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Les 10 plus beaux costumes de Hassan II

Combinaison en jean, costume mauve, djellaba vert pomme... Hassan II n’avait aucun tabou vestimentaire.

Le roi de la sape, en photos

“C’est une tenue militaire, bien sûr, mais tu vois bien que le mec n’est pas qu’un militaire. Il y a une aisance, une confiance, un regard souverain, et tu imagines facilement les gens autour se tenir prêts à exécuter ses ordres .C’est dans cette aisance là qu’on comprend vraiment cette expression, qu’il avait reprise de Pascal, ‘le style, c’est l’homme’. Moi je dis toujours que le vêtement est l’accessoire de la personnalité, et pas l’inverse. Ce n’est pas le vêtement qui fait qui tu es, mais c’est toi qui construit comment les autres perçoivent le vêtement, même en uniforme”.





Hassan II en visite à Londres en 1987, avec la reine Elizabeth

C’est un ensemble classique, un costume occidental bien coupé, avec la cravate, l’attache cravate… Mais avec un fez gris. La classe quoi.
Le message qu’il envoie c’est l’idée qu’il connait les codes occidentaux, il les maitrise, mais il maitrise aussi la tradition marocaine, au point qu’il joue avec en assortissant son fez à son costume. C’est vraiment trop stylé, n’importe qui ferait ça dans un défilé aujourd’hui, ça ferait fureur.”



Hassan II en visite à La Baule en Juin 1990 pour le sommet franco-africain.

"Il est très puissant ce look. Il affirme vraiment tous ses pouvoirs: avec le vert, la couleur des saints, il impose son pouvoir religieux. En même temps la cape a un côté militaire qui lui permet d’affirmer aussi son rôle de chef des armées…
ça dit beaucoup de choses cette silhouette là: je suis roi, je suis commandeur des croyants, je suis le chef des armées, je maîtrise ma culture et la vôtre.
Et du coup, François Mittérand qui marche derrière lui, on dirait juste quelqu’un qui l’accompagne. Le seul chef d’Etat dans cette photo, c’est clairement Hassan II”



Hassan II au golf

“Tu te rends compte? Que la personne la plus haut placée, le premier exemple, s’habille comme ça? On dirait qu’il fait partie du Fonkadelic Parliament!Il faut avoir une certaine liberté pour porter ça, surtout à son poste! Lui, ça le rend encore plus puissant, c’est un roi, à la tête d’un pays ultra conservateur, et il met un petit polo rose et jaune, le pantalon assorti, avec la ceinture Gucci. Il faut oser !
Pour moi, c’est vraiment la couleur des hommes virils, ceux qui n’ont justement pas peur de paraître efféminés s’ils la portent.”



Hassan II en costume mauve

“C’est incroyable. Le mec a réussi à porter un camaïeu de mauve, qui est sans doute la couleur la plus difficile à manipuler. Tu risques vite de faire clown, mais lui pas du tout. Au contraire, tu vois très clairement que c’est le plus puissant de la place.C’est un message très fort envoyé de tous les côtés: côté occidental, ils voient un dirigeant politique, commandeur des croyants, mais qui est plus branché qu’eux.

Et du côté des dirigeants arabes, ils voient quelqu’un qui partage leur identité mais qui s’est libéré du poids de la tradition, qui est capable de jouer avec et qui du coup, offre une manière complètement unique de représenter sa culture. C’est génial.”



Interview de Hassan II à la télévision française en juin 1979 

“On dirait un costume des Bee-gees sauf qu’il est porté par un chef d’Etat, pas par un musicien… Tu vois le roi arriver, habillé comme ça, tu perds complètement tes repères, alors comment juger?
Rien de tout cela n’est censé exister selon les règles et les critères de cette époque là, même aujourd’hui d’ailleurs. Et au niveau de l’assemblage des couleurs, je trouve ça hyper pointu.
Un exemple: moi dans ma vie, la personne la plus stylée que je connaisse, c’est ma grand mère, parce qu’elle a une aisance à mélanger des couleurs et des motifs qu’on ne mélange jamais. C’est sa personnalité à elle qui fait que les assemblages qu’elle porte fonctionnent. C’est la même chose avec Hassan II, et ça inspire beaucoup de respect.”



