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S.M. le Roi prononce un discours historique à l'Union africaine (UA) à Addis-Abeba.

SM le Roi marque le grand retour du Maroc à l’UA et prononce un discours historique : « Le Royaume rentre dans l’Union Africaine par la grande porte » : « C’est à l’Afrique que le Maroc cherche à donner le leadership »
Le Maroc a pris officiellement place au sein de l’Union Africaine, lundi 30 janvier, après avoir recueilli une écrasante majorité de soutiens des pays membres lors de l’examen de son adhésion à l’organisation panafricaine. Hier, mardi, S.M. a fait son entrée dans la salle de conférences où il a été chaleureusement accueilli et a assisté à la prestation de serment du nouveau président de la Commission de l’UA, avant de prononcer un discours historique devant les Chefs d’Etat africains. 
Voici, par ailleurs, le texte intégral du Discours Royal :




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«Louange à Dieu, Prière et salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons,
Excellence, Monsieur le Président Alpha Condé, Président du 28ème Sommet de l’Union Africaine,
Mesdames et Messieurs les Chefs d’Etat et de Gouvernement,
Madame la Présidente de la Commission,
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Il est beau, le jour où l’on rentre chez soi, après une trop longue absence ! Il est beau, le jour où l’on porte son cœur vers le foyer aimé ! L’Afrique est Mon Continent, et Ma maison.
Je rentre enfin chez Moi, et vous retrouve avec Bonheur. Vous M’avez tous manqué.
C’est pourquoi, Mes Chers Frères Chefs d’Etat, sans attendre la finalisation des formalités juridiques et protocolaires, au terme desquelles le Royaume siègera de nouveau au sein de l’Organisation, J’ai tenu à faire d’ores et déjà, ce déplacement et à M’exprimer devant vous.
Le soutien franc et massif que le Maroc a recueilli témoigne de la vigueur des liens qui nous unissent.
Le retrait de l’OUA était nécessaire : il a permis de recentrer l’action du Maroc dans le continent, de mettre aussi en évidence combien l’Afrique est indispensable au Maroc, combien le Maroc est indispensable à l’Afrique.
Nous y avons réfléchi mûrement, et c’est à présent une évidence !
Il est l’heure de rentrer à la maison : au moment où le Royaume compte parmi les nations africaines les plus développées, et où une majorité de pays-membres aspirent à notre retour, nous avons choisi de retrouver la famille.
>>>> Une famille que nous n’avions pas véritablement quittée !
En effet, malgré les années où nous étions absents des instances de l’Union Africaine, nos liens, jamais rompus, sont restés puissants, et les pays africains frères ont toujours pu compter sur nous :
Des relations bilatérales fortes ont ainsi été développées de manière significative :
Depuis l’an 2000, le Maroc a conclu, dans différents domaines de coopération, près d’un millier d’accords avec les pays africains.
A titre de comparaison, savez-vous qu’entre 1956 et 1999, 515 accords avaient été signés, alors que depuis 2000, il y en a eu 949, c’est-à-dire près du double !
Pendant ces années, J’ai Moi-même souhaité donner une impulsion concrète à ces actions, en multipliant les visites dans les différentes sous-régions du Continent.
Au cours de chacune des 46 Visites, que J’ai effectuées dans 25 pays africains, de nombreux accords dans les secteurs public et privé ont été signés.
Notre action s’est particulièrement attachée à la question de la formation qui est au cœur de notre coopération avec les pays frères. Ainsi, des ressortissants africains ont pu poursuivre leur formation supérieure au Maroc, grâce aux milliers de bourses qui leur ont été accordées.
Par ailleurs, des projets stratégiques d’envergure ont été mis en place lors de Mes visites dans ces pays :
- En premier lieu, J’ai eu le plaisir d’initier le projet de Gazoduc Africain Atlantique, avec Mon frère Son Excellence Monsieur Muhammadu Buhari, Président de la République Fédérale du Nigéria.
Ce projet permettra naturellement l’acheminement du gaz des pays producteurs vers l’Europe. Mais, au-delà, il bénéficiera à toute l’Afrique de l’Ouest.
Il contribuera, en effet, à structurer un marché régional de l’électricité, et constituera une source substantielle d’énergie au service du développement industriel, de l’amélioration de la compétitivité économique et de l’accélération du développement social.
Ce projet sera créateur de richesses, pour les pays et les populations riveraines, créant un mouvement décisif d’impulsion et entraînant l’émergence et le développement de projets parallèles.
De plus, il permettra d’établir des relations, bilatérales et multilatérales, plus apaisées, et fera ainsi naître un environnement propice au développement et à la croissance.
- En second lieu, dans le cadre de projets visant à améliorer la productivité agricole et à favoriser la sécurité alimentaire et le développement rural, des Unités de production de fertilisants ont été mises en place avec l’Ethiopie et le Nigeria. Les bénéfices de ce projet s’étendront à l’ensemble du continent.
Nous le savons : ce ne sont ni le gaz, ni le pétrole qui satisferont les besoins alimentaires de base ! Or, le grand défi de l’Afrique n’est-il pas sa sécurité alimentaire ?
- C’est le sens de l’Initiative pour l’Adaptation de l’Agriculture Africaine au changement climatique, dite «Initiative Triple A», que nous avons promue lors de la COP.22. Elle constitue une réponse innovante et extrêmement concrète aux défis communs posés par les changements climatiques.
Dès son lancement, elle a d’ailleurs aussitôt été adoubée par une trentaine de pays.
«L’initiative triple A» vise à lever un financement plus important au profit de l’Adaptation de la petite Agriculture Africaine; elle accompagnera également la structuration et l’accélération de projets agricoles, en s’appuyant sur quatre programmes:
la gestion rationalisée des sols ; la maîtrise durable de l’eau agricole ; la gestion des risques climatiques ; et le financement solidaire des petits porteurs de projets.
Cette initiative a d’ailleurs été l’un des axes forts du Sommet Africain de l’Action, que J’ai eu le privilège de présider à Marrakech, en novembre dernier.
Enfin, nos liens sont également restés puissants en termes de sécurité et de paix.
Faut-il rappeler que nous avons toujours été présents, lorsqu’il s’est agi de défendre la stabilité du Continent ?
- Ainsi, depuis son indépendance, le Maroc a participé à six opérations de maintien de la paix des Nations-Unies en Afrique, déployant des milliers d’hommes dans les différents théâtres d’opération.
Les troupes marocaines sont, aujourd’hui encore, déployées en RCA et RDC.
De même, le Maroc a mené des médiations qui ont permis de faire avancer substantiellement la cause de la paix, notamment en Libye et dans la région du Fleuve Mano.

