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Amibiase intestinale ou Amoebose.

DÉFINITION

L'amibiase intestinale est une inflammation de la paroi du colon causée par un parasite, une amibe particulière : l'Entemoeba histolytica.

CE QU'IL SE PASSE
  • De nombreuses espèces d'amibes vivent dans notre intestin. On s'en accommode très bien. Une seule d'entre elle est pathogène : l'Entemoeba histolytica.
  • Elle est capable de traverser la muqueuse de l'intestin et sa paroi.
  • Cette amibe se rencontre surtout dans les pays tropicaux les plus démunis où l'on utilise beaucoup les selles humaines comme engrais.
  • Le cycle de cette amibe est assez simple : le porteur sain élimine des amibes dans ses selles. Comme les conditions optimales de tout à l'égout ne sont pas respectées, les amibes vont dans le sol où elles sont récupérées par les pattes des mouches. Celles-ci vont contaminer la nourriture en se posant dessus. Autre vecteur contaminant, l'homme lui-même qui par une mauvaise hygiène des mains peut contaminer ce qu'il touche.
  • On se contamine par l'eau, les fruits, les légumes. Les kystes amibiens ingérés aboutissent dans le gros intestin, s'y plaisent et s'y installent. Tout peut en rester là durant des mois voire des années. On est donc porteur sain. Le problème c'est qu'on est contaminant par les selles. Le manque d'hygiène, l'absence de système d'égouts efficaces, le tout dans un climat propice, suffisent à propager l'amibe dans une population.
  • Tout se passe sans problème pour le porteur sain, jusqu'au jour où l'amibe se réveille et traverse la paroi intestinale, provoquant des signes d'inflammation dont les conséquences vont de l'infection intestinale la plus classique (spasmes et diarrhée) à la plus grave (la dysenterie ). Le problème est qu'elle ne s'arrête pas là et qu'elle migre dans le corps pour atteindre son organe de prédilection : le foie où elle s'enkyste, réalisant un kyste du foie . Mais elle peut également contaminer le poumon et beaucoup plus rarement les reins et le cerveau.

    LES SIGNES PRÉCOCES
  •     - Une simple diarrhée.
        - Une pesanteur abdominale.
        - Un dégoût alimentaire avec nausées.
        - Ils sont d'autant plus évocateurs que vous avez voyagé dans un pays d'endémie amibienne (pays tropicaux essentiellement, au faible niveau d'hygiène).

  • LES SIGNES PLUS TARDIFS
    Les signes évoquant une dysenterie sont beaucoup plus "tapageurs":
  •     - Des diarrhées abondantes, glaireuses, sanglantes.
        - Une perte d'appétit et de poids importante.
        - Fièvre, vomissements, teint terreux et visage creusé.
        - Ou une complication avec des symptômes digestifs associés à : 
  •                 . Des troubles hépatiques : le kyste peut comprimer les voies biliaires et entraîner une rétention biliaire
                    . Des troubles pulmonaires : toux avec crachats brunâtres plus ou moins sanglants, douleurs dans la poitrine et fièvre.
                    . Des troubles rénaux : infection urinaire, fièvre et douleur d'un rein, témoignant d'un abcès du rein.
                    . Des troubles cérébraux : troubles de la conscience en particulier, liés à un abcès du cerveau. Eventualité heureusement assez rare.
    Vous avez rapidement fait appel à votre médecin ou à défaut au service de garde. Pris très tôt dans les heures qui suivent les premières diarrhées, le traitement peut être institué à domicile après avoir effectué un examen des selles . Le parasite est alors mis en évidence.
    C'est rare et au bout de l'histoire, il y a toujours l'hospitalisation à la clef, surtout s'il existe des signes associés provenant d'un autre organe (foie, rein, cerveau).

  • LE TRAITEMENT
    Il repose sur les amoebicides généraux comme le métronidazole ou la déhydroémétine, et sur les amoebicides de contact comme les hydroxykinoléines.
    En cas de complications, on pratique des examens propres à l'organe responsable. Une échographie abdominale est pratiquée systématiquement.
    En cas de kyste hépatique, le traitement est plus lourd, plus complexe et peut nécessiter une intervention chirurgicale par ponction du kyste sous anesthésie locale sous contrôle échographique.

LES SUITES

Traitée à sa phase digestive, les suites sont excellentes Une coproculture de contrôle sera pratiquée 15 jours plus tard pour s'assurer de la parfaire éradication de l'amibe qui parfois se fait désirer .


