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Journée mondiale sans tabac

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Cette campagne annuelle est l’occasion de sensibiliser aux effets nocifs et mortels de l’exposition au tabagisme ou à la fumée des autres et de décourager la consommation du tabac sous quelque forme que ce soit.
La Journée mondiale sans tabac de 2019 est axée sur « le tabac et la santé pulmonaire ». La campagne va permettre de sensibiliser davantage à l’effet négatif que le tabac a sur la santé pulmonaire, allant du cancer aux maladies respiratoires chroniques, le rôle fondamental des poumons dans la santé et le bien être de tous.
La campagne servira aussi d’appel à l’action, en plaidant pour des politiques efficaces visant à réduire la consommation du tabac, et en engageant les parties prenantes dans de multiples secteurs à agir pour la lutte anti-tabac. Selon l'OMS,la santé pulmonaire ne résulte pas simplement de l’absence de maladies; la fumée du tabac a des conséquences majeures à ce niveau pour les fumeurs comme les non-fumeurs dans le monde entier.

Journée mondiale sans tabac

Pour atteindre la cible des objectifs de développement durable (ODD) consistant à réduire d’un tiers, d’ici à 2030, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles, la lutte antitabac doit être une priorité pour les gouvernements et les communautés dans le monde entier. Actuellement, le monde n’est pas dans les temps pour atteindre cette cible.
Les pays devraient riposter à l’épidémie de tabagisme par l’application totale de la Convention-cadre de l’OMS et l’adoption des mesures MPOWER au plus haut niveau possible, ce qui implique d’élaborer, de mettre en œuvre et de faire respecter les mesures de lutte anti-tabac les plus efficaces qui visent à réduire la demande.
Les parents et les autres membres de la communauté doivent aussi prendre des mesures protégeant leur propre santé et à celle de leurs enfants des effets nocifs du tabac, ce qui favorisera la santé de tous.

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La Chine expose son destroyer qualifié de «plus dangereux au monde» par la presse

Le destroyer chinois le Type 055 lors du défilé en l’honneur du 70e anniversaire de la Marine chinoise

La Chine a présenté son nouveau destroyer, le Type 055, dont les capacités technologiques excédent les navires de guerre de même classe du Japon et des États-Unis, a indiqué le Military Watch Magazine. Le destroyer lance-missiles servira également de plateforme pour mettre en œuvre de nouvelles armes.
Le destroyer chinois Type 055, navire de guerre le plus lourdement armé de sa classe, a été au premier plan lors du défilé en l'honneur du 70 ème anniversaire de la Marine chinoise, relate le Military Watch Magazine.
La construction de trois destroyers de cette classe a été achevée en 2018. Au moins encore huit destroyers lance-missiles sont en train d'être construits. Selon le magazine, la création de ce navire est susceptible d'être la plus grande réussite technologique de la Marine chinoise. Il peut garantir un équilibre militaire, voire la prédominance sur les navires similaires japonais et américains.

Ce Type 055 se caractérise par une puissance de feu sans précédent. Le navire dispose d'un système de lancement vertical composé de 112 tubes capables de tirer plus d'une dizaine de différents missiles anti-aériens: à partir des missiles à faible portée HQ-10 jusqu'aux intercepteurs exo-atmosphériques des missiles balistiques HQ-26.
Les missiles de croisière antinavires YJ-18, équivalent du Kalibr russe, qui dépassent largement les missiles américains Tomahawk sont probablement l'arme la plus importante du destroyer, est-il indiqué. La portée du YJ-18 est de plus de 500 km. Le missile est capable de voler à Mach 3, ce qui est suffisant pour frapper un navire d'une classe analogue de plein fouet, poursuit l'auteur de l'article. Enfin, les nouveaux navires serviront de plateforme pour l'utilisation de nouveaux types d'armes.
Auparavant, la Chine avait déjà fait des tirs d'essai d'un missile antinavire hypersonique, précise le Military Watch Magazine. De plus, le pays a l'intention d'équiper le Type 055 de missiles balistiques antinavires DF-26, d'armes électromagnétiques et de missiles antisatellites.
 

 Le déplacement du Type 055 est de 12.000 tonnes, le navire mesure 183 mètres de long. Sa vitesse est de 35 nœuds.

Une intelligence artificielle (IA) fait parler la Joconde

La célèbre Mona Lisa reprend vie cinq siècles après avoir été immortalisée par Léonard de Vinci grâce aux nouvelles technologies. Une intelligence artificielle développée par Samsung est capable d’animer le visage de la Joconde. Le résultat est bluffant.

