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BOUHAMOU : C’est la moutarde des champs ou sanve (Sinapis arvensis).

C’est une plante annuelle herbacée, placée souvent dans les mauvaises herbes (adventices), envahissant champs et jardins.


Cette moutarde est une plante velue-hérissée de 30 à 80 cm de hauteur.
Elle se rencontre en plaine et en montagne, dans les champs et aux bords des chemins, dans les terrains vagues mais principalement dans les lieux cultivés calcaires.



Les jeunes plantes peuvent être consommées. Les graines une fois moulues peuvent donner une sorte de moutarde. C'est une adventice qui peut poser des problèmes dans notre région.


Ce chat Sphynx et cette souris blanche ont l'air très amis !



L'urginée maritime ou la scille ou Anssel ou Ounsal ou Bsal ed dîb (oignon de chacal) ou Bsal el far (oignon de rat).

C’est une plante vivace à gros bulbe (5 à 15 cm) dont les feuilles apparaissent après les premières pluies automnales, alors que la floraison a eu lieu l'été précédent.


Les feuilles glabres sont longues, dressées et larges de 2 à 10 cm. La hampe florale, simple, peut atteindre 1,50 m et porte une longue grappe dense de fleurs. Fleurs à 6 tépales blancs et nervure dorsale colorée.


Il s’agit d’une plante toxique responsable d'empoisonnements graves, dont la manipulation irrite la peau. On trouve ses bulbes à l'étalage des herboristes car les femmes s'en servent comme abortif en fumigation vulvaire. Pour les uns, elle est aphrodisiaque; pour les autres, cuite dans le couscous, elle détruirait chez le mari ses amours illégitimes. L' urginée fraîche est employée comme diurétique et contre la toux. Elle est aussi connue pour ses propriétés raticides.

Les marchands ambulants omniprésents au Maroc appelés Moul carrossa.


Pour ces commerçants non officiels, qui vendent leurs poissons, leurs légumes, leurs fruits, leurs vêtements et d'autres articles à même le sol ou dans des caddies, la vie est loin d'être facile.


Ils passent leurs journées à espérer un revenu décent et à craindre que leurs marchandises ne soient confisquées par les Forces auxiliaires.


Illettrés, diplômés, jeunes et vieux, hommes et femmes – tous s'adonnent à une profession qui leur rapporte seulement une poignée de dirhams par jour.


Ils sont en effet nombreux à espérer que les autorités construisent des centres commerciaux dans des emplacements réservés et les louent à des prix raisonnables, de manière à légaliser cette activité informelle.

Histoire de l’introduction et de la diffusion de l’oléiculture au Maroc

La culture de l’olivier a été introduite par voie de mer à partir de l’Est de la Méditerranée ou de la Bétique voisine et s’est développée du premier au troisième siècle dans la région Tingitane autour de Volubilis, Lixus et Tinjis. Sa propagation vers Fès est supposée pendant le règne des Idrissides. Sa diffusion vers Marrakech et Tlemcen est attestée pendant la période Almohades. L’examen des textes arabes du XVIIe siècle montre une spécialisation régionale en matière d’arboriculture fruitière au Maroc. Dans le Souss, le palmier dattier, la vigne, l’amandier et le grenadier dominent. Sidjilmassa parait comme une région de prédilection du palmier dattier. Marrakech est plutôt réputée pour son oléiculture. Au Nord, chez les Meklâta de Zerhoun, les Fâzâz, et les Ghomaras du Rif c’est surtout le figuier, l’olivier et la vigne qui dominent le paysage arboricole. L’extension de l’oléiculture dans le Souss, Draâ et Tafilalt parait être tardive pendant le règne des Alaouites qui semblent l’avoir favorisée suite à la décadence que connaissait la culture de la canne à sucre et à l’augmentation du prix de l’huile d’olive espagnole. La dépendance du Maroc envers l’importation d’huile d’olive espagnole est signalée par Picard (2003) et Vanacker (1973). Contrairement à la Tunisie, les exportations d’huile d’olive sont rarement et irrégulièrement signalées. Sa rareté fait que son exportation fût souvent interdite ou soumise à des droits d’exports élevés. La consommation et les disponibilités des huiles d’argan et de l’huile d’olive au Maroc a connu des variations importantes au cours de l’histoire. En 1830, la forêt d’arganier pouvait assurer environ 90% de la consommation d’huile tandis que l’huile d’olive ne pouvait en assurer que 10%. Depuis 1930, l’huile d’argan perd sa position structurante dans la couverture des besoins en huiles végétales alimentaires fluides. Sa contribution qui était importante est actuellement négligeable. La contribution des huiles de graines à la satisfaction des besoins en huile va augmenter rapidement de 25% en 1934 à 80% en 2007. Cette augmentation est due à l’effet conjugué des prix compétitifs en faveur de l’huile de graine, d’une croissance démographique, d’une augmentation de la consommation en huile par capita  ainsi que des efforts des plantations oléicoles qui n’ont pas pu y pallier. Depuis le XIXe siècle, l’huile d’olive et d’argan deviennent des marchandises d’export irrégulier vers l’Europe, ce qui a poussé à une diffusion lente de l’olivier. La diffusion de l’olivier a été intensifiée sous le Protectorat et depuis l’Indépendance bénéficiant non seulement de la création de nouveaux périmètres irrigués, de l’adoption de techniques de multiplication intensives en pépinière (la technique de semis greffage et la technique de bouturage semi ligneux), et de l’augmentation de la capacité de trituration par l’adoption de presses mécaniques, mais aussi de facteurs économiques et politiques (Code des Investissements Agricoles, Discours royal de 1986, Plan National Oléicole, Plan Maroc Vert). De plus, la plasticité de la Picholine marocaine, son adaptabilité aux différentes conditions environnementales des régions oléicoles, son aptitude à un double usage (huile - table), la qualité de son huile qui ne fige pas à température basse, ont contribué à sa diffusion massive et sélective depuis le Protectorat et après l’Indépendance. L’importance de la dimension historique de la diffusion de l’oléiculture au Maroc dans des régions ayant une grande diversité agro-écologique et peuplées par des populations ayant des savoir-faire pour la culture de l’olivier, le stockage des olives et la trituration des huiles très diversifiées expliquent la diversification des huiles produites au Maroc malgré l’utilisation d’une variété dominante, la Picholine marocaine, un peu partout dans le Royaume. La typicité et la spécificité de l’huile obtenue dans chaque région restent le résultat conjugué de l’influence de ces facteurs culturels et édaphiques.

