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Le mystère des boules du Costa-Rica.


Au Costa Rica, on retrouve depuis le premier tiers du XXe siècle de mystérieuses et gigantesques pierres sphériques. 
Depuis les années 1930, des centaines de mystérieuses et gigantesques pierres sphériques ont été exhumées dans la vallée du Diquis, au sud du Costa Rica. Elles demeurent néanmoins mystérieuses : on ne connaît pour l’heure ni leur utilité, ni leur date de production précise. La découverte de deux nouveaux exemplaires par l’archéologue Francisco Corrales Ulloa (ancien directeur du musée national du Costa Rica) en cette fin d’année pourrait cependant lever le voile sur ce questionnement : à l’inverse des quelques 300 autres « pétrosphères » connues, celles-ci n’ont pas été déplacées lors de leur mise au jour, et les spécialistes pourraient alors essayer de les dater.














Les 10 phénomènes étranges qui intriguent toujours les scientifiques.

Certaines manifestations ont été expliquées mais d'autres restent totalement mystérieuses.
  •  Les lumières des tremblements de terre.
Pour ce qui est de la controverse, du mystère et de l'échelle planétaire, rien ne bat les lumières des tremblements de terre. Ces illuminations, inexpliquées, éclairent le ciel avant et après un épisode sismique. Qu'est-ce-qui les cause ? Existent-elles vraiment ? Est-ce un tremblement de terre combiné à un violent orage lumineux ? Autant de questions qui subsistent, les preuves de la présence de lumières sismiques remontent à 2000 ans avant Jésus-Christ.


 Pendant longtemps, les géophysiciens sont restés sceptiques face au phénomène. Mais, en 1966, des photos du séisme de Matsushiro au Japon, apportent des indices.


 Désormais, il existe de nombreuses images de ces lumières qui varient autant en couleurs qu'en formes. En 2003, le physicien de la NASA Friedemann Freund suggère que ces phénomènes lumineux résultent de l'activité électrique des roches. Selon lui, les tremblements de terre peuvent altérer les propriétés électriques du silicium et de l'oxygène contenant des minéraux.  
  • Les géoglyphes de Nazca
Couvrant plus de 450 kilomètres carrés de sable du désert, les géoglyphes de Nazca sont d'immenses dessins figurant dans le désert péruvien et incluant des formes géométriques, des animaux, des plantes et de rares silhouettes humaines.


Ces figures auraient été créées par le peuple Nazca, une civilisation pré-inca, entre 500 avant J.-C. et 500 après J.-C., mais personne ne sait réellement pourquoi. En dépit de son statut de Patrimoine Mondial, les autorités péruviennes ont du mal à protéger les géoglyphes. Les archéologues eux tentent toujours de découvrir la signification cachée de ces dessins, avant qu'ils ne soient détruits. Selon certains, les formes feraient partie d'un calendrier astronomique, mais cette théorie a été abandonnée depuis longtemps.


 Depuis 1997, les chercheurs ont tourné leur attention vers l'histoire et la culture du peuple les ayant créés : comment ils avaient vécu et ce qui leur était arrivé. En 2012, l'Université de Yamagata, au Japon, a ouvert un centre de recherche sur le site dans le cadre d'une étude de plus de 1.000 géoglyphes, sur 15 ans.
  • L'orientation des papillons monarques
Chaque année, des millions de monarques, originaires d'Amérique du Nord, effectuent plus de 2.000 km pour migrer vers le sud avec l'arrivée de l'hiver.


 Pendant des années, personne ne connaissait leur destination. Puis, dans les années 50, deux zoologues ont commencé à suivre les papillons. En 1976, ils ont escaladé la "Montagne aux Papillons" pour découvrir que pratiquement l'ensemble de la population de monarques passait l'hiver dans une forêt d'une montagne mexicaine.


 Il semblerait donc que les papillons ciblent moins de 15 sites montagneux. Cependant, personne ne sait vraiment comment ils s'orientent jusque-là. Des études suggèrent qu'ils utilisent la position du Soleil, s'ajustant à l'heure locale grâce aux cycles circadiens de leurs antennes. Toutefois, l'astre ne leur indique pas précisément les montagnes Michoacan.
 