Les équipes de chercheurs du Samsung AI Center ont réussi la prouesse d’insuffler la vie à des tableaux. Une prouesse technologique rendue possible grâce à une intelligence artificielle.

Pour animer le visage emblématique de Mona Lisa, les chercheurs ont créé un modèle de reconnaissance faciale capable de copier les animations d’un visage et de les appliquer à une image fixe.


Grâce au machine learning, l’intelligence artificielle a pu s’entraîner à assimiler, comprendre et reproduire les mouvements d’un visage afin de l’appliquer à celui d’un tableau ou d’une photo.
L’intelligence artificielle de Samsung est capable de simuler les mouvements de la tête sur base d’une seule et unique image fixe. Elle peut ainsi faire parler la Joconde ou lui faire fermer les yeux. L’I.A. arrive à combler les parcelles qui lui manquent à partir du modèle vivant.


Le résultat n’est pas parfait, mais reste très impressionnant. Ce genre de technologie progresse depuis quelques années et les résultats sont très prometteurs, mais elle comporte aussi des risques. Le deep fake est l’un des gros risques de cette technologie. Pour rappel, le deep fake consiste à utiliser le visage de quelqu’un pour le coller à celui d’une autre personne pour lui faire dire ou faire faire des choses. Cela peut donner lieu à des manipulations politiques ou à des films pour adultes mettant en scène une copie de personnalités connues.

L’ "Arbre de vie" du Bahreïn, mystère de la nature

Il est l’un des phénomènes les plus remarquables au monde : "l’Arbre de vie" du Bahrein s’élève fièrement au milieu du désert, à des kilomètres des sources d’eau et des zones de végétations. Comment fait-il pour survivre ? La question se pose depuis plusieurs années déjà.

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Pour les habitants du Bahreïn, pays situé sur un archipel du golfe Persique au Moyen-Orient, ce n’est pas juste "un arbre". Vieux de 400 ans et mesurant près de 10 mètres de haut, "l'Arbre de vie" se dresse seul au milieu du désert, à environ deux kilomètres de Jebel Dukhan, le point le plus élevé du pays. Sa survie miraculeuse au milieu de nulle-part et dans des conditions aussi difficiles pousse la population du Bahreïn à penser qu’il s’agit-là de l'unique vestige du mythique jardin d'Eden. Et pour cause ? Sa source d’eau demeure toujours un mystère.


Les biologistes et scientifiques qui sont venus examiner l’arbre sont restés perplexes. Et malgré plusieurs théories, son existence et sa survie dans le désert sont toujours une énigme. Ainsi, certains pensent que les racines de cet arbre, baptisé Sharajat-al-Hayat, s’étendent très loin mais surtout dans les profondeurs, où des sources d’eau encore inconnues viendraient l’alimenter. Mais jusqu’ici personne n’a pu prouver cette hypothèse.
Alors que les habitants du Bahreïn pensent avoir trouvé l’endroit où se situait le jardin d’Eden, les bédouins - nomades de culture arabe vivant dans des régions désertiques du Moyen-Orient - sont convaincus que cet arbre légendaire a été béni par Enki, un dieu de la mythologie sumérienne, associé avant tout à l'eau.
Le Sharajat-al-Hayat est l’une des "attractions" les plus célèbres du Bahreïn. Les touristes se bousculent pour admirer ce mystère de la nature. Mais ces dernières années, ces visites, non surveillées, manquent parfois de respect. Arrivés au pied de l’arbre, plusieurs reporters ont été déçus en découvrant que certains visiteurs gravaient leur nom sur le tronc. Pire, des bombes de peinture sont utilisées pour taguer l’arbre. Autre constat : certaines branches, abaissées, laissent penser que plusieurs personnes ont grimpé sur l’arbre... Triste spectacle pour un phénomène de la nature aussi remarquable, qui devrait, au contraire, être préservé.

Le Souk à Ain Défali.

Le " souk " signifie marché. Il est un élément fondamental de la vie marocaine ; carrefour commercial, c'est aussi l 'endroit où, régulièrement , les gens se rencontrent, se retrouvent .
A Ain Défali, le souk se tient une fois par semaine, le mercredi.  Durant ce jour, tous les habitants s’y rendent car c'est un jour de la semaine que tout le monde attend avec impatience, petits et grands.
On y trouve tout se dont la population locale à besoin : légumes, fruits, viandes, vêtement, équipements domestiques, produit de l’artisanat locale (bijoux en argent, huile d’olive, huile d’argan, miel, …), bétail, produits agricoles, ….. En général, les produits exposés dans le souk reflètent le niveau vie de la région où il se tient.