Excellences, Mesdames et Messieurs,
Ma vision de la coopération Sud – Sud est claire et constante : Mon pays partage ce qu’il a, sans ostentation.
Dans le cadre d’une collaboration éclairée, le Maroc, acteur économique de premier plan en Afrique, deviendra un moteur de l’expansion commune.
A l’intérieur de Mon pays, les Subsahariens sont accueillis dans les termes que nous avions annoncés : plusieurs opérations de régularisation ont été lancées; la première phase avait déjà bénéficié à plus de vingt-cinq mille personnes.
La deuxième vient d’être lancée avec succès, il y a quelques semaines, selon le même esprit de solidarité et d’humanisme. Nous sommes fiers de ces actions.
Elles étaient nécessaires, vitales pour ces hommes et ces femmes qui ont trop longtemps souffert de la clandestinité.
Et nous agissons pour que ces personnes ne vivent plus en marge, sans emploi, sans soin, sans logement, sans accès à l’éducation.
Nous agissons pour que les couples, en particulier les couples mixtes, composés de marocains et de conjoints subsahariens, ne soient pas séparés.
Toutes ces actions constructives, en faveur des immigrés, ont ainsi justement conforté l’image du Maroc, et renforcé les liens que nous avions d’ores et déjà constitués.
Certains avancent que, par cet engagement, le Maroc viserait à acquérir le leadership en Afrique. Je leur réponds que c’est à l’Afrique que le Royaume cherche à donner le leadership.
Excellences, Mesdames et Messieurs, nous n’ignorons pas que nous ne faisons pas l’unanimité au sein de cette noble assemblée.
Loin de nous, l’idée de susciter un débat stérile ! Nous ne voulons nullement diviser, comme certains voudraient l’insinuer !
Vous le constaterez : dès que le Royaume siègera de manière effective, et qu’il pourra apporter sa contribution à l’agenda des activités, son action concourra, au contraire, à fédérer et à aller de l’avant.
Nous avons participé à l’avènement de cette belle construction panafricaine, et nous souhaitons tout naturellement y retrouver la place qui est la nôtre.
Pendant toutes ces années, et sans ressources naturelles, le Maroc est devenu un pays émergent, à l’expertise reconnue; il est aujourd’hui l’une des nations les plus prospères d’Afrique.
Le Maroc a toujours considéré qu’il faut d’abord puiser sa force, dans l’intégration de sa sous-région maghrébine.
Or, force est de constater que la flamme de l’UMA s’est éteinte, parce que la foi dans un intérêt commun a disparu !
L’élan mobilisateur de l’idéal maghrébin, promu par les générations pionnières des années 50, se trouve trahi.
Aujourd’hui, nous constatons avec regret que l’UMA est la région la moins intégrée du continent africain, sinon de toute la planète :
Alors que le commerce intra-régional s’élève à 10% entre les pays de la CEDEAO, et à 19% entre les pays de la SADEC, il stagne à moins de 3% entre les pays du Maghreb.
De même, tandis que la Communauté Economique d’Afrique de l’Est avance dans des projets d’intégration ambitieux, et que la CEDEAO offre un espace fiable de libre circulation des personnes, des biens et des capitaux, les pays du Maghreb sont, eux, à un niveau de coopération économique très faible.
Nos concitoyens maghrébins ne comprennent pas cette situation.
Si nous n’agissons pas, sauf à prendre exemple sur les sous-régions africaines voisines, l’UMA se dissoudra dans son incapacité chronique, à rencontrer les ambitions du Traité de Marrakech, qui lui a donné naissance il y a 28 ans.

