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Ces photos qui ont marqué l'histoire nationale...

Une photo est plus parlante que des mots, figeant une fraction de seconde, elle reste encore plus parlante qu'une vidéo de plusieurs minutes. La magie et la force de la photo permettent de capturer les instants les plus marquants de l'histoire des 100 dernières années depuis l'invention de la photographie.

5 août 1912 : Le sultan MOULAY HAFID vient de signer le 30 mai le traité de protectorat, dit traité de Fès, mais sa personnalité inquiète Lyautey, qui lui préfère son jeune frère MOULAY YOUSSEF, et il le force à abdiquer pour "raisons de santé".



18 novembre 1927 : Mort du Sultan MOULAY YOUSSEF. Les Français imposent comme Sultan son 3ème fils Sidi Mohammed, âgé de 17 ans, censé être plus docile.


1934 : Le sultan Sidi Mohammed accompagné du jeune prince Moulay Hassan rend visite à Lyautey dans sa résidence de Thorey. Le jeune souverain ne connaissait que très peu Lyautey, mais il avait une grande admiration pour lui.Lyautey mourut quelques semaines plus tard le 27 juillet 1934, Lyautey fut enseveli à Rabat. En 1961, sa dépouille sera ramenée en France pour être déposée à l'Hôtel des Invalides.





22 janvier 1943 : Le futur roi Mohammed V et le Président américain Roosevelt se rencontrent et dînent en apparté à Casablanca. Roosevelet apporte son soutien tacite dans le combat futur que mènera le souverain pour l'indépendance du Maroc.



16 novembre 1955 : Retour triomphal de Mohammed Ben Youssef, futur roi Mohammed V, à Rabat.





29 février 1960 : A 23h 40'15" un tremblement de terre d'une durée de 15 secondes et d'une magnitude de 6,7 sur l'échelle de Richter frappe Agadir.
Les quartiers de Founti, Talbordj, Yachech et la Kasbah sont détruits à 90-95%, la ville nouvelle à 50%. Le nombre de victimes est estimé entre 12.000 et 15.000 personnes.







6 novembre 1975 : La marche Verte (مسيرة خضراء) désigne une marche pacifique lancée par le roi marocain Hassan II le 6 novembre 1975 dans le but de récupérer le territoire du Sahara occidental occupé par l'Espagne. Les Marocains considèrent cette Marche Verte comme une récupération de territoires qui historiquement étaient marocains.







23 Juillet 1999 mort de feu sa majesté le roi Hassan II.




Trous noirs

Les trous noirs sont les objets les plus étranges de l’univers. Un trou noir n’a pas de surface, contrairement aux planètes et aux étoiles. Il s’agit plutôt d’une région de l’univers où la matière s’est affaissée sur elle-même. Suite à cet affaissement catastrophique, une énorme quantité de masse se concentre dans un espace incroyablement restreint. L’attraction gravitationnelle de cette région est si intense que rien ne peut lui échapper – pas même la lumière.
 



 
Bien que les trous noirs ne soient pas visibles, nous connaissons leur existence grâce à l’impact qu’ils ont sur les poussières, étoiles et galaxies avoisinantes. Nombre d’entre eux sont cernés par des disques de matière. Au fur et à mesure que les disques tourbillonnent autour d’eux, ils deviennent extrêmement chauds et émettent des rayons X.
Il existe des trous noirs de toutes les tailles. La plupart d’entre eux font plusieurs fois le poids du Soleil. Ces trous noirs de masse stellaire se forment lorsqu’une très grosse étoile, près de 10 fois plus grosse que le Soleil, meurt dans l’explosion d’une supernova. Ce qu’il reste de l’étoile - toujours plusieurs fois supérieur à la masse solaire - s’affaisse dans une zone de seulement quelques kilomètres d’envergure.