LA PRÉVENTION
C'est avant tout l'hygiène alimentaire dans les pays d'endémie :Pas de boissons non encapsulées, pas d'eau du robinet.
Pas de glaçons, même dans les grands hôtels.
Rincage des fruits et légumes avec de l'eau bouillie ou chlorée.
Utilisation de comprimés d'hydrochlonazone pour désinfecter l'eau du cru.

Coup d'Etat au Gabon

 

Des militaires sont apparus en direct à la télévision juste après la proclamation de la réélection d'Ali Bongo. Le président fraîchement réélu a été "mis à la retraite" selon les propos du général Brice Oligui Nguema, chef de la garde républicaine du Gabon.

Cyberattaque


Les cyberattaques sont des tentatives d’obtention d’un accès non autorisé à des systèmes informatiques en vue de dérober, modifier ou détruire des données.
Une cyberattaque peut émaner de personnes isolées ou d'un groupe de pirates informatiques, éventuellement étatique.


Une cyberattaque est presque systématiquement malveillante, mais peut s'inscrire dans une approche éthique, lorsqu'elle a pour seul but de mettre en évidence une faille de sécurité.
Les cyberattaques ont augmenté parallèlement à la numérisation des entreprises qui est devenue de plus en plus populaire ces dernières années.

Le Hum : un son mystérieux entendu dans le monde entier

Le Hum, le bourdonnement, le son mystérieux perçu 4 à 10 % de la population à travers le monde entier, et qui continue, après plus d’un demi-siècle, à confondre les scientifiques.
Le Hum est défini comme un son à basse fréquence, audible par une petite fraction de la population d'un bout à l'autre du globe, et généralement décrit comme le [bruit distant d'un moteur diesel en marche]. Il peut parfois s'accompagner d'un sifflement, mais dans tous les cas, il doit être majoritairement grave, ne dépassant habituellement pas les 100 Hz. [100 Hz : un son grave, similaire à celui d'une corne de brume de bateau entendue au loin.] On surnomme ses victimes les « hearers », les entendeurs, et ce phénomène en apparence acoustique peut s'accompagner de tout un tas de symptômes plus ou moins désagréables : insomnie, nausées, spasmes musculaires, stress chronique, difficultés de concentration, fatigue, palpitations cardiaques, maux de tête, augmentation de la tension, fatigue oculaire, picotements, pression auriculaire, sensation de corps qui vibre ou qui crépite électriquement, changements de personnalité, ou encore hallucinations (généralement auditives). Comme le précise Geoff Leventhall, grand expert du son et des vibrations, le terme Hum qualifie un son répondant à ces critères et dont la source n'a pas encore été identifiée. Ce qui fait le Hum, c'est donc son mystère.


Il existe tout plein de sources de bruits basses fréquences sur Terre, comme les séismes, les tempêtes, les éruptions, l'activité géomagnétique, les avalanches ou la foudre]. Et depuis l'avènement des machines, les humains n'ont fait qu'allonger la liste : transports, éoliennes, mines, usines, etc...


Les définitions peuvent varier, mais on situe généralement un son basse fréquence entre 10 et 100 Hz, et un infrason en dessous de 20 Hz, la limite théorique de l'audition humaine.

Zimbabwe subit une surpopulation d'éléphants.

 

Après le Botswana voisin, le Zimbabwe compte la deuxième plus grande population d'éléphants au monde, qui augmente de 5 % par an. Ses 100 000 pachydermes représentent près du double de la capacité de ses parcs, selon les défenseurs de l'environnement. Cette surpopulation entraîne des accidents de plus en plus fréquents, entre les animaux majestueux et les villageois à proximité de réserves. Les animaux sauvages, éléphants et crocodiles notamment, ont fait 68 morts en 2022 et 29 depuis le début de 2023, selon les autorités.

En Afrique du Sud, le plus ancien coran manuscrit est conservé dans la première mosquée du pays

 Bâtisseur de la mosquée d’Auwal au Cap, la première à être construite en Afrique du Sud, l’imam indonésien Abdullah ibn Qadi Abdus Salaam a légué un précieux manuscrit coranique à la communauté musulmane locale. Ce n’est que durant les 1980 qu’il a été découvert, au cours de la rénovation du lieu de culte. A ce jour, une centaine de répliques en ont été produites.