Excellences, Mesdames et Messieurs,
Ce constat conforte le Maroc dans son choix de l’Afrique. Ainsi faisant, Mon pays opte pour le partage et le transfert de son savoir-faire ; il propose de bâtir concrètement un avenir solidaire et sûr.
Nous enregistrons, avec fierté, que l’histoire nous donne raison.
Le Maroc ne rentre pas dans l’Union Africaine par la petite, mais par la grande porte. L’accueil chaleureux que nos frères africains nous réservent aujourd’hui en témoigne.
Nous invitons, avec enthousiasme, les nations africaines à s’associer au dynamisme de notre pays, à donner un élan nouveau à notre Continent tout entier.

Excellences, Mesdames et Messieurs,
Il est temps que les richesses de l’Afrique profitent à l’Afrique.
Nous devons œuvrer afin que notre terre, après avoir subi des décennies de pillages, entre dans une ère de prospérité.
Certes le colonialisme n’est pas la seule cause des problèmes de l’Afrique. Toutefois, ses effets néfastes perdurent.
Pendant longtemps, nous avons tourné notre regard ailleurs, pour prendre une décision, un engagement.
N’est-il pas l’heure de faire cesser ce tropisme ? N’est-il pas l’heure de nous tourner vers notre continent ? De considérer ses richesses culturelles, son potentiel humain ?
L’Afrique peut être fière de ses ressources, de son patrimoine culturel, de ses valeurs spirituelles et l’avenir doit porter haut et fort cette fierté naturelle !
L’Afrique peut et doit valider elle-même ses processus électoraux, et cautionner ainsi le choix libre de ses citoyens.
Elle dispose des outils de régulation et des institutions judiciaires, telles que les Conseils constitutionnels et les Cours Suprêmes, à même de trancher les contentieux et les recours électoraux.
Ces organismes pourraient, le cas échéant, être renforcés. Mais ils existent ! Ils sont mis en œuvre ! Sinon à quoi servent-ils ?
L’Afrique est aujourd’hui dirigée par une nouvelle génération de Leaders décomplexés. Ils œuvrent en faveur de la stabilité, de l’ouverture politique, du développement économique et du progrès social de leurs populations.
Ils agissent avec détermination, fermeté et conviction, sans se soucier d’être « notés » ou évalués par l’occident.
Depuis plusieurs années, le taux de croissance de certains pays du Nord ne dépasse pas celui de certains pays africains ; la faillite de leurs sondages révèle combien ils ont perdu toute capacité de comprendre les aspirations de leurs peuples !
Et pourtant, ces pays à la situation sociale et économique défaillante, au leadership faiblissant s’arrogent le droit de nous dicter leur modèle de croissance !
Je le répète ! La notion de tiers-mondisme me paraît dépassée !
Ces agissements relèvent plutôt de l’opportunisme économique : la considération et la bienveillance accordées à un pays ne doivent plus dépendre de ses ressources naturelles et du profit qu’on en espère !

Excellences, Mesdames et Messieurs,
C’est la voie de la solidarité, de la paix et de l’union que Mon pays a choisie.
Nous réaffirmons notre engagement en faveur du développement et de la prospérité du citoyen africain.
Nous, peuples d’Afrique, avons les moyens et le génie ; et nous pouvons ensemble, réaliser les aspirations de nos peuples.
Je vous remercie pour votre aimable attention.

Wassalamou alaikoum warahmatoullahi wabarakatouh».

Voeux et nouvel an dans les différentes cultures.

En France, on envoie traditionnellement une carte de voeux pour la nouvelle année.
Mais la nouvelle année n'est pas fêté de la même manière partout dans le monde. Suivant les cultures, certaines choses changent pour s'adapter aux traditions locales.

Les différentes fêtes du nouvel an.

Voici quelques exemples des différentes appellations que peut prendre la fête de la nouvelle année suivant les cultures et religions :
 
- Le réveillon de la Saint-Sylvestre dans le monde occidental
- Le nouvel An chinois en Chine (vous vous en doutiez ? ...)
- Awal muharram, le Nouvel An de l'hégire
- Rosh Hashana, le Nouvel An hébreu
- Norouz, le Nouvel An persan
- Yennayer, le Nouvel An berbère
- Novii God, le Nouvel An russe


Mais cela ne diffère pas que par le nom...

Les différentes dates de la nouvelle année
La date de renaissance cyclique de l'année n'est pas partout la même, bien qu'elle soit relativement harmonieuse suivant les cultures. Ainsi, voici les dates des différentes fêtes du nouvel an a travers le monde et les cultures, mais aussi à travers les différentes normes :

- Calendrier universel : le nouvel an tombe le 1er janvier.
- Calendrier fixe : la nouvelle année tombe le 1er janvier.
- Calendrier grégorien : le jour de l'an est également le 1er janvier.
- Calendrier romain : un peu de changement, cela se passe le 1er mars.
- Calendrier julien : on revient aux bonnes vielles habitude, c'est le 1er janvier.
- 25 mars, jour de l'annonciation, adopté par l'église jusqu'en 1563.
- Calendrier chinois : le nouvel an tombe entre le 20 janvier et le 18 février.
- Calendrier égyptien antique : lié à la crue du Nil le 19 juillet.
- Calendrier persan : la nouvelle année correspond au solstice du printemps, le 21 mars.
- Calendrier républicain : 22 septembre, à l'Équinoxe automnal.

