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Pourquoi c’est encore tôt de laisser tomber son masque !

Au Maroc,à l’heure du déconfinement, un relâchement se fait sentir auprès de certains citoyens quant au port du masque.

Coronavirus : Au Maroc, les masques sont désormais disponible dans ...

Les Marocains ont dans l’ensemble fait preuve de beaucoup de discipline et d’abnégation lors du confinement, permettant ainsi le contrôle de l’épidémie.
Actuellement, il y a un relâchement dans l’utilisation des masques, compréhensible psychologiquement mais dangereux.
Au niveau du Maroc, Khalid Ait Taleb, ministre de la santé, avait rappelé (le 27 juin dans un communiqué sur la situation générale au Maroc) au respect strict des mesures préventives recommandées par les autorités sanitaires. Parmi ces mesures, le port correct du masque, l’hygiène, le respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements.


Le Maroc amorce son déconfinement

Le port de masques en public correspond au moyen le plus efficace de prévenir la transmission interhumaine, et cette pratique peu coûteuse, en conjonction avec l’éloignement social simultané, la quarantaine et la recherche des contacts, représente l’opportunité de combat la plus probable pour arrêter la pandémie.
Il s’avère que la diffusion aérosolisée et aéroportée du coronavirus constitue la voie majeure de propagation. Dans ce sens, les travaux effectués confirment l’efficacité du port du masque, réaffirmant sa nécessité dans les mois qui suivent le déconfinement et ce dans l’attente de vaccins et/ou traitements contre l’infection. Ils mettent bien en évidence que le masque est non seulement utile pour empêcher les gouttelettes de toux infectées d’atteindre des personnes non infectées, mais aussi pour éviter de respirer ces minuscules particules aérosolisées qui peuvent également contaminer.
Rappelant par ailleurs qu’une seule toux peut produire jusqu’à 3.000 gouttelettes, les éléments les plus dangereux qui risquent de s’étaler sur les vêtements et sur les surfaces qui les entourent.

Ces aliments sont les plus « dangereux » ou toxiques au monde

Présents un peu partout dans le monde, les aliments suivants représentent un danger pour la santé. Leurs effets secondaires sont les pires qui existent, pourtant, on n’hésite pas à les cuisiner, voire à les servir dans des restaurants ! Faites attention à ce que vous mangez à l’étranger et ayez une culture culinaire pour faire le tri de vos aliments.
  • LE CARAMBOLE
Il s’agit du fruit du carambolier qui se présente sous la forme d’une étoile. C’est une bonne source en vitamines C, mais ce fruit et son jus sont très toxiques et provoquent des insomnies, nausées, vomissements, cauchemars ainsi que des troubles de la conscience et des arrêts cardio-respiratoires. Abstenez-vous, donc !

 

  • LES FEUILLES DE RHUBARBE
La rhubarbe est fréquemment utilisée dans la cuisine pour réaliser des confitures et autres tartes. Mais, il faut savoir que seule la tige est comestible car les feuilles de rhubarbe sont très nocives en raison de la présence d’acide oxalique. Ce dernier est très dangereux, car il peut provoquer une insuffisance rénale.

  

  • LES NOIX DE CAJOU
Si les noix de cajou sont très bonnes dans leur sachet acheté au supermarché, il est fortement déconseillé de les déguster crues et sans traitement. La noix de cajou crue a un important potentiel allergène en raison de la présence de toxines comme l’urushiol. Elles provoquent rarement l’empoisonnement, mais il est préférable de les manger préparées.

 

  • LE SUREAU NOIR
Le sureau est utilisé dans l’alimentation. Ses fleurs et ses fruits peuvent être transformés en vin ou en sirop de sureau par exemple. Cependant, sachez que les baies crues ne doivent en aucun cas être consommées car ces dernières sont toxiques et peuvent provoquer des vomissements. Après cuisson, la toxicité est détruite !
  

  • L’ABSINTHE
L’absinthe est l’un des alcools les plus dangereux au monde. Cela peut paraître logique mais il est toujours bon de rappeler que cet alcool pouvant atteindre les 90° peut provoquer des hallucinations, crises d’épilepsies et troubles de la personnalité. Mieux vaut donc s’abstenir d’en prendre.