En Afrique du Sud, un coran écrit à la main par un imam indonésien est conservé par les musulmans du Cap, depuis plus de 200 ans dans le quartier historique de Bo Kaap. C’est durant les années 1980 que le manuscrit a été découvert dans le grenier de la mosquée d’Auwal de la ville, lors de travaux de rénovation. Dans un récent reportage retraçant cette histoire, la BBC rappelle que les chercheurs attribuent cette reproduction de mémoire à l’imam et descendant de princes Abdullah ibn Qadi Abdus Salaam (1712-1807), connu sous le nom de Tuan Guru. Celui-ci aurait entamé l’écriture après son expédition par la colonisation holandaise depuis son île natale de Tidore (Indonésie), en 1780, au Cap, en tant que prisonnier politique et membre de la résistance.

Membre du comité de la mosquée, cité par le média britannique, Cassiem Abdullah se rappelle que le manuscrit «était extrêmement poussiéreux» mais pratiquement intact, lors de sa découverte. Premier lieu de culte musulman en Afrique du Sud, la mosquée d’Auwal où il a été gardé pendant toutes ces années a été fondée par Tuan Guru lui-même, en 1794. Non relié, le coran y a été trouvé sous forme de «feuilles volantes non numérotées, étonnamment en bon état». Aussi, l’encre de l’écriture calligraphique «clairement lisible en écriture arabe était et est toujours en très bon état». Sur le chantier de rénovation, une boîte renfermant d’autres manuscrits religieux de l’imam a été également découverte.

Aidé par plusieurs érudits, le juriste en chef du Conseil judiciaire musulman au Cap, Maulana Taha Karaan, s’est chargé de vérifier que «toutes les pages contenant plus de 6 000 versets du coran étaient dans le bon ordre». Ce travail minutieux s’est achevé par la reliure, pour ensuite présenter cette pièce en exposition permanente dans la mosquée d’Auwal, en tant que «l’un des objets les plus précieux» du patrimoine de la communauté musulmane dans le pays.

Maintenir les traditions culturelles musulmanes sous la colonisation

Selon le biographe Shafiq Morton, Tuan Guru «a probablement commencé à écrire le premier des cinq exemplaires durant sa détention à Robben Island, où l’icône anti-apartheid Nelson Mandela a également été emprisonné». Il aurait continué l’ouvrage après sa libération, produisant la plus grande part des copies finalisées alors qu’il est âgé entre 80 et 90 ans, soit cinq ans avant son décès à 95 ans.

«L’une des raisons pour lesquelles il a écrit le coran serait de remonter le moral des esclaves qui l’entouraient. Il s’est rendu compte que s’il en écrivait une copie, il pourrait en tirer une éducation à ses gens et en même temps enseigner la dignité», a par ailleurs déclaré Shafiq Morton à la BBC. Shaykh Owaisi, professeur-chercheur d’histoire islamique sud-africaine, estime pour sa part que Tuan Guru aurait était motivé par «la préservation de l’islam au sein des prisonniers et esclaves musulmans, dans ce qui était alors une colonie hollandaise».

A ce jour, trois des cinq copies du coran écrites à la main par Tuan Guru ont été retrouvées. Hormis celui de la mosquée d’Auwal, les deux autres originaux sont désormais une propriété de ses descendants, tandis qu’une centaine de répliques ont été produites. En avril dernier, l’une d’elles a été remise à la bibliothèque de la mosquée Al-Aqsa d’Al-Qods, en Palestine.

Top 10 des pays africains dotés de vitesses Internet mobiles ultra rapides.

RANG À L’ÉCHELLE MONDIALE

PAYS


VITESSE INTERNET
MOBILE (MBPS)

52

Afrique du Sud

45.06

60

Ouganda

38,53

61

Maurice

35.56

68

Maroc

33.34

82

Rwanda

27.34

91

Zimbabwe

25.57

93

Egypte

24.70

94

Sénégal

24.40

95

Tunisie

24.27

97

Kenya

24.

Evguéni Prigojine mort dans un crash d'avion ?

 


La Russie, via l'agence Tass, a annoncé le crash d'un avion privé lors d'une liaison entre Moscou et Saint-Pétersbourg, causant la mort des 10 passagers. Le patron de Wagner Evguéni Prigojine se trouvait sur la liste des passagers.