 Il est probable que les monarques se servent donc de repères géographiques. Récemment, les chercheurs ont pu acquérir le code génétique complet de l'animal pour en savoir plus sur son système de navigation.
  • La foudre en boule
De nombreux chercheurs doutent de l'existence même de ces boules de lumière. 


Toutefois, un certain nombre de personnes ont observé le phénomène de leurs propres yeux. Des témoignages qui remontent aussi loin que la Grèce Antique. 


Le phénomène de la foudre en boule est généralement décrit sous la forme de sphères lumineuses qui apparaissent lors d'un épisode orageux. Dans certains cas, elles auraient même traversé des fenêtres ou encore seraient descendues le long des conduits de cheminées. Plusieurs théories suggèrent que la foudre en boule est composée de plasma, alors que d'autres penchent plutôt pour une manifestation lumineuse due à une réaction chimique. En août 2013, des chercheurs de l'Académie de l'US Air Force ont réussi à reproduire et photographier des boules de plasma blanches dans leur laboratoire. Ces dernières ont été générées à partir d'étincelles électriques de très fort courant libérées par des électrodes partiellement submergées dans une solution d'électrolytes. S'ils ne sont pas sûrs d'avoir reproduit de la foudre en boule, ils s'en sont, en tous les cas, approchés, sans pour autant comprendre le phénomène.
  • Les pierres mouvantes de la Vallée de la Mort
À Racetrack Playa, dans le Parc National de la Vallée de la Mort, d'étranges forces sont à l'oeuvre.


Des forces capables de déplacer de lourds rochers à la surface du lac asséché. Et les scientifiques se creusent la tête depuis le début du 20ème siècle, où les traces laissées par les pierres ont été observées pour la première fois. En 1960, des géologues ont débuté le programme de surveillance des roches. Ils ont ainsi observé 30 pierres, pesant jusqu'à 25kg. Sur sept ans, la plupart du temps en hiver, 28 d'entre elles se sont déplacées, parfois sur plus de 200 m. Leur analyse a permis de déterminer une vitesse d'environ un mètre par seconde.


 En 2013, un chercheur de l'Université de Prague a associé ce phénomène au mauvais temps. Selon lui, il se produirait lorsque l'eau à la surface de Racetrack Playa gèle. Ainsi, parce-que les pierres évacuent la chaleur plus rapidement, elles restent plus longtemps gelées. Cela réduirait la force entre la roche et la surface du sol, permettant au vent de les déplacer. Pourtant, personne ne les a jamais observées en action et elles sont restées étrangement sages ces derniers temps. D'après le chercheur, la présence d'un fossé artificiel drainant l'excès d'eau de la Playa en serait la cause.
  • Les Cicadidae (Magicicada ou Cigale de dix-sept ans)
Les larves des Magicicada, de la famille des cigales, émergent de leur tanière souterraine au bout de 17 ans, toutes ensemble. Leur arrivée bruyante n'a qu'un seul but : l'accouplement.


 Ces Cicadidae, présentes aux États-Unis, ont des cycles de reproduction de 13 à 17 ans. Calmes et solitaires, elles passent une grande partie de leur vie sous terre. Ces insectes ne sont donc pas mature avant leur 17ème année. Et cet été-là, tout change. Elle émergent en masse du sol à la recherche d'un partenaire. Deux ou trois semaines plus tard, elles meurent à peu près au même moment, créant des nécromasses de cigales. Leurs petits creusent leur trou dans le sol pour commencer un nouveau cycle. Mais comment font-elles pour rester sous terre aussi longtemps ? En 2013, elles n'avaient pas été vues depuis 1996.


 Plus bizarre encore, si les Magicicada du nord-est des États-Unis émergent au bout de 17 ans, celles du sud-ouest se contentent de 13 ans sous terre. Selon les chercheurs, les cycles des cigales auraient évolué pour éviter de coïncider avec celui de leurs prédateurs. Ainsi, elles évitent chaque prédateur ayant un cycle de vie de plus d'un an mais moins long que le leur. Mais cela n'explique toujours pas comment elles déterminent exactement quand émerger.
  • Les pluies d'animaux
En janvier 1917, le biologiste Waldo McAtee présente son papier, appelé "Averses de matières organiques". Ce dernier contient une liste, évoquant une potion magique, et allant du foin à la peau en passant par les fourmis et les crapauds.


