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Tragopan de Cabot.


Le Tragopan de Cabot (Tragopan caboti) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Phasianidae. Il doit son nom à Samuel Cabot, Jr., ornithologue américain.
La bavette déployée est de forme plutôt rectangulaire allongée avec la bordure dentelée et liserée de jaune clair. Le pourtour est bleu turquoise décoré de gros motifs rouge-carmin en escalier avec au centre un fuseau orangé à points bleus. Les cornes mesurent 8 cm de haut.
Cet oiseau peuple le Sud-est de la Chine (Kouangsi, sud du Hounan, sud du Kiangsi, nord du Kouantong, Foukien, Tchokiang).
Il est inféodé aux forêts de feuillus persistants et mixtes de conifères et de décidus entre 800 et 1 400 m mais il semble étroitement associé à la présence de l’arbre Daphniphyllum macropodum.
il marque une préférence alimentaire pour les feuilles de Daphniphyllum macropodum en hiver et au début du printemps et pour les fruits en automne.
Il visite en hiver des zones riches en glands des genres Lithocarpus et Cyclobalanopsis et en graines de Schima superba..
Les mâles restent avec les femelles en début de saison de reproduction puis s’isolent pour se nourrir seuls ou en groupes de mâles ou même s’accoupler avec d’autres femelles ayant pénétré sur leur territoire.
En parade latérale, le mâle se tient très droit, les plumets auriculaires orangés légèrement gonflé et laissant apparaître le bout des cornes non érigées. Les plumes des cuisses, également gonflées, donnent l’impression qu’il porte une sorte de culotte. La bavette n’est pas encore étalée mais laisse déjà apparaître la brillante bordure bleu turquoise marquée de rose framboise. Après ces préliminaires, il secoue frénétiquement la tête jusqu’à ce que ses cornes s’érigent et que sa bavette multicolore s’étende en émettant une série de tchi-tchi-tchi…aigus et obstinés. Soudain, pour paraître plus impressionnant, il se soulève de tout son corps en allongeant le cou et en s’étirant sur ses pattes tout en rentrant la tête en dedans, ce qui plaque la bavette contre la poitrine tout en lançant un long et puissant tchiiiiiiiiiiii. Cette dernière phase, l’apogée de la parade, ne dure que quelques secondes.
Les nids sont souvent construits entre quatre et sept mètres du sol, dans des pins et des cryptomérias, généralement en lisière forestière. La femelle pond de 3 à 5 œufs et s’occupe seule de l’élevage des jeunes.
Bien que le tragopan de Cabot bénéficiait de l’une des plus importantes réserves naturelles en Chine (Guangdong, 5000 hectares), il se raréfiait un peu partout en raison de la déforestation.

11 bruits étranges de l'organisme.

  • L'éternuement.


    Atchoum ! L'éternuement est un bruit de l'organisme parmi les plus cocasses, souvent incontrôlé, dont le son et l'intensité varient selon les individus. En réalité, lorsque l'on éternue, on expire de l'air par le nez et par la bouche, à une vitesse qui peut atteindre les 200 km/h. Mais pour quelles raisons nos muscles expirateurs (diaphragme et muscles intercostaux en tête) se mettent-ils à expulser de l'air hors de notre corps à une si grande vitesse ? Et bien parce qu'un intrus essaye de se glisser dans notre organisme via notre nez ! En effet lorsqu'un élément indésirable et irritant (poussière, grain de poivre, pollen, etc.) se glisse dans nos narines, il est stoppé par les muqueuses de notre nez. Et pour évacuer l'intrus hors de notre corps, le cerveau lui ordonne d'éternuer pour faire un coup de balai !
  • Le ronflement.