Le jour du souk il y a également un coiffeur « Hajjam » et un dentiste, ou plutôt un arracheur de dents, qui se dépècent sur place. C’est donc l’occasion pour habitants des villages de se faire beaux et de soigner leurs bobos dentaires. Il y a aussi parfois des manèges pour les enfants.
Dans le souk, tout se marchande et tout se paie en espèce. Il n'est donc pas question de carte bleue, visa ou master carte. Seules les pièces de monnaie bien lourdes et teintantes vous permettront d'acheter ce que vous voulez ce jour là. Donc, si vous vous rendez dans ce souk, pensez à vous munir d’argent liquide.


 Le souk marocain n'est pas près de disparaître, malgré l'urbanisme, malgré les grandes surfaces … Peut-être survivra-t-il encore très longtemps grâce à eux. Les petits métiers comme celui de cordonniers, de barbiers-saigneurs, d'horlogers, que l'on croyait condamnés à disparaître, sont bien là, et se portent plutôt à merveille. 
Le souk résiste à des agressions de toutes sortes grâce à la fidélité de ses visiteurs multiples et inlassables. Il continue à jouer son rôle économique et social, il a évolué de manière à répondre aux nouvelles exigences de la vie quotidienne de ses habitués.

L'école d’hier et d’aujourd’hui

S’il l’on faisait machine arrière pour explorer l’école du temps de nos parents ? Ils ne sont pas partis de grand-chose, mais l’école les a bien bâtis et ils ne s’en sont tout de même pas trop mal sortis. Lorsqu’on les interroge aujourd’hui, ils crient à la déperdition de la qualité de l’enseignement, à une crise des valeurs…


Nous ne sommes pas là pour juger, mais simplement pour revenir sur ce passé qui résonne en nous comme des histoires d’antan. Zoom sur cette époque pourtant pas si lointaine que ça.



« L’école maternelle ? Connais pas ! »
Pour nos parents, la période d’avant les six-sept ans rime avec école coranique : Le masjid, le Fkih, le tajwid et parfois la falaka ; et cette dernière les suivra jusqu’à l’école primaire.



Le Tahdiri : Première année d’école officielle
Les filles fréquentaient l’école des filles… Les garçons, celle des garçons. Naturellement, on enfilait les tabliers, on préparait les encriers, on écrivait sur le tableau à la craie. Ainsi défilait la journée.



Les cahiers d’écoliers

Pour ceux d’entre nous dont les parents ont conservé leurs vieux cahiers, on ne peut s’empêcher d’admirer la qualité et l’application avec lesquelles les lettres et mots sont tracés. Les « kennach » ou « daftar » ont beau être jaunis par le temps, ils font plaisir à parcourir, en français comme en arabe.



L’instituteur, figure d’autorité… mais bienveillante
À l’époque, nul n’osait élever la voix face à l’instituteur ou l’institutrice. On n’osait même pas les regarder dans les yeux. Et ce n’était pas une question de Hechma, mais simplement de pur respect. De son côté, et malgré les punitions (corporelles parfois), le maître garantissait une certaine bienveillance à l’égard des élèves, incarnant parfois la figure d’un parent. Quand on pense aux cas de tchermil aujourd’hui… À bon entendeur !



Swayeâ et cours particuliers…?
Pour nos parents, l’école était l’unique canal de réussite et de succès. D’une part, parce que le concept de cours privés était quasi inexistant. D’autre part, parce que certains de nos parents ne pouvaient pas compter sur l’aide des leurs pour les devoirs. Souvent, c’était aux enfants qu’incombait la tâche d’instruire les parents.


Nous ne sommes pas là pour comparer ou de prétendre qu’une époque est meilleure qu’une autre. Il s’agit de deux ères incomparables, les enjeux n’étant pas les mêmes. Le parcours scolaire est à l’image d’un circuit de course, long et parsemé d’embûches. Avant, il suffisait de franchir la ligne d’arrivée pour réussir et prétendre à un avenir meilleur. Aujourd’hui, franchir cette ligne n’est plus suffisant : Il faut savoir tirer son épingle du jeu et être parmi les meilleurs, d’où la pression qui pèse sur notre génération. Seulement, comment rendre cette course plus juste et équitable, sachant que certains coureurs possèdent les meilleurs chaussures de sport tandis que d’autres commencent leur course en vieilles baskets, en sandales et parfois-même pieds nus ?

Quel est le meilleur moment de la journée pour manger un fruit ?