 Selon lui, des larves de salamandres seraient apparues dans le ciel du Minnesota tandis que des poissons pleuvaient sur le Royaume-Uni. En Serbie, ce sont des grenouilles qui seraient apparues et des têtards au Japon. Depuis longtemps, les chercheurs sont assez sceptiques à propos des pluies d'animaux.


 Un physicien français du 19ème siècle, a affirmé que des vents violents de hautes altitudes auraient soulevé les animaux avant de les lâcher. Une théorie plus poussée implique une tornade marine, aspirant la vie aquatique d'un lac ou d'une mare. Les poissons ou les grenouilles seraient alors attirés par le vortex et relâchés au moment où la tornade s'essouffle. Mais aucune étude n'a confirmé ce phénomène.


  • Les sphères mégalithiques du Costa Rica
 Pourquoi les peuples du Costa Rica ont-ils décidé de tailler des centaines de boules géantes de pierre, avant la colonisation espagnole, reste un mystère.


 Découvertes par la United Fruit Company dans les années 30 alors que l'entreprise créait des plantations de bananes, certaines sphères mesurent deux mètres de diamètre. Connues localement sous le nom de Las Bolas, elles dateraient de 600 avant Jésus-Christ à 1000 ans après J.-C. Ce qui rend ce phénomène particulièrement difficile à comprendre est qu'il n'existe pas d'écrits des sphères dans la culture du peuple qui les a créées.


 En effet, les colons hispaniques se sont appliqués pour que l'héritage culturel de cette population disparaisse complètement. Leur distribution fut cartographiée en 1943. Depuis, le Professeur John Hoopes s'évertue à exclure la plupart des théories sur leur rôle, notamment celles liées aux cités perdues et aux extraterrestres.
  • Les fossiles impossibles
Depuis des siècles, les scientifiques font face à de surprenantes découvertes, qui semblent les défier. Les plus dérangeantes ? Les fossiles humains trop vieux ou apparaissant à des endroits improbables.


 Des doigts fossilisés ou encore des traces de pas ont ainsi été découverts dans des régions géographiques ou des époques archéologiques auxquelles ils ne devraient pas appartenir, alimentant les théories créationnistes.  
Si la plupart sont probablement contrefaits ou même faux, certains fossiles pourraient pourtant apporter de nouvelles informations sur l'évolution humaine. En 1911, l'archéologue amateur Charles Dawson prétend avec découvert un crâne sur dimensionné, vieux de 500.000 ans et décrit comme le lien manquant entre les singes et les hommes. À partir des années 50 toutefois, les chercheurs se sont aperçus que le crâne de l'Homme de Piltdown avait été constitué par Charles Dawson à partir d'une mâchoire de primate et d'un crâne vieux de moins de 1.000 ans. D'autres fossiles, encore non élucidés, ont été retrouvés comme une batterie de presque 3.000 ans ou un modèle réduit d'un avion retrouvé en 1898.
  •  Le "hum" à basse fréquence
Le hum est le nom donné à un bruit, de faible fréquence, mais particulièrement irritant.
 Certains penseront à des extraterrestres, d'autres à un moteur de diesel. Généralement, ce bruit, perturbant les habitants de Bristol à Taos en passant par Wellington, est décrit comme une sorte de bourdonnement. Oui, mais le problème majeur, c'est que tout le monde ne peut pas l'entendre.


 Moins d'une personne sur 20 y est sensible. En 2012, en Irlande, des habitants demandent au conseil municipal de régler le problème de bourdonnement persistant. Le conseil a temporairement éteint les pompes à eau, que les résidents remettaient en cause, mais cela n'a rien changé. Plus généralement, les scientifiques attribuent ce phénomène aux acouphènes, au fracas lointain des vagues, au bruit industriel ou encore au déplacement de dunes de sable. 

Il est interdit de fêter le nouvel an en Arabie Saoudite.

Gare aux Saoudiens qui voudraient célébrer la nouvelle année. La police religieuse, chargée du respect des bonnes mœurs, a averti qu'elle veillerait au respect d'une fatwa (décret religieux) du haut comité des oulémas saoudiens, qui interdit les célébrations du Nouvel An dans le royaume.


