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Rép. tchèque : la plus longue passerelle suspendue au monde.

Le "Sky Bridge 721" a été inauguré récemment à Dolni Morava (Rep. tchèque). Longue de 721 mètres, elle est la plus grande passerelle suspendue au monde.
Le "Sky Bridge 721" a été inauguré récemment à Dolni Morava, en République tchèque, près de la frontière avec la Pologne.
Longue de 721 mètres, elle est la plus grande passerelle suspendue au monde.
L'édifice relie deux sommets dans l
e massif de Kralicky Snezník, dans le massif des Sudètes orientales.



Syndrome de Maigne ou syndrome de la charnière dorso-lombaire ou syndrome de la charnière thoraco-lombaire.

 

Il désigne un mal de dos et des douleurs projetées au niveau des hanches et des cuisses principalement.En cause, une inflammation des racines nerveuses au niveau de la charnière dorso-lombaire. Si cette pathologie peut affecter tout le monde, on la rencontre plus fréquemment chez les sujets âgés de 50 ans et plus. Même si on estime que ce syndrome est responsable de près d’un tiers des lombalgies, il demeure mal connu. Et difficile à diagnostiquer au regard des signes cliniques observés.


DEFINITION :
Ce sont des douleurs qui se produisent hors du lieu de l’irritation initiale qu’est la charnière dorso-lombaire. Elles se manifestent dans le bas du dos, au niveau des fesses et des jambes, car les nerfs qui partent du point de blocage de la charnière dorso-lombaire innervent ces zones. Elles peuvent aussi apparaitre au niveau des hanches, de l’aine et du ventre. Ces douleurs sont généralement localisées d’un seul côté, le plus souvent du côté droit dans 60 % des cas. 

LES SIGNES CLINIQUES :
  • des douleurs ayant essentiellement pour siège le bas du dos (zone sacro-iliaque), qui peuvent irradier au niveau des fesses et des jambes, voire jusque sur le dessous du pied. Elles sont associées parfois à tort à une sciatique. Elles augmentent à l’effort et avec l’adoption de certaines postures ;
  • des douleurs projetées à la face externe de la hanche : douleur aggravée à la marche avec parfois une projection dans le pli de l’aine. Elle peut induire en erreur là aussi et être confondue avec une tendinite du moyen fessier ;
  • des douleurs projetées à la face antérieure de la hanche : douleur projetée au niveau de l’aine, au niveau gynécologique et urologique. Or ce n’est pas la hanche qui est en cause, contrairement aux apparences.
LES CAUSES :


La colonne vertébrale est composée de 7 vertèbres cervicales, de 12 vertèbres dorsales (thoraciques), de 5 vertèbres lombaires, le sacrum puis le coccyx.
Dans le cas du syndrome de Maigne, ou syndrome de la charnière dorso-lombaire, il y a une irritation des racines nerveuses, sortant entre la 12e vertèbre dorsale et la première vertèbre lombaire (D12-L1 dans la très grande majorité des cas — neuf cas sur dix). De façon beaucoup moins fréquente, l’inflammation des racines nerveuses se situe au niveau thoracique (entre les vertèbres T11 et T12 ou T10 et T11) ou au niveau lombaire (L1-L2). Cette irritation des racines nerveuses peut avoir diverses origines. La zone D12-L1 est en effet très particulière, car elle assure la jonction entre une zone très mobile (la zone thoracique) et une zone particulièrement rigide (la zone lombaire). Elle est très sollicitée, aussi bien pour les mouvements de rotation que de flexion ou les mouvements d’extension. Cela peut conduire à des dérangements intervertébraux mineurs (DIM) provoqués par de mauvaises postures ou de faux mouvements. Mais aussi à de l’arthrose, c’est-à-dire à l’usure des cartilages intervertébraux. Cette usure peut être le fruit de l’âge, de traumatismes répétés (sports traumatiques, port de charges dans le cadre professionnel…), d’un surpoids engendrant une forte pression sur les articulations, d’une insuffisance musculaire du dos surtout chez la femme, et enfin, du tabagisme. Autre cause possible : une pathologie discale intervertébrale, après un tassement vertébral par exemple.

QUAND CONSULTER ?
il est conseillé de consulter son médecin dès les premiers symptômes. En effet, en l’absence de prise en charge, la douleur va s’accentuer et s’accompagner de contractures musculaires réflexes.

EXAMENS ET DIAGNOSTICS :
Il est rarement posé alors qu’il est pourtant à l’origine de près d’un cas sur trois des lombalgies. D’une part, les symptômes du syndrome de Maigne ne sont pas spécifiques à cette pathologie et très variables d’un sujet à l’autre. Ils peuvent donc être confondus avec une sciatique, une tendinite du moyen fessier, un problème à la hanche ou une autre pathologie. D’autre part, les radiographies montrent rarement de lésion de la charnière dorso-lombaire (T11-T12-L1) et la méconnaissance du syndrome de Maigne reste encore relativement importante chez les praticiens. Il est donc difficile de poser le diagnostic. Ce dernier repose essentiellement sur l’examen clinique et l’échange avec le patient. C’est le recoupement de divers éléments qui va permettre au médecin de s’orienter vers un syndrome de Maigne. Il va procéder à une palpation, à un toucher et à un palper-rouler sur les zones de la peau innervées par les racines nerveuses enflammées, pour détecter une éventuelle cellulalgie, terme qui désigne des douleurs musculaires comme des douleurs cutanées. Le médecin ou l’ostéopathe va ensuite chercher l’existence éventuelle de ce que l’on appelle « le point exquis », c’est-à-dire un point de douleur intense situé au niveau de la crête iliaque. Enfin, pour le cas, rare, où une lésion apparaitrait, une IRM peut être prescrite. Cet examen d’imagerie médicale peut de même servir à établir un diagnostic différentiel.

TRAITEMENT :

Il peut combiner de la manipulation ostéoarticulaire, de la kinésithérapie et des traitements médicamenteux. Le recours à la chirurgie est rare et n’intervient que dans les cas où les autres traitements ont échoué à apporter une amélioration suffisante. Les traitements pour guérir le syndrome de la charnière dorso-lombaire sont donc :

  • la manipulation vertébrale : c’est le traitement de première intention. La manipulation vertébrale peut être réalisée par un ostéopathe ou par un rhumatologue formé à cette spécialité (thérapie manuelle). Le but est de débloquer le segment dorso-lombaire incriminé dans cette pathologie. Ce blocage porte le nom de dysfonction somatique vertébrale. Le sujet va ainsi non seulement retrouver une bonne mobilité de la colonne vertébrale, mais voir ses muscles qui s’étaient contracturés sous la douleur se détendre. Des exercices complémentaires, à réaliser chez soi, peuvent être conseillés, comme la posture de l’enfant, l’étirement de la chaine musculaire postérieure, la posture du chat ou encore l’exercice de tonus vertébral. En principe, quelques séances d’ostéopathie suffisent à guérir le syndrome de Maigne ;
  • des anti-inflammatoires, des antalgiques et des décontractants musculaires (myorelaxants), peuvent être prescrits transitoirement en complément des manipulations, pour soulager les symptômes du patient ;
  • en cas d’échec à soulager les douleurs de la personne avec la pharmacopée classique, une infiltration de cortisone dans la zone d’irritation des racines nerveuses peut être effectuée (dans la limite de trois infiltrations par an). L’effet antalgique de l’infiltration a une durée moyenne d’un mois ;
  • la kinésithérapie : des séances de kinésithérapie à but antalgique peuvent s’avérer utiles pour le patient. Elles associent des massages, l’application de chaleur ou encore le recours à du courant basse fréquence ;
  • la chirurgie : la chirurgie n’est envisagée sur des douleurs de la charnière dorso-lombaire qu’en dernier recours. On procède alors à une capsulectomie au niveau de l’étage de la charnière dorso-lombaire responsable, ainsi qu’aux étages juste inférieur et supérieur. 
  • l’adoption par la personne de bonnes postures au quotidien, à domicile comme au travail, est aussi essentielle à une bonne guérison et à la prévention de rechutes.
PREVENTIONS :
Appliquer des mesures relativement simples au quotidien dans l’adoption de bonnes postures, que ce soit au travail ou chez soi, en position assise ou debout, lors de la manipulation ou du port de charges. 
Autre élément important pour prévenir le syndrome de Maigne : conserver un poids équilibré, ce qui suppose d’avoir une alimentation équilibrée, mais aussi de bien s’hydrater.
 Enfin, il faut entretenir la musculature de son corps et tout particulièrement celle de son dos, par la pratique d’une activité physique régulière de l’ordre de 30 min par jour. Cette activité physique doit bien entendu être compatible avec l’état de santé du patient et ses possibilités. Les personnes qui travaillent assises toute la journée doivent par conséquent faire des pauses régulières de 10 min et marcher un peu pour préserver leur dos.

Scandale de la salmonelle : un bilan coûteux pour Kinder.