On sait toujours qu'un fruit est un dessert sain et léger. Mais depuis quelque temps, d’autres voix s’élèvent. Les fruits en fin de repas ne seraient pas si bons pour la santé. Vraiment ?
Les fruits se digéreraient plus rapidement que les autres aliments et, arrivés en fin de repas, resteraient bloqués dans l’estomac. Là, l’acidité gastrique détruirait leurs vitamines et leurs minéraux. Pire encore, ils fermenteraient, ce qui entraînerait des problèmes de digestion…


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Les fruits sont bon pour la santé à condition
 de les consommer avec modération.

Oui, le fruit est un bon dessert

Pour toute personne en bonne santé, elle peut finir son repas sur un fruit. L’acidité gastrique ne détruit pas les minéraux ni les vitamines des fruits, elle les rend simplement plus petits pour qu’ils soient absorbés par l’organisme.
Seules les personnes qui ne digèrent pas bien le fructose, que l’on trouve en abondance dans les fruits, peuvent rencontrer des problèmes de ballonnements s’ils optent pour un fruit en dessert. Par ailleurs, il est déconseillé aux personnes qui ont des problèmes de reflux gastrique de consommer un agrume en fin de repas, car ces fruits sont plus acides.
Manger un fruit en début de repas permettrait aussi de mettre à profit les fibres des fruits. Les fibres sont excellentes pour la régulation du transit et permettraient d’absorber les acides gras du reste du repas. « Cependant, il n’existe pas de preuve scientifique.

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Manger un fruit en début ou 
en fin de repas ne change rien.

Au goûter, pas de pomme sans yaourt
Manger un fruit avant ou après le plat principal ne change rien. En revanche, il est déconseille de croquer dans une pomme ou grignoter du raisin sans rien d’autre entre deux repas. Manger un fruit déclenche la sécrétion d’insuline, l’hormone qui favorise la prise de poids. Il ne fera que vous ouvrir l’appétit. En cas de petit creux, il est préconisé plutôt d’associer le fruit à un produit laitier nature ou un produit céréalier.

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On ne peut pas le nier : les fruits sont bons pour la santé. Mais comme tout aliment, il ne faut pas en abuser. Deux ou trois fruits par jour suffisent.  Le matin, si on boit un jus de fruits, il faut s’assurer que c’est l’équivalent d’une orange et pas de trois oranges !.

Oum Kaltoum, en visite au Maroc en 1968.

Quand Oum Kalthoum se produisait au Maroc

C’était en 1968. Du 16 au 18 mars, la diva égyptienne Oum Kalthoum est accueillie au Maroc par les Forces armées royales (FAR) pour donner trois concerts au théâtre Mohammed V de Rabat. Elle y est reçue par le roi Hassan II et les grandes familles marocaines, à Rabat, Fès, Meknès et Marrakech, découvrant ainsi à l’art de vivre et la musique marocaine.
Si les tickets sont vendus à 300 dirhams, des centaines de Marocains se précipitent toutefois pour assister à l’événement de l’année 1968. A l’issue du concert, elle se verra offrir une vingtaine de bouquets de fleurs, un standing ovation de dix minutes et une bougie de deux mètres recouvertes d’or, provenant du mausolée Moulay Idriss Zerhoun de Fès.
Oum Kalthoum découvre lors de son séjour les musiques populaires marocaines. A Marrakech, près de 1.500 chanteurs et danseurs lui font découvrir les musiques amazighes. Le soir, elle est reçue pour un dîner par Hassan II, et chante accompagnée de l’orchestre royal.

Au Maroc, au cours des années cinquante et soixante, trois portraits étaient le plus souvent accrochés aux murs jusque dans les maisons les plus modestes : celui de Mohammed V en noir et blanc et, non loin, un diptyque représentant Oum Kalthoum et Mohamed Abdelwahab dans deux petits cœurs reliés comme des anneaux et grossièrement coloriés.


Un parcours ''à la Cendrillon''
A y regarder de plus près, le chemin de vie de Oum Kalthoum ne se distingue guère d’un parcours ''à la Cendrillon''. Née pauvre, paysanne, la diva (alors loin de s’imaginer qu’elle en deviendra une) frappe très tôt aux portes d’un monde qu’elle sait pourtant réticent aux femmes. Son père, imam, dépistant très vite la puissance de sa voix, l’invite à se joindre aux leçons de chants qu’il dispense à son frère, d’un an son aîné.
A l’âge de seize ans, deux hommes la prennent sous leur aile, le cheikh Abou El Ala Mohamed et le joueur de luth Zakaria Ahmed, l’invitant à se produire au Caire – tenue masculine exigée. Mais qu’importe; la légende Oum Kalthoum, déjà, prend forme.
Une première tournée orientale
Le poète égyptien Ahmed Rami, féru de littérature française qu’il a étudiée à la Sorbonne, lui compose pas moins de 137 chansons. Mohamed El Qasabji, virtuose du luth, lui ouvre les portes du Palais du théâtre arabe. En 1932, sa notoriété croissante lui permet d’entamer sa première tournée orientale; elle parcourt les capitales mythiques du monde arabe, de Tunis à Bagdad en passant par Beyrouth, Damas et Tripoli.
Elle n’en oublie pas pour autant son Egypte natale où elle partage, avec le charismatique président Nasser, le statut d’icône de l’unité nationale égyptienne et, dans une moindre mesure, panarabe. Elle s’éteint le 3 février 1975 des suite
s d’une longue maladie, deux ans après donné un dernier concert au Palais du Nil.