Hassan II au palais de Skhirat en 1972

“La c’est clair qu’il a voulu jouer aux cow-boys. Le chapeau, les broderies sur les côtés… C’était l’époque des westerns spaghetti, le cow boy incarnait une figure héroïque, ça parlait aux gens.
Hassan II avait cette aisance d’utiliser les codes d’un peu partout et de se les approprier. Et puis ce qui est énorme dans cette image c’est le jean, c’est de la toile, un vêtement de travailleur, mais là il est porté par un roi.
Un roi qui peut mettre de la soie, du cachemire, les plus belles matières mais qui choisit de s’habiller en jean, avec les manches retroussées, en figure populaire.”



Hassan II en saharienne

“Il a encore un côté cow-boy ici, il a un air de Clint Eastwood, mais qui serait sorti du far-west. C’est une version plus chic, plus classe, plus universelle de ce qu’incarnait Clint Eastwood.
Il porte la saharienne d’Yves Saint Laurent, un exemple typique de contre-culture, hyper branché, un vêtement utilitaire que le styliste avait transformé en objet de mode.



Hassan II inspecte les produits de ses fermes

“Là, il fait très grand propriétaire terrien, à l’argentine, ou à la colombienne. Le mec qui a des hectares et des hectares de terres, qui élève des chevaux, qui a des vignes.
C’est très stylé, et en même temps c’est très sobre. Il sait vraiment s’approprier tous les codes. Du coup, il a vraiment l’air d’être dans son rôle, d’être un expert de la vigne, tu sens qu’il s’y connait.
Il donnait toujours l’impression de savoir où il mettait les mains, et les pieds.”



Hassan II et sa cravate noire

“C’est le seul qui a le fauteuil rouge, et ça fait absolument partie du style. Il sait pertinemment où il doit s’asseoir avec ce costume, et de quelle manière.
Toujours à l’aise. En dehors du fauteuil, les couleurs sont très simples, c’est la veste qui est géniale. Il y a un jeu de rayures incroyable qui déstructure complètement la coupe
Et ça me touche, parce que c’est la première fois que vois cette photo, et j’ai fait le même jeu de rayures sur une de mes vestes, mais lui il a un truc en plus, c’est cette cravate noire qui donne un centre à tout ça, une symétrie. C’est absolument génial.”


LA FIBRE OPTIQUE


La Plus grande tour du monde : Burj Khalifa, à Dubai










Avec ses 828 m, Burj Khalifa est la tour la plus grande du monde.



Quel bâtiment détient le record de la tour la plus grande jamais érigée ? Avec ses 828 mètres de haut, la tour Burj Khalifa de Dubai, dans les Emirats Arabes Unis, est la plus haute tour du monde. Construite au cœur d'un nouveau quartier Downtown Burj Khalifa, elle a été inaugurée en janvier 2010. Ce gratte-ciel gigantesque comporte 160 étages. Nouveau symbole de démesure de Dubai, elle se distingue par sa flèche gigantesque. Le bâtiment,visible à 95 km à la ronde, est fait de béton et de barres de fer. Les travaux, commencés en 2004, se sont achevés en 2009. Au plus fort de sa construction, 12 000 ouvriers, venus de toute la planète, travaillaient sur le chantier. Le design de Burj Khalifa est signé par le cabinet américain SOM pour Skidmore, Owings et Merrill. Selon son concepteur principal Adrian Smith, elle représente "l'unique lumière dans le désert". Pour l'imaginer, il s'est inspiré d'une plante uniquement cultivée à Dubai et en Inde : le Hymenocallis. Une fleur qui aura tout de même coûté 1,5 milliard de dollars
Quasiment jusqu'à la fin des travaux, la plus haute tour du monde s'est appelée Burj Dubai. Sa hauteur finale est elle restée longtemps secrète. Le 21 juillet 2007, elle arrache le titre de plus haut gratte-ciel du monde en dépassant la tour Taipei 101 du haut de ses 555 m. Enfin, le 17 janvier 2009, le sommet de Burj Khalifa est achevé. Elle atteint sa hauteur définitive, soit 828 m. Inaugurée le 4 janvier 2010 en grande pompe avec spectacle pyrotechnique et son et lumière, le bâtiment le plus grand jamais construit par l'homme change de nom pour Burj Khalifa, en hommage au Cheikh des Emirats Arabes Unis Khalifa bin Zayed. 
A terme, elle comprendra un hôtel de luxe Armani, des appartements de luxe et des bureaux. Cependant, un mois après son inauguration, la tour a été fermée. En cause, les deux ascenseurs ultra modernes qui transportent les touristes jusqu'à la terrasse panoramique du 124e étage. Ils ont rouverts depuis. 