En avril, des millions de produits Kinder ont dû être retirés du marché après 150 cas de salmonellose ont été détectés dans neuf pays européens. Le groupe a perdu 40 % de son chiffre d’affaires sur la période de pâques.
Plus de 3 000 tonnes de produit de la marque Kinder (filiale de l’italien Ferrero), ont été retirées en avril du marché français après que 150 cas de salmonellose ont été détectés dans neuf pays européens, dont 81 cas en France, majoritairement chez des enfants de moins de dix ans.

Un « impact financier » de « plusieurs dizaines de millions d’euros », a annoncé le directeur général France de Ferrero dans un entretien au Parisien publié jeudi. À plusieurs reprises, le dirigeant a réitéré les excuses déjà présentées par le groupe, et reconnu des défaillances.

« Cette crise nous fait mal au cœur. Il s’agit du plus gros rappel de produits de ces 20 dernières années. Et il concerne la marque préférée des Français », déclare Nicolas Neykov, qui prend la parole pour la première fois depuis le début du scandale sanitaire.

« D’après nos enquêtes », la contamination proviendrait « d’un filtre situé dans une cuve à beurre laitier » de l’usine d’Arlon en Belgique et aurait été provoquée « soit par des matières premières contaminées, soit par des personnes », selon lui.

Le "congé menstruel" est-il proposé dans certains pays du monde ?

Un projet en Espagne et une poignée de de dispositifs dans le monde, dans des pays asiatiques notamment: le "congé menstruel" pour les femmes souffrant de règles douloureuses est un droit encore rare.

  • Espagne: un droit à venir


Le gouvernement de gauche espagnol a présenté le 17 mai un projet de loi pour créer un "congé menstruel", qui serait sans durée limite mais qui devrait être validé par un médecin."Nous allons être le premier pays d'Europe à instaurer un arrêt maladie temporaire financé intégralement par l'État pour des règles douloureuses et invalidantes", a commenté la ministre de l'Egalité, Irene Montero. Le texte doit être approuvé par le Parlement où le gouvernement est minoritaire, avant une entrée en vigueur.

  • Japon: dans la loi depuis 1947


Au Japon, le droit au congé menstruel est inscrit dans la loi depuis 1947: les entreprises ne peuvent forcer une employée à travailler si elle demande à être en "congé menstruel". Il n'y a pas de limite au nombre de jours qui peuvent être pris pour ce type de congés mais ils ne sont généralement pas payés. 30% des entreprises proposent de rembourser entièrement ou partiellement ces congés périodiques, selon une étude du ministère japonais du Travail, réalisée en 2020 sur 6.000 entreprises. Cette enquête avait alors établi que seulement 0,9% des employées éligibles déclaraient avoir pris des congés menstruels.

  • Corée du Sud: un jour par mois


En Corée du Sud, les employées sont autorisées à prendre un jour de congé menstruel par mois, qui n'est pas payé. Les entreprises qui ne respectent pas la loi sont passibles d'une amende de 5 millions de won, soit environ 3.750 euros.Selon un sondage effectué en 2018, 19% des employées déclarent utiliser le droit au congé menstruel.-

  • Indonésie: un ou deux jours par cycle


En Indonésie, une loi adoptée en 2003 prévoit un ou deux jours de congés payés en début de cycle menstruel, en cas de règles douloureuses. La loi oblige seulement les employées à notifier à leurs employeurs la date de prise de ces congés. Mais la mise en oeuvre dans le détail est laissée aux entreprises et à leurs salariés.Dans la pratique, beaucoup d'entreprises n'autorisent qu'un seul jour de congé menstruel ou même aucun en choisissant d'ignorer la loi.

  • Taïwan: trois jours maximum par an


Taïwan reconnaît également le droit au congé menstruel pour les employées dans la limite d'un jour par mois et d'un total de trois jours par an. Il reste toutefois possible pour les salariées de bénéficier de plus de jours de congés menstruels, mais ils sont alors comptabilisés comme des jours de congé maladie normaux. Les congés menstruels sont remboursés, tout comme les congés maladie, comme des demi-journées travaillées.

  • Zambie: "la fête des mères" depuis 2015


Pays d'Afrique australe, la Zambie a adopté en 2015 une loi accordant aux femmes le droit à un congé menstruel qui leur permet de prendre un jour de congé supplémentaire par mois, sans préavis ni certificat médical en cas de règles douloureuses. Surnommé dans le pays "fête des mères", le congé menstruel est généralement accepté mais certains employeurs restent réticents et demandent par exemple que les femmes donnent un préavis."Certaines entreprises ne veulent même pas entendre parler du fait que leurs employées ont droit à la +fête des mères+", explique Ruth Kanyanga Kamwi, spécialiste en communication et militante féministe. Mais grâce aux syndicats, les salariées sont de plus en plus nombreuses à exercer leur droit, explique-t-elle.

  • Plusieurs entreprises proposent le congé menstruel à travers le monde.

Plusieurs entreprises à travers le monde offrent la possibilité à leurs employées de prendre des "congés règles". Le mouvement est récent avec des annonces faites ces derniers mois ou années. 

     - Ainsi, le fonds de pension australien Future Super,

      - L'entreprise de livraison indienne Zomato 

     - ou encore le fabricant français de mobilier Louis Design 

proposent six, dix ou 12 jours de congés payés supplémentaires par an à leurs employées souffrant de règles douloureuses.

10 animaux magnifiques en voie de disparition.

De nombreuses espèces animales sont menacées d'extinction, du fait du réchauffement climatique, de la chasse non régulée, de la destruction des habitats naturels, de l'industrie, de l'activité humaine en général... Même si de nombreux organismes luttent pour la protection des espèces, il est malheureusement fort probable que plusieurs d'entre elles soient amenées à s'éteindre dans un avenir proche. À vous qui êtes passionné par les animaux, voici 10 animaux magnifiques en voie de disparition à voir en voyage. En notant bien que de nombreux acteurs du tourisme s'engagent aujourd'hui à vous conduire auprès de ces merveilles de la nature, tout en respectant au maximum leur vie dans leur habitat nature.
  • Le tigre du Bengale, fauve d'une grande beauté.

S'il y a un siècle, on pouvait rencontrer le tigre du Bengale un peu partout dans la péninsule indienne, il ne reste aujourd'hui plus que 2 500 individus environ. La faute principalement à la croissance démographique qui les chasse de leur habitat naturel. De plus, le trafic illégal du tigre a tendance à augmenter. Pour avoir la chance de croiser ce fauve impressionnant et au pelage si particulier, il est possible de se rendre dans le parc national de Jim Corbett en Inde. Un moment qui reste à jamais gravé dans les mémoires.
  • La tortue Luth, grande voyageuse .

On reconnaît la tortue Luth par sa silhouette qui évoque le dessous d'une coque de navire. Il s'agit de la plus grande espèce de tortues marines. C'est une grande migratrice et elle n'hésite pas faire des milliers de kilomètres pour se rendre dans les eaux infestées de méduses pour se nourrir. Hélas! la tortue Luth est une espèce menacée, la faute au braconnage, à la pollution par le plastique et aux filets de pêche. Pour observer l'animal, il est possible de se rendre en Guyane, où les plages font partie des plus importants sites de ponte au monde.
  • L'ours polaire, un gabarit impressionnant

L'ours polaire fascine par le blanc de son pelage et par sa taille impressionnante. Il peut en effet atteindre trois mètres de haut ! Malheureusement, il est l'une des victimes les plus emblématiques du réchauffement climatique. La fonte des glaces en Arctique entraîne une diminution de son terrain de chasse. Or, ils ont besoin de glace pour traquer leur proie privilégiée : le phoque. Pour avoir la chance d'observer l'animal, des croisières sont organisées dans le Spitzberg, et ce moment est inoubliable.
  • Le panda géant, trésor national de Chine

Difficile de résister à l'image d'un panda assis en train de manger du bambou. Car oui, il se nourrit bien principalement de végétaux. Il reste aujourd'hui moins de 2 000 pandas vivant à l'état sauvage, et l'espèce est menacée par l'exploitation du bambou et par la déforestation. À tous ceux qui craquent devant le pelage blanc et noir du panda géant, les meilleures zones pour l'observer sont les des provinces de Sichuan, Shaanxi et Gansu en Chine. Il existe notamment des parcs dédiés aux pandas, où ils bénéficient de larges espaces pour vivre.
  • L'éléphant d'Asie, grand mammifère terrestre

Il fait partie des plus grands mammifères terrestres au monde avec son cousin d'Afrique, mais se distingue de ce dernier par un gabarit plus petit. À une époque, l'éléphant d'Asie était présent dans toute la partie sud du continent asiatique. Mais en plus d'être victime de la déforestation, il est également chassé pour sa chair, sa peau et son ivoire. Le meilleur endroit pour entrer en contact avec l'animal reste l'Elephant Nature Park en Thaïlande, un lieu où ils vivent dans un milieu le plus naturel possible et qui recueillent les éléphants maltraités et victimes du tourisme de masse.
  • Le manchot du Cap, bon plongeur