La sonde indienne Chandrayaan-3 a réussi son alunissage sur le pôle Sud de la Lune


La fusée transportant Chandrayaan-3 décolle de Sriharikota, en Inde, le vendredi 14 juillet 2023


Quatre ans après le crash de sa dernière sonde, l’Inde ne s’est pas avouée vaincue en lançant, le 14 juillet dernier, la nouvelle sonde Chandrayaan-3. Objectif : se poser le pôle sud de la Lune. Ce 23 août 2023, peu après 14h30 heure française, la sonde a pu se poser sans encombre. La mission est un succès et entre dans l’histoire spatiale.
« Chandrayaan-3 a atterri en douceur avec succès sur la Lune », se réjouit l’agence spatiale indienne IRSO.
L’Inde a réalisé le premier alunissage sur le pôle Sud de la Lune, intégrant ainsi le cercle très fermé des grandes puissances spatiales, quelques jours après le crash de la sonde russe, Luna-25, première sonde à avoir été lancée par la Russie vers la Lune depuis 1976, dans la même région du pôle Sud, peu exploré.

Suivez les derniers développements de l'actualité en Europe et dans le monde.

 


Des pizzaïolos participent au 10ème championnat argentin de Pizza

 


Les chefs de pizza participent au 10e championnat argentin de pizza à Buenos Aires, en faisant d'énormes pâtes à pizza ou en exécutant des tours défiant la gravité en lançant leur pizza en l'air dans la catégorie freestyle.


Sharenting ou surpartage parental.


Le sharenting ou surpartage parental désigne la pratique des parents de publier des contenus concernant leurs enfants sur Internet. Le terme sharenting a été inventé en 2010. Il est depuis utilisé dans les médias aux États-Unis, en Espagne, en France et au Royaume-Uni. Le sharenting suscite des débats en tant qu'utilisation controversée des réseaux sociaux.

Les détracteurs de la pratique considèrent que le sharenting viole la vie privée des enfants et nuit à la relation parent-enfant.


Les partisans du sharenting présentent la pratique comme une expression naturelle de la fierté parentale envers leurs enfants et soutiennent que les critiques prennent les messages partagés hors de leur contexte.

La sonde spatiale russe Luna-25 s’est écrasée sur la surface de la Lune, annonce l’agence spatiale Roscosmos

 Un coup de massue pour le programme spatial russe. La sonde Luna-25, premier engin spatial à être lancé par la Russie vers la Lune depuis 1976, s’est écrasée à la surface de notre satellite naturel à la suite d’une avarie survenue samedi après-midi lors d’une manœuvre préalable à son alunissage, a annoncé l’agence spatiale russe Roscosmos.

Après « une impulsion donnée pour former son orbite elliptique de pré-alunissage », « vers 14h57, la communication avec Luna-25 a été interrompue » samedi, a expliqué Roscosmos dans un communiqué dimanche. « Les mesures prises les 19 et 20 août pour rechercher l’appareil et entrer en contact avec lui n’ont donné aucun résultat », a déploré l’agence spatiale. Avant d’ajouter : « Selon les résultats préliminaires » de l’enquête, l’appareil « a cessé d’exister à la suite d’une collision avec la surface lunaire »


Cet échec intervient au moment même où le président russe Vladimir Poutine avait promis de poursuivre le programme spatial russe malgré les problèmes de financement, les scandales de corruption et l’isolement russe du fait du conflit en Ukraine..
« Une commission interministérielle » sera chargée de comprendre « les raisons » de l’incident qui a causé « la perte » de Luna-25, a par ailleurs annoncé l’agence spatiale russe, qui n’a pas donné de causes possibles au problème technique survenu. La mission Luna-25, destinée à donner un nouvel élan au secteur spatial russe, était annoncée comme « risquée » de l’aveu même du patron de Roscosmos, Iouri Borissov..
Face à Vladimir Poutine en juin dernier, il avait déclaré : « La probabilité de réussite de telles missions est estimée à environ 70 % ». Luna-25 avait été placée avec succès en orbite lunaire mercredi, après avoir décollé dans la nuit du 10 au 11 août de l’Extrême-Orient russe. Son alunissage était prévu lundi.

Un Japonais ayant dépensé 13.000 euros pour se transformer en chien fait sa première apparition publique.