 
 


La plupart des galaxies, comme la Voie lactée, ont en leur centre un trou noir supermassif. Ces trous noirs peuvent être des millions ou des milliards de fois plus lourds que notre Soleil. Les trous noirs supermassifs alimentent les galaxies actives, ainsi que les anciennes galaxies appelées quasars. Les quasars peuvent être des centaines de fois plus lumineux que les plus grandes galaxies ordinaires.
Les objets qui tombent dans un trou noir sont littéralement étirés jusqu’au point de rupture. Un astronaute qui s’aventurerait trop près et qui serait aspiré dans un trou noir, serait écartelé par la formidable gravité.

Les principales langues parlées au Maroc.

L’Amazighe, la langues des Berbères :

L’Amazighe est la langue la plus ancienne du Maghreb. L’arrivée des Amazighes au Maroc remonte au néolithique. Pour les historiens, leur origine demeure sujet à controverse. On pense qu’ils seraient autochtones ou issus de la rive nord de la méditerranée ou encore originaires de sud de la péninsule arabique. Des documents archéologiques de l’égypte ancienne attestent l’existence de l’écriture amazighe au moins 3000 ans avant JC. Aujourd’hui, on parle amazighe dans les régions rurales et dans les villes, notamment depuis l’exode rurale des années 1970. La langue berbère se divise en trois dialectes, le Tarifit dans le nord-est, le tamazight dans le moyen atlas, dans la partie septentrionale du haut atlas et dans la région du sud est ; et le tachelhit dans la partie méridionale du haut atlas et la région du sud ouest. Si ces dialectes se différencient tant par la grammaire que par le vocabulaire, ils présentent néanmoins des analogies.

L’arabe dialectale :

La langue arabe s’est implantée au Maroc par phases successives : 

-         au 7 ème siècle avec l’arrivée des troupes de Oqba Bnou Nafi,

-         au 9ème siècle, grâce aux nouveaux centres d’enseignement dont la célèbre mosquée et université de Fès,

-         au 12 et 13 ème siècle, marqués par l’installation des tibus hilaliennes et maâquiliennes,

-         au 14 ème siècle, par les Andalous chassés d’Espagne lors de la reconquista chrétienne.

L’arabe dialectale comprend plusieurs parlers arabes :

-         mdini, c’est un parler citadin qui s’inspire de l’Adalou et se concentre dans les villes anciennes comme Rabat, Fès, Tétouan et Salé,

-         jébli, c’est le parler montagnard de la région nord ouest qui puise ses origines de l’amazigh,

-         aâroubi, c’est le parler bédouin des plaines atlantiques (Gharb, Chaouia, Doukkala, etc…) et des plaines intérieures (Haouz de Marrakech, Tadla et le Sous),

-         Ribi, c’est le parler Hassane des régions sahariennes.

L’arabe dialectale est celui que l’on parle aussi bien à la maison qu’à la rue. C’est la langue maternelle des arabophones, celle à travers laquelle se forgent l’éducation et la culture populaire. Etendu sur tout le territoire marocain , il unit les différentes communautés, elles mêmes subdivisées par la variétés des dialectes. La communication avec les arabes d’autres pays s’établit en arabe classique, et avec les étrangers en langues étrangères (français, espagnol, anglais)

L’Arabe classique :



L’arabe classique est la langue du Coran. Il est employé dans la sphère religieuse, politique, administrative, juridique et culturelle. On le retrouve dans l’enseignement, les médias et toutes les activités à caractère savant et élistite. La langue arabe est une langue riche et complexe, à laquelle le livre sacré confère une dimension quasi incantatoire. L’arabe classique s’écrit de droite à gauche.

Le Français :


En 1912, sous le protectorat, le français est proclamé langue officielle des institutions coloniales. Aujourd’hui encore, la langue française reste très répandue au Maroc, notamment dans les secteurs de l’administration et de l’éducation. Elle symbolise la modernité et l’ouverture vers l’occident. C’est aussi la langue que les hommes politiques utilisent à l’étranger, sauf dans les pays arabes où les échanges se font en arabe classique. Les écoles publiques intègrent à leur programme des cours de français. Les services et activités  à caractère ludique (cinémas,…), ou culturel (musée, …) font autant appel à l’arabe classique qu’au français. Il en est de même pour les médias, dont les journaux télévisés et radiophoniques se déroulent en deux volets.

