : Un homme noire meurt étouffé sous le genou d’un policier blanc durant une interpellation.
Une vidéo montrant un officier de police, agenouillé sur le cou d'un homme noir, a été diffusée mardi sur les réseaux sociaux. Le décès de cet homme, identifié comme George Floyd mardi après-midi, a suscité une vive émotion dans la ville de Minneapolis. Une enquête du FBI est en cours et les quatre policiers impliqués dans cette affaire ont été licenciés.Sa famille dénonçant un usage excessif et inhumain de la force et le racisme de la police de cette ville du Minnesota.
Le maire de Minneapolis, Jacob Frey, a déclaré lors d’une conférence de presse mardi un acte horrible, accusant le policier d’avoir manqué d’un sens de l’humanité fondamental … et de rajouter " Etre Noir en Amérique ne devrait pas être une peine de mort ".


Aux USA, de mystérieuses flèches géantes en béton


Dans les années 1920, un système de fléchage et de signaux lumineux a été mis en place pour guider les pilotes de la poste aérienne qui traversaient les États-Unis d’Est en Ouest. Ces grosses flèches n’ont pas totalement disparu mais s’abîment, dans l’indifférence générale.
Au début du XXe siècle, les pilotes n’avaient pas de GPS pour les guider dans les airs. Mais outre-Atlantique, ils pouvaient compter sur un système dont on peut encore observer les vestiges : des grosses flèches en béton parsemées sur le territoire américain, de New York à San Francisco. 


Ces installations historiques datent des années 1920. À cette époque, les États-Unis viennent d’inaugurer une route aérienne qui relie la côte Est à la côte Ouest et qui doit permettre de livrer du courrier plus rapidement. Mais le service manque de flexibilité : les avions ne peuvent pas voler la nuit tombée ou si les conditions météorologiques sont trop mauvaises. Afin de les aider à se repérer, le ministère du commerce crée un système ingénieux.
Les phares des pilotes 
Environ tous les quarante kilomètres, les pilotes de la poste aérienne passaient au-dessus d’une tour en acier de 15 mètres de haut surmontée d’un signal lumineux rotatif, accompagnée d’une énorme flèche en béton au sol, allant jusqu’à 21 mètres de long et peinte en jaune pétant. À peu près 1 500 installations sont mises en place entre 1926 et 1931.

Ce système tombe en désuétude dès les années 1940 avec l’arrivée des communications radio. Les signaux lumineux ont progressivement été démontés jusqu’au début des années 1970 et les flèches ont été laissées à l’abandon. Une partie a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale pour éviter d’aider involontairement les ennemis.
S’il est impossible de savoir exactement combien il en reste, une recherche sur Google Maps (Historic Airways Beacons) permet de voir celles qui ont été répertoriées. Certaines sont encore en très bon état. D’autres en revanche, abîmées par l’homme et la nature, sont méconnaissables.
À la chasse aux flèches
Aujourd’hui, ces vestiges du siècle dernier ne sont pas protégés par une quelconque reconnaissance historique et seulement une petite partie des Américains a conscience de leur existence. C’est ce qui a poussé un couple de retraités californiens à partir à la chasse aux grosses flèches. Depuis 2013, Charlotte et Brian Smith sillonnent les États-Unis pour débusquer ces vieilles installations.

  
Sur leur site dédié à cette cause, Arrow Accross America, ils compilent leurs trouvailles, mettent des photos qui rendent compte de leur état, notent leur géolocalisation. À ce jour, ils ont parcouru plus de 35 400 kilomètres et ont visité 19 États au cours de quatre grandes expéditions. Ils sont eux-mêmes allés photographier 94 flèches sur les 123 qu’ils ont repérées. Les autres ont été vérifiées par des contributeurs.


« Notre but est d’informer les gens et de souligner l’importance de ces flèches dans l’histoire de l’aviation américaine », expliquent-ils au bout du fil. Ils ont notamment remarqué que plusieurs de ces blocs de béton avaient récemment été peints, décorés. « Des éléments importants comme de la peinture d’époque ou des marquages sont dissimulés. Cela compromet leur inscription au patrimoine », préviennent-ils.
Grâce à leur travail de sensibilisation et aux actions individuelles de quelques personnes qui se battent pour que ces flèches soient inscrites au patrimoine américain, le couple espère que leur caractère historique sera bientôt reconnu.

« Maison de l’horreur ». La fratrie préparait un plan d’évasion « depuis plus de deux ans »

Le procureur du comté de Riverside, Mike Hestrin, a annoncé l'inculpation des parents de la "maison de l'horreur".
Le procureur du comté de Riverside, Mike Hestrin,
a annoncé l'inculpation des parents
de la "maison de l'horreur.

Un couple d’Américains arrêté en Californie, qui a séquestré et affamé ses treize enfants, a été inculpé jeudi pour torture et maltraitance. Selon le procureur, la fratrie préparait « depuis plus de deux ans » un plan d’évasion.
Dimanche, la police découvrait en Californie "une maison de l’horreur" faisant frémir les États-Unis et au-delà. Treize frères et sœurs ont été retrouvés séquestrés et affamés par leurs propres parents. Certains étaient même attachés.
Jeudi, le couple de parents a été inculpé pour torture et maltraitance, a indiqué le procureur du comté de Riverside, Mike Hestrin.
Si tous les chefs d’inculpation sont retenus contre eux, David Allen Turpin, 57 ans, et son épouse Louise Anna Turpin, 49 ans, risquent de 94 ans à la prison à vie, a précisé Mike Hestrin au cours d’un bref point de presse.