Le manchot du Cap est en voie d'extinction en grande partie à cause de l'homme, car ce dernier détruit les nids et perturbe les colonies. Il est aussi victime de la pollution en mangeant des poissons contaminés par divers polluants. L'animal est reconnaissable à son plumage blanc sur le devant et noir sur le derrière. C'est un excellent plongeur, capable de rester cinq minutes sous l'eau pour trouver des poissons. Les voyageurs qui souhaitent l'admirer peuvent se rendre dans les réserves situées autour du Cap en Afrique du Sud : la réserve naturelle de Boulder’s Beach et réserve naturelle de Stony Point. Il ne reste aujourd'hui plus que 50 000 individus environ.
  • Le papillon Monarque, insecte remarquable

On aime contempler les papillons pour leurs couleurs et pour leur légèreté en vol. Le Monarque se reconnaît lui à ses deux paires d'ailes oranges avec des rainures noires et des taches blanches. Eux aussi sont victimes du dérèglement climatique, mais aussi de la déforestation de leurs forêts d'hivernage au Mexique. En hiver, il quitte en effet le Canada pour se réfugier dans les forêts autour de Mexico. Pour observer le papillon Monarque de plus près avant qu'il ne soit trop tard, il est possible de se rendre au sanctuaire de Piedra Herrada au Mexique, classé au patrimoine mondial de l'Unesco.
  • Le grand requin blanc, attention à sa mâchoire

Le grand requin blanc en a fait frissonner plus d'un dans des films. Il fait aussi des victimes humaines sur certaines plages. Au point que lorsqu'on met le pied dans l'eau, la dernière chose que l'on voudrait est croiser son chemin. Ce super prédateur et impressionnant squale pouvant attendre de quatre à cinq mètres de longueur et peser jusqu'à deux tonnes, est menacé d'extinction, la faute à l'orque et à l'homme. Il est en effet chassé par les humains pour sa chair, ses ailerons et ses dents. À tous les courageux, le hameau de Gansbaai, en Afrique du Sud, propose de plonger dans une cage afin de partir à la rencontre de l'animal. Frissons garantis !
  • Le cacatoès à huppe jaune, oiseau bavard


Le cacatoès à huppe jaune ou cacatoès soufré est un oiseau de la famille des psittacidés. On le reconnaît à son plumage blanc et à sa petit crête jaune. Il fait partie des animaux en voie d'extinction et sa présence en milieu naturel est estimé à environ 1 000 individus. Ils sont en effet domestiqués, ce qui entraîne une diminution de leur reproduction et des effectifs vivant à l'état sauvage. La déforestation est l'autre élément mis en cause. Pour croiser un cacatoès à huppe jaune, il ne faut pas hésiter à s'envoler vers l'Indonésie, puis poser ses valises à Bali.
  • Le rhinocéros de Java, difficile à approcher

C'est l'un des animaux les plus menacés au monde. Et s'ils ont occupé fut un temps une vaste zone d'Asie du Sud-Est, ils sont aujourd'hui concentrés sur un seul territoire, l'île de Java. Il ne reste plus que 40 à 60 individus. Pour avoir le chance de le voir, il faut envisager un safari dans le parc national d'Ujung Kulon. Mais attention, l'animal se laisse très peu approcher par l'homme et reste attentif au moindre bruit. Il faudra donc faire preuve de discrétion et ouvrir grand les yeux pour l'apercevoir.

les prix de pétrole en hausse ce 27 mai

 

En marge de conflit armé entre le russie et l’ukraine, les prix les hydrocarbures on enregistré les hausses considérables, notamment le pétrole. en effet, cette augmentation revient aux risques de rupture d’approvisionnement en pétrole russe, mais aussi à l’assouplissement les mesures de confinement en chine.
Les cours de l’or noir, pour ce vendredi 27 mai, on indiqué que le prix de baril de brut de brent de le mer de nord pour livraison en juillet à augmenter de 2.94 % pour atteindre les 117.31 dollers le baril. pour sa part, le baril de west texas intermediate (wti) pour livraison en juin a augmenté de 0.2 % pour atteindre les 113.91 dollers le baril.
il convient de rappeler que les cours pétroliers on connu une ascension fulgurante depuis février dernier, soit depuis le début de conflit russo-ukrainien. en mars dernier, le prix de baril de brent avait dépassé les 139 dollers, une première depuis 2008.
selon les analystes de bank of america (bofa) global research, « le baril de brent de mer de nord pourrait dépasser les 150 dollers en cas de forte diminution les exportations de pétrole russe ».




Maroc: le legs abrahamique au cœur de l’unité et de la modernité de notre société.

“Souvent, trop souvent dans une communauté des Nations en quête de repères, nos spiritualités respectives sont invitées aux banquets de la discorde plutôt qu’à celui de l’universalité des valeurs qui en sont le moteur et la raison d’être”, a déclaré, lundi au Vatican, le Conseiller de SM le Roi Mohammed VI, André Azoulay. S’exprimant dans la salle d’apparat de la prestigieuse université pontificale du Vatican, crée il y a cinq siècles, André Azoulay a mis en relief “la centralité de la parole marocaine quand il s’agit du respect et de la fidélité au legs Abrahamique qui fonde l’unité, la cohérence et la singulière légitimité du dialogue inter- religieux quand il porte la signature marocaine”.
Aux côtés de Son éminence le Secrétaire d’Etat au Vatican, le Cardinal Pietro Parolin, et l’ambassadeur du Maroc près le Saint-Siège, Rajae Naji Mekkaoui, André Azoulay a rappelé “la profondeur séculaire de la relation que le Maroc a entretenu au fil des siècles avec le Saint-Siège et qui a connu son point d’orgue avec la visite historique de Sa Sainteté le Pape François au Maroc en mars 2019”.



La feuille de route proposée à la communauté des Nations par SM le Roi Mohammed VI et par SS le Pape François dans leurs discours respectifs a fait date et fera date longtemps de par le monde pour des milliards de croyants, musulmans, chrétiens et juifs en quête de respect mutuel et de sérénité retrouvée, incarnée par les espoirs et les promesses de la prophétie d’Abraham portées, en terre d’islam, par SM le Roi Mohammed VI et SS le Pape François, a ajouté André Azoulay en exprimant sa gratitude aux organisateurs de ce colloque qui ont mis le Maroc au cœur de ce forum dédié à “ la parole commune et à la spiritualité agissante.
Pour le Conseiller de SM le Roi Mohammed VI, “ce choix ne doit rien au hasard où à la complaisance de qui que ce soit, il est celui de la reconnaissance légitime du chemin excellent et exemplaire parcouru par notre pays pour que se reconstruise et se consolide un consensus national porteur en terre d’islam des valeurs d’écoute, de partage et de progrès qui ont déserté tellement de rivages par ailleurs.
Cette conférence s’inscrit dans le cadre de la commémoration des Visites Royales historiques de Feu SM le Roi Hassan II et de SM le Roi Mohammed VI, respectivement, en 1980 et en 2000, et dans la continuité des actions menées par l’ambassade du Royaume en vue de renforcer davantage les liens séculaires d’amitié et de coopération existant entre le Maroc et le Saint-Siège.

À 18 ans et mesurant 73 cm , il devient l’adolescent le plus petit de la planète

Un Népalais a établi le record de l’adolescent vivant le plus petit au monde.

Dor Bahadur Khapangi âgé de 18 ans, a reçu un certificat Guinness World Records à Katmandou le lundi 23 mai, selon les médias locaux.
Khapangi, qui mesure 73,43 cm (2 pieds 4,9 pouces), a été photographié avec son frère Nara Bahadur Khapangi, qui l’a porté à la cérémonie de remise des prix, et le PDG de l’Office du tourisme du Népal, Dhananjay Regmi.

Il a également été vu marchant avec sa jeune nièce Om Kumari Pulami Magar avant l’événement. Des photographes et des journalistes ont ensuite été aperçus se pressant pour prendre une photo de lui.

Le certificat Guinness World Records de Dor se lit comme suit : “L’adolescent vivant le plus petit (homme) est Dor Bahadur Khapangi (Népal, né le 14 novembre 2004) qui mesurait en moyenne 73,43 cm (2 pieds 4,9 pouces) à Katmandou, au Népal, le 23 mars 2022. »


En décembre de l’année dernière, une Américaine de 18 ans a reçu le titre de record du monde Guinness de la femme non mobile la plus courte du monde, mesurant seulement 2 pieds 4 pouces.
Wildine Aumoithe, de Miami, en Floride, est atteinte de la forme la plus rare de nanisme, connue sous le nom de dysplasie de SADDAN, et ses 
parents ont appris qu’elle ne survivrait pas 24 heures après sa naissance.