L’espagnol :

Les premiers espagnols, des Andalous arrivent au Maroc au 15 ème siècle. En 1885, des colons s’installent dans les provinces du sud, puis en 1912, dans les provinces du nord. La reprise d’Ifni et des provinces sahariennes lors de l’indépendance du Maroc, a entraîné la fin de la prédominance de la langue espagnole qui n’est plus pratiquée que dans les anciennes régions occupées du nord du Maroc et dans le Sahara Marocain.


C’est une photo de l'entrée du poste d’Ain Défali, prise dans les années 1920..


Il s’agit de l’emplacement actuel des services administratifs de la caidat d’Ain Défali où se trouvent le siège de la commune, le bureau du caid, du local d’Ittissalat Al Maghrib.            Quatre vingt dix ans déjà écoulés (comme en témoignent ces premiers arbres âgés d’eucalyptus introduits entre 1912 et 1925 par Lyautey pour orner les campagnes du Maroc, entres autres, les routes, les gares,  les centres administratifs, etc …)
 

 et Ain Défali , située seulement à une trentaine de kilomètres de la ville d’Ouezzane et relevant de la province de Sidi Kacem,  est toujours dépourvue des infrastructures de base nécessaires à tout développement local.  A mi-chemin entre l'urbain et le rural, Ain Défali ne manque pourtant pas d'atouts, avec une jeunesse cultivée et ouverte sur le monde moderne, et de moyens en mesure de lui assurer un développement propre et durable. 

Combien de temps se conserve un oeuf ?

durée conservation oeuf

« Combien de temps puis-je conserver mes oeufs » est une question que les gens se demandent régulièrement. Les œufs sont périssables et doivent être conservés au réfrigérateur ou au congélateur.
Vous avez totalement oublié depuis combien de temps vos oeufs sont dans le frigo ? Ne vous inquiétez pas, cette situation est déjà arrivé à tout le monde. Pour vous aider, voici la durée recommandée de conservation des œufs.

Quelle est la durée de conservation d’un oeuf ?
Un oeuf frais cru en coquille doit être consommé avant la date de péremption indiquée sur l’oeuf. Si vous ne trouvez pas de date de péremption sur vos oeufs, reportez-vous à son emballage.
La boite contenant vos oeufs dispose d’une date d’emballage. Il faut impérativement manger les oeufs moins de 30 jours après la date d’emballage. Cela signifie que si la date d’emballage est le 1er Décembre, il faut manger les oeufs avant le 30 décembre (sauf bien entendu si une date plus précise est indiquée sur les oeufs eux-mêmes).
Un oeuf cuit dur et toujours en coquille peut quant à lui se conserver dans le frigo durant une semaine après sa cuisson. Quant au blanc et au jaune d’oeuf sortis de leur coquille, il est recommandé de les manger dans les 4 jours qui suivent.

Comment savoir si un oeuf est mauvais ?
 
Un moyen facile de tester la fraîcheur d’un œuf est de le placer dans un bol d’eau. Un œuf frais coulera, tandis qu’un oeuf plus vieux flottera. Attention : cela ne veut pas dire qu’il n’est plus comestible.
Pour savoir si vous pouvez toujours le manger, il faut le casser et sentir son odeur. Un oeuf périmé a toujours une odeur nauséabonde, qu’on ne peut pas louper.
 
Vérifiez d’abord ces 5 critères :

  1. La coquille : elle doit être lisse, sans fissures ni craquelures
  2. La coloration : si elle est trop claire, l’œuf n’est pas assez frais
  3. Le blanc : il doit être compact et ne pas couler
  4. Le jaune : il doit être bien centré et ne pas être trop liquide
  5. L’odeur : elle ne doit pas être trop forte.

Aicha Kandicha est toujours présente à Ain Défali !


Qui d'entre nous ne connaît pas l’extraordinaire légende populaire, qui a bouleversé notre enfance : Aicha Kandicha,  la femme immortelle qui terrifie les hommes et les femmes…C'est le diable féminin chez les marocains !


