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Les Montagnes de Tianzi en Chine


Ces montagnes fines, grandes et uniques sont si inhabituelles qu’elles ont même été utilisées dans le film « Avatar » de James Cameron. Elles se sont formées sous l’eau il y a 380 millions d’années, la terre s’est levée en raison d’activité volcanique. Certains des piliers ont atteint plus de 1 219,2 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Tianzi Shan, «la montagne du fils du ciel» est un pic colossal qui grimpe à plus de 1250 mètres au cœur des montagnes de Zhangjiajie, surnommées les «premières montagnes étranges de Chine ». Situé dans le nord-ouest du Hunanen, Le Parc national de Zhangjiajie est implanté à 400km de Changsha, capitale de la province.


Un téléphérique conduit au sommet de la montagne et les promeneurs peuvent admirer la magie du décor de tout là haut.. Du sommet de la montagne, on peut contempler les nombreuses vallées entourant les monts Tianzi dont le paysage étrange s’étend sur une surface de 65 km.

Diana, l'incroyable révélation

Le 31 août 1997, une voiture percute à vive allure le treizième pilier du tunnel de l'Alma, à Paris. L'accident coûte la vie à la princesse Diana, à son compagnon, Dodi Al-Fayed, ainsi qu'au chauffeur du véhicule, Henri Paul. Seul le garde du corps du couple, Trevor Rees-Jones, parvient à s'en sortir. Sur les causes du drame, plusieurs hypothèses sont avancées, notamment sur la responsabilité des photographes qui suivaient alors Lady Di. Mais près de vingt ans plus tard, une nouvelle enquête met en lumière un élément crucial, qui, à l'époque, n'a pas été pris en compte par les policiers français et britanniques. Des témoins, qui jusqu'ici avaient gardé le silence, prennent également la parole pour éclairer les circonstances de l'accident.



Comment fabrique-t-on l'oxygène médical ?

 Dans les services de réanimation, un médicament est très utilisé contre la Covid-19 : l’oxygène médical. Certains hôpitaux ont largement augmenté leur consommation de ce gaz simple à produire pendant la crise sanitaire. Comment est-il fabriqué depuis l’air que nous respirons ?

Afrique du Sud: une clinique sur rails pour vacciner contre le Covid-19 jusque dans les zones reculées

 

Un train de la compagnie publique Transnet, le «Transvaco» (notre photo), a été converti en centre de vaccination anti Covid-19, afin de pouvoir atteindre les zones plus reculées du pays.

En Afrique du Sud, tous les moyens sont bons pour amener les vaccins aux populations, à commencer par les chemins de fer. Un train de la compagnie publique Transnet, le « Transvaco », a été converti en centre de vaccination, afin de pouvoir atteindre les zones plus reculées du pays.
À une heure de Johannesbourg, en entrant dans la gare de Springs, laissée à l’abandon, on s’attend à ne trouver que de vieilles rames de trains délabrées. C’est pourtant ici que stationne le Transvaco et ses compartiments refaits à neuf.
Paballo Mokwana est la responsable de cette clinique sur rails. « Voici l’un des wagons, guide-t-elle. Il est équipé de nos frigos et congélateurs pour conserver les vaccins. Et ici, c'est une zone dédiée aux urgences. Un peu plus loin, il y a six compartiments pour que nos employés puissent administrer le vaccin aux patients. »
Sur le quai, une poignée de personnes attendent leur tour. Parmi elles, Sandile, 39 ans. « Je faisais mes courses juste à côté, et j’ai entendu dire que c’était assez efficace et rapide, donc c’est très pratique pour moi. Il faut le faire. La vie a changé, et il faut s’habituer à cela maintenant », explique-t-il.

Deux autres trains
Cette rame a été conçue sur le modèle de deux autres trains médicaux, qui parcourent le pays depuis près de 30 ans pour apporter des soins dans les zones reculées. Un système idéal pour la vaccination, selon Paballo Mokwana : « Nous pouvons ainsi amener le vaccin directement aux communautés. Et la plupart du temps, là où il y a une gare, il y a aussi une station de taxis collectifs ou de bus, et les patients ont donc facilement accès au train. »
Avec une centaine de vaccinations par jour, le rythme est ici assez lent, mais les médecins du rails espèrent attirer plus de personnes dans la région du Cap-Oriental qu’ils sillonneront jusqu’en décembre en changeant de gare toutes les deux semaines.
Un peu moins de 10% des Sud-Africains ont pour l’instant été complètement vaccinés, alors que le pays ne connait désormais plus de pénurie de doses et que tous les adultes peuvent se présenter dans les centres.

Espagne: chaîne humaine après la mort de millions de poissons asphyxiés par les nitrates

Des dizaines de milliers de personnes ont formé samedi en signe de deuil une chaîne humaine autour de la mer Mineure, une lagune salée dans le sud-est de l'Espagne où des tonnes de poissons sont morts des suites d'une pollution aux nitrates agricoles.
La principale cause du manque d'oxygène est l'arrivée dans la lagune de centaines de tonnes de nitrates utilisés comme fertilisants par l'agriculture intensive, qui favorisent la croissance d'algues asphyxiant l'écosystème aquatique.
Les images des poissons morts, privés d'oxygène par cette pollution, ont fait la une des médias espagnols et traumatisé l'opinion publique.