Le ronflement, quel exemple parfait d'un bruit involontaire mais très bruyant... et qui est à l'origine de maintes disputes de couples ! Le mécanisme du ronflement est en fait assez simple : lorsque l'on respire, l'air passe par notre nez et notre bouche puis dans la gorge pour arriver aux poumons. Mais quand on dort, les muscles et les muqueuses situées dans la gorge se détendent, et l'air qui passe dans notre organisme fait vibrer la langue, le voile du palais, les amygdales, etc.
Ces vibrations peuvent être tellement sonores et intenses qu'elles réveillent parfois même le dormeur (en plus de son conjoint !). Le ronflement peut être aggravé par un surpoids, la prise d'alcool ou de médicaments avant le sommeil, et le fait de dormir sur le dos.

  • Les acouphènes.

Pour bien comprendre ce qu'est un acouphène, il peut être intéressant de se pencher sur l'étymologie de ce mot. En effet, le terme « acouphène » nous vient du grec, et a été formé en juxtaposant les verbes « paraître » et « entendre ». Eh oui : quand on a un acouphène, on a l'impression d'entendre quelque chose !

Il peut s'agir d'un sifflement, d'un bourdonnement, d'un tintement, que l'on perçoit soit dans une oreille, soit dans les deux, voire à l'arrière du crâne. Même si en réalité, ce son ne provient de nulle part, et n'existe pas.
Dans l'écrasante majorité des cas, les acouphènes sont dits subjectifs : ils ne se manifestent que chez la personne qui en est atteinte. Même si les acouphènes sont souvent plus pénibles que graves, cette nuisance est difficile à appréhender, et donc à traiter.

  • La respiration sifflante.

Inspirer et expirer sont des gestes que nous faisons tous au quotidien sans nous en apercevoir. Mais quand notre respiration devient sifflante, c'est qu'il y a un problème quelque part...
Le sifflement lors la respiration (qui survient souvent lors de l'expiration) est le signe d'un dysfonctionnement au sein de notre organisme ; l'air qui est censé circuler normalement et sans problème dans le nez, le pharynx, le larynx la trachée et les bronches, a du mal à passer, en raison d'un rétrécissement au niveau de ces 5 voies. Et comme l'air circule moins bien, on est obligé de forcer un peu notre respiration dans des voies respiratoires obstruées, ce qui crée des sifflements.

  • Les articulations qui craquent.



Faire craquer ses doigts, c'est un petit « jeu » que l'on a tous essayé de faire au moins une fois dans sa vie. Et si le petit bruit de craquement nous amuse quand on le fait volontairement, on rigole moins quand avec l'âge, nos articulations se mettent à craquer d'elles-mêmes !
Mais puisqu'on ne se casse absolument rien quand on se fait craquer les doigts, d'où provient le « crac » ? Eh bien contre toute attente, ce bruit provient... d'un gaz ! Quand on fait craquer une articulation, un creux se crée entre les deux parties de l'articulation. Un gaz vient alors y prendre place, avant d'être expulsé lorsque les deux parties se remettent en place. D'où le bruit !
  • Le ventre qui gargouille.

Le gargouillis du ventre répertorie des bruits parfois gênants que l’on entend à peu près tous les jours, en général vers midi. Normal : à midi, on a faim, et quand on a le ventre qui gargouille, c'est que notre organisme se prépare à manger et à digérer les aliments.
Eh oui, les bruits de gargouillis sont en réalité la somme de deux activités parallèles qui ont lieu parce que notre tube digestif se prépare à travailler. D'une part, l'estomac qui produit un acide pour faciliter la digestion des aliments, et d'autre part, les muscles situés sur les parois de notre intestin qui se contractent pour acheminer la nourriture digérée en direction du côlon. Et tout ça, ça fait du bruit. Alors quand notre estomac ne contient que de l'air, forcément, le bruit est amplifié !
  • La flatulence.

Qu'on le dénomme pet, vent, flatulence ou gaz, c'est un bruit toujours gênant quand notre organisme l'émet en public ! Mais il s'explique assez facilement : quand on ingère des aliments, l'estomac produit un acide pour les réduire en bouillie et les digérer plus facilement.
Or, certains aliments contiennent des composés que notre organisme n'arrive pas à digérer entièrement. Ils arrivent donc dans notre gros intestin partiellement digérés. Ce qui fait le bonheur des bactéries présentes dans l'intestin, qui s'en régalent. Sauf que lorsqu’elles mangent, les bactéries produisent du gaz. Et plus elles mangent, plus on stocke du gaz à l'intérieur de notre intestin. Et quand il y a trop de gaz qu'on ne peut plus retenir à l'intérieur, il faut bien qu'il s'évacue...