Petits, on nous a diverti, effrayé, terrorisé, menacé avec ces histoires d'Aicha Kandicha, qui restent ancrées dans nos mémoires et la mémoire collective marocaine.


Aicha Kandicha sortait la nuit et si on faisait couler de l’eau chaude par terre, on risquait d’attraper sa colère. Elle peut sortir des toilettes, donc, éviter de la croiser surtout quant tout le monde dort. Les lieux des offrandes pour Aïcha sont généralement situés près des points d’eau : lac, rivière, oued, source, fontaine, etc….  
Cette histoire fantastique d’Aicha Kandicha est une merveilleuse légende populaire qui fait partie de notre riche patrimoine culturel et historique. 

Combien de temps saigne t-on après un accouchement ?

saigne après accouchement

Après un accouchement, il est tout à fait normal pour une femme de saigner. Ces saignements post-accouchement ont d’ailleurs un nom : les lochies.
Après avoir passé 9 mois sans le moindre saignement, tout saignement vaginal peut sembler surprenant. D’abord épais et rouges vifs, les lochies changeront graduellement de couleur : roses, puis bruns… pour finir en un saignement d’une couleur jaune-blanc.
Pendant les premiers jours qui suivent votre accouchement, vous devrez porter une protection XXL pour éviter les fuites.
Combien de temps durent ces saignements, appelés lochies ?
Le débit des saignements se réduira petit à petit après votre accouchement. Cela dure en moyenne 2 à 4 semaines, mais cela peut prendre jusqu’à 2 mois pour s’arrêter complètement.
Plus vous ferez d’activité dans les premiers jours qui suivent votre grossesse, plus vos saignements seront importants. Il convient donc de ne pas abuser, et de se reposer.

Ding, ding, ding, voici le porteur d'eau


Au Souk d’Ain Défali, le guerrab, porteur d'eau ne passe pas inaperçu, habillé dans son costume et son chapeau multicolore. Son habit est composé de coupelles de cuivres ou de fer blanc. Il fait retentir sa cloche pour annoncer sa présence.


Le porteur reste néanmoins une des attraction du souk. Vous pourrez quand même lui demander de vous servir un verre moyennant quelques dirhams. 


Il n'hésitera pas non plus à poser pour la photo mais là aussi attendra en retour quelques pièces.

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Buvez de l’eau, l’eau de source naturelle et authentique d’Ain Défali.

Deux litres et demi, trois litres par jour ? Il n'y a pas consensus quant à la quantité de liquide dont notre organisme a besoin pour bien fonctionner.  En tout état de cause, « même si une telle quantité n'est pas nécessaire, cela ne peut pas faire de tort si les reins fonctionnent bien.  

Il faut assurer à notre organisme l'hydratation dont il a besoin. Boire de l'eau  (le seul fluide indispensable ) mais aussi des boissons chaudes (thé, tisanes, café) ou rafraîchissantes (jus, sodas, boissons lactées…). Mieux vaut boire (trop) (par rapport aux normes) que pas assez. 

Venez boire l’eau de source d’Ain Défali, une vraie eau de source naturelle , authentique, d’une grande qualité au goût léger et agréable. Elle convient à toutes les consommations.

  

Roles du Moqadem à Ain Défali ? et au Maroc ?


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Pas un papier administratif qui ne soit délivré sans la sacro-sainte bénédiction du moqadem ! Du certificat de résidence au certificat de vie, individuelle ou collective ! Ne parlons pas du certificat d’indigence qui permet aux plus démunis d’entre les citoyens de profiter des miettes d’une hypothétique aide publique ou caritative ! Même le passeport, document important, dont la délivrance définitive donne lieu à une enquête des services de police ou parfois même de la DST, nécessite comme premier document requis le fameux bout de papier portant la signature du moqadem.
Tout comme les autorisations de construire ! Et j’en passe…. Auxiliaire du caïd, qui est le représentant du Wali, donc de l’état, sur le terrain et face à la population, le moquadem se présente en fait comme le symbole du pouvoir face au citoyen. Plus présent que la police ou la gendarmerie, sans en avoir les pouvoirs, plus présent que la justice sans en avoir l’indépendance supposée, le moqadem n’a pas pour mission d’assurer ou de participer à la sécurité de sa circonscription, ni de régler les ligites survenus entre les habitants.