BRICS


BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud (en anglais : Brazil, Russia, India, China, South Africa).
Avant l'ajout de l'Afrique du Sud en 2011, le groupe était appelé BRIC, terme initial inventé en 2001 et qui a conduit à l'organisation des premiers sommets à quatre pays en 2009. Rarement utilisés, les équivalents français de cet acronyme — après l'adhésion de l'Afrique du Sud — sont ABRIC (Afrique du Sud, Brésil, Russie, Inde et Chine), BRASIC ou encore BRICA.
L'acronyme BRICSAM (en anglais : Brazil, Russia, India, China, South Africa, Mexico) est également utilisé pour y adjoindre le Mexique, sans qu'il ne soit membre de ce groupe.
Parmi les cinq pays composant les BRICS, le Brésil, l'Inde et la Chine sont considérés comme les grandes puissances émergentes actuelles. La Russie est une puissance en voie de restauration. Quant à l'Afrique du Sud, il s'agit encore davantage d'une puissance régionale. En 2015, les BRICS sont respectivement les neuvième, douzième, septième, deuxième et trente-troisième puissances mondiales (au sens du PIB nominal) et septième, sixième, troisième, deuxième et vingt-cinquième en parité de pouvoir d'achat. En dix ans, leur place dans l'économie mondiale a ainsi fortement progressé : 16 % du PIB mondial en 2001, elle atteint 27 % en 2011 et pourrait atteindre, selon certaines projections, 40 % en 2025.

Les créatures les plus dangereuses au monde

  • Le taïpan intérieur :


Ce reptile est si mortel qu’on estime qu’une simple morsure est suffisamment venimeuse pour tuer 100 hommes. Il suffi de pas plus de 30min pour succomber à une morsure.
les taïpans de l’intérieur préfèrent rester entre eux et s’installer dans les régions semi-arides du centre-est de l’Australie, dans des endroits dépeuplés. C’est un serpent qui s’efforce de rester caché mais s’il est acculé, le taïpan de l’intérieur se défendra, alors courez si vous en voyez un.
  • Le buffle du Cap :

Le buffle du Cap, d’Afrique subsaharienne AKA “la mort noire”, est une très grosse bête d’a peu pres 900 kg, dont les cornes font jusqu’a 100 cm de diamètre. Le buffle du Cap est petit et court sur pattes, il aurait l’air l’air inoffensif mais détrompez vous, il est mortel. On estime 200 personnes par an piétinées, encornées et tuées par ce buffle… Les chasseurs croient souvent les gros bovins innoffensifs, à leurs risques et périls. Ce buffle est l’un des animaux les plus dangereux à chasser, et les chasseurs de gros gibier sont plus souvent tués par le buffle du Cap que part des lions, tigres ou autres prédateurs. Cet animal malin tend des embuscades à ses attaquants, reviens sur ses poursuivants et contre-attaque. Les mâles protègent le troupeau à tout prix – quitte à se battre avec un lion – et peuvent devenir extrêmement agressifs si menacés.
  • Le grand requin blanc :

Depuis les Dents de la mer, le grand requin blanc est l’un des prédateurs sur Terre les plus redoutés. C’est un monstre marin, de quelques 1 900 kg et long de parfois 6 mètres. Il est responsable de plus de morsures et d’attaques mortelles sur des humains que toutes les autres espèces de requins. C’est un prédateur très dangereux car il est rapide – il peut nager jusqu’à 35 miles l’heure – et sent une seule goutte de sang au milieu de 94 litres d’eau. Les requins mordent les humains parce qu’ils sont curieux, donc lorsqu’ils rencontrent quelque chose d’inhabituel sur leur territoire ils le mordent afin d’explorer un objet ou un organisme. Le problème est qu’une seule morsure peut blesser gravement un homme. La majorité des attaques ont lieu dans les eaux autours de l’Australie, de la Floride et de l’île de la Réunion. 2 785 attaques de requins non provoquées ont été confirmées dans le monde entre 1958 et 2016 dont 439 mortelles selon le fichier international des attaques de requins (ISAF). Si le nombre de fatalités est bas, c’est que les requins attaquent brièvement puis attendent que la victime meure ou s’affaiblisse avant de revenir pour la manger. Cela permet au requin de ne pas être blessé en retour et aux humains le temps de s’échapper !
  • La fourmi siafu :

La fourmi siafu, AKA la fourmi conductrice, vie en Afrique centrale et orientale. La colonie de fourmis siafu, composée de 20 millions d’individus, se met en mouvement lorsque les réserves de nourriture sont insuffisantes et dévore tout sur son passage. Elles tranchent leurs malheureuses proies avec leurs mâchoires en forme de ciseaux et les digèrent rapidement grâce au puissant acide dissolvant qui suinte de leur bouche. Elles mangent donc sans jamais s’arrêter. En grandes quantités les fourmis peuvent tuer des petits animaux ou de grands si immobilisés et dévorer leur chair. Elles ne se déplace pas très vite et peuvent donc être évités facilement, mais si elles décident de passer par votre maison, mieux vos ne pas y rester car elles vous attaqueront certainement si vous ne bougez pas. Une morsure fourmis Siafu est très pénible, et laisse deux plaies de perforation une fois retirés. Leurs mâchoires sont extrêmement fortes et peuvent soulever 5000 fois le poids du corps de la fourmi (BBC) de qui rend le retrait de la peau difficile. En Afrique de l’Est, elles sont même utilisées comme sutures naturelles d’urgence par les populations indigènes qui font mordre les fourmis des deux côtés de l’entaille pour suturer la plaie, puis en cassent le corps.
  • Le mamba noir :

Capable de se déplacer à la vitesse de l’éclair, le mamba noir est non seulement toxique mais aussi agressif. Il se trouve souvent en Afrique subsaharienne, où environ 1,5 million de personnes sont victimes d’une morsure de serpent par an. Le mamba noir étant l’un des plus meurtrier. Le mamba noir est le serpent terrestre le plus rapide de la planète, courir n’assurera donc pas votre salut car il est capable de se déplacer à 30 km/h et son venin vous sera fatal en seulement 20 minutes. Chaque année 20 000 personnes meurent en Afrique subsaharienne dû a une morsure de serpent et le mamba noir est coupable de la majorité des ces morsures.
  • Le crocodile d’eau salée :

Le crocodile d’eau salée est gigantesque, il mesure jusqu’à 6 mètres du nez à la queue et pèse environ 1 000 kg ! On le trouve essentiellement en Inde, en Australie et en Micronésie. Sa morsure est la plus forte de tous les animaux de la planète, impossible de s’en échapper ou d’y survivre. Selon les experts, c’est la créature la plus susceptible de manger un humain, et celà arrive donc…souvent. La seule manière de remedier aux mort fréquentes sous les dents des crocodiles est d’éviter complètement leur habitat, car ils deviennent extrêmement agressifs en cas d’intrusion sur leur territoire. Une étude estime les attaques contre humains par les crocodiles d’eau salée à 30 par an pour 50% de décès.
  • Hyène :

Les hyènes étant des charognards, on pourrait penser qu’elles ne sont pas une menace pour les vivants. Détrompez-vous, la hyène tachetée tue jusqu’à 95 % de sa nourriture et s’attaque à des créatures de toutes tailles sur les terres sauvages d’Afrique. Dont les hommes, leur friandise de choix. Les hyènes sont connues pour leurs cri qui sonne comme un éclat de rire, mais une rencontre avec l’une d’elles n’a rien d’amusant. Elle possède des dents acérées ainsi que des mâchoires puissantes qui broient les os et de longues griffes. De plus elles sont rapides, impossible de leur échapper si elle ont faim…

  • Le poisson-globe :

Le poisson-globe vit principalement dans l’océans Indien, Pacifique et Atlantique. Très lent, ils sont des proies faciles mais pourtant possède un mécanisme de défense mortel; il gonfle jusqu’à plusieurs fois sa taille en ingérant d’énormes quantités d’eau se rendant ainsi immangeable. Il y à également dans un poisson-globe assez de tétrodotoxine (substance 1 200 fois plus toxique que le cyanure) pour tuer environ 30 humains adultes et cette substance toxique ne possède pas d’antidote connu à ce jour! Ce qui est incroyable, c’est que le poisson-globe soit un mets délicat au Japon, malgres son immense toxicité, c’est un plat gastronomique nommé Fugu. Il être incroyablement habiles pour préparer du Fugu, et courageux pour en manger car 30 à 50 personnes sont hospitalisées chaque année au Japon, empoisonnés par ce plat.