De gigantesques files d'habitants se tenant par la main et auxquels se sont joints des touristes, beaucoup en tenue de plage, se sont formées le long de la plage d'Alcazares, qui s'étire sur six kilomètres sur les rivages de la lagune, d'une longueur de 73 km, selon des images de la manifestation.
Les organisateurs ont estimé à 70.000 le nombre de participants.
 

 


Gard : Perdu pendant les vacances, un chien parcourt 380 km pour retrouver sa famille

Un jagdterrier (illustration) 

Catherine et Roger ont retrouvé leur chien, qu’ils avaient perdu. Une belle histoire, mais qui serait tout à fait banale si le toutou n’avait pas parcouru quelque 380 km pour retrouver sa famille,

La semaine dernière, de retour d’Italie, ces sexagénaires avaient fait un petit détour par Saint-Martin-Bellevue, en Savoie, avant de reprendre le chemin du Gard, où ils résident. Leur chien, un jagdterrier, va se dégourdir les pattes, comme il en a l’habitude. Mais cette fois, il n’est jamais revenu. « Nous l’avons attendu des heures, raconte Catherine, à la station. Nous avons même passé la nuit sur place, en vain. »

Que sait-on des nouveaux variants du coronavirus ?


Qu’est-ce qu’un variant ?
Par définition, les virus mutent en permanence pour s’adapter aux hôtes qu’ils viennent contaminer. Plus les virus se répandent et plus ils doivent muter afin de rester toujours "performants". Mais lorsque les virus se multiplient dans les cellules, leur "recopiage" peut induire des changements de leur séquence génétique. On parle alors de "variants" ou de "souches variantes" pour désigner des souches virales sur lesquelles se sont fixées plusieurs mutations.
Si ces mutations sont sans incidence la plupart du temps, certaines peuvent permettre aux virus de pénétrer plus facilement dans les cellules, de s'y multiplier plus vite et de devenir plus contagieux. Encore mal connus par la communauté scientifique, ces souches variantes du coronavirus pourraient mettre à mal l’immunité développée par les patients ayant déjà été contaminés par la Covid-19 et impacter l’efficacité des vaccins mis sur le marché.

  • Que sait-on du variant "Mu" (B.1.621) identifié en Colombie ?

Un variant colombien pourrait-il être responsable d’une nouvelle vague de l’épidémie de Covid-19 ? Le variant "Mu" a été détecté pour la première fois en Colombie au mois de janvier. Depuis, il a été signalé dans une trentaine de pays. 

En France métropolitaine, ce variant B.1.621 et son sous-lignage B.1.621.1 ont été repérés en mai dernier. Dans son dernier bilan hebdomadaire (26 août), Santé Publique France recensait 105 cas à travers le pays. Aucun d'entre eux n'a cependant été détecté lors des deux dernières enquêtes Flash de séquençage, note l'organisme. 

Pour le moment, ce variant est classé comme "variant à suivre" par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Au 29 août, 4 500 séquences ont été déposées sur GISAID (la plateforme dédiée de partage de données). La prévalence mondiale de ce variant parmi les cas séquencés a diminué et est actuellement inférieure à 0,1 %, a précisé la directrice de l'équipe technique Covid-19 à l'OMS, Maria Van Kerkhove, dans un tweet publié le 31 août.

Dans son dernier bulletin épidémiologique hebdomadaire sur l'évolution de la pandémie, l'OMS appelle cependant à la prudence : si la circulation est faible, la prévalence du variant "Mu" en Colombie (39 %) et en Equateur (13 %) "a constamment augmenté". Par ailleurs, l'organisme alerte sur des mutations qui pourraient indiquer un risque d'"échappement immunitaire" (résistance aux vaccins). Des études supplémentaires sont néanmoins nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques. 

En France, ce variant est classé comme un variant "en cours d'évaluation", selon Santé Publique France. "A l'heure actuelle on ne sait pas comment le B.1.621 se comportera par rapport à Delta et ce variant fait l'objet d'une surveillance attentive, même si une transmission accrue par rapport à Delta semble peu probable", note l'organisme. 

  • Variant C.1.2 : que sait-on de ce nouveau variant identifié en Afrique du Sud ?

Lundi 30 août 2021, l’Institut national des maladies transmissibles d'Afrique du Sud a émis une alerte au sujet d’une “lignée C.1.2” du Sars-CoV-2, qui mériterait une surveillance accrue selon l’organisme. L’Institut indique que ce nouveau variant du Sars-CoV-2 a été détecté dans toutes les provinces d’Afrique du Sud, bien qu’à des taux relativement faibles.

Dans une étude scientifique pré-publiée mais en attente de validation par des pairs, une équipe de chercheurs sud-africains apportent des éléments sur ce C.1.2.  Si l’Organisation mondiale de la Santé ne juge pas ce variant comme étant "préoccupant" ou "d’intérêt", ce pourrait changer si l'on en croit les chercheurs, du fait des particularités de ce variant. Car malgré son faible taux de présence dans la population, ce variant possède des mutations dans son génome qui sont similaires à celles observées dans des variants d’intérêts ou préoccupants, tels que le variant Delta. 