Hong Kong 2014










L'Inde, le Rajasthan

Chacun leur tour, Sophie Jovillard et Jérôme Pitorin nous embarquent dans un voyage itinérant que ce soit à l'autre bout du monde ou dans une contrée toute proche. Leur mission : donner à voir, à connaître et à comprendre la culture d'un pays, à travers des rencontres, des histoires et des reportages. "Echappées Belles", c'est aussi la découverte de routes mythiques avec le carnet de voyages d'un réalisateur-baroudeur, sous la forme d'un feuilleton en quatre parties.

Sophie part en voyage sur une terre de contrastes, entre souvenirs de l'époque faste de princes, palais de contes de fées et rencontres de ceux qui composent cette province indienne aujourd'hui. Le Rajasthan est un des états les plus touristiques de l'Inde. Dans ce numéro, on part sur les traces des maharajas, des anciens guerriers rajpoutes dont les superbes fresques des havelî racontent les épopées, on y découvre des palais des Mille et Une Nuits, des saris et des turbans aux couleurs éclatantes... Le Rajasthan, ce sont aussi des paysages désertiques, une Inde profondément rurale et pauvre, des communautés qui vivent en accord parfait avec la nature, une contrée encore méconnue..  





Voyage moto en Inde | voyage moto Inde du nord... par indiaworldtravel

L'ex.Yougoslavie

De l'éclatement de la Yougoslavie il y a 20 ans ont émergé la Slovénie, la Croatie, la Serbie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, le Kosovo et la Macédoine. A travers sa langue, les arts ou le sport, chaque nation tente de faire naître un sentiment collectif. Tout au long de son périple, de Ljubljana, en Slovénie, à Skopje, en Macédoine, la réalisatrice Sybille d'Orgeval rencontre des jeunes nés sans avoir connu la Yougoslavie communiste, des habitants ayant vécu les deux époques et la guerre qui marqua le passage douloureux de l'une à l'autre, ou encore des nostalgiques d'une unité révolue. Tout en dévoilant des paysages à couper le souffle, ce film cherche à comprendre le chemin vers la construction de ces nouvelles entités avec les jeunes générations qui en sont les actrices.



Echappées Belles - Norvège



Une femme amputée des quatre membres après une interruption volontaire de grossesse (IVG).



 Deux jeux de photos qui épuisent les mots, deux séries de clichés pour dire l'avant et l'après. 

Avant : une mère de famille d'une beauté à couper le souffle qui illumine les albums photos de vacances ; un couple qui s'épanouit dans une vie de famille égayée par les rires de ses trois enfants ; une réussite professionnelle dans les métiers du prêt-à-porter qui chasse tout souci d'argent.

Après : l'horreur qui s'abat comme la lame d'une guillotine ; un corps tronçonné aux chairs martyrisées ; des lits de douleur et de désespérance ; une vie réduite à des moignons et à des prothèses. Le cauchemar a pris naissance dans le bloc opératoire de la maternité du CHU de Bordeaux.