 

«Toco», son surnom, a fait faire un costume de colley pour «vivre son rêve». Il poste des vidéos dans lesquelles il se promène dans la rue à la rencontre des passants et des chiens.
La vidéo a fait plus de 3,8 millions de vues sur Youtube en dix jours. On y voit Toco, un Japonais déguisé en chien, sortir dans la rue pour la première fois et découvrir la réaction des chiens et des passants. Des chiens circonspects, mais qui flairent l’arnaque.
Toco, c’est son nom de profil sur Twitter, et la seule identité qu’on lui connaît. L’homme-chien a même dédié une chaîne Youtube à ce passe-temps insolite. Une chaîne qui affiche un nom pour le moins explicite : «Je veux être un animal». «Je m'appelle Toco, je voulais être un animal et je suis devenu colley», écrit-il dans la description de ses vidéos. «Cette fois, je peux enfin réaliser un rêve que j'ai depuis que je suis tout petit : me transformer en chien et aller me promener dehors !», se réjouit-il. Une chaîne Youtube où il possède plus de 38.000 abonnés.
Dans la première vidéo qu’il publie, Toco raconte : «Je me souviens avoir écrit dans le livre de fin d'études de mon école primaire que je voulais être un chien et me promener à l'extérieur.» Il explique avoir choisi de devenir un colley en raison de «la différence de taille négligeable entre la race et l'homme».
2 millions de yen
Mais ce rêve a un prix. Il a fallu 40 jours pour créer l'article de mode en fourrure, qui a coûté la coquette somme de 2 millions de yens, soit plus de 12.700 euros. Le costume a été réalisé par l’entreprise japonaise Zeppet, qui produit habituellement des costumes pour la télévision. «Modelé d'après un colley, il reproduit l'apparence d'un vrai chien marchant sur quatre pattes», a déclaré le porte-parole de l’entreprise au micro de news.com.au.
Cet homme a déclaré vouloir garder secrète son identité. «Je ne veux pas que mes loisirs soient connus, surtout par les personnes avec lesquelles je travaille», a-t-il déclaré au Daily Mail. «Les gens pensent que c’est bizarre de vouloir être un chien. C’est pour ça que je ne peux pas montrer mon visage», poursuivait-il. «J'en parle rarement à mes amis parce que j'ai peur qu'ils me trouvent bizarre», a-t-il ajouté dans une interview pour le Daily Mail. Avant de conclure : «Mes amis et ma famille semblaient très surpris d'apprendre que j'étais devenu un animal».

Les médecines traditionnelles au cœur d'un sommet mondial en Inde


Le premier sommet mondial de l'OMS sur les médecines traditionnelles s'est ouvert, jeudi, dans l'État du Gujarat, en Inde. Avec cet événement, qui devrait désormais avoir lieu chaque année, l’Organisation mondiale de la santé souhaite mieux évaluer les pratiques médicales et de soins non occidentales afin de les intégrer aux politiques nationales de santé.


Médecine chinoise, acupuncture et moxas, ayurvéda, yoga... Si leurs fondements scientifiques et leur efficacité sont remis en cause dans les sociétés occidentales, les médecines traditionnelles sont un mode de soins et un patrimoine que de nombreux pays chérissent et promeuvent.
Pour encadrer ces médecines qualifiées, notamment par les Européens, de "non conventionnelles", et pour mettre en avant la nécessité de faire reposer la médecine sur des preuves scientifiques, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) organise, jeudi 17 et vendredi 18 août, son premier sommet dédié à la médecine traditionnelle, à Gandhinagar, en Inde, en marge d'une réunion des ministres de la Santé du G20.
C'est dans cette ville, capitale de l'État du Gujarat, dans l'ouest du pays, qu'a ouvert, l'an dernier, 
le centre de l’OMS pour les médecines traditionnelles, subventionné par le gouvernement indien à hauteur d’environ 250 millions d’euros, et dont le but est, selon l'agence onusienne, de "mobiliser la sagesse ancienne et la science moderne en faveur de la santé et du bien-être des populations et de la planète".
Pour l'OMS, ces médecines sont considérées comme la "somme des connaissances, capacités et pratiques basées sur des théories, croyances et expériences propres à différentes cultures, explicables ou non, utilisées autant pour l'entretien de la santé que la prévention, le diagnostic, l'amélioration ou le traitement de maladies physiques et mentales".

Alors qu'on estime que 80 % de la population mondiale a aujourd'hui recours aux médecines traditionnelles, le sommet de l'OMS vise à assurer de bonnes pratiques à travers le monde et l'intégration de ces médecines dans les systèmes de santé publique, tout en prévoyant un encadrement législatif à leur exercice.
Un sujet auquel l'OMS s'intéresse depuis une conférence de 1978 et la déclaration d'Alma-Ata (aujourd'hui Almaty, au Kazakhstan), qui reconnaît le rôle de la médecine traditionnelle.