Sur les 5 756 génomes analysés ici, 54 sont issus de la lignée C.1.2. Si la majorité des cas avérés d’infection par ce variant ont été détectés en Afrique du Sud, les chercheurs indiquent avoir répertorié des cas en Europe, en Asie ou encore en Océanie, sans plus de précision. A ce jour, ce variant n’a pas été rapporté comme présent dans l’Hexagone selon les autorités de santé françaises.

L’étude a rapporté "des augmentations constantes de génomes C.1.2 en Afrique du Sud sur une base mensuelle, passant de 0,2% des génomes séquencés en mai à 1,6% en juin, puis à 2% en juillet". Une progression semblable à celles observées lors de l’émergence des variants Beta et Delta en Afrique du sud.

L’inquiétude des chercheurs vient notamment des mutations N440K et Y449H présentes dans le génome du C.1.2, lesquelles sont associées à un risque d’échappement immunitaire. En clair, les vaccins actuellement commercialisés dans le monde pourraient ne pas suffire à développer une immunité suffisante contre ce variant-ci. Le fait d’avoir déjà contracté la Covid-19 récemment pourrait également ne protéger que partiellement.

Le C.1.2 "contient un certain nombre de mutations clés que nous voyons dans d'autres variants qui sont devenus des variants d'intérêt ou de préoccupation", a déclaré le Dr Megan Steain, virologue et maîtresse de conférence en immunologie et maladies infectieuses à la Central Clinical School de l'Université de Sydney (Asutralie), interviewée par The Guardian. "Chaque fois que nous voyons ces mutations particulières apparaître, nous aimons garder un œil dessus pour voir [comment cela va évoluer]. Ces mutations peuvent affecter plusieurs choses, comme le fait d’échapper ou non à la réponse immunitaire ou de se transmettre plus rapidement", a-t-elle précisé.

La scientifique a ajouté qu’il faudra d’autres travaux en laboratoire pour mieux connaître ce variant et essayer d’en prédire l’évolution.

  • Que sait-on du variant lambda (C37), identifié au Pérou ?

Selon l'OMS, le variant dit "Lambda" a été détecté pour la première fois à Lima, au Pérou, en août 2020. Il est considéré comme un variant d'intérêt (VOI) depuis le 14 juin 2021, car il "a été associé à des taux substantiels de transmission communautaire dans de nombreux pays, avec une prévalence croissante dans le temps, parallèlement à l'augmentation de l'incidence du Covid-19", indique l'Organisation mondiale de la Santé.

Il est porteur de plusieurs mutations susceptibles avoir un impact sur la transmissibilité ou l'échappement à la réponse anticorps neutralisante (notamment L452Q, F490S, del247-253). "La 'combinaison inhabituelle' des mutations portées par le variant Lambda fait notamment craindre à de nombreux scientifiques qu’il puisse être plus transmissible", confirme Tara Hurst, spécialiste en science biomédicale à la Birmingham City University, dans un article publié par The Conversation.

Le variant Lambda est-il plus dangereux que la souche originale ?

Actuellement, les preuves scientifiques disponibles pour répondre à cette question sont minces car aucune étude sur le variant Lambda n’a encore été réellement publiée, indique Tara Hurst. Deux études disponibles en preprint suggèrent que les vaccins actuellement utilisés resteront protecteurs contre le variant Lambda. "Le fait que ces deux études indiquent que la neutralisation par les anticorps est au moins partiellement conservée est prometteur, notamment parce qu’il ne s’agit que d’une des facettes de la réponse immunitaire induite par la vaccination", indique la spécialiste.

D'après deux études citées par Santé Publique France dans son analyse des risques du 15 juillet, il n'y a pas "d'élément probant en faveur d'un impact notable sur l'efficacité vaccinale", même si les deux études utilisant des pseudotypes "suggèrent une augmentation de son pouvoir infectieux et de l'échappement à la réponse neutralisante post-infection et post-vaccinale supérieurs à ceux de virus de référence." Toutefois, la communauté scientifique ne dispose pas encore de suffisamment de données et d'études pour évaluer la résistance du variant Lambda aux vaccins à ARN messager de Pfizer/BioNTech et de Moderna. En revanche, selon une étude de l'université de Chili, l'efficacité du vaccin chinois, CoronaVac, contre le Covid-19 est réduite de 3,05 fois dans le cas du variant Lambda, contre 2,33 pour le variant Gamma et 2,03 pour le variant Alpha.

  • Que sait-on du variant Delta : contagion, diffusion, dangerosité ?

Les données de séquençage confirment que le variant Delta (lignage B.1.617) est le variant majoritaire en France métropolitaine depuis la semaine du 5 juillet (semaine 26). Il représente la quasi-totalité des virus circulant sur le territoire métropolitain, avec 98 % des virus séquencés sur les prélèvements interprétables de l’enquête Flash #19 du 10 août. En Outre-mer, les données de criblage et de séquençage indiquent également la prédominance de Delta, dont la proportion continue d’augmenter dans tous les territoire.