En juillet 2011, quelques mois après la naissance de son dernier enfant, Priscilla Dray tombe de nouveau enceinte. Avec son époux, David, cette commerçante bordelaise alors âgée de 36 ans décide de recourir à une interruption volontaire de grossesse. L'intervention ne doit durer que quelques heures.


En quittant l'établissement, comment pourrait-elle imaginer qu'elle perdra bientôt ses deux jambes, un avant-bras et une main ? « Dès le lendemain, le samedi, j'avais de la fièvre et des douleurs au bas-ventre. Je suis immédiatement revenue au CHU. J'ai été reçue par l'interne de garde des urgences... .

La maternité du CHU de Bordeaux, le 13 mars 2014.

L'interne décide finalement de la renvoyer à son domicile après avoir retiré le stérilet placé après l'IVG. Il faudra attendre le dimanche - soit deux jours après l'intervention - pour que le médecin de garde diagnostique finalement une septicémie en étudiant son dossier. 
De retour à l'hôpital vers midi, elle ne reçoit son traitement qu'à 17 heures. C'est ce retard dans l'administration des médicaments que pointent du doigt les plaignants. La jeune femme sera amputée de ses quatre membres quelques semaines plus tard.    

La pile du futur est née, charger un téléphone en 30 secondes

La pile du futur est née, ultra-puissante et biodégradable. Charger un téléphone en 30 secondes, une voiture électrique en l'espace de quelques minutes ne relève plus de la science fiction. Deux chercheurs américains ont mis au point un super-condensateur révolutionnaire à base de graphène. Ultra-puissant, super résistant, flexible et biodégradable, cette pile du futur offre des opportunités de développement très prometteuses.


Echappée belle Suisse, côté neige

Dans cet épisode, Sophie Jovillard découvre la Suisse. Elle débute son périple par le Haut-Valais, traversant les gorges sauvages de la vallée du Nicolaital à bord du MBG (Mattherhorn Gotthard Bahn). Elle se dirige vers Zermatt, un des domaines skiables les plus fréquentés de la Suisse, puis va àla rencontre de plusieurs personnes : une éleveuse de chiens de traîneau et des membres de la confédération des «Barbus» de Gruyères. Après une visite de la ville de Fribourg et de la région de Brienz, elle achève son voyage au col de la Jungfraujoch afin d'admirer un panorama des Alpes. 


La maladie à virus Ebola.

Principaux points
La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
Le taux de létalité moyen est d’environ 50%. Au cours des flambées précédentes, les taux sont allés de 25% à 90%.
Les premières flambées de maladie à virus Ebola sont survenues dans des villages isolés d’Afrique centrale, à proximité de forêts tropicales, mais la récente flambée en Afrique de l’Ouest a touché de grands centres urbains aussi bien que des zones rurales.
La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. Pour être efficace, la lutte doit se fonder sur un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale.
Les soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement symptomatique améliorent les taux de survie. Aucun traitement homologué n’a pour l’instant démontré sa capacité à neutraliser le virus, mais plusieurs traitements (dérivés du sang, immunologiques ou médicamenteux) sont à l’étude.
Il n’existe actuellement aucun vaccin homologué contre la maladie à virus Ebola, mais deux candidats sont en cours d’évaluation.

Informations générales
Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n’est pas traitée. La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.
La flambée qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest (dont les premiers cas ont été notifiés en mars 2014) est la plus importante et la plus complexe depuis la découverte du virus en 1976. Elle a produit plus de cas et de décès que toutes les précédentes flambées réunies. Cette flambée a également comme particularité de s’être propagée d’un pays à l’autre, partant de la Guinée pour toucher la Sierra Leone et le Libéria (en traversant les frontières terrestres), le Nigéria (par l’intermédiaire d’un seul voyageur aérien) et le Sénégal (par l’intermédiaire d’un voyageur arrivé par voie terrestre).
Les pays les plus touchés (la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria) ont des systèmes de santé très fragiles, manquent de ressources humaines et d’infrastructures et sortent à peine de longues périodes de conflits et d’instabilité . 
Une flambée distincte, sans lien avec celle en Afrique de l’Ouest, s’est déclarée dans le district de Boende, une région isolée de la province de l’Équateur, en République démocratique du Congo.
La famille de virus Filoviridae compte trois genres : Cuevavirus, Marburgvirus et Ebolavirus. Cinq espèces ont été identifiées : Zaïre, Bundibugyo, Soudan, Reston et Forêt de Taï. Les trois premières ont été associées à d’importantes flambées Afrique. Le virus à l’origine de la flambée 2014 en Afrique de l’Ouest appartient à l’espèce Zaïre.