Le moqadem constitue en fait l’œil du caïd à qui il doit rendre compte de tout, absolument tout, enfin en principe., par l’entremise d’un « bulletin de renseignements quotidien ».

Il s’agit tout simplement d’un « Bargag » dont les marocains affublent leur responsable de
quartier.
Sa mission consiste à sillonner à longueur de journée les douars, les rues, les lieux publics, les mosquées, les marchés, les cafés, pour « prendre la température de la population ». Il est remarquable de noter que le problème de la rémunération de ces précieux auxiliaires et les conditions matérielles dans lesquelles ils exercent sont rarement abordées. Le moqadem est payé au Smig et ses conditions de travail sont lamentables (locaux insalubres, mobilier obsolète, transport non remboursé). Le moqadem, mal payé, mal installé, mal indemnisé, se trouve dans la position parfaite pour monnayer son pouvoir et être un chaînon incontournable de la corruption. Ainsi cette mission d’observation doublée d’une mission d’autorité, qui a des conséquences directes sur la vie des citoyens, est donc faussée par la précarité de la situation des moqadems. En effet, les caractéristiques fondamentales de l’action des moqadem sont la totale inefficacité dans le rôle d’observation et les abus les plus flagrants dans sa vocation d’autorité. Ne pensant qu’à mettre en coupe réglée les circonscriptions sous leur autorité, surtout quand il s’agit d’une population démunie, sans repère et ne connaissant pas ses droits, les moqadem ont fini par complètement délaisser leur mission d’observation.
Le professeur de sociologie Majid Dkhissy, enseignant à l’Université Hassan II de Casablanca, est l’un des rares à aborder ce sujet : «Les Moqadems ne sont pas seulement une sous-catégorie d’agents d’autorité dont le pouvoir a fait ses yeux et ses oreilles et dont il justifie les dérives par la précarité de leur statut. » Et cet universitaire n’exprime pourtant pas l’avis ni même l’espoir de voir la disparition prochaine de ce chaînon qui lui semble indispensable dans le mode de gouvernance marocain : « Les Moqadems nous intéressent par leur dimension symbolique : ils constituent le rouage élémentaire de notre système de gouvernement, basé sur une soumission institutionnalisée. »
Et pourtant, il serait aisé d’imaginer une administration locale sans moqadem avec juste :
• des agents d’autorité responsables, compétents, intègres, des agents administratifs bien formés, des dossiers bien rangés.
• des élus locaux sérieux, disponibles.
• une informatique simple et pratique, basée sur des données élémentaires (n° de la CIN, n° de l’identifiant fiscal).
• une coordination efficace entre les différents services administratifs (intérieur, police, justice, fisc).
La véritable réforme serait celle-là, celle qui touche chacun de nous dans sa vie quotidienne la plus basique.

Un jeune Chinois voit dans le noir comme en plein jour.


En Chine, un enfant peut voir dans le noir aussi bien que les félins et a des yeux d’un bleu sublime.
La première fois que l’on a entendu parler de Youhui Nong, c’était en 2009.
Mais cette année, ce gamin a fait les gros titres chinois, car il a intrigué la Terre entière avec ses yeux. D’un bleu magnifique, ce qui est rare chez les Asiatiques, les yeux du garçon ont une maladie rare appelée Luekodermia qui rend la pupille extrêmement sensible à la lumière… et qui lui permet de voir dans le noir. Surnommé « l’enfant-chat », Nong peut effectivement faire ce qu’il veut dans le noir, comme par exemple accompagner un professeur à la chasse aux criquets, la nuit, sans utiliser de lampes.

