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ce qu’il reste de la ligne mythique du Hedjaz au Moyen-Orient


Mis en service en 1908 par les Ottomans, le Hedjaz permettait aux pèlerins musulmans de relier Damas à la ville sainte de Médine, 1 300 kilomètres au sud, en quatre jours (contre quarante à dos de chameau). Selon le récit datant de 1908 du voyageur égyptien Muhammad Labib al-Batnouni, les voitures de première classe étaient étroites, avec six sièges séparés par des accoudoirs. La nuit, il fallait donc dormir… assis. C’est pourquoi de nombreux pèlerins préféraient faire le trajet dans les wagons à bagages, où ils pouvaient s’allonger ! Le Hedjaz achemina aussi des soldats vers le sud de l’Empire ottoman, pour étouffer la révolte arabe. Peine perdue. La partie sud du Hedjaz fut le théâtre d’actes de sabotage par des combattants arabes et par le fameux Lawrence d’Arabie. En 1918, la fin de la Première Guerre mondiale et la défaite des Ottomans eurent pour conséquence le démantèlement de l’Empire et la fin du Hedjaz.

En suivant l’itinéraire, on retrouve pourtant quelques traces de la fameuse ligne. Voici les principales.

Syrie
  • Gare du Hedjaz

Au cœur de la vieille ville de Damas, cette gare était le point de départ du Hedjaz. Le bâtiment imposant, à l’architecture mêlant styles ottoman et européen, est hors service depuis des décennies mais reste bien préservé à ce jour.
  • Gare d'Al-Qadam
                                                             

Cette gare fut aussi le plus grand dépôt de trains du Hedjaz. Durant la guerre civile, à partir de 2011, ces entrepôts furent occupés par l’armée syrienne. Beaucoup sont aujourd’hui détruits.
  • Gare de Dera'a
Cette gare était un hub important, où passaient deux voies secondaires du Hedjaz. L’une d’elles, en service de 1914 à 1967, bifurquait vers Haïfa, à l’ouest. Elle permettait aux Ottomans de rallier la côte méditerranéenne sans devoir emprunter la coûteuse ligne française reliant Damas à Beyrouth. L’autre branche menait vers l’est, jusqu’à la ville syrienne de Bosra. Dans les années 1980 et 1990, de nombreux touristes l’empruntaient pour aller admirer le spectaculaire théâtre romain du IIe siècle de cette cité.

Jordanie

  • Gare d'Amman

Jadis petit village, la ville d’Amman a connu un essor au début du XXe siècle, en partie grâce au passage du Hedjaz et à l’importante station qui y fut construite. Cette gare assurait une liaison avec Damas jusqu’en 2011. Aujourd’hui restaurée, elle abrite un musée, et offre, au printemps, un trajet aux touristes à bord d’un train, sur une portion historique du Hedjaz, jusqu’à la gare d’Al-Jiza. Des projets sont à l’étude pour relancer le trafic ferroviaire.


Dans le désert du Wadi Rum, on organise pour les touristes des reconstitutions d’attaques par les Bédouins du fameux train, comme à l’époque de Lawrence d’Arabie.
Ma'An
Cette ancienne oasis était une étape importante pour les caravanes de pèlerins en route vers Médine et La Mecque. Une grande gare, aujourd’hui rénovée, y fut construite. En 1918, durant une grande bataille, des troupes arabes détruisirent une partie de la voie.
Batn Al-Ghul


C’est à cet endroit que la voie ferrée est aujourd’hui comme avalée par le désert : les rails, jusqu’ici encore largement présents, disparaissent.

Arabie Saoudite

Gare d'Halat Ammar

Cette gare fut le théâtre d’une attaque spectaculaire menée par Lawrence d’Arabie en 1917. Après avoir dissimulé des explosifs sur les rails, l’officier britannique et ses combattants arabes se cachèrent derrière une dune. Une fois le train déraillé, ils ouvrirent le feu, abattant les soldats ottomans qui tentaient de s’en extirper. Lawrence d’Arabie fut accusé d’avoir exagéré son rôle dans ces attaques contre les Ottomans, mais en 2016, des archéologues ont retrouvé ici une balle d’un pistolet Colt, une arme qu’en effet il utilisait, corroborant ainsi son implication dans ces affrontements.