Transmission







On pense que les chauves-souris frugivores de la famille des Pteropodidae sont les hôtes naturels du virus Ebola. Celui-ci s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés comme des chimpanzés, des gorilles, des chauves-souris frugivores, des singes, des antilopes des bois ou des porcs-épics retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale.
Il se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides.


Des agents de santé se sont souvent infectés en traitant des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Ebola. Cela s’est produit lors de contacts étroits avec les patients, lorsque les précautions anti-infectieuses n’ont pas été strictement appliquées.
Les rites funéraires au cours desquels les parents et amis du défunt sont en contact direct avec la dépouille peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang et leurs liquides biologiques, y compris le sperme et le lait maternel. Le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à sept semaines après la guérison clinique.

Symptômes


La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu’ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux.



Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées et un mal de gorge.












Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, de symptômes d’insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles). 



Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

Diagnostic
La maladie à virus Ebola peut être difficile à distinguer d’autres maladies infectieuses comme le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. Les investigations suivantes servent à confirmer que l’infection par le virus Ebola est bien la cause des symptômes :
titrage immunoenzymatique (ELISA)
tests de détection par capture de l’antigène
test de séroneutralisation
transcription inverse suivie d’une réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR)
microscopie électronique
isolement du virus sur culture cellulaire.
Les échantillons provenant des patients présentent un risque biologique extrême. Par conséquent, les analyses de laboratoire effectuées sur les échantillons non inactivés devraient respecter les conditions de confinement les plus rigoureuses possible.

Traitement et vaccins
La réhydratation de soutien par voie orale ou intraveineuse et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les taux de survie. Aucun traitement disponible n’a pour l’instant fait ses preuves contre la maladie à virus Ebola. Néanmoins, toute une gamme de traitements potentiels, y compris des produits sanguins, des thérapies immunitaires et des traitements médicamenteux sont en cours d’évaluation. Aucun vaccin homologué n’est encore disponible, mais on évalue actuellement l’innocuité de deux vaccins potentiels chez l’homme.

Prévention et lutte
Pour combattre efficacement la flambée, il faut mettre en œuvre un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale. La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. La sensibilisation aux facteurs de risque de l’infection par le virus Ebola et aux mesures de protection possibles est un moyen efficace pour réduire la transmission chez l’homme. Les messages sur la réduction des risques devront porter sur les facteurs suivants :
Réduction du risque de transmission entre les animaux sauvages et l’homme par contact avec des chauves-souris frugivores ou des singes/primates infectés et par la consommation de leur viande crue. Il faut manipuler les animaux avec des gants et porter d’autres vêtements de protection adaptés. Les produits issus de ces animaux (sang et viande) doivent être cuits soigneusement avant d’être consommés.
Réduction du risque de transmission interhumaine provenant de contacts directs ou rapprochés avec des sujets présentant des symptômes d’Ebola, en particulier avec leurs liquides biologiques. Il faut porter des gants et un équipement de protection individuelle adapté lorsque l’on s’occupe des malades à domicile. Il faut également se laver systématiquement les mains après avoir rendu visite à des patients à l’hôpital ou après s’être occupé de malades à domicile.


Mesures d’endiguement de la flambée y compris l’inhumation rapide et sans risque des défunts, l’identification des sujets susceptibles d’avoir été en contact avec une personne infectée par le virus Ebola, le suivi de l’état de santé des contacts pendant 21 jours, la séparation sujets sains/malades en vue de prévenir la propagation, une bonne hygiène et le maintien d’un environnement propre.