Combler des "écarts d'accès" à la santé
L'OMS ne veut pas opposer la médecine occidentale, reposant sur des preuves scientifiques, et des techniques dites "alternatives" basées sur des approches différentes. Selon son directeur de l'OMS, l'Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus, les médecines traditionnelles peuvent permettre de combler des "écarts d'accès" à la santé, mais n'ont de valeur que si elles sont utilisées "de manière appropriée, efficacement et, par-dessus tout, en étant basées sur les plus récentes preuves scientifiques sûres".
En février 2013, lors de la Conférence internationale sur la médecine traditionnelle pour les pays d’Asie du Sud-Est, la directrice générale de l’OMS d'alors, la Chinoise Margaret Chan, avait elle aussi déjà souligné que "les médecines traditionnelles participent à la réalisation de l’objectif de donner à tous un accès aux soins".
En effet, pour de nombreuses personnes dans le monde, les médicaments à base de plantes, les traitements et les praticiens traditionnels constituent la principale voire l’unique source de soins de santé.
C'est d'ailleurs en partie pour cette raison que l'ayurvéda, médecine traditionnelle indienne, a connu un nouvel essor dans les années 1980. Face au manque d'accès aux soins allopathiques (terme utilisé pour désigner la médecine conventionnelle) dans les campagnes, l'État a encouragé son développement afin d'étendre la couverture médicale du pays et répondre aux besoins des populations.

"Engagement politique" et "action reposant sur des preuves"
L'ayurvéda s'est également diffusé en dehors de l'Inde, et notamment en Occident, du fait de l'engouement croissant pour les médecines alternatives. Avant lui, sa discipline sœur, le yoga, s'était déjà largement exportée, jusqu'à être davantage pratiquée en Occident que dans son pays d'origine.
Acupuncture, médecine traditionnelle chinoise, naturopathie, phytothérapie... Si toutes ces thérapies dites alternatives ont le vent en poupe, et que les pays membres de l'OMS sont une majorité à en user, seuls 124 ont instauré des lois ou règlements encadrant l'usage d'herbes, et seuls la moitié d'entre eux ont une politique nationale en la matière.
Ce sont ces États qui, selon l'OMS, ont demandé des bases factuelles et des données afin d’éclairer leurs politiques, normes et réglementations en vue d'une utilisation sûre, rentable et équitable des médecines traditionnelles.
"Les progrès scientifiques en matière de médecine traditionnelle doivent répondre aux mêmes standards de rigueur que tous les autres champs d'études de la santé", estime dans un communiqué John Reeder, chef de la recherche au sein de l'OMS, qui précise que "des millions de personnes dans le monde" envisagent la médecine traditionnelle en premier lieu. "Les discussions doivent permettre de rassembler autour de la table politiques et universitaires, avec l'objectif d'aboutir à un engagement politique et à une action reposant sur des preuves".
Une nouvelle méthodologie d'étude de ces "approches plus holistiques [qui s'intéressent au patient dans sa globalité, NDLR] et contextuelles" sera probablement nécessaire pour y parvenir, avertit-il cependant.
Le sommet mondial, qui devrait avoir lieu chaque année, a ainsi vocation à permettre à l’ensemble des parties prenantes (praticiens de la médecine traditionnelle, public, décideurs nationaux, organisations internationales, universitaires, secteur privé et organisations de la société civile) de "partager les meilleures pratiques et les bases factuelles, les données et innovations révolutionnaires sur la contribution de la médecine traditionnelle à la santé et au développement durable".
En France, les médecines traditionnelles comptent de nombreux adeptes, mais aussi quantité de détracteurs qui lui reprochent un manque de crédit scientifique et de preuves de son efficacité.
En juin dernier, s'inquiétant du développement des pratiques de soins non conventionnelles, le Conseil national de l'Ordre des médecins a demandé, dans un rapport, à ce que des actions soient mises en place pour une meilleure identification de ces pratiques, de leur formation et de leur exercice.

Des mosquées en Algérie illustrent le leg de Youssef Ibn Tachfin et des Almoravides

Du Maghreb central à Al-Andalus, la dynastie almoravide, qui a eu Marrakech pour capitale, a érigé des mosquées dans l’ensemble de ses zones de contrôle. Parmi ces lieux de culte, trois construits par le sultan Youssef Ibn Tachfin (1061 – 1106) se trouvent en Algérie actuelle et sont en fonction à ce jour.