Tabuk

L’ancienne gare, bien préservée, a été transformée en un petit musée, qui retrace l’histoire militaire et religieuse du Hedjaz, dont le dernier train a circulé en Arabie saoudite en 1925.


Tunnel Al-Akhdar

C’est le plus long tunnel du Hedjaz (100 m). Un exploit technique, à l’époque, dans une région montagneuse reculée, qui a permis d’éviter un long détour pour relier Tabuk à Médine. Jamais rénové, le tunnel est toujours en bon état aujourd’hui, un siècle après son percement.

Mada'In Saleh

Proche du site nabatéen d’Hégra, l’ancienne gare, un temps utilisée comme musée du Hedjaz, est devenue un hôtel de luxe.

Hadiya

Important poste défensif, les Ottomans postèrent ici une garnison de plus de 800 soldats durant la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui, ne reste que quelques bâtisses en pierre et une vieille locomotive rouillée, couchée dans le sable.

Terminus de Médine

Chef d’œuvre d’architecture, le terminus du Hedjaz a été converti en musée en 2006. Mais ses portes sont fermées au public depuis deux ans. Aucune date de réouverture n’a été annoncée à ce jour.



Pourquoi les oiseaux ne se font-ils pas électrocuter sur les lignes à haute tension ?


Bien que les lignes électriques représentent un danger potentiel, les oiseaux perchés sur une seule ligne électrique ne sont généralement pas électrocutés. Cette situation peut être expliquée par plusieurs facteurs techniques et biologiques.
En premier lieu, pour qu’un électrocution se produise, il faut qu’il y ait un circuit électrique complet. En d’autres termes, il doit y avoir un chemin conducteur entre la ligne sous tension et le sol. Les oiseaux perchés sur une seule ligne ne forment pas ce circuit, car ils ne sont pas en contact direct avec le sol ou une autre source de mise à la terre. Ils ne créent donc pas de chemin pour que l’électricité circule à travers eux.
Les oiseaux peuvent également éviter les électrocutions en évitant de toucher deux fils différents en même temps. Si un oiseau se posait sur deux fils distincts, il pourrait compléter un circuit, ce qui entraînerait une électrocution. Cependant, les oiseaux évitent généralement de se percher de cette manière. De plus, les lignes électriques sont conçues pour minimiser ce risque en maintenant une distance suffisante entre les fils pour empêcher le contact accidentel.


Enfin, elles sont souvent isolées par des dispositifs conçus pour prévenir les contacts accidentels. Plus précisément, des isolateurs et autres équipements sont installés pour maintenir les fils à une distance sûre des poteaux et des autres structures, réduisant ainsi les risques de contact pour les animaux.

Quand les oiseaux sont-ils en danger ?
Malgré ces mécanismes de protection, les oiseaux ne sont pas complètement à l’abri des dangers liés aux lignes électriques. Environ 0,9 à 11,6 millions d’entre eux sont tués par électrocution chaque année aux États-Unis, selon une étude de 2014. Les oiseaux de grande taille, comme les rapaces, sont particulièrement vulnérables. Leur taille augmente en effet la probabilité qu’ils touchent à la fois un fil et une source de mise à la terre, ou qu’ils établissent un contact entre deux fils.

Sahara : entre manœuvres stériles d’Alger et stratégie visionnaire de Rabat

 