Lutte contre l’infection dans les établissements de soins
Les agents de santé doivent toujours appliquer les précautions standards lorsqu’ils s’occupent des patients, quel que soit le diagnostic présumé. Ces précautions portent sur les règles de base en matière d’hygiène des mains, l’hygiène respiratoire, le port d’un équipement de protection individuelle (pour se protéger des éclaboussures ou d’autres contacts avec des matières infectées) et la sécurité des injections et des rites funéraires.
Les agents de santé qui s’occupent de cas suspects ou confirmés d’infection à virus Ebola doivent, en plus des précautions d’usage, prendre d’autres mesures de lutte anti-infectieuse pour éviter tout contact avec le sang ou les liquides biologiques du patient ou avec des surfaces et des matériaux contaminés comme les vêtements et le linge de lit. Lors des contacts proches avec les malades (c’est-à-dire à moins d’un mètre), ils doivent porter une protection du visage (écran facial, ou masque chirurgical et lunettes de protection), une blouse propre, non stérile à manches longues, et des gants (stériles pour certains actes médicaux).
Les employés des laboratoires sont également exposés au risque. Les échantillons qui ont été prélevés sur des sujets humains ou des animaux afin de rechercher infection au virus Ebola doivent être manipulés par du personnel formé et traités dans des laboratoires suffisamment équipés.

ATTENTAT AU PARLEMENT CANADIEN

Après avoir abattu le soldat Nathan Cirillo, un garde de service au Monument commémoratif de guerre du Canada, le Canadien Michael Zehaf-Bibeau vole un véhicule et fait irruption dans le parlement où il tire plusieurs coups de feu. Il sera par la suite neutralisé par le sergent d’armes Kevin Vickers.

Sergeant-at-Arms Kevin Vickers is applauded in the House of Commons in Ottawa October 23, 2014. Vickers was credited with shooting the suspect during a shooting incident October 22, in which a gunman killed a soldier and ran through Parliament shooting before being shot dead himself.

Les innovations alimentaires : ce que vous mangerez demain

Ce que vous aurez bientôt dans votre assiette.



Reconstitution pour la première fois de l'histoire génétique du rétrovirus VIH (virus de l'immunodéficience humaine) responsable du sida


Le Sida est la plus grande catastrophe sanitaire de l'histoire de l'humanité.

C'est une première. Des chercheurs en reconstitué le cheminement du virus responsable du Sida, découvert en 1981 et responsable de 36 millions de morts. Selon leurs conclusions, la pandémie  a débuté à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, dans les années 20, avant de se propager dans le monde en pleine mutation.
Les virologues savaient déjà que ce rétrovirus a été transmis des singes à l'homme au moins à treize reprises, mais qu'une seule de ces transmissions est responsable de la pandémie humaine.



C'est seulement cette transmission spécifique qui a abouti à l'émergence du VIH-1, à l'origine de la pandémie qui a entraîné près de 75 millions d'infections à ce jour, la plus grande partie en Afrique subsaharienne.
Le développement des chemins de fer, en particulier au Congo belge, a joué un rôle clé dans le développement de la pandémie à ses débuts en faisant de Kinshasa une des villes les mieux desservies de toute l'Afrique centrale, une plaque-tournante. «Les informations des archives coloniales indiquent qu'à la fin des années 40 plus d'un million de personnes transitaient par Kinshasa par le train chaque année».



Le virus VIH s'est propagé très rapidement à travers le Congo, d'une superficie équivalente à l'Europe de l'Ouest, se déplaçant avec des personnes par les chemins de fer et les voies d'eau.
Ainsi, le VIH a pu atteindre Mbuji-Mayi et Lubumbashi dans l'extrême Sud et Kisangani dans le Nord entre la fin des années 30 et le début des années 50.



