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Madrid assure que le gazoduc Maghreb Europe (GME) ne transporte pas de gaz algérien à destination de Rabat.
L’Espagne a commencé, pour la toute première fois, à acheminer du gaz vers le Maroc à travers le gazoduc Maghreb Europe (GME), assurant qu’il ne s’agissait pas de gaz algérien, alors que l’Algérie n’alimente plus le GME à destination de l’Espagne depuis fin octobre 2021 sur fond de crise diplomatique.
L’Espagne avait annoncé en février qu’elle allait réexporter du gaz vers le Maroc via le GME, que l’Algérie n’alimente plus vers l’Espagne à travers le territoire marocain depuis fin octobre 2021 en raison d’une crise diplomatique autour du Sahara occidental. Un procédé de certification garantit que ce gaz, acheminé d’Espagne vers le Maroc, n’est pas d’origine algérienne.
Deux partis catalans indépendantistes exigent du gouvernement espagnole de présenter des excuses officielles pour l’usage de gaz chimiques contre la population civile du Rif, rapporte l’agence Europa Press. Les formations Gauche Républicaine Catalane (ERC) et Ensemble pour la Catalogne (Junts) ont présenté, à cet effet, devant la Commission des Affaires étrangères à la Chambre des représentants une proposition qui n’a pas force de loi.
ERC et Junts demandent également à l’exécutif espagnol de mener des investigations et d'examiner de «manière indépendante, digne, rigoureuse et empirique», en collaboration avec les autorités marocaines et la société civile rifaine, les conséquences de ces attaques chimiques «systématiques» entre 1921 à 1926. Après la bataille d’Anoual, l’Espagne aidée en cela par la France et les Etats-Unis,, a gazé la région par des armes chimiques.L'initiative législative rappelle que l’utilisation de ces armes est à l’origine «d'une incidence plus élevée de cas de cancer dans les régions bombardées». ERC et Junts invitent, par ailleurs, le gouvernement de coalition de gauche que préside Pedro Sanchez à «honorer les victimes et leurs descendants» et de leur accorder des «compensations financières». Les deux partis catalans plaident aussi pour une relecture de l’histoire de la guerre du Rif devant établir à «un récit responsable et véridique des atrocités, des événements et des conséquences».Pour rappel, dans la cadre de l’examen du projet de loi sur la mémoire démocratique, la formation Gauche Républicaine Catalane (ERC pour son acronyme en castillan) avait présenté, en octobre, des amendements au texte du gouvernement, portant essentiellement sur «la reconnaissance des responsabilités de l'État espagnol et la réparation des dommages résultant de l'utilisation d'armes chimiques dans le Rif».
La rencontre entre Hitler et Franco à la gare d’Hendaye, le 23 octobre 1940.
Après la rencontre au sommet de 1940 entre les deux dictateurs, le wagon est resté en service jusque dans les années 1950. Avant de tomber dans l’oubli. À la mort de Franco, en 1975, il est acheté, aux enchères, pour un million de pesetas (environ 6 000 €) par un antiquaire qui en fait un pavillon de chasse à Villamanrique (Castille-La-Manche).
Il retombe dans l’escarcelle de l’État, neuf ans plus tard, qui l’acquiert au prix de la ferraille, soit approximativement 375 000 pesetas (environ 2 250 €). Son intention : l’exposer au Musée du train de Madrid. Une restauration est indispensable. Elle n’aura jamais lieu, faute de liquidités. D’abord remisé à la station de train de Soria, le train, devenu un temps le refuge d’un sans-abri, est déplacé à Almazán, une trentaine de kilomètres plus au sud, où il prend la poussière.
L’extérieur du wagon au moment de sa construction.
Intérieur retapé, extérieur délaissé
Les derniers travaux ont été effectués par un atelier de formation professionnelle, sous l’impulsion de l’Adema, l’association de développement rural d’Almazán. « Nous avons passé un accord avec le Musée du train de Madrid en 1997 avec l’objectif de réhabiliter plusieurs wagons, dont celui-ci, explique Marisa Muñoz, directrice de l’Adema. Entre 2004 et 2005, les élèves ont essentiellement travaillé sur l’intérieur du wagon. Ils l’ont nettoyé, assaini, travaillé sur les structures en bois, poncé, réparé le sol… »
Le salon de réunion de l'époque, à l'intérieur du wagon
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Le village avait sa piscine |