Les manœuvres du régime militaire algérien concernant la question du Sahara marocain, ont été dénoncées par le professeur de droit public à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat, Abbas El Ouardi. Dans une analyse à Hespress FR, El Ouardi, par ailleurs directeur général du Journal Africain des Sciences Politiques, met en lumière la fragilité de la position algérienne face à la dynamique diplomatique marocaine.
Selon El Ouardi, le régime militaire algérien s’ingère dans une mission qui excède sa légitimité internationale, notamment à travers le polisario, qu’il qualifie d’« entité illégitime et espace illicite » opérant depuis les camps de Tindouf. Cette ingérence, loin d’être anodine, vise à semer la discorde et le mécontentement entre le Maroc et l’Algérie.
L’universitaire identifie trois axes majeurs dans cette confrontation. Premièrement, il s’agit d’une tentative délibérée du régime algérien de créer un climat de tension bilatérale. Deuxièmement, cette attitude est une manifestation directe du profond mécontentement d’Alger face aux succès retentissants de la monarchie marocaine. La reconnaissance croissante de la marocanité du Sahara par de nombreux pays, couplée à l’expansion de la présence diplomatique marocaine en Afrique, en Amérique latine et en Europe du Nord, met en échec les narratifs algériens.
L’Algérie, estime-t-il, bafoue ainsi les principes fondamentaux de fraternité et de bon voisinage, régissant les relations internationales.
Le troisième point crucial évoqué par Abbas El Ouardi est l’aboutissement imminent de la proposition marocaine d’autonomie du Sahara sous souveraineté marocaine, présentée en 2007. Cette initiative a bénéficié d’une reconnaissance internationale élargie, se traduisant par une rapidité de réponse des diplomaties étrangères, notamment la France, les États-Unis, les pays du Golfe et les nations africaines. Parallèlement, le Maroc a concrétisé cette vision par l’exécution de vastes projets de développement et l’ouverture de représentations diplomatiques à Dakhla et Laâyoune.
Ces avancées sont renforcées par un afflux continu d’investisseurs étrangers désireux de créer des pôles d’attractivité économique dans le Sahara marocain. Ce modèle de développement intégré effraie le régime militaire algérien, qui peine à accepter son échec patent. Les allégations et les mensonges d’Alger, autrefois outils de propagande, sont désormais discrédités sur la scène internationale, qui reconnaît l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.
Abbas El Ouardi conclut en affirmant que les « frappes » menées par l’État algérien via le Polisario sont et resteront contrées par les forces militaires marocaines, garantes de la souveraineté nationale. L’obstination militaire algérienne est vouée à l’échec, car la communauté internationale est désormais pleinement consciente des réalités du dossier.
À l’approche du cinquantième anniversaire de la Marche Verte, le Maroc pourrait à célébrer la résolution définitive de ce conflit, fruit de la gestion stratégique du Roi. Les décisions du Conseil de Sécurité et les reconnaissances internationales convergent vers une issue favorable, confirmant la justesse de la position marocaine. Le Maroc, uni et résolu, poursuit son développement humain durable, ancré dans l’intégrité territoriale de son Sahara. Le peuple marocain, fidèle à sa monarchie, soutient pleinement cette vision qui assure l’avenir et la prospérité de la nation.

Les 5 requins les plus meurtriers des océans du monde

Chaque année, entre 70 et 100 attaques de requins sont signalées dans le monde entier. 
Voici une liste des cinq types de requins les plus dangereux au monde. 
  • Le grand requin blanc
    Il est le plus mortel de sa catégorie. Il atteint plus de 6 mètres de long et sa force de morsure peut atteindre 3324 kg.

  • Le requin-tigre. C'est un prédateur infâme, dont les dents acérées sont parfaites pour couper les os. 
  • Le requin taureau. Ce requin peut mesurer jusqu'à deux mètres de long, les femelles atteignant onze mètres. Sa force de morsure atteint une force stupéfiante de 612 kg.
  • Le requin océanique à pointe blanche. Il est réputé pour leur audace, il faut donc s'en méfier. Ils ont été associés à de nombreuses attaques sur des survivants de naufrages. 5. Les requins à pointe noire. Ces requins sont responsables de 16% des morsures de requins en Floride et sont souvent observés par les surfeurs.

Sahara : L'ancien président sud-africain Jacob Zuma réitère son soutien au Maroc

 

En visite officielle au Maroc, l’ancien président sud-africain Jacob Zuma s’est entretenu ce mardi 15 juillet avec le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita.
À l’issue de la rencontre, un haut cadre du parti sud-africain uMkhonto weSizwe (MK), qui accompagne l’ancien président, a exprimé le soutien de sa formation à la souveraineté du Maroc sur le Sahara, soulignant que la position du Royaume repose sur des fondements « historiques et juridiques » et s’inscrit dans la vision du MK pour l’unité des États africains.