Ces migrations ont permis au virus d'établir les premiers foyers secondaires d'infection dans des régions qui disposaient de bons réseaux de communication avec des pays du sud et de l'est de l'Afrique. Les changements dans la société qui se sont produits au moment de l'indépendance du Congo en 1960 ont aussi probablement fait que le virus a pu s'échapper de petits groupes de personnes séropositives pour infecter des populations plus étendues, avant de se propager dans le monde, à la fin des années 70. Le VIH a été identifié pour la première fois en 1981.
Outre le développement du transport, certains changements dans les attitudes sociales, notamment parmi les travailleurs du sexe, ainsi qu'un plus grand accès aux seringues que se partageaient les toxicomanes, dont certains étaient infectés, ont fait flamber l'épidémie.




AVEC



Les fausses croyances qui entourent encore aujourd’hui le stérilet.

Le stérilet est réservé aux femmes ayant déjà eu des enfants.
54% des femmes pensent que le stérilet ne peut pas être utilisé par les nullipares. Une croyance erronée longtemps partagée par une majorité de gynécologues et médecins généralistes français. « Les choses ont évolué depuis la crise autour de la pilule, souligne Nathalie Bajos, sociologue à l’Ined. Mais le taux d’utilisation reste faible chez les jeunes et les femmes sans enfants. En Angleterre, le stérilet est proposé à toutes les femmes depuis très longtemps. » A noter qu’il existe des stérilets de petites tailles totalement adaptés aux femmes n’ayant jamais eu d’enfants (leur utérus étant plus petits).


Le stérilet rend stérile
22% des femmes pensent que le stérilet nuit à la fertilité. « C’est totalement faux. L’action du stérilet est locale, il ne bloque pas l’ovulation. C’est un moyen contraceptif à longue durée d’action (entre 3 et 10 ans) qui est totalement réversible. Après l’avoir enlevé, la femme retrouvera la même fertilité qu’avant. Ni plus, ni moins. Dès son retrait, la patiente peut donc parfaitement retomber enceinte. »


La pose du stérilet est très douloureuse.
Le ressenti varie beaucoup d’une femme à l’autre. Le médecin peut prescrire un antalgique ou un antispasmodique en amont de la pose. Chez les femmes jeunes, la pose peut être un peu plus douloureuse. Nul besoin d’hospitalisation, le stérilet peut être posé par un gynécologue dans son cabinet, ou par une sage-femme.


Le stérilet entraîne des grossesses extra-utérines
Faux. Le risque est même moindre chez les femmes ayant un stérilet que chez les femmes n’ayant aucun moyen de contraception.

Le stérilet est gênant pendant les rapports sexuels.
Votre partenaire ne sentira pas le stérilet s’il est bien installé. Tout petit, en forme de T, il ne fera pas baisser non plus votre libido. Vous pouvez faire l’amour tout de suite après la pose si elle a eu lieu dans les 7ers jours de votre cycle.


Le stérilet augmente le risque d’infections
« La présence du dispositif n’augmente pas le risque de maladies inflammatoires pelviennes, mais l’existence de germes au niveau du col de l’utérus ou d’infections sexuellement transmissibles lors de la pose peuvent accentuer ce risque. Avant la pose de tout DIU, il est recommandé de dépister ces IST. »


Les risques d’expulsion ou de perforation sont élevés.
Non, le risque de perforation est très faible (0.001%) quel que soit le type de DIU inséré et l’âge de la femme. Il est, cependant, multiplié par six chez les femmes allaitant pendant les 9 mois du post-partum. Cet incident survient le plus souvent au moment de l’insertion. Quant à l’expulsion, elle survient chez moins d’une femme sur 1000. Elle se produit davantage dans les trois premiers mois.






Comment se protéger contre le virus Ebola.

Le virus Ebola a fait plus de 4000 morts depuis fin juillet. Les personnels soignants en Europe ont aussi été touchés. Comment faire pour ne pas être contaminé ? 



Photo du jour.

Des moutons Mérinos au centre commercial Bikini de Berlin, dans le cadre d'une campagne promotionnelle autour de la laine.

20 octobre 2014 - Allemagne