Il a été identifié pour la première fois à l’automne 2020 dans la région de Nagpur, en Inde. À date, tous les pays d'Europe y sont confrontés. Selon les dernières données de GISAID, la majorité des cas de B.1.617 sont identifiés en Inde, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Allemagne et à Singapour.

Ce lignage inclut trois sous-lignages, caractérisés par les mutations L452R et P681R : 

  • B.1.617.1 (Kappa, VOI), 
  • B.1.617.2 (Delta, VOC), le plus fréquent en France,  
  • et B.1.617.3.

Quelles différences entre les trois principaux variants indiens ? 

Chacun des variants indiens implique un risque différent, selon le Conseil scientifique (avis du 24 mai 2021) :

  • Le sous-lignage B.1.617.2 (variant Delta), qui ne présente pas la mutation E484Q (contrairement à ce qui avait été initialement annoncé), est le lignage le plus fréquemment détecté en France et en Europe. A noter qu’il comporte également des mutations spécifiques additionnelles pouvant lui conférer un avantage de transmissibilité supérieur aux deux autres lignages (L452R associée à T478K en l'absence de mutation E484Q). Il est classé VOC depuis le 12 mai par l'OMS.
  • Le sous-lignage B.1.617.1, (variant Kappa) qui présente aussi la combinaison des deux mutations, a été détecté en Europe et en France, mais à une fréquence faible en comparaison du lignage B.1.617.2. Parmi les trois virus, c'est celui qui présente la différence antigénique la plus importante par rapport à la souche historique "Wuhan" et donc un risque d’échappement immunitaire. Il est classé VOI. 
  • Le sous-lignage B.1.617.3, qui présente la combinaison des mutations L452R  (pouvant être associée à une augmentation de la transmissibilité du virus) et E484Q (responsable de l’échappement immunitaire partiel post-infectieux et post-vaccinal) a très peu diffusé en Inde et hors de l’Inde.

Le variant Delta "40 à 60 % plus transmissible" que le variant Alpha

Il est encore difficile de se prononcer sur l’échappement immunitaire (c’est-à-dire qui échappe à la réponse immunitaire induite par une précédente infection ou par un vaccin) lié au variant Delta, mais sa transmissibilité encore plus forte par rapport aux autres variants semble se confirmer.

"Ce variant se caractérise par unecompétitivité accrue par rapport aux autres variants, notamment le variant Alpha. Il est plus transmissible que les virus historiques (environ 2 fois plus) et que les VOC Alpha (environ 40 à 60 % plus transmissible), Beta (environ 60 %) et Gamma (environ 30 %)", indique Santé publique France dans une analyse de risque parue le 28 juillet. Et d'ajouter : "parmi les facteurs possibles pouvant expliquer cette augmentation de la transmissibilité de Delta, plusieurs sources de données différentes indiquent une augmentation de la charge virale dans le nasopharynx chez les personnes infectées par rapport à Alpha et autres souches virales de référence."

"Une étude récente menée sur un nombre réduit de personnes suggère un raccourcissement de l’intervalle générationnel de Delta par rapport aux souches de référence (4 jours versus 6). Des données britanniques, canadiennes et de Singapour indiquent une augmentation du risque d’hospitalisation et de formes sévères en lien avec ce variant par rapport au VOC Alpha et autres souches de référence", précise encore l'organisme.

Le variant Delta, aussi contagieux que la varicelle selon les autorités américaines

Le variant delta n’est pas plus responsable de forme grave de Covid-19 chez l’enfant

Le variant Delta, plus dangereux pour les femmes enceintes, selon une étude pré-publiée.

  • Tout savoir sur le variant Alpha (20I/501Y.V1)

Signalé le 14 décembre 2020 à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le variant 20I/501Y.V1 (variant Alpha), est apparu en Angleterre au mois de septembre 2020.  En France métropolitaine, le VOC Alpha ne représentait que 0,2% des séquences interprétables lors de l’enquête Flash #17 (27/07/21 - données préliminaires), selon la dernière analyse de risques de Santé publique France.

Plus contagieux, le variant anglais serait plus mortel

"Ce variant est associé à une transmissibilité accrue (de 43 à 90 %) et possiblement à une forme plus sévère de la maladie, à un plus haut risque d’hospitalisation (40-64 %) et à une mortalité plus élevée (30-70 %)", indique Santé publique France dans son bilan hebdomadaire du 29 avril. Selon une enquête publiée fin janvier 2021 par l'Office national des statistiques, cette  souche aurait en effet tendance à exacerber les symptômes "traditionnels" de la Covid-19 (toux, fatigue, courbatures). En revanche, la perte du goût (agueusie) et perte de l'odorat (anosmie) semblent moins fréquentes.

Une étude anglaise, publiée en mars 2021 dans le British Medical Journal, affirme que le variant anglais est entre 30 et 100% plus mortel que la souche historique du SARS-CoV-2. Les scientifiques ont comparé les taux de mortalité chez les personnes infectées par le variant anglais et celles infectées par d'autres souches, entre novembre 2020 et janvier 2021, lorsque le virus classique et ce nouveau variant étaient présents au Royaume-Uni. Cette analyse comparative a permis de constater que les personnes infectées par ce nouveau variant étaient 64 % plus susceptibles de mourir (une augmentation du nombre de décès de 2,5 à 4,1 sur 1 000 cas détectés). "Dans la communauté, la mort par infection Covid-19 est encore un événement rare, mais le variant anglais augmente le risque. En plus de sa capacité à se propager rapidement, cela fait de lui une menace à prendre au sérieux".