Séisme de 5,5 au large de l’Espagne : Secousses ressenties dans plusieurs villes du nord du Maroc

 

Nacer Jabour, directeur de l’Institut national de géophysique, a révélé qu’un séisme d’une magnitude de 5,5 sur l’échelle de Richter a frappé l’ouest de la mer Méditerranée, provoquant des secousses ressenties dans plusieurs villes du nord du Maroc.
Jabour a précisé que les villes où les habitants ont perçu les secousses de ce tremblement de terre, enregistré au large des côtes méridionales espagnoles, sont : Saïdia, Nador, Zaïo, Al Hoceïma, ainsi que certaines zones relevant de Tétouan et Tanger, en plus d’autres agglomérations côtières.
Le directeur de l’Institut national de géophysique a qualifié l’intensité de ce séisme de « moyenne », soulignant que la région des côtes d’Almería est connue pour ce type d’activité sismique, qui se concentrait auparavant principalement du côté marocain. Cette fois, a-t-il relevé, la situation s’est inversée.
Jabour a également indiqué que le tremblement de terre a été ressenti non seulement dans des villes marocaines mais aussi en Algérie, avec une intensité plus forte dans les villes côtières du sud de l’Espagne.
Selon les données de l’Institut géographique national espagnol (IGN), le séisme d’une magnitude de 5,5 a frappé dans la matinée de ce lundi plusieurs dizaines de villes et localités espagnoles, provoquant des secousses ressenties jusque dans des zones touristiques prisées, notamment au large des côtes de la ville d’Almería.
La secousse tellurique a été enregistrée aux alentours de 7 heures du matin, heure locale, et ses effets ont été ressentis dans près de 50 zones différentes, parmi lesquelles des destinations touristiques fréquentées par les vacanciers et les visiteurs étrangers durant la période estivale.
L’institut espagnol a précisé que l’épicentre du séisme se situait à une profondeur qui reste encore à déterminer avec exactitude, ajoutant que des centaines de résidents ont signalé avoir ressenti les vibrations depuis leur domicile. Aucun dégât matériel important ni aucune victime n’ont été signalés jusqu’à présent.
Les autorités espagnoles ont appelé la population locale et les touristes à garder leur calme, assurant que la situation est sous contrôle. Elles ont également précisé que les équipes de surveillance poursuivent leur travail afin de détecter d’éventuelles répliques.
Il convient de rappeler que l’Espagne n’est généralement pas sujette à des séismes d’une grande intensité, contrairement aux pays situés sur des failles tectoniques actives. Cependant, certaines régions du sud et de l’est de son territoire enregistrent périodiquement une activité sismique notable.

La mort de Joseph Staline

 