Qui se souvient de ces fleurs mauves ou lavande à feuilles découpées ou HALHAL dans la région d’Ain Défali ?


Recommandée jadis de boire matin et soir une décoction de la plante en cas de problèmes hépatiques.


C’est une plante vivace buissonnante, aromatique à feuilles finement découpées, des fleurs bleues en épi de 2 à 3 cm. Chaque épi se compose de 4 rangs spiralés de boutons parmi lesquels on trouve une ou deux fleurs épanouies.


Le Ginkgo Biloba, l’arbre de l’éternelle jeunesse.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 6 août 1945, une bombe atomique a été lâchée sur Hiroshima par les Américains.




Les plantes et les arbres dans la zone autour de l'épicentre ont été examinés en septembre 1945. Le Ginkgo situé près d'un temple à environ 1 kilomètre de l’épicentre semble avoir été le premier arbre à bourgeonner après l’explosion lors du printemps 1946, sans aucune déformation majeure (le temple lui-même ayant été détruit ).



Ce Ginkgo, symbole de vie et de renouveau, fut intégré dans l'escalier d'accès lors de la reconstruction du temple (l'escalier se présente sous forme d'un U, protégeant le Ginkgo ). Depuis, de nombreuses études ont montré que le Ginkgo présente une grande résistance aux agents mutagènes, comme les radiations.
Six Ginkgos ayant subi un bombardement atomique sont encore vivants.


Les médecines alternatives orientales utilisent les feuilles du ginkgo biloba depuis des millénaires.
En particulier, du fait de ses effets vasodilatateurs, pour traiter les problèmes de circulation capillaires et les insuffisances veineuses.
C’est pourquoi il est utilisé en phytothérapie contre les varices, les hémorroïdes et les problèmes de jambes lourdes.
En particulier, la prise de ginkgo biloba est recommandée en cas de troubles circulatoires liés à l’utilisation de pilules contraceptives.
Riche en flavonoïdes, l’extrait de feuilles de ginkgo biloba, a de puissantes propriétés anti-oxydantes contre les radicaux libres.
C’est pourquoi il est préconisé pour traiter les problèmes de mémoire et de sénilité même si ses effets contre la maladie d’Alzheimer n’ont pas été démontrés.
Mais il constitue une aide naturelle et précieuse pour maintenir vigilance et vitalité de l’esprit et contribue grandement à protéger les yeux et l’acuité visuelle des conséquences du vieillissement. Enfin, il permettrait aux victimes du syndrome de Raynaud de lutter contre le froid.

La méduse est immortelle : C'est un animal marin au corps transparent et mou, d'apparence gélatineuse, en forme d'ombrelle.


L’immortalité : un rêve que l’être humain n’atteindra jamais, contrairement aux méduses de l’espèce « Turritopsis Nutricola », la seule espèce animale pluricellulaire connue qui ne meurt littéralement jamais.

En effet, cette méduse serait capable de remonter le temps, passant d'une phase de vie avancée à une phase de vie plus jeune.