  • Le rot.

Roter (ou éructer), c'est ce qui arrive quand on avale trop d'air trop vite par la bouche : notre tube digestif, mécontent de ce trop-plein de gaz, le renvoie directement par où il est venu ! De manière plus ou moins bruyante, en fonction de la vibration de notre orifice œsophagien. Il peut également s’agir de dioxyde de carbone en cas d’ingestion de boissons gazeuses.
Comme dans les sociétés occidentales le fait de roter est assez mal vu, si on veut limiter les éructations intempestives, il est conseillé de mastiquer la bouche fermée, de ne pas parler en mangeant, de limiter notre consommation de tabac et de chewing-gum. En somme, d'éviter tout ce qui nous fait avaler de l'air en excès !
  • Le hoquet.

Le hoquet, c'est un phénomène presque toujours bénin. Mais quand il tombe mal et qu'on ne parvient pas à s'en débarrasser, quelle plaie ! Le hoquet est un réflexe totalement involontaire, qui survient après un repas trop copieux, une quinte de toux, voire un fou rire...
Le hoquet et le bruit caractéristique (« hic ») qui l'accompagne résultent de deux phénomènes qui se produisent dans notre organisme. Le premier, c'est la contraction irrégulière et répétée de notre diaphragme, qui va créer une grosse arrivée d'air dans les poumons. Le second, c'est la fermeture de la glotte, qui bloque l'arrivée de l'air, et produit le fameux hic !

  • La toux.

La plupart des gens associent toux et maladie. Mais en réalité, on peut tout à fait tousser sans être malade : la toux est un réflexe naturel et sain, que notre organisme met en route pour débarrasser les bronches des éléments parasites qui viennent les encombrer.
En effet, pas besoin d'avoir un rhume ou une infection pour que des sécrétions se déposent sur nos bronches et viennent obstruer nos voies respiratoires. Il suffit d'attendre la nuit quand notre organisme est au repos. Voilà pourquoi de nombreuses personnes toussent légèrement le matin (voire pas très légèrement pour les fumeurs !).

  • Le bâillement.

Le bâillement est un phénomène qui se décompose en plusieurs étapes : d'abord, on inspire profondément, puis on ouvre la bouche, on ferme les yeux, on coupe rapidement notre respiration, et on expire. De manière plus ou moins bruyante et élégante, c'est selon.
Quoi qu'il en soit, personne n'est aujourd'hui en mesure d'affirmer qu'il détient LE pourquoi du bâillement. On a longtemps pensé que c'était pour apporter de l'oxygène à notre cerveau...Une théorie maintenant réfutée, et qui a laissé place à de nombreuses autres. Parmi elles, la plus courue du moment : si l'on bâille, ce serait en fait pour refroidir notre cerveau afin qu'il fonctionne mieux.

Les boissons anti-inflammatoires.

A signaler seulement trois boissons à la liste des aliments anti-inflammatoires :

Le thé vert a plusieurs effets intéressants, notamment en réduisant l’absorption du fer. Bien sûr, choisissez de vrais de feuilles de thé à infuser tout en évitant les thés contenant des arômes artificiels ou naturels.


La tisane de curcuma : l’épice dorée aux vertus incroyables !

Les principales vertus de cette épice proviennent du rhizome de la plante du curcuma. On y retrouve l’ingrédient miracle : la curcumine. Elle aide à soulager la douleur et notamment dans le cas de l’arthrite, soit une inflammation des articulations . Mais ce n’est pas tout.