Les différentes traditions du nouvel an, suivant les pays
La tradition de la fête du nouvel an a beaucoup évoluée depuis l'antiquité. En occident nous avons de nos jours l'habitude de faire la fête la veille, le 31 décembre, pour le réveillon de la saint sylvestre.
Avec les produits traditionnel comme les cotillons, les feux d'artifice, le champagne et le foie gras. Sans oublier de s'embrasser sous le gui à Minuit.
Cependant, suivant les pays, le nouvel an peut-être fêté différemment.

Alors qu'en Espagne nous mangeons un grain de raisin (ou une grenade suivant les régions) pour chacun des 12 coups de minuit, les mariés quand à eux trempent leurs bague dans le champagne avant de trinquer.

En Belgique, par exemple, la tradition veut qu'on mange une choucroute en famille, en plaçant une pièce sous son assiette pour attirer la prospérité au cours de l'année.

En France, la tradition du nouvel an peut avoir quelques subtilité suivant la région. Cependant tout le monde aimera fêter cela au foie gras et au champagne (même si par les temps qui courent ce n'est pas donné a tout le monde...).

Au Cambodge, la fête du nouvel an durent cette fois 3 jours d'affilié. Durant le mois d'avril.

Au Japon, les familles assistent, au temple et autour d'un verre de Saké, aux 108 coups de gong annonçant le passage à la nouvelle année.

En Italie, le jour du Nouvel An (Capodanno), se fête traditionnellement autour d'un repas composé de plats spéciaux, réputés pour leur apport de richesse et d'abondance. Ce sont des plats normalement à base de graines.

En Chine, la coutume veut que nous lancions dans un "arbre a voeux" nos voeux pour cette nouvelle année.
Ce nouvel an Chinois, célèbre partout à travers le monde, est aussi accompagné de feux d'artifice (spécialité Chinoise oblige) et de jet de pétards.

Beaucoup d'autres traditions existent un peu partout dans le monde, mais je m'arrêterais là dans cet exposé (car je pourrais continuer, ça prendrait une dizaine de pages mais je suis certain vous vous avez d'autres choses a faire ;) ).

L'Administration du Président américain, Donald Trump

 Donald Trump a composé son administration. Outre des fidèles de la première heure et des novices en politique, le président élu a misé sur des militaires respectés, qu'il a placés à des postes-clés.
Depuis le 20 janvier dernier, Donald Trump est le 45ème président des Etats-Unis. Et pour composer l'équipe avec laquelle il va diriger le pays, le milliardaire s'est entouré de fidèles de la première heure, d'anciens conseillers de sa campagne et de militaires haut gradés, qui viennent apporter leur expérience et leur crédibilité à un président dont c'est le premier poste politique.
  • Rex Tillerson, proche de la Russie et futur secrétaire d'Etat : PDG d’Exxon Mobil, Rex Tillerson a reçu en 2012 l’ordre de l’Amitié, une distinction remise par le gouvernement russe, après la signature d’un accord avec Rosneft concernant des projets de forage dans l’Arctique, la mer Noire et en Sibérie.
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  • Jeff Sessions, le futur ministre de la Justice de Donald Trump : Premier sénateur à soutenir officiellement Donald Trump, Jeff Sessions avait un temps été considéré comme un candidat au département de la Défense. Mais son passé et son expérience en matière de droit ont vraisemblablement fait pencher la balance. Durant sa carrière, il s’est montré particulièrement opposé aux réformes de naturalisation des immigrés, qu’elles soient proposées par les démocrates ou les républicains.
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  • Wilbur Ross, un milliardaire nommé au Commerce: L'homme de 78 ans, qui a bâti sa fortune estimée à près de trois milliards de dollars sur la restructuration d’entreprises en difficulté dans les secteurs de l’acier du charbon ou des télécommunications, conseillait Trump depuis août dernier au sein de son conseil économique. Il aura désormais comme mission de faire le lien entre le gouvernement et le monde des affaires.
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  • Linda McMahon, une fortune du catch pour la gestion des PME :La confondatrice de la World Wrestling Entertainment (WWE), la société reine en matière d’organisation de combats de catchs, sera gestionnaire de la Small Business Administration, qui s’occupe de 28 millions de petites et moyennes entreprises aux Etats-Unis.
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  • Ben Carson nommé secrétaire au Logement : Le neurochirurgien à la retraite, ancien candidat à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle, a été nommé au poste de secrétaire au Logement et au développement urbain.
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  • Trump nomme Ryan Zinke, un ancien Navy Seal, à l'Intérieur : Elu du Montana à la Chambre des représentants, il a travaillé 22 ans dans les forces spéciales Navy Seals. Ce chasseur âgé de 55 ans est un défenseur de l'oléoduc Keystone XL et s'est opposé à diverses reprises aux défenseurs de l'environnement sur les énergies fossiles.
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  • John Kelly, le troisième général de l'administration Trump : L'ancien patron de l’US Southern Command, le centre de commandement de l’armée américaine en Amérique latine, doit prendre la direction du Homeland Security (DHS), le ministère de la Sécurité intérieure, qui gère également le contrôle des frontières du pays, de l’immigration et des naturalisations.
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  • James Mattis, un ex-général "enragé" à la Défense : De 2007 à 2009, James Mattis a été commandant suprême allié de la transformation de l’Otan. En 2010, l’administration Obama l’a nommé à la tête du Centcom, le commandement des forces américaines au Moyen-Orient. Il sera le premier ancien général à devenir secrétaire à la Défense depuis George Marshall sous Harry Truman en 1950, et devra obtenir une dérogation du Sénat car il n'est retraité que depuis trois ans.  
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  • Steve Mnuchin, un ancien de Goldman Sachs au Trésor : Milliardaire de 53 ans, il était le directeur financier de la campagne.  Après avoir travaillé pendant 20 ans chez Goldman Sachs, il a fondé son propre hedge fund dérivé de l’entreprise du financier George Soros.
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  • Nikki Haley, future ambassadrice américaine aux Nations unies : Nikki Haley, gouverneure de Caroline du Sud, est la fille d'immigrants originaires d'Inde. Etoile montante du parti républicain, elle a été la première femme nommée par Donald Trump. 
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  • Betsy DeVos, richissime philanthrope nommée à l'Education : Farouche partisane du droit à choisir entre école publique, privée ou enseignement à la maison, Betsy DeVos est mariée à Dick DeVos, dont la fortune est évaluée à 5,4 milliards de dollars. Tous deux donnent des millions de dollars chaque année à des organisations chrétiennes et conservatrices. Son frère a fondé Blackwater, énorme entreprise de mercenaires, qui a défrayé la chronique pendant la guerre en Irak.
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  • Scott Pruitt, un climato-sceptique pour diriger l'Agence pour l'Environnement (EPA): Procureur climato-sceptique de l’Oklahoma, a mené des poursuites judiciaires à l’encontre du Clean Power Plan, le programme lancé par Barack Obama pour imposer aux centrales thermiques américaines des réductions drastiques de leurs émissions de CO2 et qui ne plaît que peu aux entreprises pétrolières très présentes en Oklahoma, dont certaines ont financé ses campagnes.
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  • Stephen Bannon, le troublant haut-conseiller de Donald Trump : Dernière reconversion en date de cet ancien banquier d’affaires chez Goldman Sachs devenu producteur dans le monde des médias : prendre la direction de Breitbart News site d’information conservateur qui a relayé des théories du complot.
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Le règne des voleurs – Petit conte pour les grands –