Chiens et chats peuvent être contaminés par le variant Alpha, dit variant anglais

Le variant britannique du Sars-CoV-2, appelé B.1.1.7 a été détecté pour la première fois en février 2021 chez un chien et un chat issus du même foyer, dans le comté de Brazos, au Texas (États-Unis). "Parce que ce virus peut se propager entre les humains et les animaux, il est important que les personnes atteintes de la Covid-19 restent à l'écart des animaux domestiques et des autres animaux, tout comme elles le font envers d'autres personnes, afin d'éviter la propagation de ce virus aux animaux", a déclaré dans un communiqué le Dr Casey Barton Behravesh, directeur du Bureau One Health du CDC, les autorités de santé américaines.

En clair, l’application des gestes barrière vaut aussi pour les interactions humain-animal, en cas de test positif. On veillera notamment à bien se laver les mains avant de toucher et après avoir caressé son animal, et idéalement porter un masque pour éviter de le contaminer. Sur la base des informations disponibles à ce jour, le risque de transmission du coronavirus des animaux de compagnie vers l’homme est considéré comme faible

  • Tout savoir sur le variant Beta (20H/501Y.V2)

Le variant Beta,  20H/501Y.V2, a été détecté en Afrique du Sud au mois de décembre 2020. Les résultats des séquençages génétiques indiquent sa présence depuis le mois de novembre 2020. Sa présence régresse depuis le mois de juillet, avec une prévalence inférieure à 1% depuis Flash #15 et aucune détection dans Flash #17.

Ce variant repose sur la mutation E484K qui agit directement sur la protéine Spike. Problème, cette nouvelle version du virus semble diminuer la reconnaissance du virus par les anticorps. Il provoque les mêmes symptômes que la version initiale du virus.

"Des études préliminaires suggèrent que ce variant est associé à une transmissibilité plus élevée de 50 % et un risque plus élevé d’échappement immunitaire et de réinfection. Certaines recherches indiquent un risque accru de décès à l’hôpital de l’ordre de 20 %. Ce variant aurait la capacité d’échapper à la réponse immunitaire post-infection et post-vaccinale, et pourrait par conséquent accroître le risque de réinfection", indique Santé publique France.

  • Tout savoir sur le variant Gamma (20J/501Y.V3)

Identifié début février en France, le variant Gamma, 20J/501Y.V3, aurait émergé courant décembre 2020 à Manaus (Brésil). Comme le variant sud-africain, il présente la mutation E484K qui pourrait lui permettre d’échapper partiellement à la réponse immunitaire de l’organisme.

"Gamma circulait davantage pendant plusieurs semaines (entre 1,5% et 1,9% dans les enquêtes Flash #13 à #15), mais a diminué pendant les deux derniers Flash #16 et #17 (0,3% et 0,5%, 9 et 2 détections)". Et d'ajouter : "En Guyane, Gamma qui connaissait une recrudescence épidémique depuis fin-mars, avec une prévalence de 80-95 % de mars jusqu’en mi-juillet, a fortement diminué dernièrement (33 % des tests criblés était positifs à la mutation E484K en S31)."

"Plusieurs études montrent une transmissibilité plus importante par rapport aux souches autres que variantes (de 40 à 120 %). De plus, ce variant aurait la capacité d’échapper à la réponse immunitaire induite par un premier contact avec des souches d’origine, et pourrait par conséquent accroître le risque de réinfection", précise Santé publique France.

L’impact de la vaccination sur ce variant est toujours à l’étude. Selon de premières données, ce variant brésilien présente deux mutations E484K et N501Y sur la protéine Spike. La première permettrait aux virus d'échapper aux anticorps lors d'une réinfection ou après une vaccination.


Deux nouvelles trémies seront construites à Rabat et à Sale

  Lancement du projet de trémie de Bab Lhad - MapRabat

La Société Rabat Région Aménagements a lancé, mercredi 25 août, deux appels d'offres relatifs à la construction de deux trémies, à Rabat et à Salé.
Un premier appel d’offres correspond à la réalisation d’une trémie à l’intersection de l’avenue Abderrahman Bouabid avec l’avenue Al Boustane à la ville de Rabat. Le montant alloué au chantier s’élève à 47,5 millions de DH.
Le second appel d’offres correspond aux travaux de réalisation d’une trémie à l’intersection de la route Ain Houalla et l’avenue Ouali Al Had Sidi Mohamed à la ville de Salé. L’enveloppe budgétaire pour ce chantier est de 58,6 millions de DH .
L’ouverture des plis relatifs au premier appel d’offres est prévue pour le jeudi 16 septembre 2021 à 10h00. Pour le second, c’est le jeudi 16 septembre 2021 à 11h00.