Les membres de la police religieuse, qui sont connus pour leurs abus, se sont particulièrement adressés aux fleuristes et aux vendeurs de cadeaux, leur demandant de ne pas vendre de roses rouges, d'ours en peluche ou tout autre cadeau qui pourrait être lié à cette occasion.
  

L'interdiction des célébrations est liée au fait que le royaume ultra conservateur, qui applique une version rigoriste de l'islam, suit le calendrier musulman de l'hégire, qui diffère du calendrier grégorien.

10 photos saisissantes de lieux abandonnés.

Déclin économique, crise politique, catastrophe naturelle, accident : les raisons sont nombreuses qui conduisent un hôpital, une ville, un bateau, une maison à se retrouver désertés.
Or il arrive que ces endroits, une fois remplis de leur propre vide, en viennent à dégager une irrésistible poésie, et que cette poésie, le photographe s’en saisisse, voire la sublime.

Voici une sélection de quelques-uns des plus beaux lieux fantômes de la planète.
 
  • Au Maroc, à Ben Smim,  un grand édifice sanitaire abandonné et oublié !



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A Ben Smim, une région montagneuse du moyen Atlas d’une beauté exceptionnelle, à égale distance d’Azrou et d’Ifrane, à un kilomètre à vol d’oiseau de l’aéroport d’Ifrane, se trouve un édifice phare et historique connu sous le nom de l’hôpital Ben Smim ou de sanatorium antituberculeux de Ben Smim.
C’est un vaste cirque bien exposé au midi, à l’altitude de 1650 mètres. 


Les bâtiments sont construits sur la pente à la côte 1520 mètres, dans une petite forêt de chênes verts dominant une vaste prairie. Cet édifice imposant, renommé au niveau international, construit en 1945 par les autorités du protectorat et inauguré le 18 avril 1955, est actuellement abandonné à son triste sort, occupé par les rongeurs et hanté par les clochards et la menace de ruine.


Cet hôpital de 35 hectares et à capacité d'accueil de 400 lits, a entamé sa déperdition depuis 1974, date de sa fermeture définitive par décision ministérielle.

  • Le Christ des Abysses veille sur les morts en mer.
Dans les profondeurs de la baie de San Fruttuoso de Camogli, en Italie, veille un Christ, les bras tournés vers la surface, placé là en 1954 à l'initiative de Duilio Marcante. Considéré comme l'un des fondateurs de la plongée sous-marine italienne, ce dernier souhaite ainsi rendre hommage à son ami Darius Gonzatti, mort quelques années auparavant lors d'une expédition. La statue, surnommée le Christ des Abysses, est plus largement dédiée à tous ceux qui ont péri en mer. D'une hauteur de 2,50m et signée Guido Galletti, l'œuvre a été fondue à partir de médailles de marins, d'éléments navals et même de cloches. Subissant les affronts de la mer, elle doit être entretenue chaque année. C'est lors d'une telle intervention, début septembre 2013, que Marco Faimali, chercheur italien de l'Institut de Science Marine (ISMAR) - Conseil National de la Recherche (CNR), a pris ce superbe cliché.

Le Christ des Abysses veille sur les morts en mer
 

  • Epave ou forêt flottante ?
Rendue à la nature, l'épave du bateau à vapeur Ayrfield (baptisé à l'origine Corrimal), est colonisée par la mangrove, à Homebush Bay, localité située dans la banlieue de Sydney, en Australie. Construite il y a une centaine d'années, l'embarcation longue de quelque 80 mètres, est arrivée en ces lieux en 1972, pour sa retraite, après avoir notamment servi à l'approvisionnement des troupes américaines dans la région Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale.

Epave ou forêt flottante ?

  • Une fosse titanesque, vestige de l'excavation de diamants à ciel ouvert.
Image satellitaire du cratère de la mine de diamants Mir, en Iakoutie, dans l'Extrême-Orient russe, tel que visible sur le logiciel de visualisation de la Terre Google Earth. Avec ses 525 mètres de profondeur et son diamètre de 1,2km, c'est l'une des plus grandes excavations au monde. Après avoir fourni pour plus de 17 milliards de dollars de diamants, elle est abandonnée depuis 2001. L'exploitation du précieux minerai par la compagnie Alrosa se fait désormais par voie souterraine. Anecdote : les hélicoptères et petits avions ont interdiction de survoler le site, des appareils ayant été aspirés par le cratère par le passé.