Considéré comme l’un des dictateurs les plus sanguinaires du XXe siècle, il a dirigé l’URSS d’une main de fer.
Le 5 mars 1953 marque la fin du terrible règne de Joseph Vissarionovitch Djougachvili, mieux connu sous le nom de Staline, « l’homme d’acier ». Considéré comme l’un des dictateurs les plus sanguinaires du XXe siècle, il dirigea l’URSS d’une main de fer à partir de la fin des années 1920. Son bilan est paradoxal : s’il laisse derrière lui un pays plus ou moins industrialisé et auréolé de sa victoire contre le nazisme, l’Union soviétique est également exsangue, marquée par des purges sanglantes, des famines orchestrées et un culte de la personnalité d’une ampleur inédite. Sa mort, entourée de circonstances troubles, déclenche une lutte de pouvoir féroce et s’accompagne d’un deuil national soigneusement mis en scène par la propagande soviétique et communiste à l’échelle mondiale.
  • L’agonie de Staline, un décès suspect
Le 1er mars 1953, Staline est retrouvé gisant sur le sol de sa datcha (résidence secondaire, en russe) de Kountsevo, victime d’une attaque cérébrale. Depuis la veille, il n’avait donné aucun signe de vie, mais ses gardes, terrorisés, n’avaient pas osé entrer dans sa chambre sans autorisation. Lorsqu’ils se résolvent enfin à intervenir, ils découvrent alors un Staline paralysé, souillé d’urine et incapable de parler. Pendant plusieurs heures, les hauts responsables du régime, Béria, Malenkov, Khrouchtchev et Molotov, tergiversent avant de se décider à lui prodiguer quelques soins rudimentaires sans pourtant appeler le moindre médecin. Ainsi, pendant quatre jours, Staline agonise lentement sans que rien n’empêche son trépas. Il est alors victime d’hémorragies cérébrales répétées et meurt, finalement, le 5 mars à 6 heures du matin. Son décès est officiellement attribué à une crise cardiaque, mais des doutes subsistent sur un possible empoisonnement orchestré par ses proches, lassés de sa paranoïa et de son règne de terreur. En effet, certains suggèrent que Lavrenti Béria, chef du NKVD, se sachant menacé de mort par Staline, aurait sciemment retardé l’arrivée des médecins, espérant ainsi que rien n’empêche la mort de l’homme d’acier.
  • Le poids des morts sur la conscience de Staline
En disparaissant, Staline n’efface pas les traces de ses crimes et laisse derrière lui un bilan humain effroyable. Dès le début des années 1930, sa politique de collectivisation forcée provoque des famines dévastatrices, notamment en Ukraine, où l’Holodomor entraîne la mort de près de six millions de personnes, selon l’historien Stéphane Courtois. Cette tragédie, loin d’être un simple accident, résulte d’une volonté délibérée d’anéantir la paysannerie réfractaire et d’asservir les populations sous le joug soviétique.
Quelques années plus tard, entre 1936 et 1938, la Grande Terreur s’abat sur l’URSS, plongeant le pays dans une paranoïa sanglante. Près de 700.000 personnes, accusées d’être des ennemis du peuple, sont exécutées sur ordre du régime. Hommes politiques, officiers de l’Armée rouge, intellectuels ou simples citoyens, nul n’est épargné. Ceux qui échappent à la mort immédiate ne sont pas pour autant sauvés : une multitude d’entre eux sont déportés dans le système concentrationnaire du goulag, un archipel de souffrances où des millions de prisonniers subissent le travail forcé, la faim et le froid, souvent jusqu’à l’agonie.
La Seconde Guerre mondiale, que Staline engage d’abord par un pacte cynique en 1939 avec Hitler, avant d’être pris de court par l’opération Barbarossa, accentue encore le martyre du peuple soviétique. L’absence de préparation, le manque criant d’officiers compétents, dont nombre ont été purgés et envoyés au goulag, ainsi que l’aveuglement idéologique du régime coûtent indirectement la vie à près de 26,6 millions de soldats et civils soviétiques. Sur le front, les soldats sont jetés dans des combats suicidaires, pris entre les balles allemandes et la menace des commissaires politiques, prêts à exécuter quiconque recule.
Cependant, le total exact des victimes directes du stalinisme est difficile à établir, mais les historiens estiment qu’il dépasse bien les 20 millions de morts, sans compter les dizaines de millions d’autres malheureux qui ont subi l’oppression et la misère. Ce bilan sinistre place ainsi Staline aux côtés de Mao Tsé-toung et Adolf Hitler parmi les criminels les plus meurtriers du XXe siècle.
  • Le deuil et la propagande mondiale
Cependant, à l'annonce de la mort du tyran, malgré cette réalité accablante, la machine de propagande communiste s’active immédiatement pour glorifier la mémoire de Staline. En URSS, des millions de Soviétiques sont contraints de défiler en pleurant devant sa dépouille exposée au mausolée de Lénine, tandis que d’autres, en privé et en secret, fêtent la mort du tyran et osent espérer la fin de la terreur.
En France, le journal communiste L’Humanité publie une première de couverture dithyrambique, le 6 mars 1953 : « Deuil pour tous les peuples qui expriment dans le recueillement leur immense amour pour le grand Staline ». Se poursuit, ensuite, une liste de discours, plus larmoyants les uns que les autres, comme celui du secrétaire général du PCF, Jacques Duclos, louant Staline, l’homme du pacte germano-soviétique de 1939, comme « le plus grand défenseur de la paix » et le décrivant comme « le plus grand homme de ce temps ». Ainsi, à lire L’Humanité, on pouvait croire, si le communisme était une religion, que le monde socialiste et ouvrier pleurait la disparition de leur dieu de gloire, mort drapé du rouge du socialisme. Il s’agissait plutôt de la pourpre du sang de ses innombrables victimes.