Deux nouvelles trémies à Rabat

Un chat parcourt 1.200 km à travers la France pour retrouver sa maîtresse

Cookie, disparu à Grasse, a été retrouvé dans le Calvados, près de chez sa maîtresse.  

Cookie, disparu à Grasse, a été retrouvé dans le Calvados, près de chez sa maîtresse.

Une chose est sûre, Cookie a de la suite dans les idées. Disparu en février 2013 alors que sa maîtresse originaire du Calvados l’avait emmené avec elle pour un cours séjour à Grasse (Alpes-Maritimes), à près de 1.200 km de là, le chat ne donne plus de nouvelles pendant dix-huit mois

Le 26 août 2014, un an et demi plus tard, elle est revenue depuis longtemps dans sa ville de Beaumont-en-Auge lorsqu’elle reçoit un appel d’un vétérinaire à 35 km de chez elle, à qui une dame vient d’amener l’animal, «amaigri et sale». Il est parvenu à identifier sa maîtresse grâce à la puce électronique que portait Cookie.

Le syndrome de La Havane


Le syndrome de La Havane est un ensemble de troubles auditifs, d'étourdissements et de céphalées dont ont eu à souffrir certains membres du personnel diplomatique canadien et américain basé à La Havane, à Cuba, à compter de fin 2016.
En définitive, ces troubles sont probablement dus à de l'énergie micro-onde dirigée, selon le rapport rendu par l'Académie nationale des sciences des États-Unis à ce sujet.
D'origine indéterminée, les premières hypothèses faisaient référence à une attaque de puissances hostiles via une technologie indéterminée.


Deux scientifiques ont soumis comme hypothèse que la stridulation d'un grillon — Anurogryllus celerinictus (en) — pourrait être la cause du malaise. Ce qui est infirmé par la présence de dommage au cerveau visibles à l'imagerie médicale et la possibilité de ne pas les entendre au moyen de bouchons auditifs.
Toutefois, une étude canadienne publiée le 24 mai 2019 et citée par un article web de CBC News, soutenait, en se basant sur des analyses sur des diplomates canadiens affectés par le syndrome de La Havane, que des neurotoxines étaient compatibles avec les symptômes observés. Leur explication de la cause racine du syndrome est l'augmentation de l'utilisation de la fumigation par les ambassades elles-mêmes, dans le but de détruire les parasites, ce qui est soutenu par les analyses sanguines.

Etats-Unis : la côte est sous la menace de la tempête Henri


La côte Est des Etats-Unis se prépare à l'arrivée de la tempête Henri. L'état d'urgence a été lancé à Long Island et à New York.
La tempête tropicale Henri a touché, dimanche midi, les terres du nord-est des États-Unis, où les autorités demandent la plus grande prudence à la population, notamment face à de potentielles inondations et coupures de courant.


Avec des vents allant jusqu’à 95 km/h, Henri a touché les côtes américaines de la Nouvelle-Angleterre, au niveau de l’État de Rhode Island, à environ 12h15, selon un bulletin du Centre américain de surveillance des ouragans, le NHC, qui l’a rétrogradé d’ouragan à tempête tropicale.

Covid. 6.513 nouveaux cas et 106.000 doses ce samedi 21 août 2021

 

Ce samedi 21 août 2021, et au cours des dernières 24 heures, 6.513 nouveaux cas ont été déclarés. Mais le taux de positivité des tests est élevé: 22,23%. Il faut remonter au 16 août pour trouver un taux plus élevé.

Le nombre de cas actifs est en baisse visible: 77.707 contre 81.045 la veille, chiffre le moins élevé de la semaine. Le nombre de cas actifs est une conséquence de la baisse des chiffres déclarés.

EN réanimation et soins intensifs, la hausse du nombre de cas hospitalisés se poursuit: 2.458 patients contre 2.406 la veille et 2.259 le 18 août. Au cours des dernières 24 heures, 298 personnes y ont été admises. 69 patients sont sous intubation invasive, chiffre en baisse (83 le 19 août). Le taux d’occupation des lits de réanimation est de 51,6%, le plus élevé de toute la semaine.

Pour ce qui concerne la situation dans les villes, notons 966 nouveaux cas à Casablanca et 789 nouveaux cas à Salé.

La campagne de vaccination se poursuit, au rythme qui est celui des week-ends. 106.015 doses »seulement » ont été administrées, dont 41.313 de premières doses et 64.702 de deuxièmes doses.

Au total, le Maroc a administré 30.136.555 doses jusqu’à présent. 12.874.716 personnes sont complètement vaccinées, soit 51,5% de la population cible (les 25 millions représentant les 17 ans et plus).

Nous avons également constaté qu’une campagne de vaccination des 12-17 ans, dans les écoles, est prête dans toutes les régions. Cette campagne utilisera le vaccin Pfizer. Elle concernera toutes les personnes scolarisées et ayant cet âge, qu’elles soient dans le public, le privé ou les missions étrangères


Vaccin à ARN messager contre le virus du Sida

 seringues  

La recherche d'un vaccin contre le virus du Sida avance depuis 30 ans.

Après le Covid-19, Moderna teste un vaccin à ARNm contre le VIH, le virus du Sida. Après 30 ans de recherche, il se pourrait que cette nouvelle plateforme apporte enfin un espoir dans la lutte contre cette maladie.