Je vous partage donc ci-dessous un joli écrit bien éclairé sur une vision de notre société et ceux qui la dirigent à travers les âges.
Vivez une agréable lecture !

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« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole » (Simone Weil
Il était une fois, au pays des merveilles, un jeune homme rusé que le travail des champs épuisait. Il en avait assez de ce dur labeur pour gagner sa maigre pitance. Il réunit quelques amis. Ensemble, ils volèrent des épées et quelques chevaux. Ils partirent, tels des soldats, à la conquête des terres alentour. C’était lui, le plus fort, qui commandait.
Comme tout se passait bien pour eux, il se mirent à conquérir la province toute entière, en soumettant les paysans qui habitaient là. Pour vivre, lui et ses hommes, il prélevait le dixième des récoltes sous forme d’impôt.

Tapisserie de Bayeux (1066/1082)


Se voyant avancer en âge, il choisit la plus belle femme du pays et demanda sa main. Celle-ci accepta car elle savait que son existence serait assurée ainsi, tout comme celle de sa progéniture. Ils eurent des enfants forts et rusés comme lui. Il leur enseigna comment se battre et l’art de la guerre.




La dynastie :

Ses descendants, à l’aide de leurs soldats, gardèrent la même position que leur père. Ils considéraient que la province leur appartenait par héritage – leur ancêtre ne l’avait-il pas gagnée en se battant, après tout ?
Les paysans qu’ils exploitaient n’étaient pas du même avis : « Leur père nous a dérobé cette terre. Il s’ensuit que ses descendants sont les fils d’un voleur. Dans ces conditions, pourquoi paierions-nous un impôt sur une chose qui nous appartient ? Et qu’ils nous ont volée ? ».


Les très riches heures du duc de Berry (1416/1440)


Soumettre les paysans incultes n’était pas très compliqué. Ceux-ci n’avaient pas le temps de se cultiver eux-mêmes, ni de trop réfléchir. Mais tout de même, il arrivait parfois qu’ils se défendent avec leurs bâtons et leurs faux.
C’est alors qu’arrivèrent quatre cavaliers qui s’appelaient Armée, Justice, Religion et Argent. Ils apportèrent leur aide aux descendants du jeune homme fort et rusé qui n’était, somme toute, que le plus grand des voleurs.

Les quatre cavaliers :
Le travail du cavalier Armée était de soumettre le peuple. Celui-ci, ordinairement, se taisait malgré la misère qu’il subissait ; mais dans les grandes périodes de disette, il arrivait qu’il se révolte. Les troupes étaient alors indispensables pour continuer à exploiter ce bétail humain, en réduisant les fortes têtes au silence. Soit on les tuait sans plus attendre, soit on les faisait torturer en place publique à titre d’exemple.