Le curcuma contient également des huiles essentielles (qui ont un pouvoir régénératif cutanée et cicatrisant), de polysaccharides (qui stimule les défenses immunitaires) ou encore des mucilages (qui joue un rôle dans le bien-être digestif et surtout dans le cas d’une inflammation de l’intestin).

Pour réaliser une tisane de curcuma, il vous suffit d’ajouter une cuillère de cette poudre dans de l’eau chaude avec une pincée de poivre noir (très important pour optimiser les effets !).

Quant au Golden Milk, il s’agit un peu d’une boisson « miracle ». Elle aurait 1001 vertus, dont une action anti-inflammatoire. Au vu des ingrédients utilisés, c’est largement possible ! 
Voici la recette :
     - 2 grands verres de lait de coco ;
     - 1 cuillère à soupe d’huile de coco vierge ;
     - 1 cuillère à café de curcuma en poudre ;
     - Et 1 grosse pincée de poivre noir moulu ;
     - Facultatif : du miel local.


Le thé noir.
C’est un antioxydant, ce qui peut aider à réduire les dommages causés par les radicaux libres et protéger les cellules du corps contre le stress oxydatif. Cela peut aider à prévenir divers problèmes cardiaques, neurodégénératifs ou le cancer.
Le thé noir est également une source de caféine naturelle, ce qui peut stimuler la concentration et améliorer les performances mentales. En outre, il contient des acides aminés tels que la théanine, qui peuvent aider à réduire l’anxiété et améliorer l’humeur, le stress pouvant être un facteur d’inflammation.
Tout comme le thé vert, il contient également des flavonoïdes, dont les catéchines. Ces derniers ont le potentiel de réduire le stress oxydatif et l’inflammation de façon efficace.


Le jus de gingembre.
Le jus de gingembre est une recette populaire dans de nombreuses cultures depuis des siècles. Il fait partie des plantes qui appartiennent à la famille des Zingiberaceae. Le gingembre est largement utilisé en médecine traditionnelle pour traiter diverses affections, notamment les souffrances articulaires comme l’arthrose.
Le jus de gingembre contient des composés actifs tels que les gingérols et les shogaols, qui ont des propriétés anti-inflammatoires. Ces composés contiennent en bloquant la production de cytokines, qui sont des protéines inflammatoires produites par le corps.
En outre, les propriétés antioxydantes du jus de gingembre aident à réduire les dommages oxydatifs qui peuvent causer une inflammation. Les antioxydants neutralisent les radicaux libres dans le corps, ce qui réduit les effets nocifs de l’inflammation.
Pour une préparation en jus, il ne vous faut que quelques ingrédients : 2 à 3 morceaux de gingembre, de l’eau et une cuillère à café de miel !


La camomille.
La camomille est une plante médicinale populaire qui est couramment utilisée sous forme d’infusion ou d’huile essentielle pour ses effets apaisants et relaxants. Boire du jus de camomille peut aider à réduire les niveaux de stress et d’anxiété, favorisant ainsi un sommeil plus réparateur.
Les flavonoïdes et les terpènes présents dans la camomille ont des propriétés anti-inflammatoires qui aident à réduire l’inflammation chronique. Boire du jus de camomille peut régulièrement aider à calmer une douleur articulaire, musculaire et les maux de tête.
Le jus de camomille améliore aussi la digestion. Il contient des composés qui réduisent l’inflammation de l’estomac et de l’intestin. Boire du jus de camomille peut aider à soulager les symptômes de la colite, de la constipation et du syndrome du côlon irritable .
Si la camomille se classe parmi les boissons anti-inflammatoires, c’est parce qu’elle contient des antioxydants qui aident à protéger la peau contre les dommages causés par les radicaux libres. Elle peut régulièrement aider à améliorer l’apparence de la peau et à prévenir les signes de vieillissement.