Les nutricula de Turritopsis pourraient être les seuls animaux dans le monde à avoir découvert le secret d'une jeunesse et d'une vie éternelle, une véritable avancée dans le monde scientifique. Cette méduse serait ainsi capable de se rajeunir, une fois une certaine phase de vie dépassée, ne donnant ainsi aucune limite à leur durée de vie. La méduse est la seule et unique animal dans le monde à pouvoir inverser son vieillissement pour revenir dans le temps et régénérer sa structure entière afin de revenir à l'état de sa première phase de vie. Ce processus s'expliquerait notamment par le phénomène de trans-différentiation. La méduse nutricula de Turritopsis a la particularité de régénérer l'ensemble de son corps, et cela de façon infinie. Évoluant souvent en eaux profondes, et puisqu'elles ne peuvent peu ou pas mourir, ces méduses sont en train de développer leur présence dans les eaux du monde entier, et non plus seulement dans les eaux des Caraïbes où elles étaient à l'origine.

Le volcan qui contribua à déclencher la Révolution française.

En juin 1783 eut lieu l’une des éruptions volcaniques les plus importantes de l’histoire.

 

Un volcan islandais, le Laki, projeta d’énormes quantités de poussières et de gaz dans l’atmosphère pendant plusieurs mois.

 

Des nuages de fumée se diffusèrent sur l’Europe, masquant en partie les rayons du Soleil et provoquant un refroidissement dans tout l’hémisphère nord.


Le climat se dérégla pendant plusieurs années : hivers exceptionnellement froids, sécheresses, orages de grêle très violents.

 
 

Ces évènements climatiques extrêmes contribuèrent de manière significative à la pauvreté et à la famine, qui furent l’une des causes de la Révolution française en 1789.
 
 Le Laki

Détente .

Un monsieur trouve un pingouin dans la rue. Il arrête un policier qui passait par là et lui demande ce qu’il doit faire.
- Emmenez-le au zoo.
- D’accord.

Quelques jours plus tard, le même policier rencontre le même monsieur qui se promène avec le pingouin.
- Hé monsieur ! Je vous avais pourtant dit d’emmener ce pingouin au zoo.
- C’est ce que j’ai fait… et il a adoré ça ! Alors aujourd’hui, j’ai décidé de l’emmener au cinéma !





Le père d’un garçon dit un jour à son fils :
« J’ai toujours été premier de la classe ! »
Le fils répond alors « Toi papa ? ça m’étonne ! »
« Oui, oui, dit le père, je te le dis ! Tous les matins, à huit heures, j’étais là ! »



Un prof demande à son élève de conjuguer le verbe marcher.
Je marche, heu…tu marches heu…
Plus vite !
Je cours, tu cours, il court !

Le saviez-vous … ?

La plaque minéralogique ?
Il y a environ un siècle, l’automobile faisait son apparition. Quand elles se firent plus nombreuses, il fallut songer à les distinguer et on décida de les doter d’une plaque numérotée.

S’agissant d’une nouveauté on ne sut trop, en France, à quel service d’Etat en attribuer la distribution.


L’une des institutions les moins chargées était l’office des mines. On lui confia donc cette tâche et, tout naturellement, elles furent baptisées plaques minéralogiques. On essaya bien, en 1929, de corriger cet illogisme en les renommant « plaques d’immatriculation ». mais le pli était pris…

Les derniers jours de l'Allemagne nazie

Un rêve brisé: un soldat allemand
 est assis morose près du Reichstag

Le seul homme qui reste: le maréchal Keitel  assis

C'est ce qui reste d'un transporteur 
de personnel allemand avec un mortier à dix canons


Porte de Brandebourg, autrefois symbole
 d'une nation fière, brisée allemande


Berlin en mai 1945: une ville en ruine

Hommes brisés et vaincus: des pilotes capturés

Keitel marche pour se rendre

Les canons se sont tus à Berlin: 
les derniers hommes capturés

Le combat est terminé.
 Les soldats allemands restants restés vivants

Les enfants de Joseph Goebbels:
 Il les a tués pour qu'ils ne tombent pas
 entre les mains des Russes

Les Russes commencent à distribuer de la nourriture

Le ciel de Berlin: une fois que les avions 
de la Luftwaffe ont fièrement volé;
 maintenant les avions russes dominent
 l'air au-dessus de la capitale autrefois 
fière du Troisième Reich

Mort et destruction dans la ville prussienne orientale

"Dragon's Teeth ': des fortifications allemandes
 pour éloigner les Russe

Une colonne de prisonniers de guerre allemands.
 Une fois qu'ils ont été salués comme des héros
 par le peuple; maintenant ils ont des regards
 tristes ou indifférents

Un soldat russe reprend le trafic

Des chars soviétiques traversent Berlin

Des soldats russes entrent à Viennes

Berlin fin avril 1945