  • L’oursin à fleurs :

Les oursins à fleurs sont souvent partiellement enfouis dans le sable mou ou se cachent parmi les récifs coralliens, essentiellement autour de l’Indonésie, de l’Australie et du Japon, il est l’oursin le plus dangereux au monde. Une piqure peut provoquer; paralysie musculaire, douleurs débilitantes, problèmes respiratoires et désorientation. Les plongeurs sont prévenus avant d’aller explorer les récifs coralliens de ne pas approcher les oursins floraux aux risques d’être gravement bléssé.
  • Le poisson-pierre de récif :

Si vous marcher sur un poisson-pierre vous mourrez en moins d’une heure sans aide immediate des urgences. Commun dans les régions côtières de l’Indo-Pacifique, il se cache au fond de l’océan et est si bien camouflé que presque indétectable. Les pointes de sa nageoire dorsale injéctent une décharge toxique qui peut être traitée en urgence avec un anti venin. Il est considéré comme le poisson le plus venimeux de la planète et peut entraîner une insuffisance cardiaque.
  • L’escargot conique :

L’escargot conique est rempli de poison contenu dans des harpons toxiques qui peuvent tirer dans n’importe quelle direction sans avertissement. Son venin peut provoquer des paralysie musculaire, des troubles de la vision et des difficultés respiratoires, et dans les cas les plus graves, la mort. On les trouves surtout dans les eaux tropicales et subtropicales. Il existe plus de 800 variétés, dont certaines mesurent jusqu’à 23 cm de long, et trouver un antidote efficace est une entreprise difficile.
  • La petite grenouille dorée :

Elles est toute petite et toute légère, mais détrompez-vous, elle est l’une des créatures les plus toxique au monde. La grenouille dorée peut être jaune, orange ou verte et se trouve le plus souvent dans les forêts tropicales de la côte Pacifique de la Colombie Sa peau est recouverte d’une toxine extraordinairement puissante contenant suffisamment de poison pour tuer jusqu’à 20 hommes. Comme quoi.. c’est pas la taille qui compte.
  • Les loups gris :

Les loups gris vivent essentiellement en des zones reculées évitant tout contact avec l’homme. Cette bête impitoyable et puissante se trouve en Amérique du Nord et en Eurasie et devient agressive en cas de confrontation. Ils se déplacent en grandes meutes, pèsent jusqu’à 45 kg et n’ont peur de rien. Ils attaquent en visant la tête avec leurs dents aiguisés. 90 % des victimes d’attaques de prédateurs sont des enfants de moins de 18 ans selon une étude réalisée en 2002 par l’Institut norvégien. Historiquement, les enfants sont plus vulnérables aux loups car ils étaient plus susceptibles d’entrer dans les forêts sans surveillance pour cueillir des baies et des champignons, et confondent parfois les loups avec des chiens.
  • Les hippopotames :

Les hippopotames en plus d’être énormes, sont aussi agressifs. En Afrique les hippopotames sont responsables de 500 décès par an et est l’un des mammifères terrestres les plus dangereux au monde. Malgré leur taille imposante ( 4m de long, 1,5m de haut et jusqu’à 4500kg) ils sont néanmoins extrêmement rapides. De plus ils sont belliqueux et imprévisibles et peuvent faire chavirer un bateau d’un coup de tête.
  • Le poisson aiguille d’Indonésie :

Le poisson aiguille d’Indonésie bien que pas ou peu agressif, peut s’averer mortel. Mesurant jusqu’à un mètre, son long bec est garni de dents acérées comme des rasoirs et ils peuvent s’élancer hors de l’eau à une vitesse de près de 40 miles par heure. Etre sur leur chemin a ces moments là revient a se faire transpercer par une lance. La lumière artificielle les attire et c’est pourquoi leur commune victime sont les pêcheurs de nuit.
  • Deathstalker :

Le Deathstalker est considéré comme l’un des scorpions les plus dangereux de la planète. Il habite les déserts d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Le Deathstalker se cache parmi les rochers ou se fond dans le sable et peut mesurer jusqu’à 10 cm de long, il est extrêmement rapide et sa piqûre contient un venin composé de neurotoxines paralysantes. Il existe un antivenin, mais celui-ci doit être rapidement accessible. Etonnament, son venin aide au traitement de tumeurs cérébrales et fait l’objet d’essais médicaux actuellement.
  • Le lion africain :

Il fallait bien les mentionner. Le lion africain est l’un des plus grands prédateurs de la planète, il préfère les autres animaux aux humains mais demeure cependant une menace. En Afrique environ 250 personnes sont tués par des lions chaque années. Lorsque les lions prennent de l’age, la chasse devient difficile et les Hommes, peu rapides, deviennent donc une proie de choix.
  • L’insecte assassin :

L’insecte assassin se nourris d’insectes et se revet ensuite de leur cadavres.. Etrange, mais pour le moment inoffensif. Mais il existe plus de 7000 variétés de cet insecte. L’une d’entre elles, la punaise du baiser, est une suceuse de sang, qui une fois sa victime endormie, lui pique le contour de la bouche pour ensuite y déféquer. Ces excréments provoquent la maladie de Chagas, une infection grave qui peut ne pas se manifester des décenies durants. Etrange et fort déplaisant..
  • La vipère à écailles :

Petit mais redoutable serpent. La vipère à écailles est responsable de plus de décès humains que toutes les autres espèces de serpents réunies. Son venin contient quatre toxines mortelles qui provoquent la dissolution des tissus du corps, des hémorragies intarissables, des pertes de membres, et enfin, la mort. Qui plus est, il n’existe aucun antidote. Elle se trouve en Afrique, au Pakistan, en Inde et du Moyen-Orient et est suffisament courtoise pour produire une sorte de grésillement, appelé stridulation avant d’attaquer.
  • La pieuvre à anneau bleu :

Quelle est belle cette pieuvre colorée ! Prenez garde, elle est l’un des animaux marins les plus venimeux de la planète et peut vous être fatale. Leur venin contient de la tétrodotoxine et une dose peut avoir pour conséquences; Nausées, arrêt respiratoire, insuffisance cardiaque, paralysie et cécité. Elle peut même entrainer la mort dans certains cas.
  • L’araignée vagabonde du Brésil :

Phobic des araignées, s’abstenir. L’araignée vagabonde du Brésil est grosse et poilue et à été classé par le livre des records Guinness comme l’araignée la plus venimeuse du monde. Sa morsure peut vous tuer en très peu de temps sans traitements appropriés.
  • Les moustiques :

Les moustiques représentent l’un des plus grands dangers pour l’espece humaine. La piqûre du moustique n’est que passablement désagréable, le problème c’est les maladies que transmettent ces petits insectes. Il est estimé que des millions de personnes meurent chaque années dans le monde due à des maladies transmises par les moustiques. Maladies bien connues comme le Paludisme (400 000 décès par an), fièvre jaune, le virus du Nil et de Zike et La Dengue. Bref, les moustiques, c’est très dangereux, et le pire est qu’on ne peut pas faire grand chose contre.
  • Les chiens :

Le chien est le meilleur ami de l’Homme. Ah bon? Les chiens sont porteurs de la rage qui provoque chez l’homme une température élevée, des maux de tête, des hallucinations, un comportement agressif, des spasmes musculaires et bien entendu – de l’écume à la bouche.
La rage n’est que peu présente en Europe, cependant elle est commune en Asie, Afrique, Amérique Centrale et du Sud. Evitez donc de caresser les chiens errants si vous voyages dans ces contrées.
  • La Recluse Brune :

La Recluse Brune n’est pas la seule araignée à faire partie de notre liste des animaux les plus dangereux du monde. Vous allez découvrir un peu plus loin l’araignée Veuve Noire. Mais pour en revenir à la Recluse Brune, cette araignée, originaire d’Amérique du Nord, est connue pour son venin des plus terribles. Dans les faits, ce venin est qualifié de nécrotique, c’est-à-dire qu’il peut induire une nécrose, ou encore la mort de la peau, dont vous pouvez ou non vous remettre en fonction de la gravité de l’atteinte… Parce qu’une morsure d’araignée Recluse Brune entraîne une rupture des globules rouges, cette blessure est considérée comme étant particulièrement sévère. Si vous tombez nez à nez avec une araignée Recluse Brune, vous parviendrez facilement à l’identifier : brune avec une marque distinctive sur son abdomen en forme de violon. Elle possède également six yeux au lieu des huit que les araignées typiques ont habituellement (donc non seulement elle aura huit pattes, mais elle aura aussi huit yeux pour vous regarder attentivement !). Cette araignée, comme beaucoup d’autres, ne mordra que si elle se sent menacée. Cependant, parce qu’il s’agit d’une créature extrêmement sensible, elle peut interpréter vos efforts pour ranger la pile de vieux papiers dans le garage, où elle a élu domicile, comme un comportement menaçant. Ces petits insectes sont reclus de par leur nom mais aussi reclus dans leur nature, et ils n’apprécient pas que les humains envahissent « leur » espace où qu’ils se trouvent, alors on vous conseille de faire un bon nettoyage de façon régulière pour éviter tout problème.
  • Les Phlébotomes :

Les phlébotomes peuvent ne sembler être qu’une simple petite nuisance lorsque vous passez une journée à la plage, mais, comme beaucoup d’autres insectes, ils ont la capacité de causer de graves maladies. Cette minuscule mouche, qui mesure environ 2 mm à 3 mm, contient un protozoaire, une sorte de microbe, qui est beaucoup plus petit – de taille microscopique. Malgré la petite taille de cette mouche, connue comme vecteur de maladie, les répercutions qu’elle a sont loin d’être triviales puisqu’elle transporte les protozoaires qui, eux, provoquent une maladie grave. Cette maladie est impossible à contracter autrement que par les protozoaires des phlébotomes. Cette maladie est connue sous le nom de « leishmaniose », et elle peut se manifester de différentes manières. Dans certains cas, elle peut provoquer des ulcères de peau massifs, la destruction de la muqueuse de la bouche, du nez et de la gorge ainsi qu’un gonflement de la rate et du foie, selon le cas. Tous ces symptômes sont horribles, et ils entraînent des complications. Les phlébotomes femelles sont les seuls porteurs du microbe protozoaire, et elles sont les seuls à le répandre par leur morsure. On les trouve dans les régions intertropicales et tempérées de la planète, et ils sont plus actifs le soir et la nuit, selon les experts.
  • Le Serpent-tigre :