Le jus de citron.
Le citron est un agrume très apprécié pour sa saveur acide et rafraîchissante, mais il offre également de nombreux avantages pour la santé. Le jus de citron est riche en vitamine C, un antioxydant puissant qui aide à protéger les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres.
En outre, le citron contient des composés appelés flavonoïdes, qui ont des propriétés anti-inflammatoires. De nombreuses études mettent en évidence le fait qu’il exerce « des effets bénéfiques sur la fonction de barrière intestinale et l’inflammation gastro-intestinale ».
De manière générale, le jus de citron est fortement recommandé car il contient de l’acide citrique, qui peut stimuler la production d’enzymes digestives et aider à décomposer les aliments plus facilement. De plus, il peut aider à réduire les ballonnements et les gaz intestinaux.
Il fait également partie des aliments qui aident à réduire l’inflammation des articulations comme l’arthrite.


La tisane de fenouil.
Le fenouil est une plante à fleurs appartenant à la famille des Apiacées qui est couramment utilisée dans la cuisine pour ses vertus gustatives et médicinales.
Il contient des composés phytochimiques tels que les flavonoïdes, les terpènes et les phénols qui aident à réduire la production de cytokines inflammatoires. Les cytokines sont des protéines qui jouent un rôle clé dans l’inflammation et la douleur. En utilisant la production de cytokines, le jus de fenouil peut aider à réduire de nombreux troubles inflammatoires, tels que l’arthrite, les pathologies cardiaques et le cancer.
Le jus de fenouil peut aider à soulager les symptômes tels que les ballonnements, les gaz et les crampes abdominales. Ses composés tels que l’anéthol et le fenchone peuvent aider à stimuler la production de sucs gastriques et à améliorer la digestion pour ainsi prévenir les ulcères d’estomac.
Le jus de fenouil intègre la catégorie des boissons anti-inflammatoires car il aide à renforcer le système immunitaire grâce aux vitamines C et E qu’il contient. Elles stimulent la production d’anticorps et protègent contre les infections. Les minéraux tels que le potassium et le calcium peuvent également aider à maintenir une bonne santé du système immunitaire.



La tisane d’ortie.
Souvent considérée comme une mauvaise herbe, l’ortie est l’un des produits les plus impressionnants en médecine douce. Le jus d’ortie est facile à préparer et peut être ajouté à d’autres jus de fruits et légumes dans des recettes saines et nutritives.
Les feuilles de l’ortie contiennent une grande quantité de nutriments, tels que des vitamines A, C et K, des minéraux tels que le fer et le calcium, ainsi que des antioxydants. Ils aident à renforcer le système immunitaire, à améliorer la santé des os, des dents et de la peau, à stimuler la circulation sanguine et à réguler le taux de sucre dans le sang.
L’ortie est également utilisée pour traiter les allergies saisonnières. Les symptômes des allergies, tels que les éternuements, les yeux qui piquent et la congestion nasale, sont souvent causés par l’inflammation.
L’ortie contient plusieurs composés qui ont un effet anti-inflammatoire, notamment des flavonoïdes, des caroténoïdes et des acides phénoliques. Ces composés ont entraîné la production de cytokines, qui sont des molécules produites par le système immunitaire en réponse à l’inflammation tant au niveau des articulations que des rhumatismes.


Le jus de céleri.
Le céleri est un des nombreux aliments qui est utilisé depuis l’Antiquité pour ses vertus médicinales. Ce légume contient de nombreux nutriments tels que des vitamines K, A et C mais aussi des fibres ce qui permet d’améliorer le système de digestion.
Mais ce n’est pas tout. Le céleri contient également des flavonoïdes puisqu’il fait, lui aussi, partie de la même famille que les carottes, l’ortie mais aussi la plupart des aliments cités dans cette liste des boissons anti-inflammatoires. On retrouve donc les mêmes capacités évoquées un peu plus haut. Cependant, le céleri se démarque parce qu’il se compose d’un flavonoïde assez puissant : l’apigénine. C’est notamment l’une de ses sous-catégories qui est responsable de son pouvoir, l’apiine.
L’apiine a fait l’objet de nombreuses études. Aujourd’hui, son action sur notre corps a bel et bien été prouvée. Des scientifiques ont mis la main sur le fait que l’apiine contenu dans le céleri a bien des propriétés anti-inflammatoires car il a montré une activité inhibitrice significative sur la production de nitrite (NO), qui l’un des médiateurs inflammatoires.