Le travail du cavalier Justice était d’empêcher que les petits voleurs deviennent puissants, par exemple en dérobant ce que le grand voleur avait déjà pris pour lui. Mais surtout, la justice permettait à ce dernier, ainsi qu’à ses héritiers, de conserver le produit de leurs larcins.
Le travail du cavalier Religion était de parfaire cet ordre, en ôtant toute envie de révolte aux classes exploitées. Il leur faisait croire que tout cela était naturel, venant de Dieu : il n’y avait donc pas lieu de se tourmenter.




Le cavalier Argent était, en ce temps-là, celui qui avait le moins à faire : les banques n’existaient pas encore, car les paysans n’avaient pas d’or. Ils pratiquaient le troc entre eux.
L’or était uniquement pour les héritiers du grand voleur. Ils le conservaient dans des coffres gardés par leurs soldats, à l’intérieur de châteaux avec d’épais murs de pierre et un grand pont-levis.




De la province au royaume
Au fil des générations et des guerres, des pays se formèrent de cette manière. Les voleurs les plus puissants attaquèrent les voleurs les plus faibles avec leurs troupes. C’est ainsi qu’apparurent, au fil des siècles, des royaumes.
De la sorte, la première aristocratie de marquis, comtes, ducs, princes et rois, était exclusivement constituée de fils et de petit-fils de voleurs, d’héritiers receleurs éduqués par leurs parents pour faire perdurer ce système.



L’élite était donc formée par les pires individus de la société, qui se prétendaient monarques « de droit divin » avec le secours de l’armée (« Nous vous protégeons ! »), de la religion (« Dieu le veut ! ») et de la justice (« Ce système est juste ! »). Progressivement, une monnaie fut mise en place, garantie par les voleurs eux-mêmes, qui purent alors dire : « Nous vous permettons aussi de manger, grâce à l’argent que nous vous donnons ! ».

La révolte

Jamais les paysans n’auraient bougé par eux-mêmes. Ils n’avaient plus assez de volonté pour cela, car ils avaient été éduqués, génération après génération, pour être exploités.
Ce système fut renversé par de nouveaux voleurs qui voulaient, eux aussi, leur part ; et également d’hommes animés d’un idéal humaniste, et que tout cela écoeurait à vomir. Ils menèrent le peuple à l’insurrection. Les endroits et les moments ayant été soigneusement choisis, le mouvement prit de l’ampleur et arriva à abattre, assez rapidement, la dynastie du grand voleur et de ses héritiers.




Le nouveau pouvoir prit le nom de Res publica. Ses dignitaires firent décapiter le roi, lointain héritier du grand voleur, puis son épouse, et firent en sorte que sa descendance meure avant l’âge adulte. Tout cela avec plus de violence et de sauvagerie que dans une peuplade de singes…

La réforme

La Res publica voulut réformer le système. Il fallait supprimer ce qui faisait la force du grand voleur et de ses héritiers.
Pour la religion, elle tenta de détruire « Dieu » par l’Etre suprême, mais cela échoua. Elle s’appropria alors les biens des religieux, et fit émettre de la monnaie en papier pour le peuple. Cette monnaie était soi-disant cautionnée par les biens extorqués. Elle gardait les vraies richesses jalousement, ainsi que tout l’or qu’elle s’était approprié grâce au cavalier Armée.
Pour la justice, la Res publica remplaça les lois des anciens voleurs par les textes des nouveaux. Ceux-ci se rassemblaient en bandes, dans un endroit qu’ils nommaient Assemblée, par manque de vocabulaire car ils débutaient.




Comme la Res publica ne savait pas très bien compter non plus, elle voulut même réformer le temps. Elle imposa un nouvel ordre des jours appelé Calendrier de la liberté avec des semaines de 10 jours au lieu de 7. Il fallut travailler 9 jours avant d’avoir une journée de repos, contre 6 auparavant.




Les paysans et tous les corps de métier furent donc obligés de trimer davantage, puisque, désormais, ils n’avaient plus que 3 jours de repos par mois. Pour les calmer, on leur disait : « Nous vous avons libérés du tyran ! Maintenant vous êtes libres ! Profitez-en ! ».

Le fleuve rouge

Mais la bande des nouveaux voleurs était divisée. Ils n’étaient pas tous d’accord sur la manière de diriger le pays : continuer l’exploitation du bétail humain, ou bien instaurer un système réellement humaniste ?
Chacun voulant absolument avoir raison, ils se décapitèrent les uns les autres à l’aide d’une machine à couper les têtes. Comme ils se prétendaient civilisés, cette machine avait été choisie par le cavalier Justice. Désormais, c’était un mécanisme qui donnait la mort, au lieu d’un homme qui tuait directement un autre.




De cette manière, les juges de la Res publica se sentaient moins coupables lorsqu’ils regardaient le fleuve qui traversait leur capitale, teinté en rouge par le sang de leurs victimes.