Émue aux larmes, Theresay May annonce sa démission

La Première ministre britannique Theresa May a annoncé ce vendredi sa démission, lors d'une allocution prononcée devant le 10 Downing Street. La voix étranglée par l'émotion, Theresa May a précisé qu'elle démissionnerait de ses fonctions de cheffe du Parti conservateur - et donc de cheffe du gouvernement - le 7 juin. Elle a exprimé, au bord des larmes, "un profond regret de ne pas avoir été capable de mettre en œuvre le Brexit".



Chongoing en Chine est la ville la plus grande du monde.

La plus grande ville du monde par sa superficie se trouve en Chine : Chongqing compte 34 millions d'habitants, et 300 000 nouveaux la rejoignent chaque année pour trouver du travail.



C'est la ville de tous les extrêmes au coeur de l'empire du Milieu. Une forêt de tours à perte de vue, des monstres de béton et d'acier, aux pieds des montagnes : Chongqing, mégalopole chinoise, vaste comme l'Autriche. Immense et verticale : rendez-vous au 29e étage chez Luo Da-Wan. Ce retraité a toujours habité la ville, aux premières loges de sa métamorphose : on surnomme Chongqing la ville montagne. "On voit la silhouette de la montagne au loin et de nouveaux bâtiments se dressent sans cesse ; du coup, ça lui donne un nouveau visage, c'est impressionnant, les bâtiments se multiplient comme des champignons qui poussent après la pluie", témoigne le retraité.

82 000 kilomètres carrés

Entre les photos en noir et blanc des années 80 qu'il nous montre à aujourd'hui, plus grand-chose en commun. Chongqing, l'histoire d'une ville à la croissance folle : aujourd'hui, la mégalopole compte 34 millions d'habitants. Loin des villes de l'Est, Pékin ou Shanghai, la ville s'étend sur un territoire de 82 000 kilomètres carrés, la plus grande agglomération du monde. 300 000 nouveaux habitants arrivent ici chaque année, l'équivalent d'une ville comme Rennes. Ce sont surtout des paysans chinois, venus des campagnes pauvres alentour. Et tant pis si le travail est souvent pénible, Chongqing est devenu leur eldorado.

LA VILLE FANTÔME QUI BRÛLE DEPUIS 57 ANS - LA "VRAIE" SILENT HILL



 Dans les années 1950, la ville minière de Centralia, en Pennsylvanie, comptait 2 000 âmes. Mais quand un incendie s'est déclaré dans la mine de charbon, il a tout ravagé sur son passage. Aujourd'hui, elle est abandonnée, et les flammes brûlent toujours sous la surface, d'où la brume toxique qui nimbe la ville depuis des décennies.



Les fêtes et festivals les plus insolites dans le monde

On vous plonge dans la culture d'un pays en découvrant l'une de ses fêtes populaires les plus insolites ? Ce sont des festivités beaucoup plus intimistes et vraiment inattendues ! Préparez-vous à plonger dans la boue en Corée du Sud, à faire une gigantesque bataille d'eau en Thaïlande et même à voguer sur les flots à bord d'un bateau en canettes de bière en Australie ! Si ces événements peuvent paraître fantasques à première vue, on vous promet une ambiance de tonnerre ! Voici notre sélection des fêtes et festivals les plus insolites dans le monde.
  • Boryeong, le festival de la boue en Corée du Sud
Chaque année à la fin du mois de juillet, la plage de Daecheon à Boryeong, en Corée du Sud, se transforme en une véritable piscine de boue. Le Mud Festival tend à promouvoir cette substance grise locale qui aurait des vertus thérapeutiques.



 Pour l'occasion, on s'amuse en pataugeant dans la gadoue ! Plusieurs animations sont au programme : piscines de boue, toboggans, châteaux gonflables pour les enfants, ainsi que des massages et un concours de lutte !