Le café.
Il est riche en antioxydants (grâce aux polyphénols qu’il contient), en minéraux (magnésium), il participe à la perte de poids (grâce à la thermogénèse) ou il permet d’éviter les maux de tête grâce à son action vasodilatateur.
Mais qu’en est-il de l’action anti-inflammatoire du café ? Justement, une étude s’est penchée sur le sujet pour en savoir plus (14). Quinze études (8 portant sur le café et 7 sur la caféine) ont été réalisées. Aucune des cinq études évaluant les effets du café n’a révélé de changements dans la protéine C-réactive (CPR), mais un essai sur trois a révélé une diminution des niveaux de RCR en réponse à la caféine.
Si bien qu’en réalité, les données ont bel et bien suggéré une action anti-inflammatoire prédominante du café, mais pas nécessairement de la caféine en elle-même.


Le jus d’ananas.
L’ananas fait partie de cette catégorie de fruits essentiels pour notre santé.
Tout d’abord, c’est un concentré de bons nutriments (potassium, magnésium, calcium, fer, fibres) et de vitamines (C, B, et provitamine A dont le bêta-carotène). L’ensemble de ces éléments font de l’ananas un anti-oxydant et booster de santé digestive assez précieux.
Mais la recette secrète de l’ananas, c’est sa composition en broméline, qui fait partie des enzymes protéolytiques. Sa particularité est qu’il digère les protéines tout en stimulant les sécrétions digestives. Ainsi, de nombreuses études ont reconnu le jus d’ananas comme appartenant aux boissons anti-inflammatoires parce qu’il participe à améliorer les douleurs d’arthrose, les problèmes d’intestin ainsi que les facteurs de risques de cancer.


Le jus de griotte.
Les fruits rouges sont réputés pour leur action anti-oxydantes sur notre corps. En plus des vitamines qui les composent (A, E, C), ils sont riches en polyphénols ce qui participe au fonctionnement de notre organisme et à sa protection.
Mais parmi ces fruits rouges, il y en a un qui se distingue et qui mérite sa place au sein de ce classement des boissons anti-inflammatoires : la griotte.
Cette cerise acide a effectivement été le sujet de recherche de scientifiques qui lui ont trouvé des propriétés particulières. Selon l’étude, « la consommation de jus de cerise acidulée deux fois par jour pendant trois semaines entraînait une réduction significative des marqueurs d’inflammation importants, en particulier chez les femmes qui présentaient les niveaux d’inflammation les plus élevés au début de la maladie».
C’est notamment grâce aux anthocyanes contenus dans la griotte qui font de cet aliment un fruit aux pouvoir anti-inflammatoire très puissant.


Le jus d’aloe vera.
L’aloe vera est un produit souvent utilisé dans les cosmétiques comme un hydratant naturel que ce soit pour la peau ou pour les cheveux. Mais cachez que ses vertus ne s’arrêtent pas là et c’est la raison pour laquelle il intègre ce classement des boissons anti-inflammatoires.
L’aloe vera est une plante aux nombreuses capacités nutritionnelles. Parmi elles on compte, des vitamines (A, C, E, B9, B12 et B), des minéraux (sodium, potassium, magnésium, calcium, sélénium, cuivre, manganèse, zinc, et chrome), des enzymes, des stérols, de l’acide salicylique mais aussi des acides aminés (dont ceux qui sont essentiels pour l’organisme).
Selon une étude qui regroupe l’ensemble des activités biologiques de l’aloe vera qui comprennent « la promotion de la cicatrisation des plaies, l’activité antifongique, anti-inflammatoire, anticancéreuse et immunomodulatrice ».