Le nouveau grand voleur

Dans ce désordre, un voleur plus doué que les autres s’empara du pouvoir. Comme il avait des principes, il redressa le pays de manière extraordinaire et inespérée. Se sentant insatisfait malgré tout, il se mit à conquérir le continent avec l’aide du cavalier Armée.
En même temps, il en profita pour s’enrichir, ainsi que sa famille et tous ses amis. En quelques années seulement, une nouvelle aristocratie dite d’Empire apparut grâce à la guerre, empire voulant peut-être dire en pire.




On était en quelque sorte revenu au point de départ, avec ce nouveau grand voleur qui s’était approprié d’autres pays. Puis il fut vaincu à son tour, mais ne fut pas décapité. Il termina son existence sanglante en exil. Voilà pourquoi l’on ne dit pas « l’histoire se répète », mais « l’histoire bégaie »…
C’est vers cette période qu’un cinquième cavalier apparut. Tantôt il s’appelait Ecole, tantôt Histoire car il aimait en raconter beaucoup. Son vrai nom, uniquement connu des initiés, était Information. Son rôle était de dire la vérité aux nouveaux voleurs, mais de mentir au peuple.
Et les années passèrent…
Une génération remplaçant l’autre, les jeunes prenaient le relais des anciens. Il y eut des guerres suivies de profonds changements dans le pays, qui fut finalement absorbé par les nations avoisinantes pour former un royaume plus vaste, car il y avait des grands voleurs ailleurs aussi.

Maintenant, ceux-ci prélevaient plus de la moitié des revenus comme impôts, au lieu du dixième des récoltes comme le faisait le premier d’entre eux.
En effet, plus ils prenaient d’argent, plus ils craignaient une nouvelle révolte ; et plus ils avaient besoin de contrôler les gens avec davantage de policiers et de fonctionnaires. La plupart des gens acceptaient de devenir leurs complices contre de l’argent versé au titre de salaire.

Tout cela coûtait très cher. Aucune importance car, de toute manière, c’était le peuple qui payait par l’intermédiaire des impôts. Il y en avait pour tout : directs, indirects, sur le fruit du travail, sur le capital, sur l’héritage transmis aux descendants, et même l’impôt sur l’impôt. Mais les plus riches mettaient leur patrimoine à l’étranger pour y échapper. D’ailleurs, ils étaient souvent informés avant les autres.




Ce que faisaient les cinq cavaliers

Ils restèrent toujours présents : Armée, Religion, Justice, Argent et Information, toujours au service des grands voleurs.
Le cavalier Armée préférait une armée de métier. Ainsi, le peuple ne savait plus comment manier les armes, ni combattre en troupe ordonnée pour protéger ses intérêts, puisque personne ne le lui enseignait.
Le cavalier Religion pensait qu’une illusion de démocratie pouvait remplacer « Dieu » en créant la laïcité : en réalité une religion de plus, celle des personnes qui croient à ce qu’elles disent. Au lieu de croire à ce que d’autres disent…
Le cavalier Justice continua d’écrire des lois. Celles-ci étaient devenues tellement complexes que la plupart des gens, n’y comprenant plus rien, pensaient : Mieux vaut un mauvais arrangement qu’un bon procès.

 La justice.

Le cavalier Argent avait remplacé les anciennes monnaies par des billets de banque, sachant que ceux-ci, au gré de l’inflation, perdent de la valeur. Ce n’est jamais le cas avec l’or en pièces ou en lingots. Aussi, celui-ci restait bien protégé dans les coffres des grands voleurs. Le peuple n’était plus payé en écus d’or et d’argent, mais en papier : lorsque l’on vole quelque chose à quelqu’un, ce n’est pas pour le lui rendre après.




Le cavalier Information, à force de mentir, ne savait même plus où était la vérité. Aussi, par prudence, il traitait de complotistes tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui.

Le secret des secrets

Voltaire d'après une gravure de Baquoy
Un philosophe bien connu… 

Chaque jour, les grands voleurs rendaient grâce à un penseur qu’ils surnommaient Le philosophe des Lanternes. En effet, celui-ci leur avait enseigné le secret des secrets : Un pays bien organisé est celui où le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne. Son nom commençait par le mot « Vol », ce qui leur inspirait une profonde confiance.
Grâce à ce secret, les grands voleurs n’eurent jamais besoin de travailler. Ils vécurent heureux dans de grandes et somptueuses demeures. Ils prirent les plus belles femmes comme épouses, les remplaçant par de plus jeunes quelques années après, sans doute pour respecter l’adage : « Changement d’herbage réjouit les veaux ».
Leur descendance fut vivace. Leurs enfants suivirent leur exemple. Continuant à voler le peuple, ils s’enrichirent au-delà de leurs plus folles espérances. D’ailleurs, qui aurait pu les en empêcher, puisque c’étaient eux qui faisaient les lois…


Jour de libération fiscale appliqué à un billet de 100 euros


Pour 100 euros gagnés, 43 vous restent après paiement de tous les impôts (revenus, TVA, etc). C’est le principe du jour de libération fiscale appliqué à un billet de 100 euros (voir Wikipédia – Jour de libération fiscale et Le Particulier – Jour de libération fiscale ). Dans le même ordre d’idées, sous l’Ancien Régime, au temps des rois de France, les lois de l’église garantissaient 38 jours fériés parmi les jours de repos. De nos jours, il reste seulement 11 jours fériés. Tirez-en les conclusions vous-même, plutôt que d’écouter la télévision vous dire ce que vous devez en penser…

Christian Féron 

Ces villes du monde qui partagent le nom de villes et de régions marocaines

Un homonyme qui prête à sourire mais qui n'est pas si rare que ça. Certaines villes du monde ont en effet le même nom que des communes, des villes ou des régions marocaines. Vous souhaitez savoir à quoi ressemblent le Casablanca chilien et le Rif islandais? 