  • Groundhog Day, le festival de la marmotte canadien
Le 2 février, en France nous sommes plus occupés à nous goinfrer de crêpes pour la Chandeleur qu'à observer les marmottes ! Pourtant, ce même jour, un événement plus qu'original a lieu au Canada : le Groundhog Day. 


C'est à Punxsutawney qu'on observe le plus cette tradition qui consiste à patienter devant l'entrée du terrier d'une marmotte. Si cette dernière sort et ne voit pas son ombre, on considère que l'hiver est bientôt fini ; au contraire, si elle est effrayée et décide de rentrer dans son terrier, l'hiver durera encore six semaines ! À Punxsutawney, cette marmotte a été renommée Phil, c'est une vraie star locale.


  • Songkran, un Nouvel An bien arrosé en Thaïlande

En Thaïlande, nouvelle année rime avec purification. Pour ce faire, tout le monde s'asperge joyeusement d'eau durant trois jours à l'occasion de Songkran. Cette tradition est plutôt agréable car, au mois d'avril, il peut faire très chaud en Thaïlande. Originellement, les Thaïlandais n'arrosaient que les statues de Bouddha et versaient un peu d'eau sur les mains de leurs aînés, en guise de respect. 
Aujourd'hui, c'est une gigantesque bataille d'eau qui a lieu dans toutes les rues des grandes villes thaïlandaises pour se souhaiter une bonne année ! 
  • La Tomatina, la tomate comme projectile

Tradition controversée, la Tomatina fait partie du patrimoine espagnol. Célébrée tous les ans à Buñol, non loin de Valence, cette gigantesque bataille de tomates a vu le jour en 1945, lors d'une altercation entre plusieurs jeunes qui se seraient affrontés en utilisant ces fruits juteux comme projectiles.
 Aujourd'hui, on vient du monde entier pour se lancer les tonnes de tomates mûres déversées sur la place principale de Buñol pour l'occasion. Pour prendre part à la fête, sachez qu'il faudra vous acquitter d'un droit d'entrée. 
  •  Harbin, un festival de sculptures sur glace

Harbin, au nord-est de la Chine, a su profiter de la rudesse de son climat hivernal pour devenir le théâtre d'un incroyable festival de sculptures sur glace et neige. Chaque année, cet événement unique en son genre se consacre à un thème particulier.
 Des semaines de travail sont nécessaires aux artistes avant que leurs oeuvres soient exposées aux yeux de tous, mais le résultat vaut le détour : de jour, c'est un vrai musée glacé, de nuit, toutes les oeuvres s'illuminent pour former un décor féerique. 
  • Kanamara Matsuri, célébrer la fertilité à Kawazaki

Kanamara Matsuri pourrait se traduire par " fête du pénis de fer ", cet événement a lieu à Kawazaki, au Japon, chaque premier dimanche d'avril. 
Durant cette célébration shinto de la fertilité et de l'harmonie entre conjoints, une insolite procession où sont arborés des phallus géants a lieu. Cet événement est aussi l'occasion de récolter des fonds pour la recherche contre le sida et de lutter contre les discriminations homosexuelles. 
  • Darwin et sa régate des canettes de bière

À Darwin, en Australie, rien ne se perd, tout se transforme ! Chaque année, en juillet, une course de bateau plutôt insolite est organisée à Mindil Beach : la beer can regatta. 
Les participants mettent à l'épreuve, dans les rouleaux de l'océan, leurs embarcations de fortune réalisées en canettes de bière. Un bon moyen de s'amuser tout en recyclant ! Tout au long de la journée, des concerts sont aussi organisés sur la plage. 
  • Kattenstoet, le cortège des chats en Belgique

Prenez vos agendas : à Ypres, tous les trois ans, le deuxième dimanche de mai se tient la Kattenstoet, soit le cortège des chats. Au Moyen Âge, la tradition voulait que ces animaux soient jetés du haut de la tour du beffroi chaque année. 
Compagnons des sorcières, les chats étaient, en effet, assimilés au mal. Aujourd'hui, bien sûr, ce sont des animaux en peluche qui sont jetés de la tour du beffroi, et pour l'occasion une grande parade a lieu dans les rues d'Ypres où chars et chats géants défilent.  
  • UFO festival, un festival extraterrestre dans l'Oregon

En 1950, un agriculteur de McMinnville prit une série de photographies sur lesquelles on pourrait voir un OVNI. Aujourd'hui, McMinnville est connue pour son UFO festival, le plus grand des États-Unis après celui de Roswell.
 Tous les ans, au mois de mai, une grande parade est organisée durant laquelle chacun exhibe son plus beau déguisement d'extraterrestre. Pendant trois jours, la ville entre dans une dimension festive parallèle !
  • Cooper's Hill Cheese Rolling and Wake, la course au fromage anglaise

Tous les ans depuis le XIXe siècle, les collines de Cooper's Hill à Brockworth, en Angleterre, accueillent une compétition plutôt insolite : la course aux fromages. Un énorme double Gloucester cheese de près de 4 kg dévale les pentes à une vitesse folle, l'objectif des participants est de tenter de le rattraper pour remporter la course.
 Leurs chutes sont souvent spectaculaires au vu de l'inclinaison de la colline : seriez-vous prêt à tout pour un savoureux fromage ? 