Le thé au Chardon-Marie.
C'est une plante qui est depuis longtemps utilisée pour ses propriétés thérapeutiques.
Elle contient notamment des flavonoïdes, des composés phénoliques, des stérols et du silymarine, réputé pour son action sur les maladies du foie avec des propriétés anti-hépatotoxiques.
Les flavonoïdes et les stérols sont également utilisés pour leur activité anti-inflammatoire et anti-oxydante dans notre corps. Le Chardon-Marie peut être consommé en tisane, en gélules mais aussi en teinture-mère.




Les légumes secs anti-inflammatoires.


Les légumineuses, comme les lentilles, les pois ou les haricots secs sont une excellente alternative à la viande.
Non seulement les légumes secs ne contiennent pas d’oméga-6, mais ils sont aussi riches en fibres. Fibres qui, je le rappelle, sont vitales pour rééquilibrer votre microbiote intestinal.


Par contre, faites attention :
Si vous n’avez pas l’habitude des fibres, vos intestins risquent de vous le faire comprendre ! Rassurez-vous, les désagréments ne durent pas très longtemps. Mais pour limiter les gênes, incorporer les fibres petit à petit !

Epine de Lenoir, ou épine calcanéenne.

 


C'est une excroissance osseuse qui se forme au niveau du talon, et qui provoque une vive douleur.
L’épine calcanéenne désigne une excroissance qui se forme au niveau du calcanéum, l’os du talon. Cette affection, qui touche de nombreuses personnes, est la conséquence de l’inflammation de l’aponévrose plantaire, une épaisse bande de tissu fibreux qui s’étend du talon à la base des orteils, et qui soutient la voûte plantaire.
Elle provoque une douleur vive et soudaine au talon, qui peut parfois s’étendre sur tout le pied. La douleur est telle que le patient peut avoir des difficultés à marcher normalement, ou à rester debout, particulièrement le matin, juste après le lever.
Cette excroissance est détectable via des examens d’imagerie (radiographie). Concernant le traitement, il repose sur l’administration de médicaments antalgiques et anti-inflammatoires. Des séances de kinésithérapie et le port de semelles orthopédiques sur mesure sont généralement nécessaires.
Cette excroissance osseuse, semblable à une épine, comme son nom l’indique, est due à une sollicitation excessive du talon et des tendons. Les personnes qui pratiquent un sport intensif (course à pied, danse, randonnée…) et qui travaillent en position debout de manière prolongée sont souvent concernées.
Les personnes qui portent des chaussures inadaptées, des talons hauts, ou des semelles trop fines le sont également. La formation d’une épine calcanéenne peut d’autre part être liée à la morphologie du pied (pied plat, pied creux, hallux valgus…), mais aussi au surpoids et à l’obésité.

Les viandes anti-inflammatoires.

Les viandes ne sont pas des aliments anti-inflammatoires par excellence. Et la plupart du temps, c’est même l’inverse qui arrive. Notamment parce que :
  • La viande rouge et les abats apportent beaucoup de fer, minéral inflammatoire si vous en consommez en excès ;

  • La viande, surtout industrielle, est nourrie à partir de céréales et tourteaux de soja, aliments riches en oméga-6 ;
  • L’excès de protéines animales perturbe votre microbiote intestinal, ce qui peut favoriser l’inflammation chronique.

     - C’est pourquoi je vous invite à ne pas en consommer tous les jours. Et surtout, de choisir des viandes maigres ou de meilleures qualités :



     - Bio ou élevée en plein air, parce que l’herbe est riche en oméga-3 ;


Labellisée Bleu-Blanc-Cœur, parce que l’animal a reçu des graines de lin, riche en oméga-3.


Ce conseil est aussi valable pour les œufs, mais aussi les laitages. Laitages qui contribuent à l’inflammation.

Quels sont les fruits anti-inflammatoires ?

Ici, tous les fruits peuvent faire partie de la liste des aliments anti-inflammatoires, surtout lorsqu’ils sont bios et consommés crus.
Mais voici les plus avantageux :
  • Poires ;
  • Fraises ;

  • Myrtilles ;
  • Pommes ;
  • Grenades ;
  • Raisins noirs ;
  • Pamplemousses.