Rabat-les-Trois-Seigneurs en France :

 charmante petite bourgade d'environ 260 habitants située dans le sud de la France.



rabat


Le vrai nom de la commune est Rabat, mais l'administration française a décidé de l'appeler Rabat-les-Trois-Seigneurs afin de la dissocier de la capitale marocaine, au cas où la différence ne serait déjà pas assez frappante. Il est vrai que voir un touriste arriver à la mairie pour demander la direction de la médina aurait de quoi déstabiliser le plus aguerri des fonctionnaires. De très jolies randonnées sont accessibles au départ de Rabat-les-Trois-Seigneurs en France. Notamment celle qui vous mènera au sommet du col des Trois Seigneurs: il vous faudra passer, pour y arriver, par l'étang bleu et le fameux col de la Couillade.

Ir-Rabat à Malte :


rabat malte


Voici une ville de Rabat située dans un endroit un peu plus ensoleillé. Ir-Rabat est une ville maltaise d'environ 11.000 habitants. Vous avez peut-être déjà aperçu la ville dans les films "Munich" de Steven Spielberg ou encore "L'arme absolue" d'Eric Carson. Son club de foot est le Rabat Ajax Football Club. On attend maintenant avec impatience la confrontation avec le Raja de Casablanca.

Le Rif en Islande :


rif


Situé à l'extrémité ouest de l'Islande, le village de Rif comptait 157 habitants en 2011 selon Wikipédia. Il s'agit d'une commune de la municipalité de Snæfellsbær (ça se prononce comme ça se lit). Vous pourrez séjourner au The Freezer Hotel, ancienne usine de transformation de poisson réhabilitée en établissement hôtelier.


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Quatre Zagora en Europe :

Qui a copié qui ? Si la réponse est perdue dans les annales de l'histoire monténégrine, il n'en demeure pas moins que deux petites localités du Montenegro portent le nom de Zagora. Une des deux communes est située dans les terres, alors que l'autre est en bord de mer. Vous pouvez voir cette dernière dans cette vidéo postée sur Youtube en 2014 qui présente visiblement un terrain à vendre.  
Une troisième village nommé Zagora se trouve en Bosnie-Herzégovine. Une commune fantôme puisque selon le dernier recensement du gouvernement bosniaque, plus aucun habitant ne vit là-bas.
Et un dernier pour la route! Le Zagora grec est situé dans la région de la Thessalie, près du Pélion, où se trouve une petite station de ski. Ifrane n'a qu'a bien se tenir.
zagora

Casablanca(s) en Amérique du Sud ?
Aucun taxi rouge à l'horizon, mais vous êtes bien à Casablanca, en Uruguay. Construit sur les rives du Rio Uruguay, frontière naturelle à l'ouest du pays, le village compte environ 400 habitants.
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Un peu plus imposante, la ville de Casablanca au Chili située dans la province de Valparaiso compte dans les 20.000 habitants. Elle abrite plusieurs cépages qui servent à la production de vins, notamment du Sauvignon blanc et du Chardonnay. Salud!

casa

Se la jouer cowboy à Morocco :

morocco

L'Indiana et ses forêts impressionnantes, ses plaines et ses grands lacs donneraient à n'importe quel amateur de western spaghetti l'envie d'enfiler ses plus belles bottes et de se prendre pour Clint Eastwood. Et de bottes il est toujours question pour expliquer le nom de la ville de Morocco. Dans cette vidéo réalisée par le photographe Med El Bellaj, un historien de la ville explique que le nom a été choisi en 1851, lorsqu'un voyageur de passage qui portait des bottes rouges d'origine marocaine a proposé de donner un nom de la ville. Et il n'est pas allé chercher bien loin puisqu'il a choisi le nom de Morocco.
Deux Safi valent mieux qu'un :

safi

Retour à Malte avec le village de Safi, dans le sud de l'île. L'origine de son nom n'a pas pu être déterminé. Certains historiens pensent qu'il vient de l'air pur (safi) du village. D'autres pensent qu'il vient du fait qu'aucun habitant du village n'a été contaminé par une épidémie qui avait touché tout le pays.
Maróc en Hongrie :

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Le village de Maróc est situé à l'Ouest de la Hongrie. Quasiment aucune information n'est disponible à son sujet sur le net, mais la Google Car y est heureusement allée faire un tour. Ce qui permet de se faire une idée de l'apparence des lieux. Et l'ambiance a tout de même l'air d'être assez sinistre, sans vouloir être mauvaise langue...

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