Les 10 villes fantômes les plus intrigantes

Paysages urbains désolés, maisons aveugles, volets qui claquent. L'ambiance des villes abandonnées fait froid dans le dos... ou séduit.
  • Pripiat (Ukraine)
Une grande roue dominant tristement la ville abandonnée, des autos tamponneuses envahies par les mauvaises herbes, des maisons écaillées ouvertes aux quatre vents, des épaves de voitures et des trains fantômes. Bienvenue à Pripiat, à 3 km de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine. Près de 50 000 personnes vivaient ici, une ancienne vitrine du régime soviétique aux larges avenues et aux carrefours symétriques, construite pour accueillir les ouvriers de la centrale. La ville fut évacuée en deux jours après l’explosion du réacteur qui, en 1986, propagea une pluie de matières radioactives alentour.


La visite guidée de Tchernobyl et de Pripiat coûte environ 180 € pour 2 personnes ; les tarifs sont moins chers si vous intégrez un groupe. Elle n'entraîne pas de risque particulier pour votre santé.

  • Pyramiden (Norvège)
Pyramiden, dans le Svalbard, sur l’île de Spitzberg, n’est plus habitée que par les ours blancs ou les rennes. Vendue en 1926 par la Suède à l’URSS, qui la céda par la suite à une compagnie minière, Pyramiden devint une ville soviétique modèle. Lorsque le charbon se raréfia, dans les années 1990, la compagnie exploitante abandonna la ville. On peut encore voir des livres sur des étagères, un piano à queue et des balançoires dans les jardins d’enfants. Comme de nombreuses autres villes du Spitzberg, une terre de grand froid, Pyramiden est appelée à rester figée dans le temps pour quelques années encore.

Pyramiden est accessible en bateau. Vous serez accompagné par un guide armé, chargé de faire peur aux ours blancs.

Vue de Pyramiden.

  • Mystra (Grèce)


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Perchés au coeur des montagnes du Péloponnèse en Grèce, les vestiges de la ville byzantine de Mystra, d’une très grande poésie, invitent à la rêverie et à la réflexion sur la fragilité des civilisations. Les ruines des églises et leurs superbes fresques, les bibliothèques, les forteresses et les palais de cette cité fortifiée constituent un témoignage unique sur la richesse artistique et intellectuelle de l’Empire byzantin alors à son apogée, avant sa chute presque 1 000 ans après sa fondation.
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La ville, elle, construite peu avant le déclin de l’empire, lui survécut. Très disputée durant des siècles, elle subit de nombreuses influences avant de décliner au XIXe siècle, et de finir par être abandonnée. La grandeur du site mérite une journée de visite.
Emportez de quoi boire, optez pour de bonnes chaussures et commencez par l’entrée haute du site pour le parcourir dans le sens de la descente.


  • Oppède-le-Vieux (France)
Oppède-le-Vieux, situé dans le Petit Luberon en Provence, constitue une visite pittoresque. Dans un décor de roches et de verdure, cette magnifique sentinelle campée en haut d’une crête élève la silhouette sauvage et dentelée d’une forteresse abandonnée.

 Partis dans la plaine au début du XXe siècle, les habitants laissèrent derrière eux ces ruines incroyables desquelles surgissent les vestiges d’un ancien château. Aujourd’hui, environ 20 personnes vivent dans le village, qui a également séduit des personnalités.


Le parking est obligatoire et payant (3 €) L’office du tourisme se situe dans le très beau village de Bonnieux.

L'église abandonnée d'Oppède-le-Vieux.