 Après le Covid-19, l'infection par le virus du Sida (VIH) pourrait-elle être efficacement prévenue par les vaccins à ARNm ? C'est l'espoir de la société Moderna, en collaboration avec l'International AIDS Vaccine Initiative (IAVI) et la fondation Bill et Melinda Gates, dont un candidat vaccin entre en phase 1 d'essais cliniques (sur l'humain) en 2021.

Covid-19 vs VIH : deux cibles très différentes

"Comment se fait-il qu'un vaccin contre le Covid-19 ait pu être développé si vite, alors qu'en 30 ans les chercheurs n'ont pas abouti sur le Sida ?". La question est souvent entendue. Grâce à des investissements colossaux, une collaboration scientifique et administrative mondiale et une prise de risque financière considérable, plusieurs vaccins très efficaces contre le Covid-19 ont en effet vu le jour en seulement un an. Il serait cependant faux de dire que la recherche du vaccin contre le VIH piétine là où celle contre le Covid-19 a galopé. "La recherche d'un vaccin contre le VIH nous a plus appris sur la manière de développer des vaccins de nouvelle génération que toute autre entreprise scientifique. Ce n'est que grâce à cela que nous avons pu développer les vaccins Covid aussi rapidement", rappelle Mark Feinberg, président et directeur général de l'IAVI, auprès de The Body, plateforme de news scientifique dédiée au Sida.

Les vraies causes de la débâcle américaine en Afghanistan

 Afghanistan : Chronologie d'une débâcle historique

Depuis 1945, les États-Unis ont perdu ou, du moins, n’ont clairement remporté aucune de leurs grandes guerres : Corée, Vietnam, Irak, Afghanistan et même, d’un certain point de vue, Cuba.

C’est une défaite ou un match nul... ou le prolongement de coûteuses et, ultimement, futiles opérations pour tenir à bout de bras des sociétés instables et qui n’attendent que le départ des Américains.

Afghanistan – La facile victoire des talibans écorne l'image de l'Amérique  | 24 heures

Pourquoi ?

Cinq raisons fondamentales, dit mon correspondant, expliquent cela.

  • Premièrement, leurs armements ultra-sophistiqués et l’énormité de leurs moyens ne parviennent pas à compenser leur méconnaissance de terres lointaines et l’extraordinaire motivation d’ennemis qui défendent leur sol, qu’ils connaissent parfaitement, et qui jouissent de plus d’appui populaire que ce que la propagande américaine veut nous faire croire. 
  • Deuxièmement, on peut greffer un rein, mais pas une démocratie. La démocratie exige, pour s’enraciner, un sol fertile, des mentalités, une culture civique, bref, des conditions sociales qui prennent des décennies, voire des siècles pour fleurir.
  • Troisièmement, le soldat américain de base n’est pas un « guerrier »,  dans le sens ancestral du terme. Hollywood aura beau mythifier le sniper américain, le SEAL, le Marine, mais ce n’est pas quelqu’un qui est prêt à mourir pour sa cause. 

La plupart du temps, le soldat américain est un homme de condition modeste, payé pour se battre, qui avait le choix entre l’armée ou passer sa vie à ranger des boîtes dans un entrepôt. 

Le meilleur équipement, le meilleur entraînement ne transformera pas un mouton en loup, même si ce bon gars peut occasionnellement péter sa coche et commettre des atrocités. Son adversaire, lui, est fait d’un autre bois. 

  • Quatrièmement, les Américains sont un peuple introverti, tourné sur lui-même, qui voyage peu, et qui est, sauf exception, très ignorant des autres cultures. L’Américain de base n’est pas curieux et trouve incompréhensible qu’on ne pense pas comme lui. 

George W. Bush et Donald Trump, très populaires parmi les soldats, incarnaient cela jusqu’à la caricature.

L’armée américaine semble s’imaginer qu’elle peut acheter les sympathies d’un village afghan ou irakien en y distribuant du Coke, des hot-dogs, du ketchup ou des DVD de Disney. On rit dans son dos.

 Lobby

  • Cinquièmement, même quand une intervention militaire est très incertaine, qui pousse sans relâche pour qu’on fonce ? L’industrie de l’armement et ses lobbyistes. 

Pour elle, la guerre, c’est une occasion d’affaires. Pas de guerres, pas de profits. Dick Cheney et Halliburton, ça vous sonne une cloche ? 

On fonce pour des raisons commerciales autant, sinon plus, que pour des raisons géostratégiques. Que les États-Unis gagnent ou perdent, les vendeurs d’armes, eux, gagnent à tous les coups.

Portrait du variant Delta

Qu'est-ce que le variant Delta ?

Le variant Delta est un mutant du Sars-CoV-2, le virus à l'origine de la pandémie Covid-19. En effet, de nombreux variants circulent dans le monde, comme le variant Alpha, émergé au Royaume-Uni, le variant Bêta, venant d'Afrique du Sud, le variant Gama, originaire du Brésil.
Le variant Delta, lui, a été découvert pour la première fois en octobre 2020 en Inde, dans la région de Nagpur. Ce dernier a rejoint la liste des variants préoccupants car il serait 40 à 60% plus contagieux que le variant anglais, qui est déjà lui-même beaucoup plus contagieux que la souche historique du Sar-CoV-2.