Les exécutions brutales de civils allemands après la Seconde Guerre mondiale


Quand la guerre fut terminée, des milliers de personnes se retrouvèrent piégées dans des lieux où plus personne ne voulait d'elles. Certains y avaient vécu toute leur vie, d'autres étaient arrivés sur ordre du Reich, mais cela n'avait plus d'importance. Dès la chute du commandement allemand, les expulsions commencèrent. On emmenait les gens sans poser de questions, certains étaient montés dans des camions et d'autres étaient laissés à même le sol devant leurs maisons. Dans de nombreuses zones, les premiers corps apparurent au bord des voies ferrées, dans des cours fermées ou enterrés près de fermes vides. Les gares cessèrent de transporter des passagers et se remplirent de détenus. Les écoles fermèrent un temps puis rouvrirent avec des grilles. Certains furent enfermés sans nourriture, d'autres n'arrivèrent vivants nulle part. Les listes circulaient sans tampons ni signatures. Les maisons changeaient de propriétaire en silence. Les noms disparaissaient des registres comme s'ils n'avaient jamais existé. Il n'y eut ni jugement, ni ordre, ni numéro écrit. Seules des rues vides, de nouvelles portes et des recensements sans trace. Comment fut-il possible que tant de personnes sans défense soient tuées, juste pour avoir parlé une langue ou porté le mauvais nom de famille ?

Qu'adviendrait-il de nos corps si nous mourions dans l'espace ?

  • Il ne s'agit plus d'un film de science-fiction, mais d'une réalité de plus en plus envisageable et toute proche. Les voyages dans l'espace, grâce à des entreprises privées comme SpaceX ou Blue Origin, deviennent déjà une possibilité de plus en plus réaliste pour les générations actuelles et futures.
  • C'est pourquoi il est essentiel de commencer à réfléchir non seulement à ce que sera la vie dans l'espace, mais aussi aux implications de la mort pour le corps humain dans un environnement si différent de la Terre.
  • Comme l'explique dans un article écrit pour la BBC Tim Thompson, professeur d'anthropologie biologique appliquée à l'université de Teesside, en Angleterre, après la mort, sur Terre, le corps humain passe par une série d'étapes qui le conduisent vers la décomposition.
  • Après la mort, le corps subit plusieurs changements, notamment l'arrêt de la circulation sanguine et la « rigor mortis », c'est-à-dire la rigidité musculaire du corps, causée par l'accumulation de calcium.
  • Ensuite, le processus de décomposition des tissus par les enzymes et les bactéries intestinales commence à se répandre dans l'organisme. À ce stade, les gaz produits par les bactéries font gonfler le corps lors de la putréfaction, un processus accéléré par la présence d'oxygène.
  • Ce qui a été observé jusqu'à présent, c'est ce qu'il advient d'un corps en cas de décès sur Terre. Dans l'espace, en revanche, plusieurs facteurs doivent être pris en compte, comme les températures extrêmes ou l'absence de gravité.
  • Dans l'espace, les températures peuvent varier de très chaudes à glaciales, affectant la décomposition, la ralentissant ou figeant le corps.
  • En présence de gravité ailleurs que sur Terre, la phase de lividité ou livor mortis (lorsque le sang s'accumule parce qu'il n'est plus pompé par le cœur) est modifiée. Dans le cas d'une absence totale de gravité, le sang ne pourrait pas s'accumuler.
  • En ce qui concerne les os, il faut savoir que, dans un corps vivant, ils contiennent des matières organiques, comme les vaisseaux sanguins et le collagène, et des matières inorganiques. En cas de décès, les matières organiques se décomposent, tandis que les matières inorganiques restent intactes. Dans les sols très acides, que l'on pourrait trouver sur d'autres planètes, c'est le contraire qui pourrait se produire : selon Thompson, la composante inorganique disparaîtrait, ne laissant que les tissus mous.
  • Pour comprendre le processus de décomposition dans des contextes extraterrestres, il est essentiel de préciser les conditions spécifiques dans lesquelles la mort survient. Par exemple, à l'intérieur d'une combinaison spatiale, la rigidité cadavérique se produirait. Cependant, la disponibilité limitée d'oxygène ralentirait la propagation des bactéries responsables de la décomposition des tissus.
  • Alors que l'exploration de Mars semble toute proche, il est facile d'imaginer ce qu'il adviendrait de notre corps si nous mourions sur la planète rouge.
  • Selon Thompson, les conditions arides et désertiques qui règnent sur Mars peuvent dessécher les tissus inertes du corps et « les sédiments transportés par le vent pourraient éroder et endommager le squelette de la même manière que sur Terre ».
  • Si nous nous trouvions sur la Lune, il faudrait également tenir compte des températures extrêmes. Sur notre satellite, elles varient entre 120ºC et -170ºC. « Là, les corps pourraient montrer des signes de changements induits par la chaleur ou la congélation », indique Thompson dans son article.
  • Selon cette déclaration, mourir dans l'espace déclenchera donc des processus très différents en fonction des conditions extérieures.
  • En outre, comme l'a suggéré Thompson, lorsque nous mourrons dans l'espace, nos corps seront « extraterrestres », c'est pourquoi nous devrions également commencer à réfléchir à des pratiques funéraires différentes.
  • La crémation devrait probablement être exclue, en raison de la consommation élevée d'énergie, ou même l'inhumation traditionnelle, compte tenu de l'environnement éventuellement hostile caractérisé par un sol difficile à creuser.