  • La Grande mosquée d’Alger
    La Grande mosquée d’Alger est considérée comme l’un des édifices encore vivants des almoravides. C’est aussi la plus ancienne mosquée active de la capitale algérienne. Certains récits historiques estiment qu’elle est la plus ancienne du Maghreb central, après celle Sidi Oqba à Biskra, la Grande mosquée de Tlemcen et celle de Nedroma. Selon l’ouvrage «L’importance des mosquées dans l’Islam» d’Ahmed Mohamed Abu Shunnar, il s’agit en effet de rares monuments témoignant aujourd’hui de la période almoravide.


La même source retient que la construction de la Grande mosquée d’Alger remonte au Ve siècle de l’Hégire, lors de l’extension du règne de la dynastie almoravide au Maghreb central grâce au père fondateur de l’empire unifié, le sultan Youssef Ibn Tachfin (1061 – 1106). Plus précisément, elle a été construite en 1097 (AD), tandis que certains historiens présument qu’elle a été érigée sur les ruines d’une cathédrale chrétienne datant de l’époque romaine.
Bien que la Grande mosquée ait vu le jour avec et grâce aux Almoravides, elle a continué à être un symbole de leadership religieux et politique sous les Ottomans (1299 – 1923). Au XVIIe siècle de notre ère, elle a été considérée comme le plus grand lieu de culte musulman de la ville d’Alger, se distinguant par la précision de son architecture et la qualité du bâtiment, mais aussi le matériau utilisé, notamment dans la salle de prière. L’espace laisse voir une disposition fascinante des arcades polies, ce qui a incité les Ottomans à l’embellir davantage, en y ajoutant une fontaine en marbre dans la cour des ablutions.

  • La Grande mosquée de Tlemcen
    La Grande mosquée de Tlemcen est considérée comme la quatrième plus ancienne d’Algérie, fondée également en 1097 (AD) par Ibn Tachfin. Elle a résisté au temps pendant environ 900 ans, devenant ainsi l’un des témoignages vivants les plus importants et les plus beaux de l’architecture almoravide en Algérie, en plus d’être l’un des repères historiques du règne de la dynastie à Tlemcen, de 1079 à 1143 (AD).
    La mosquée a été construite également par Youssef Ibn Tachfin, puis son successeur, Ali ben Youssef ibn Tachfin (1106 – 1143), qui lui a ajouté ses décorations actuelles, l’a agrandie et l’a restaurée. Comme les autres lieux de culte érigés par les Almoravides, la conception du bâtiment se distingue par ses tuiles perpendiculaires au mur de la qibla, ainsi qu’une cour rectangulaire entourée de galeries de part et d’autre. Elle représente le premier modèle maghrébin d’architecture cultuelle.

  • La Grande mosquée de la ville de Nedroma
Semblable aux deux mosquées précédentes, la Grande mosquée de la ville algérienne de Nedroma a été construite par le leader almoravide Youssef Ibn Tachfin en 1081. Son minaret a été construit ensuite par les Zianides (1236 – 1556), en 1348 après.
Cette mosquée est considérée comme la troisième plus ancienne d’Algérie, après celle du gouvernorat de Mila (est de l’Algérie) et de Biskra (sud-est de l’Algérie), puisque sa construction remonte à il y a environ 1 000 ans, avec de grandes similitudes architecturales par rapport à celle d’Alger. A ce jour, une inscription est gravée dans ses murs, portant le nom d’Ibn Tachfin.


La grande et ancienne mosquée Nedroma, de forme rectangulaire, a conservé son aspect architectural initial, notamment au niveau de sa cour, ses murs, ses entrées et son mihrab.
Les références historiques indiquent que le minaret a été construit sous la supervision de l’ingénieur Muhammad al-Shisi, qui s’est appuyé sur le style des minarets du Maroc et celui de la mosquée de Kairouan, en Tunisie.
Le minaret de la Grande mosquée de la ville algérienne s’élève à 23,30 mètres et la hauteur de la première tour inférieure est de 19,80 mètres. Le minaret se termine par une forme rectangulaire d’une hauteur de 4,24 mètres et d’une base de 2,04 mètres. Il comprend 99 marches, que les habitants de la ville gravissent pour atteindre le sommet, et dans lesquelles sont mentionnés les noms saints de Dieu.

Ce qu’il faut savoir sur Eris, le nouveau variant du coronavirus responsable du Covid-19

La recrudescence du nombre de cas de Covid-19 dans le monde a conduit l’Organisation mondiale de la santé à réévaluer le statut d’EG.5, le nouveau variant qui circule activement dans plus de cinquante pays.