  • Craco (Italie)


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"Ne bâtissez pas votre maison sur de l’argile", telle serait la morale de l’histoire de Craco. Cette ville médiévale déserte se dresse sur une colline de la Basilicate, en Italie du Sud. Son histoire est ancienne, et même prestigieuse jusqu’à ce que sa population ne déserte le bourg dans les années 1960. La guerre et l’exode rural avaient déjà poussé une partie de ses habitants hors les murs. Séismes, infiltrations d’eau et glissements de terrain achevèrent de fragiliser ses fondations et la population restante migra dans la vallée. Si vous arpentez les rues de cette sentinelle isolée, vous serez assurément impressionné non par les vestiges des palais et des églises encore debout, mais par l’atmosphère de fin du monde qui s’en dégage.
  • Grytviken (Géorgie du sud)

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Il est rare de poser ses valises en Antarctique. Pourtant, l’île de Géorgie du Sud (à ne pas confondre avec l'état européen, la Géorgie) a connu plusieurs vagues de peuplement, des chasseurs de phoques au XIXe siècle, qui abandonnèrent les lieux une fois les animaux décimés, à l’établissement d’une station baleinière au siècle suivant ; les baleines étant en voie de disparition, la station périclita dans les années 1960. 



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Ouverte aux visiteurs, l’île compte notamment une Whaler’s Church (église de chasseurs de baleines) 


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et un cimetière –


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 arrêtez-vous sur la tombe de l’explorateur sir Ernest Henry Shackleton, mort ici en 1922.


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L’administration britannique gère un petit musée,



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 près de l’ancienne station baleinière.


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Ce qui reste d'un cinéma à Grytviken.

  • Sewell (Chili)

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Haut perchée dans la cordillère des Andes, la “ville des escaliers”, Sewell au Chili avec ses rues pentues (impraticables pour les véhicules à roues), ses bâtiments peints de couleurs vives et son école Art déco, donnerait presque envie de s’y installer.




 Née en 1905 pour accueillir les ouvriers de la mine de cuivre d’El Teniente, elle doit son nom à un dirigeant de la compagnie minière américaine. Une fois le filon épuisé, la compagnie rapatria la population dans la vallée, entraînant la fin de Sewell dans les années 1970. Le site figure sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité depuis 2006.
  • Bodie, Californie (États-Unis)

Version très photogénique de la cité fantôme du Far West, Bodiefut pourtant l’une des plus grandes villes de la ruée vers l’or en Californie. Cette localité prospère et violente, qui comptait plus de 10 000 habitants, se vida avec le tarissement des mines. Aujourd’hui, quelques centaines de milliers de visiteurs déambulent chaque année dans cette ville au délabrement étudié – c’est un site classé et surveillé, ce qui l’a préservé du vandalisme. Un voyage dans l’Ouest sauvage plus vrai que nature
Bodie se situe en altitude, dans la partie orientale de la Sierra Nevada. La route d’accès est souvent fermée l’hiver.


Bodie, Californie

  • Real de Catorce (Mexique)


Son surnom, le “Nid d’aigle”, est plus évocateur que son nom d’origine, Real de Minas de Nuestra Señora de la Purísima Concepción de los Álamos de Catorce. Cette ville (presque) fantomatique du Mexique bénéficie d’un emplacement remarquable, à la lisière de la Sierra Madre Oriental. Riche cité argentifère jusqu’au début du XXe siècle, elle a ensuite été désertée. Pourtant, son aura ne cessa de grandir. La beauté de ses maisons coloniales et de ses églises à l’abandon attirèrent les voyageurs, tout comme les légendes nées de son histoire et les croyances des Huichols. 

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cactus hallucinogène, le peyoti.

Dans les années 1970, le peyotl, un cactus hallucinogène, attira des pèlerins d’un genre particulier. Aujourd’hui, Real de Catorce se repeuple et vit ses derniers moments de cité fantôme – dépêchez-vous d’aller goûter son atmosphère surannée !
Aménagée dans un bel édifice restauré, la Mesón de la Abundancia assure le gîte et le couvert.

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Le village de Real de Catorce.

  • Belchite (Espagne)
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Ce village de la province de Saragosse en Espagne du Nord fut entièrement détruit lors d’une bataille entre nationalistes et républicains en 1937. Un nouveau bourg fut édifié près de l’ancien, dont les vestiges, restés en l’état, font office de mémorial de guerre. L’ossature de l’église domine les ruines criblées de balles dont on aperçoit l’intérieur, même si plusieurs édifices sont interdits au public en raison de leur dangerosité. Cette ville dépouillée livre un témoignage poignant sur la guerre civile espagnole, qui détruisit de nombreuses vies ordinaires.




L’ancien Belchite, à environ 20 minutes à pied du nouveau bourg, est desservi par bus depuis Saragosse.

Belchite est connue pour avoir été le site de l'une des batailles les plus symboliques, si ce n'est les importantes, de la guerre d'Espagne. Le village fut pris et repris à de multiples reprises par les nationalistes puis par les républicains. Lors des combats de la bataille de Belchite, en août et septembre 1937, le village fut complètement détruit.