Top 10 des plus vieilles villes du monde

  • Damas, Syrie

La capitale actuelle de la Syrie a une longue histoire qui remonte à près de 12 000 ans. Damas a été la cible privilégiée de nombreux rois et conquérant. Cette ville a connu de nombreuses civilisations. Les Assyriens, Perses, Grecs, Séleucides, Romains et Arabes ont peuplé Damas, qui compte aujourd’hui 4 millions d’habitants dans son agglomération. Depuis 1979, la ville est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
  • Jéricho, Cisjordanie

On a retrouvé des pierres datant de près de 9 000 ans. Des fouilles archéologiques ont mis en évidence des traces d’habitations qui sont encore plus anciennes : 11 000 ans. Situé en Cisjordanie, actuellement, Jéricho est aussi la ville la plus basse du monde. Son altitude avoisine les – 240. Aujourd’hui, la commune compte environ 27 000 habitants.
  • Suse, Iran

Suse date de 8000 avant-J-C. La cité s’est fait connaître grâce aux civilisations élamites, persanes, ou encore grecques. C’est dans cette commune que le Code d’Hammourabi (une stèle babylonienne de 2,25 mètres de haut, datant d’environ 1750 av. J.-C.) a été découvert. Aujourd’hui, c’est la petite ville iranienne de Shush qui a pris le relais. Elle compte 60 000 habitants.
  • Plovdiv, Bulgarie

Plovdiv a eu beaucoup de noms. D’abord appelée Eumolpias, elle devient Philippoupolis quand elle est conquise par Philippe II de Macédoine, en 342 avant J-C. Les siècles passent et Philippoupolis devient Trimontium, puis Philippoupolis, à nouveau. Après, elle se nommera Paldin, Filibe et enfin Plovdiv. Actuellement, la ville compte environ 580 000 habitants. La deuxième plus grande ville Bulgarie est habitée depuis près de 9 000 ans.
  • Jerusalem, Israël

« Au cours de son histoire, Jérusalem aurait été détruite deux fois, assiégée 23 fois, 52 fois attaquée et capturée et reprise 44 fois. » C’est ce que disent les manuels d’histoire. Mais ces chiffres ne sont pas vérifiables. Dans cette ville qui compte aujourd’hui 747 600 habitants, des fragments de céramiques ont été retrouvés de la période Chalcolithique, soit en 3 500 av. J.C.
  • Tyr, Liban