Le Serpent-tigre fait partie de ces espèces de serpent desquelles se méfier. S’il y a une créature dont il faut avoir peur, c’est cette créature qui a non pas un, mais deux noms à consonance inquiétante. Parce que les tigres ou les serpents sont déjà assez effrayants par eux-mêmes, l’idée qu’il existe une espèce appelée Serpent-tigre est inimaginable ! Malgré le fait qu’il ne s’agisse pas d’un étrange hybride entre un gros félin et un serpent, le Serpent-tigre est toutefois une créature très dangereuse. Les serpents du Sud de l’Australie et de Tasmanie sont connus pour leur venin mortel, qui est chargé en neurotoxines (qui affectent le cerveau) et coagulants (qui rendent le sang épais et grumeleux) ainsi que d’autres toxines, provoquant la mort. Donc, même si cette espèce ne rugit pas comme un tigre, ce n’est pas pour autant un animal avec lequel vous souhaitez passer beaucoup de votre temps. Une morsure de Serpent-tigre, qui représente environ 17% de tous les décès par morsure de serpent en Australie, entrainera tout d’abord une douleur et des picotements à l’endroit de la morsure. La morsure de Serpent-tigre évoluera ensuite vers un engourdissement et des picotements de la zone touchée (généralement le pied ou le bas de la jambe). Puis, en quelques minutes, vous transpirerez énormément et vous aurez du mal à respirer, avant de vous retrouver paralysés. La seule chose à faire alors sera d’espérer avoir quelqu’un autour de vous avec un sérum antivenimeux approprié.
  • La Galère Portugaise, ou Vessie de Mer :

La Galmère Portugaise, également appelée Vessie de Mer, lorsqu’elle est allongée sur le sable, peut sembler être une magnifique méduse, mais il s’agit en réalité d’un siphonophore, qui contrairement aux méduses n’est pas du tout un organisme unique, mais une colonie d’organismes qui travaillent tous ensemble pour créer un siphonophore. Les siphonophores sont des prédateurs qui se nourrissent laissant pendre leurs tentacules sous l’eau, tout comme les méduses, et en piquant et paralysant les petits crustacés et les poissons. Il convient de faire preuve d’une extrême prudence et d’éviter de toucher les tentacules d’une Galère Portugaise, car les répercussions d’une telle rencontre peuvent être catastrophiques. Via ses longs tentacules, ce monstre flottant inflige de terribles brulures venimeuses à ses proies. Les personnes touchées présentent des symptômes comparables à ceux d’une réaction allergique grave, en ce compris l’élargissement du larynx, des problèmes cardiaques et même, dans certains cas, la mort. A minima, la Galère Portugaise inflige des marques rouges extrêmement douloureuses à tous ceux qui ont la malchance de croiser son chemin. On estime qu’environ 10 000 individus sont piqués chaque été rien qu’en Australie, la découverte d’un siphonophore dans l’eau étant suffisante pour fermer les plages et provoquer une panique générale.
  • L’Atrax Robustus de Sydney :

Bien que les araignées nous donnent à beaucoup d’entre nous la chair de poule, nous avons la chance de ne pas avoir à faire face à des araignées qui sont là pour nous attaquer ou pour nous tuer. Alors mettez-vous à la place des habitants de la Nouvelle-Galles du Sud, sur la côte est de l’Australie ; c’est dans cet État que l’on trouve l’Opéra de Sydney, le Sydney Harbour Bridge et… entre autres choses l’Atrax Robustus, également appelée « Sydney Funnel-Web Spider ». Il s’agit de l’espèce d’araignée venimeuse la plus dangereuse pour l’humain. Elles se cachent dans leur habitat naturel (sous roche ou dans les troncs des arbres) et bondissent sur les passants sans méfiance. Elles tissent une toile de soie en forme d’entonnoir, ce qui leur vaut le nom d’araignée « en entonnoir ». Cependant, pour être juste envers l’araignée « en entonnoir » de Sydney, on la voit le plus souvent bondir sur les coléoptères, les cafards, les escargots et les petites grenouilles et lézards plutôt que sur les proies plus grandes telles que les fourmis. Cependant, en termes de venin, elles sont capables de tuer un humain. Ou, pour le dire autrement, le venin de l’araignée mâle en entonnoir de Sydney est extrêmement mortel. Composée d’une neurotoxine mortelle, une morsure du mâle (leurs crocs peuvent pénétrer dans le cuir et les ongles) peut entraîner des vomissements, des difficultés respiratoires, des spasmes musculaires et une bave dans les 10 à 30 minutes suivant la morsure du mâle. Heureusement, il existe un sérum antivenimeux, mais il devra être délivré le plus rapidement possible. La femelle est beaucoup moins agressive que le mâle.
  • Le Dragon de Komodo :

Après avoir fait naufrage, vous pourriez croire que votre chance a tourné si vous vous retrouvez échoués sur les rives d’une île déserte paradisiaque. Cependant, ce ne sera pas le cas si vous vous échouez sur les rives d’une magnifique île qui abrite des Dragons de Komodo. Les Dragons de Komodo sont a) généralement affamés et b) pas si difficiles que ça quand il s’agit de leur nourriture. Ils mangeront à peu près tout ce qui s’échoue sur les rives de l’île où ils vivent, y compris des humains naufragés qui pourraient croire à tort que leur chance a tourné pour le mieux. Ce sont d’énormes créatures, mesurant en moyenne 2,5 mètres de long (par rapport à la taille moyenne d’un individu humain, qui est de 1,8 mètre). Mis à part cela, ils sont assez rapides. Si vous n’êtes pas assez alerte, vous ne vous retrouverez pas dans une situation favorable. Ils aiment aussi se cacher dans les buissons et les herbes longues, où ils peuvent se préparer à bondir sur des hommes qui ne s’en méfient pas ou d’autres animaux qui ne font pas attention. Comme si tout cela ne suffisait pas, les Dragons de Komodo ont des dents tranchantes et attaquent en injectant du venin toxique dans leurs proies. Une fois que le venin s’est répandu, il vous faudra environ trois jours pour décéder, d’une mort lente et douloureuse, ce qui fera de vous un candidat de choix pour le prochain repas du dragon de Komodo. Donc, si vous vous retrouvez naufragé, évitez de vous retrouver bloqué sur une île indonésienne, dans la mesure du possible.
  • Le Cobra Royal :

Le cobra royal mérite à juste titre d’être qualifié d’animal dangereux et effrayant, étant donné que c’est l’un des serpents les plus venimeux de la surface du globe. Vous ne voulez certainement pas vous retrouver face à face avec ce serpent dans une ruelle sombre. (Pas de panique, c’est improbable étant donné qu’ils résident principalement dans les forêts tropicales humides, les mangroves et les fourrés de bambous dans des régions comme l’Inde, l’Asie du Sud-Est et le sud de la Chine, mais vous voyez ce qu’on veut dire.) Ces serpents tuent en injectant leur venin, et ils ont la capacité de délivrer suffisamment de venin pour tuer 20 personnes – ou un éléphant – avec une seule dose. En phase d’attaque, leurs corps se lèveront et ils vous regarderont droit dans les yeux tout en sifflant avant de se jeter sur leur proie. Sachez qu’ils peuvent atteindre jusqu’à 18 pieds de longueur. Ne vous y trompez pas : les photos de charmeurs de serpents avec leurs cobras royaux sous contrôle dans un panier ne sont pas à prendre au sérieux. Ces serpents ont généralement été soumis à un traitement afin de s’assurer qu’ils n’attaquent pas leurs maîtres, ce qui est contraire à leur instinct naturel. Malgré leur apparence intimidante, les cobras royaux sont en fait des animaux assez timides qui n’attaqueront ou ne menaceront d’attaquer que s’ils se sentent menacés. En conséquence, il est fortement conseillé de ne pas menacer cette magnifique bête !
  • L’abeille tueuse :

Dans notre esprit, les abeilles sont généralement représentées comme des créatures charmantes, duveteuses et bourdonnantes, qui sont beaucoup plus appréciées que leurs méchantes rivales, les guêpes, ces vilaines destructrices de pique-nique. En revanche, l’abeille africanisée est encore plus agressive qu’une guêpe affamée vers la fin de l’été, et elle peut piquer plusieurs fois par minute. L’abeille africanisée, souvent connue sous le nom d’abeille tueuse, se trouve principalement en Amérique du Sud (malgré son nom) et a vu le jour par hasard plutôt que par dessein. Dans les années 1950, pour une meilleure production de miel, les scientifiques brésiliens avaient mixé les élevages d’abeille européenne douce et à haut rendement avec l’abeille africaine à faible rendement pour voir si elles pourraient stimuler la production. Ils ont effectivement réussi. Mais il avait été déterminé que le tempérament agressif de l’abeille africaine l’avait emporté sur le caractère de cette espèce hybride. Un an plus tard, certaines de ces abeilles hybrides se sont échappées du laboratoire, un vrai scenario de film d’horreur ! Elles vivent à l’état sauvage en Amérique du Nord et en Amérique du Sud, se reproduisant année après année. Des essaims d’abeilles africanisées allant de 300 000 à 800 000 individus ont été documentés, et ils attaqueront s’ils croient que leur colonie est en danger. Il suffit de 1 000 piqûres de l’une de ces abeilles élevées par l’homme pour vous tuer.
  • Les méduses-boîtes :