Un plan d’évasion

Le couple a été arrêté dimanche à Perris, à 110 kilomètres au sud-est de Los Angeles, à la suite de l’évasion d’une de leur fille, âgée de 17 ans, qui a donné l’alerte.
Les enfants, âgés de 2 à 29 ans, ont été retrouvés pour certains enchaînés à un lit, dans des conditions d’extrême saleté et de malnutrition sévère. Sept ont plus de 18 ans.
Selon le procureur, la fratrie préparait « depuis plus de deux ans » un plan d’évasion.

Des punitions qui « ont empiré avec le temps »

Dans le détail, le couple est visé par douze chefs d’accusation de torture - l’enfant de deux ans n’aurait pas été torturé et était bien nourri -, sept chefs de maltraitance d’un adulte dépendant, six chefs de maltraitance ou négligence d’enfant et douze pour séquestration.
David Turpin est également visé par un chef d’acte obscène sur un enfant par la force, la peur ou la contrainte. Le procureur a précisé qu’il s’agissait de la façon dont le père avait ligoté l’une de ses filles, âgé de 14 ans. Ces chefs d’accusation portent sur des faits survenus depuis 2010.
Selon le procureur, ces maltraitances ont « commencé comme une punition » mais « ont empiré avec le temps » lorsque la famille habitait près de Fort Worth, au Texas, et après son arrivée en Californie. « Ce qui a commencé comme de la négligence s’est achevé par ces maltraitances brutales ».
Plusieurs des enfants souffrent de « déficiences cognitives » et de lésions nerveuses. Certains ne savaient pas ce qu’était un policier et l’adolescente de 17 ignorait ce qu’était un médicament.
Dans un premier temps, les parents utilisaient des cordes pour ligoter leurs enfants mais, après que l’un d’entre eux soit parvenu à se libérer, ils sont passés à des chaînes cadenassées, a-t-il poursuivi.
L’un des motifs pour qu’un enfant soit enchaîné était notamment qu’il se lave les mains au-dessus du poignet, ce que les parents considéraient comme « jouer avec l’eau ». Les punitions comprenaient aussi des coups et des strangulations.

Une douche par an

Il a confirmé que les enfants étaient « sévèrement dénutris » - l’un d’eux âgé de 12 ans pèse comme la moyenne d’un enfant de sept ans -, aucun ne pouvait se doucher plus d’une fois l’an, aucun n’a vu de dentiste de sa vie ni de médecin depuis « au moins quatre ans ».
D’après les éléments constatés sur place, les enfants « souvent n’étaient pas libérés de leurs chaînes pour pouvoir aller aux toilettes », a indiqué le procureur.
A une époque, lorsque la famille était encore au Texas, parents et enfants vivaient « séparément » et les parents « déposaient de la nourriture ».
Mike Hestrin a précisé qu’aucun enfant n’avait accès à des jouets alors que de très nombreux ont été retrouvés dans la maison, toujours dans leur emballage. En revanche, ils avaient la possibilité de tenir un journal et les enquêteurs en ont récupéré « des centaines ».




Jusqu'où ira l'escalade de tensions entre les États-Unis et la Corée du Nord ?

Jusqu'où ira l'escalade verbale entre Donald Trump et son homologue nord-coréen ? Les échanges de menaces sont désormais incessants. Le président américain a qualifié ce vendredi le leader nord-coréen de "fou", affirmant qu'il allait être mis à l'épreuve "comme jamais", au moment où le régime de Pyongyang évoquait un possible essai de bombe H dans le Pacifique. Cette nouvelle escalade intervient quelques jours après le discours de Donald Trump à l'ONU, dans lequel le président américain avait qualifié Kim Jong-Un d'"homme-fusée" et avait menacé son pays de "destruction totale". Trump "m'a insulté, moi et mon pays, sous les yeux du monde entier, et a livré la plus féroce déclaration de guerre de l'histoire", a rétorqué le leader nord-coréen.



On en parle avec: Cédric Faiche, correspondant BFMTV aux États-Unis. - Week-end Direct, du vendredi 22 septembre 2017, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Réfugiés : la ruée vers le Canada

Les chiffres sont même impressionnants : en un an, le nombre de migrants passant à pied l'immense frontière qui sépare les deux pays a triplé au Québec et été multiplié par dix entre le Minnesota en la province canadienne du Manitoba.
Et ces chiffres ne valent que pour ces deux provinces. Le constat est le même, sans chiffres, avec dans le reste du Canada qui partage avec les États-Unis 6 400 km, si l'on excepte la frontière avec l'Alaska, près de 9 000 km avec. Impossible donc de tout surveiller.
Il faut souligner deux éléments.

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D'abord, traverser la frontière américano-canadienne n'a rien d'une partie de plaisir en hiver : beaucoup de migrants se retrouvent dans les hôpitaux canadiens, sitôt la frontière passée, avec de graves engelures.
Ensuite, beaucoup de ces migrants ont parfois voyagé plusieurs mois (typiquement 5 ou 6 mois) depuis, par exemple, la corne de l'Afrique ou le Moyen-Orient, en passant par l'Afrique du Sud, le Brésil puis en remontant toute l'Amérique latine jusqu'aux États-Unis.
Enfin, pour eux, le Canada est souvent un second choix. Ils ont avant tenté de rester aux États-Unis mais se sont heurtés aux restrictions du système d'asile qui renvoie au pays un demandeur d'asile débouté.
Le Canada, lui, n'expulse pas vers des pays dangereux.