Une fosse titanesque, vestige de l'excavation de diamants à ciel ouvert

  • Le sable a repris ses droits sur le village de Kolmanskop.
Le village fantôme de Kolmanskop, en Namibie, photographié en juillet 2006 . Retour sur l'histoire des lieux : nous sommes en 1908, dans le sud de la Namibie, alors colonie allemande, lorsque l'ouvrier Zacharias Lewala trouve un diamant et le montre à son patron. De là l'édification du village de Kolmanskop, en plein désert, pour exploiter le minerai. Les équipements les plus modernes y sont installés, dont un hôpital, un casino ou encore une unité de fabrication de glace. Seulement, une fois le filon épuisé, le site est abandonné, et le sable y reprend ses droits. Kolmanskop envahi par les dunes est aujourd'hui une destination prisée des touristes.

Le sable a repris ses droits sur le village de Kolmanskop

  • Le déclin du Parti communiste bulgare
Ce n'est pas un hasard si cette salle de congrès du Parti communiste bulgare a été édifiée au sommet de la Bouzloudja, culminant à 1.441 mètres d'altitude. C'est là qu'en 1881, les socialistes se sont réunis en secret pour organiser le mouvement communiste. Cent ans plus tard, en 1981, un monument y a donc été édifié et richement orné de fresques faites de mosaïques de marbre et de verre. La chute du régime communiste a conduit à l'abandon du site, qui n'a cependant pas été rasé. Restent donc des lieux en pleine décrépitude, dont le cuivre qui ornait la coupole a été pillé, n'en laissant que le squelette, comme on le constate sur cette photo de l'agence Sipa prise en 2009.

Le déclin du Parti communiste bulgare

  • La station balnéaire transformée en ruines de sel.
Difficile d'imaginer que ces lieux désolés, dans la pampa argentine, résonnaient de vie il y a encore une trentaine d'années. Ici s'élevait la station balnéaire d'Epecuen, qui recevait jusqu'à 20.000 curistes chaque été. Voici ce qu'il en reste – la photo date de 2011 – après le drame qui y est survenu le 10 novembre 1985, lorsqu'explosèrent les murs d'enceinte du lac sur les rives duquel était construite la ville. Les habitants n'eurent que le temps de prendre quelques effets personnels et de quitter les lieux. Le niveau de l'eau a depuis baissé, laissant apparaître les ruines de la cité et ses arbres morts. Ce décor est d'autant plus impressionnant qu'il est blanchi par la salinité particulièrement élevée du lac : 380 grammes de sel par litre d'eau, contre 140 grammes par litre pour l'eau de mer.

La station balnéaire transformée en ruines de sel

  • Le berceau du commerce moderne en pleine décrépitude.
Visibles à Anvers, en Belgique, ces ruines sont en quelque sorte le berceau du commerce moderne. Il s'agit des vestiges du premier bâtiment conçu spécifiquement pour abriter une bourse de commerce. D'abord élevé en 1531, il est reconstruit à plusieurs reprises, dont la dernière remonte à la fin du XIXe siècle. Cette photo de 2012 laisse apparaître son style néogothique. Abandonné peu avant l'an 2000, le site doit être prochainement réhabilité, mais sa reconversion traîne en longueur. En attendant, il reste strictement désert.

Le berceau du commerce moderne en pleine décrépitude

  • Les maisons-ovnis de Sanzhi.
Ces maisons-ovnis – devant leur nom à leur forme singulière – ont été construites en 1978 en bord de mer, à Sanzhi, district de la ville de New Taipei, à Taïwan. Pour quelle raison le projet a-t-il finalement été abandonné en 1980 ? Les versions divergent, mais la plus probable est que l'argent soit venu à manquer en cours de route.

Les maisons-ovnis de Sanzhi (1)

  • Vie et mort d'un bateau.
En 1884, le Gayundah, canonnière de sa Majesté, entre en service. Elle effectue ce dernier en Australie jusqu'à 1921, date à laquelle elle est désarmée et vendue. Commence alors pour elle une deuxième carrière, en tant que péniche sur le fleuve Brisbane, qui se poursuit jusqu'en 1950. Toute rouillée et déchiquetée, son épave sert aujourd'hui de brise-lames, à Woody Point, dans l'Etat du Queensland.

Vie et mort d'un bateau