Au-delà du fait qu’elles sont majestueuses et gracieuses lorsqu’elles sont dans l’eau, la méduse boîte cache un secret dangereux : une piqûre d’elle et vous pourriez avoir de graves problèmes. Cette espèce de méduse, ainsi nommée en raison de sa cloche en forme de boîte, contient un certain nombre de petits « pedaliums » et de tentacules qui pendent de chacun des quatre coins de sa boîte, ce qui lui permet de se déplacer plus rapidement que la plupart des autres espèces de méduses. L’océan Indo-Pacifique abrite ces méduses, que l’on voit le plus souvent dans les parties tropicales de l’océan. Cependant, elles peuvent aussi être trouvées dans les eaux de nombreux autres endroits tropicaux et subtropicaux à travers le monde. La méduse boîte, qui est souvent qualifiée « d’espèce la plus dangereuse du monde », a été responsable de la mort de 79 personnes en Australie (depuis le début du suivi), avec environ 20 à 40 décès liés aux méduses boîtes survenant chaque année aux Philippines. La méduse boîte tue en injectant du venin dans la peau de la victime, ce qui rend toutes les cellules du corps perméables, et qui provoque un déséquilibre dangereux des fluides dans le corps. Cela provoque une fuite de potassium du liquide cellulaire dans la circulation sanguine, entraînant une condition connue sous le nom d’hyperleucémie. L’hyperleucémie provoque par la suite l’effondrement du système cardiovasculaire, ce qui peut entraîner la mort dans les deux à cinq minutes suivant l’apparition des symptômes.
  • Les araignées veuves noires :

L’araignée veuve noire est l’une des plus connues et des plus redoutées de toutes les espèces d’araignées, et c’est aussi l’une des plus dangereuses. Les marques de sablier rouge sur l’abdomen noir sphérique et brillant de cette araignée, que l’on peut trouver dans les zones tempérées du monde entier, la distinguent des autres. La femelle de cette espèce est plus mortelle que le mâle, ce qui suit un modèle fréquemment observé dans le monde naturel. Elles ont un venin extrêmement toxique, et si vous êtes mordu, vous pouvez vous attendre à endurer des nausées, des douleurs musculaires, de la faiblesse, des frissons, de la fièvre et, le plus terrible de tous, une paralysie du diaphragme, ce qui rendra la respiration extrêmement difficile. Elles mordent rarement les humains à moins qu’elles ne soient incitées à le faire. Les provoquer, par contre, peut-être quelque chose d’aussi simple que de mettre votre chaussure, si celle-ci se trouve avoir servi de chambre d’hôtes pour une araignée veuve noire pendant la nuit. Alternativement, vous pourriez déplacer de vieux meubles que vous avez stockés dans votre garage et déstabiliser un nid d’araignée veuve noire. Alors soyez à l’affût ! Étonnamment, malgré la croyance populaire, une morsure d’araignée veuve noire est peu susceptible d’être fatale à moins que vous ne soyez extrêmement jeune, extrêmement âgé ou extrêmement malade. Cependant, la croyance populaire qui s’avère être vraie est que l’araignée veuve noire femelle tuera et consommera son conjoint mâle après l’accouplement avec lui, et que cela se produira à l’accession.
  • Le Serpent de Belcher :

Comme on peut aisément s’y attendre, on trouvera plusieurs serpents sur la liste des animaux les plus dangereux au monde, et Serpent de Belcher ne fait pas exception à cette règle. Cependant, il est important de noter que ce serpent bénéficie d’une réputation qui n’est pas justifiée à cent pourcent. En effet, le livre « Snakes in Question : The Smithsonian Answer Book » a été publié en 1996 par deux auteurs, Ernst et Zug, et a bénéficié d’un grand succès. Dans ce livre, le Serpent de Belcher a été inclus par erreur dans la même catégorie que le Serpent Marin à Bec, qui est une espèce complètement différente. Depuis lors, le Serpent de Belcher a été considéré à tort comme le serpent le plus venimeux de la planète, malgré le fait que ce ne soit pas le cas. Bien qu’ils ne soient pas aussi dangereux qu’on le dit, vous devriez éviter de vous retrouver face à face avec un Serpent de Belcher qui serait de mauvaise humeur, car ils restent tout de même extrêmement venimeux. Parce qu’ils sont des serpents d’eau, les seules personnes qui ont été répertoriées comme ayant été mordues ont été des pêcheurs vietnamiens. Donc si vous êtes au Vietnam et que vous voulez aller à la pêche, gardez ce nom à l’esprit !
  • La Mouche Tsé-tsé :

Qui dirait non à une bonne nuit de sommeil ? Eh bien, faites attention à ce que vous demandez, car une morsure d’une mouche africaine tsé-tsé et vous pourriez vous retrouver à dormir beaucoup plus longtemps que prévu. Les hommes peuvent être infectés par l’une des maladies tropicales les plus dangereuses de la planète, connue sous le nom de maladie du sommeil africaine. Cette maladie est transmise par la mouche tsé-tsé. La maladie du sommeil africaine doit être traitée immédiatement car elle a le risque d’être mortelle. Les symptômes, qui commencent par un mal de tête indéfinissable, une forte fièvre et des douleurs musculaires générales, ressemblent aux symptômes d’une maladie bénigne telle qu’un rhume ou une vilaine grippe. Mais, avec le temps, s’il s’agit de la maladie du sommeil, vous deviendrez de plus en plus fatigué et vous aurez besoin de dormir presque tout le temps, avant de perdre le contrôle de votre esprit, d’être désorienté et de ne plus réussir à coordonner vos mouvements et votre cerveau. Sachez que cela peut prendre des années pour que cette maladie fasse des ravages. Qui plus est, une morsure d’une mouche tsé-tsé, même si elle n’entraîne pas d’infection parasitaire, est une expérience douloureuse. Contrairement à une piqûre de moustique (que nous ne remarquons parfois même pas), impossible de se tromper sur une piqûre de mouche tsé-tsé. La bouche de cette mouche présente des dentelures microscopiques ressemblant à des scies, qu’elle utilise pour pratiquement scier votre chair lorsqu’elle vous mord. Est-ce que ça n’est pas angoissant ?
  • L’Escargot d’eau douce :

On imagine très bien ce que vous vous dites. Il est difficile de comprendre comment un escargot a pu se retrouver sur une liste des créatures les plus mortelles au monde. N’est-il pas vrai que le pire qui puisse arriver de la part d’un escargot est un peu de bave ? Et bien détrompez-vous. Vous nous croyez si on vous dit que les escargots d’eau douce sont responsables de la mort de plus de 200 000 personnes chaque année ? C’est plus que toutes les victimes des lions, loups et requins en un an. La prochaine fois que vous irez nager en eau douce dans les régions tropicales ou subtropicales d’Amérique du Sud, d’Asie ou d’Afrique, gardez bien en tête que le danger vous guette ! en effet, les escargots d’eau douce qui vivent dans ces cours d’eau sont porteurs d’un parasite qui provoque une infection parasitaire connue sous le nom de schistosomiase. La schistosomiase est une maladie qui produit une forte fièvre, de la diarrhée, des malaises articulaires et musculaires, des douleurs à l’estomac et une toux. Elle est fatale si elle n’est pas traitée. Si vous passez du temps dans l’eau avec des escargots d’eau douce, il y a de fortes chances que les parasites se propagent de l’escargot jusqu’à vous. Ces petits insectes sont assez petits pour traverser votre peau sans que vous vous en rendiez compte, et ils se déplacent ensuite vers vos artères, où ils pourront rester pendant des années sans que vous vous en rendiez compte, déposant leurs œufs. Au cas où ce ne serait pas assez terrible, ces œufs ont des barbes pointues à l’extérieur, ce qui leur permet de s’enfouir dans vos tissus. L’infection par la schistosomiase provoque la mort dans environ 10% des cas. Donc, si vous ressentez des symptômes après avoir voyagé dans l’une de ces régions du monde, peu importe depuis combien de temps vous y avez voyagé, vous devriez consulter un médecin immédiatement.
  • La guêpe germanique Vespula germanica :