Tyr était une véritable merveille dans le monde antique. La ville a réussi à déjouer tous les sièges jusqu’à Alexandre Le Grand. Dans la quatrième plus grande agglomération du Liban, on peut retrouver des signes d’habitations qui remontent à près de 6000 ans.
  • Athènes, Grèce

La capitale de la Grèce a été habitée depuis environ 3 400 ans. La ville a connu des hauts et des bas et n’a pas toujours eu l’importance qu’elle a retrouvé aujourd’hui. En effet, après son âge d’or et durant de nombreux siècles, elle perdu de son aura au point de devenir une ville parmi tant d’autres. Ce n’est qu’à partir du XIXème siècle, lorsqu’elle devient la capitale de la Grèce et ensuite grâce aux J-O, qu’elle retrouvera sa place au sommet de l’Olympe.
  • Lisbonne, Portugal

Depuis toujours, Lisbonne est un endroit militaire et commercial idéal grâce à son port. Les archéologues ont retrouvé des objets phéniciens datant de 1200 avant J-C. Comme pire année, on pourrait retenir celle de 1755, lorsque l’un des séismes les plus destructeurs, accompagné d’un tsunami massif et des feux de forêt, rasa une bonne partie de Lisbonne et tua des dizaines de milliers d’habitants.
  • Varanasi, Inde

Anciennement connue comme Bénarès, Varanasi est un centre religieux et culturel depuis au moins 3000 ans. Plus d’un million de pèlerins hindous des quatre coins du monde se rendent à Varanasi chaque année pour participer à des cérémonies et nager dans le fleuve sacré du Gange.
  • Rome, Italie

Les premiers habitants de Rome datent du VIIIe siècle avant J-C. Elle est surtout connue comme le centre de l’Empire romain, qui a dominé l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient.

Top 10 des Pays et Villes les Plus Sales en 2025


Découvrez les 10 pays et villes les plus sales et pollués en 2025 ! Vous ne croirez pas à quel point certaines régions du monde sont devenues invivables à cause de la pollution et du manque d’hygiène. Air irrespirable, déchets partout, rivières toxiques... Ces endroits battent des records de pollution !

Pop-Corn

Le pop-corn peut être un en-cas sain s'il est consommé correctement.
  •  Riche en fibres, le pop-corn facilite la digestion et procure un sentiment de satiété. 
  • Il est également peu calorique lorsqu'il est préparé sans excès de graisse et de sucre, ce qui en fait un choix idéal pour ceux qui souhaitent contrôler leur poids. 
  • Le pop-corn contient également des antioxydants tels que les polyphénols, qui combattent les radicaux libres et contribuent à réduire le risque de maladies chroniques. 
  • Il est une source de plusieurs vitamines et minéraux essentiels, tels que la vitamine B, le fer et le magnésium. 
  • Ne contenant pas de gluten, il constitue une alternative sûre pour les personnes souffrant d'intolérance au gluten ou de maladie cœliaque.

  • Pour profiter au maximum de ses bienfaits, préparez le pop-corn à la maison avec peu ou pas d'huile, de beurre ou de sucre

Les 5 meilleures vitamines pour votre peau


Il est important pour chacun d'entre nous d'avoir une peau nette, mais il peut parfois s'avérer difficile de se débarrasser de ces boutons tenaces. Bien qu'il existe de nombreux produits pour la peau, il est essentiel de s'assurer que vous consommez les bonnes vitamines. 
  • La vitamine C est souvent considérée comme la vitamine la plus importante pour une peau nette. On la trouve couramment dans les agrumes et dans divers produits de soin de la peau. 
  • Elle est suivie de près par la vitamine E, un élément diététique essentiel que l'on trouve dans de nombreux produits, ainsi que dans le poisson et les légumes. 

  • La vitamine A, que l'on trouve dans les œufs et les pommes de terre, aide toutes les couches de la peau en agissant comme un antioxydant contre l'exposition au soleil. 

  • Lorsque votre peau est exposée au soleil, elle produit de la vitamine D, qui aide à créer des cellules saines, y compris les cellules de la peau, et que l'on trouve également dans les produits laitiers. 

  • La consommation de chou et de laitue apporte de la vitamine K, qui aide à réduire les vergetures, les taches sombres, les cicatrices et les cernes sous les yeux.