 Actuellement dans une course effrénée entre la vaccination et les variants, le but est de vacciner une grande partie de la population, afin d'atteindre l'immunité collective - entre 77% et 80% de la population vaccinée-, le seul moyen de lutter efficacement contre le virus.

 

Qu'est ce que le variant Delta Plus ?

Dans un communiqué publié fin juin, le ministère indien de la Santé a indiqué avoir placé les États du Maharashtra, du Kerala et du Madhya Pradesh en alerte. En cause, une nouvelle mutation du variant du coronavirus, nommé «Delta Plus», classé comme «préoccupant» par les autorités sanitaires indiennes.

Il se définit par une transmission accrue, une liaison plus solide aux récepteurs des cellules pulmonaires et une diminution possible de la réponse des anticorps monoclonaux.

Variant Delta Plus : ce que l'on sait - Top Santé

Le «père du sudoku» est mort à 69 ans

 Godfather of sudoku' Maki Kaji dies at 69 - The Mainichi

Maki Kaji, l’homme qui a popularisé le sudoku en lui donnant son nom japonais dans les années 1980, est mort, le 10 août 2021,à l’âge de 69 ans d'un cancer des voies biliaires.
Le concept originel du jeu, le carré latin, a été inventé au XVIIIe siècle, en Europe, par un mathématicien suisse, Leonhard Euler.
Sa version moderne, différente en raison de sa subdivision en neuf carrés de neuf cases, a été découverte au début des années 1980 dans un magazine américain par Maki Kaji, qui l’a alors importée au Japon.
Trouver un nouveau puzzle est «comme trouver un trésor», avait déclaré M. Maki à la BBC, en 2007.

Le Point - ⚫ Maki Kaji, l'homme qui a popularisé le Sudoku en lui donnant  un nom japonais dans les années 1980, est mort d'un cancer à l'âge de 69  ans. https://bit.ly/2W5mmqR |

C’est lui qui lui a donné son nom japonais — sudoku —, contraction de la phrase «les chiffres doivent être seuls», dont les deux caractères chinois peuvent être traduits par «nombres solitaires».
Le jeu s’est répandu dans le monde lorsque Wayne Gould, un juge retraité de Hong Kong, amateur de jeux de patience, a décidé en 1997, après avoir découvert le sudoku au Japon, d’écrire un programme informatique générant des grilles de sudoku.
Le joueur de sudoku doit compléter une grille de 9 sur 9 (81 cases) avec des chiffres allant de 1 à 9, de telle manière qu’aucun n’apparaisse deux fois dans la même ligne, dans la même colonne ou le même sous-carré.

Maki Kaji, 'godfather' of sudoku, 1951-2021 | Financial Times

Que vous dit votre petit doigt ?

Vos doigts représentent les planètes, vous le saviez ? Et bien oui, l’index doigt de Jupiter, le majeur doigt de Saturne… Découvrez tout ce qu’ils vous réservent.

lignes de la main  

L’index, doigt de Jupiter :

Il représente l’autorité et le besoin de réussite.

• S’il est long, il note une propension certaine à dominer et commander. C’est la marque des leader, entre amis comme en duo.

• S’il est court, la personne est d’avantage réservée, et manque même parfois de confiance en soi ou d’ambition. Peu encline aux responsabilités, elle a tendance à se laisser porter par son conjoint.

• S’il penche vers le majeur, c’est la possessivité et la méfiance qui sont ainsi traduites.

Le majeur, doigt de Saturne :

DOIGTS: MAJEUR raconte moi tes secrets | JOURNAL LA CHOUETTE

Il est la marque de l’équilibre et de la responsabilité.

• S’il est long, il représente la prudence et la capacité à diriger. Cela concerne en général des personnes à fort caractère, dotées de charisme.

• S’il est court, ce sont d’avantage la frivolité et l’incapacité à trancher qui sont à l’œuvre.

• La position du majeur intervient enfin sur l’harmonie des relations humaines. S’il est droit, il traduit un équilibre quasi parfait. S’il penche vers l’index, le besoin de compagnie prédomine. Dans le cas contraire, on a affaire avec des personnes plus solitaires.

L’annulaire, doigt du Soleil :

Annulaire (anatomie) — Wikipédia

Il concerne les dons artistiques et l’émotivité.

• S’il est long, il est la preuve même d’une grande créativité, qui ne demande qu’à s’exprimer et souvent, captive votre moitié.

• S’il est court, il révèle une personnalité plus renfermée, moins encline à partager ses sentiments.

L’auriculaire, doigt de Mercure :

Et le petit doigt ? | Instinct Guitare

• Il représente le domaine des affaires et de la communication.

• S’il est long, il appartient aux personnes qui savourent la vie, rayonnent par leur facultés intellectuelles et sont très éloquentes. Il est aussi un signe de puissance.

• S’il est court, des difficultés à s’exprimer et à être compris sont à prévoir.

• Droit, il est le symbole même de l’honnêteté.

• S’il est très écarté de la main, il représente indépendance et originalité.