Il est vrai que les guêpes sont des empêcheurs de tourner en rond et qu’on se demande souvent à quoi elles servent. C’est la nature même des guêpes d’être irritantes et frustrantes, et elles n’hésiteront pas à gâcher un après-midi en plein air. Si, en revanche, vous rencontrez une guêpe germanique, vous regretterez immédiatement qu’il ne s’agisse pas d’une guêpe habituelle, à qui vous pardonnerez toutes ses transgressions passées. Les guêpes jaunes allemandes sont plus grandes, plus agressives et plus susceptibles de piquer que les guêpes que nous avons l’habitude de voir dans la vie de tous les jours. Dans les faits, elles aiment même piquer à plusieurs reprises et sans raison apparente autre que celle de gâcher votre journée. Cela est particulièrement vrai à la fin de l’été, lorsqu’elles deviennent encore plus turbulentes à la suite de la consommation de fruits trop mûrs et fermentés qui les rendent ivres et hyperactives. Ces guêpes, que l’on trouve presque partout sauf en Antarctique, injectent du venin dans leurs victimes, ce qui peut provoquer une réaction terrible, surtout si elles sont piquées plusieurs fois. Cette guêpe, bien plus grande, peut être reconnue grâce à ses trois marques noires sur le visage si vous avez le malheur de vous approcher de trop près pour les voir. Et sachez que si vous essayez de repousser une guêpe germanique en agitant vos bras, elle croira qu’elle est attaquée et elle piquera encore plus librement, attirant l’attention de ses camarades dans le processus.
  • Le Casuariidae :

Levez la main si vous pensiez qu’un oiseau serait la dernière chose que vous verriez sur cette liste des créatures les plus dangereuses au monde. Et oui, nous sommes aussi surpris que vous à ce sujet. Et bien la famille des casoars, en revanche, est une exception. Cet esp èce d’oiseau en voie de disparition, qui est le troisième plus grand oiseau de la planète (après l’autruche, qui est la plus grande, et l’émeu, qui est le deuxième plus grand), est incapable de voler (mais ne vous laissez pas tromper ; ils peuvent courir à des vitesses allant jusqu’à 50 km/h et sauter à deux mètres du sol debout), et il vit en Australie. Ah on allait oublier de vous dire : ils aiment se battre. Mais ils ne sont pas complètement incivilisés. Ils ne se battront que s’ils se sentent menacés, ils sont très protecteurs de leurs petits et défendront leur territoire de manière agressive. Leur nom est dérivé des termes papous pour cornes (kasu) et pour la tête (weri), et c’est avec cette tête cornue, connue sous le nom de casque, en plus de leurs griffes qu’ils s’engagent dans le combat. Leur casque mesure environ 17 cm de haut et 15 cm de long, et leurs griffes du milieu, qui ont la forme de poignards, peuvent atteindre 12 cm de long. Donc, s’il vous arrive d’en rencontrer un, il est préférable de simplement s’éloigner et de le laisser tranquille.
  • Les Éléphants :

Malgré leur taille impressionnante, les éléphants sont généralement considérés comme des créatures douces et aimantes qui, comme les hommes, éprouvent la douleur et la perte d’êtres chers. Les éléphants vivent également dans des unités familiales matriarcales disciplinées et forment des liens forts avec leurs maîtres humains de manière inégalée comparé à n’importe quel autre grand animal sur Terre. Il existe une croyance populaire selon laquelle les éléphants sont des géants intelligents et pacifiques, qui arrive jusque dans les contes pour enfants où ces animaux sont des amis qui ne peuvent causer aucun mal. La seule exception à cela, c’est si nous avons le malheur d’être sur leur chemin et que nous sommes involontairement écrasés sous leurs pieds gigantesques. Étonnamment, entre 100 et 500 hommes sont tués par des éléphants chaque année en Afrique et en Asie. La plupart de ces décès surviennent lorsque les humains s’immiscent dans les territoires des éléphants dans leurs pays d’origine respectifs. Habituellement, un coup suffit pour être fatal. Il est important de se rappeler que vous ne devriez jamais ennuyer un éléphant. Parce que, comme nous le savons tous, ils ne sont pas du genre à oublier les choses facilement.
  • Le Ténia :

Si la perspective d’avoir un vers intestinal vivant à l’intérieur de votre corps vous donne des nausées, sachez que vous n’êtes pas les seuls à vous sentir de cette manière. Ce n’est pas une pensée vraiment agréable, n’est-ce pas? Les porcs sont plus susceptibles que les autres animaux de vous contaminer. En effet, ceux qui sont destinés à être mangés mais qui n’ont pas été correctement cuits ou qui ont été soumis à des procédures d’hygiène douteuses peuvent vous contaminer avec ce que l’on appelle le « ténia du porc ». Oui, c’est dégoûtant. Encore plus dégoûtant, c’est le fait que les humains ne consomment pas réellement un ténia pour être infectés ; nous consommons plutôt des kystes de ténia, qui se situent entre une larve de ténia et un véritable ténia. Les kystes de ténia sont des ténias « inactifs » qui n’attendent que de trouver leur chemin dans notre intestin, où ils se réveilleront et deviendront un ténia de taille normale s’ils ne sont pas retirés immédiatement. Ce type d’infection par le ténia peut durer des années sans causer de symptômes, mais heureusement il est facilement traité avec des médicaments qui éliminent le ténia du corps et éliminent donc la maladie. Cependant, les choses peuvent mal tourner. La cysticercose est un trouble qui survient lorsque des ténias immatures, qui ont été contractés par la consommation d’aliments infectés par des œufs de ténia (plutôt que des kystes) provenant d’excréments humains, s’enfouissent dans nos tissus et causent une infection. Ils ont la capacité de s’enfouir dans n’importe quel tissu, y compris le cerveau. C’est encore pire que la perspective d’un ténia lui-même.

  • La Kokoï de Colombie :

La grenouille appelée Kokoï de Colombie ne mesure peut-être qu’un pouce de long et ne pèse peut-être qu’une once, mais même si elle ne mesure que la taille d’un trombone ne vous laissez pas induire en erreur par ce petit gabarit. Cette espèce est considérée comme l’une des plus toxiques au monde. La Kokoï de Colombie, que l’on trouve dans les forêts tropicales de la côte pacifique de la Colombie, peut être trouvée dans une variété de couleurs, y compris le jaune, l’orange et le vert. Malgré son apparence charmante, cette grenouille doit être évitée à tout prix. Sa peau est recouverte d’un poison extrêmement puissant dans ses effets. Chaque Kokoï possède suffisamment de venin pour tuer jusqu’à 20 hommes ou deux éléphants d’Afrique, selon l’espèce. Toute personne qui a la malchance d’entrer en contact étroit avec le venin de ces grenouilles rencontrera un destin fatal, après avoir souffert de paralysie musculaire et d’insuffisance cardiaque. Comme quoi la taille ne compte vraiment pas.
  • La murène :

Les mers tropicales sont un lieu de prédilection pour la murène. Leur peau épaisse et sans écailles et leurs dents pointues leur permettent d’infliger de graves blessures à leurs proies, y compris aux hommes, lorsqu’elles sont dérangées. Les murènes sont consommées dans certaines régions du monde, mais leur chair peut être toxique et causer la maladie ou la mort si elle n’est pas correctement préparée. Lorsqu’elle est menacée, l’anguille électrique se décharge entre 300 et 650 volts. Les décès humains liés à l’anguille sont extrêmement rares, mais ils se produisent.
  • L’Alligator :

Méfiez-vous des rumeurs, les alligators ne tuent pas autant de gens que vous pourriez le penser. Il n’y a eu que 25 attaques mortelles d’alligator en Floride depuis 1948, selon la Florida Fish and Wildlife Commission, malgré la moyenne de sept attaques d’alligator par an dans l’État. Toutefois, inutile de dire qu’il ne faut pas nourrir un alligator si vous en voyez un. Outre le fait que ça soit dangereux, cela leur fait associer les gens à la nourriture. Ce n’est pas acceptable !
  • L’Ours :

Les ours ne sont pas aussi effrayants que certaines personnes le disent. OK, ils sont un peu effrayants, mais ils ne sont pas aussi dangereux que d’autres animaux. Beaucoup ont peur d’eux, cependant ils ont été comparés à des écureuils géants en raison de leur timidité. L’une des espèces d’ours les plus agressives est l’ours polaire, suivie par l’ours noir et le grizzli. Ces deux derniers sont les deux plus dangereux pour l’homme. Quelle que soit l’espèce, rappelez-vous que les ours sont extrêmement rapides et curieux, il est donc important de garder cela à l’esprit pour votre prochaine balade en forêt.

  • Le cheval :

Bien que beaucoup de gens aiment l’équitation, environ 20 personnes meurent chaque année à la suite d’un accident impliquant un cheval. Cet accident est le plus souvent causé par des gens qui tombent de cette énorme bête. Entre 2008 et 2017, 77 Australiens ont été tués par des chevaux ou des vaches.

  • Les vaches :

Il faut que vous le sachiez : plus de personnes sont tuées par des vaches que par des requins. Voilà. C’est dit. C’est officiel en ce qui nous concerne. Ça ne doit pas être quelque chose de surprenant à lire pour quiconque a déjà travaillé avec des vaches dans une ferme bovine… les vaches donnent de violents coups de pied et piétinent en moyenne 22 personnes chaque année.