Shihua, son père, a expliqué à la télévision que »deux mois après sa naissance, on m’a dit que ses yeux étaient différents, j’avais remarqué que ses yeux étaient bleus. Nous l’avons emmené à l’hôpital (à Dahua, selon The Sun) mais le docteur nous a dit de ne pas nous inquiéter. Que ses yeux guériraient en grandissant ». Finalement, rien n’a changé, mais cela n’a pas semblé déranger Youhui, du coup la famille Nong n’y a plus fait attention, selon Oddity Central.
Mais un jour, son professeur a remarqué que le garçon plissait les yeux à la lumière du soleil et qu’il se plaignait d’avoir la vision floue. Finalement un spécialiste de la vue lui a rendu visite dans son village, dans la province de Guanxi. Après avoir été surpris par la couleur des yeux de Youhui, il a été également stupéfait de découvrir que confrontés à une puissante lumière, les yeux de l’enfant devenaient fluorescent, qu’ils émettaient une lumière « bleue-verte, comme les chats ». Depuis de nombreux reporters sont venus vérifier les dires en lui faisant passer toute une série de tests et le résultat est que l’enfant les a passé avec succès !

Les poils aux oreilles les plus longs du monde mesurent 25 centimètres.



Radhakant Baijpai, 58 ans, détient le record des plus longs poils aux oreilles. Si dans le livre Guiness des Record, il est écrit qu'ils mesurent 13,2 cm, c'est que celui-ci n'est pas mis à jour. Son nouveau record de 25 cm est en attente d'homologation.

Une femme ministre en Arabie Saoudite.


Ecoutez Leïla BABES, Prof de socio des religions



Mme Fayez a fait carrière dans le secteur saoudien de l'éducation des filles. Diplômée en 1978 en sociologie de l'université Roi Saoud, elle a obtenu en 1982 un master en éducation de l'Utah State University, aux Etats-Unis.Elle a ensuite travaillé au département de l'enseignement de filles au ministère de l'Education et dans les écoles privées, avant de passer dans l'Institut de l'administration publique où elle était en poste jusqu'à sa nouvelle nomination.Mariée, Mme Fayez est mère de cinq enfants, trois garçons et deux filles.
Noura al-Fayez est la première femme à entrer au gouvernement en Arabie saoudite. Celle-ci voit sa nomination comme un progrès pour toutes les Saoudiennes dans ce pays ultraconservateur.Mme Fayez, 52 ans, qui a fait carrière dans le secteur de l'enseignement, a été nommée vice-ministre de l'Education pour les affaires des filles, dans le cadre d'un remaniement ministériel décidé samedi par le roi Abdallah, réputé pour sa volonté d'introduire des réformes. "C'est une heureuse initiative. Nous avons longtemps souffert qu'un homme occupe ce poste. C'est un changement vers une meilleure situation", a-t-elle déclaré.
Pour la première fois, une femme va siéger au cabinet de cette monarchie ultraconservatrice où les femmes sont interdites de travailler, voyager, se marier ou avoir accès aux services médicaux sans l'autorisation d'un membre masculin de la famille.


Ain Défali est bien placée pour la production de l'énergie renouvelable, notamment éolienne.

Une éolienne est un dispositif utilisant l'énergie du vent.
C’est une source d’énergie renouvelable et inépuisable, non polluante et avec un faible impact sur l’environnement
Pour optimiser le rendement en électricité, les éoliennes doivent être placées à des endroits très exposés aux vents. L’emplacement idéale pour ces futures éoliennes à Ain défali est la chaine montagneuse qui l’entoure : jbel yacor, jbel Aouf, Jbel Ouled Ktir et jbel lafssahiyène


Les installations de ces éoliennes dans ces endroits sont très intéressantes car ils offrent des vents forts et réguliers.
Le raccordement au réseau électrique ne demande pas de grandes dépenses puisque le réseau électrique de l’ONE y est à deux ou quatre kilomètres.


N’oublions pas que ces projets sont une source de nouveaux emplois non négligeables pour la région.
Les touristes viennent parfois de loin pour observer et s’informer sur les éoliennes. Les retombées financières sur la région ne sont pas négligeables également.
L’éolienne aura de quoi séduire, dans le proche avenir, nos responsables et nos élus.