Il s’agit d’un descendant du variant Omicron qui avait été signalé en novembre 2021. Il en est génétiquement proche. “[EG.5] est étroitement lié à XBB.1.9.2, un autre sous-variant d’Omicron, mais sa protéine Spike compte une mutation supplémentaire”.
“Un nouveau variant du coronavirus responsable du Covid-19, baptisé “EG.5”, se propage à toute vitesse au Japon, mais, d’après les experts, rien ne prouve à ce jour qu’il provoque des symptômes plus graves que les souches précédentes d’Omicron”, assure le Japan Times.
Initialement repéré en février, ce nouveau variant s’est depuis propagé à travers le monde. L’augmentation du nombre de cas signalés dans 51 pays a conduit l’Organisation mondiale de la santé à faire passer ce variant, surnommé “Eris”, du statut, établi en juillet, de “variant sous surveillance” à celui de “variant d’intérêt” (VOI), le 9 août.

Voici les onze accords coloniaux secrets signés par la France avec les quatorze pays africains.



  1. La dette coloniale pour remboursement des bénéfices de la colonisation.

Les états nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation.

  1. La confiscation automatique des réserves financières nationales.

Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961.

  1. Le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays

La France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressé », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires.

  1. Priorité aux intérêts et aux entreprises français dans les marchés publics et appels d’offre publics.

Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur l’attribution. Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix ailleurs.

  1. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des colonies.
  2. Le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts, raison des bases militaires présentes dans le continent.
  3. L’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation.
  4. L’obligation d’utiliser le franc CFA (franc des Colonies Françaises d’Afrique).

Lors de l’introduction de la monnaie Euro en Europe, les autres pays européens ont découvert le système d’exploitation français. Beaucoup, spécialement les pays nordiques, ont été consternés; ils ont suggéré à la France de se débarrasser du système, mais sans succès.

  1. L’obligation d’envoyer en France, un bilan annuel et un rapport d’état des réserves.

   10 . Renoncer à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf          autorisation de la France.

  1. L’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale.

L'agence spatiale indienne a réussi la mise en orbite de sa mission lunaire Chandrayaan-3

La fusée non habitée a passé une nouvelle étape importante samedi, dans son objectif de réaliser un alunissage contrôlé. Si tout se passe comme prévu, cet événement pourrait avoir lieu entre le 23 et le 24 août.

Une fusée non habitée lancée par l'Inde est entrée dans l'orbite de la Lune, a annoncé l'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO), samedi 5 août, quatre ans après une première tentative d'alunissage contrôlé qui avait échoué. Si le reste de la mission actuelle se déroule comme prévu, la mission devrait se poser près du pôle Sud de la Lune, peu exploré, entre le 23 et le 24 août. Le pays le plus peuplé du monde, avec plus de 1,4 milliard d'habitants, rejoindrait alors le club ayant réussi un alunissage contrôlé, qui ne compte actuellement que la Russie, les Etats-Unis et la Chine.

Développé par l'ISRO, Chandrayaan-3 comprend un module d'atterrissage baptisé Vikram, qui signifie "vaillance" en sanskrit, et un rover, un robot mobile, baptisé Pragyan, qui signifie "sagesse" et qui explorera la surface de la Lune. La fusée avait décollé le 14 juillet, alors que le Premier ministre indien Narendra Modi se trouvait en France.

Chandrayaan-3 a mis beaucoup plus de temps à atteindre la Lune que les missions habitées Apollo des années 1960 et 1970, qui sont arrivées en quelques jours. La fusée indienne est beaucoup moins puissante que la Saturn V, la fusée du programme lunaire américain Apollo. Elle a effectué cinq ou six orbites elliptiques autour de la Terre pour gagner en vitesse, avant d'être envoyée sur une trajectoire lunaire d'une durée d'un mois.


Depuis le lancement d'une sonde en orbite autour de la Lune en 2008, le programme spatial indien s'est considérablement développé. En 2014, l'Inde est devenue le premier pays asiatique à mettre un satellite en orbite autour de Mars, et, trois ans plus tard, elle a lancé 104 satellites en une seule mission. D'ici l'an prochain, le géant asiatique devrait lancer une mission habitée de trois jours en orbite autour de la Terre. L'Inde s'efforce également d'augmenter sa part, qui est actuellement de 2%, du marché spatial commercial dans le monde, grâce à des coûts bien moindres que ceux de ses concurrents.