 

  • LE CERVEAU DE SINGE
Très prisé en Asie, le cerveau de singe peut être consommé cru, cuit et cuisiné. Cependant, la consommation de cerveau de singe peut engendrer la maladie de Creutzfeldt-Jakob : une dégénérescence du système nerveux central.

 

  • LA RACINE DE MANIOC
La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger.

 

  • LE FESIKH
Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après avoir été intoxiqués. Il existe un risque de botulisme (intoxication provoquée par l’ingestion de neurotoxines puissantes) à cause de la mauvaise conservation de ce poisson

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  • LA MÉDUSE GÉANTE
Si certains tentent de s’en débarrasser en les tuant, d’autres n’hésitent pas à manger ces méduses géantes de 2 m et 220 kg. Mais, cette grosse méduse est très dangereuse car son venin est très toxique. Pour la consommer, on doit enlever les parties toxiques et la cuire.

  

  • LE CASU MARZU
Le Casu Marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes aident au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

 

  • LE HÁKARL
Le Hákarl est une spécialité islandaise à base de requin. La chair de requin fraîche est toxique à cause de sa forte teneur en acide urique. En effet, le requin ne dispose pas de reins et est donc obligé d’expulser son urine en suant. Le Hákarl peut tout de même être consommé après une longue préparation.

 

  • LES PALOURDES DE SANG
La palourde Tegillarca Granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

 

  • LE SANNAKJI

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

 

  • LE ACKEE
Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l‘hypoglycine, qui provoque des vomissements. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.
  

  • LA « GRENOUILLE-TAUREAU » OU L’OUAOUARON
La grenouille-taureau est une grenouille africaine, plat « traditionnel » de la Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

 

  • LE « POISSON-GLOBE » OU LE FUGU
Aussi appelé poisson-ballon, le fugu est un poisson japonais très toxique. En effet, son foie, ses yeux et ses ovaires contiennent de la tétrodotoxine, un poison ultra toxique qui n’a aucun antidote à l’heure actuelle. En ingérant du fugu, la mort peut intervenir après seulement 4 à 6 heures ! Sa commercialisation est toutefois réglementée pour éviter les accidents.

 

  • LES HOT-DOGS
Pour les enfants âgés de moins de 10 ans, ils peuvent provoquer des risques d’étouffement. Selon l’American Academy of Pediatrics, le hot dog serait responsable de 17% des cas d’étouffement chez les enfants de moins de 10 ans !

  

  • LE DURIAN
Le durian est un fruit comestible, dont les graines contiennent beaucoup d’acides gras de cyclopropène qui sont toxiques lorsqu’ils ne sont pas préparés. Le fruit peut lui-même causer la mort s’il est combiné à de l’alcool car il inhibe un enzyme qui est responsable de la défense de notre foie contre les sous-produits toxiques de l’alcool.

 

  • LE FRUIT DU “PANGIUM EDULE”
Le fruit de cet arbre qui pousse surtout en Asie du Sud Est, contient du cyanure d’hydrogène. Pour être consommables, ses graines doivent être bouillies puis enfermées dans des feuilles de bananiers et enterrées durant 40 jours.

 

  • LES NOYAUX D’ABRICOT
Les noyaux d’abricots contiennent de l’amygdaline, un hétéroside toxique qui peut provoquer la mort dans le cas d’une consommation importante. Cela arrive fréquemment en Turquie, pays qui consomme beaucoup de noyaux d’abricots.
  

  • LES HARICOTS ROUGES

Les haricots rouges contiennent des quantités élevées de phytohémagglutinine. Elle peut provoquer des empoisonnements mono-gastriques chez l’Homme. Mais, pour éviter cela, on doit les faire bouillir au minimum 10 minutes pour faire diminuer la concentration de la toxine.


  • L’EAU
Eh oui, difficile d’imaginer que l’eau puisse être dangereuse pour la santé, puisque la plupart des recommandations nutritionnelles préconise d’en boire 1,5 litre par jour. Une consommation excessive d’eau peut provoquer une intoxication hydraulique. Le principe ? Trop d’eau tue et trouble l’électrolyte dans votre cerveau. Si vous buvez une quantité plus grande que votre masse corporelle, vous vous mettez en danger !

 

  • LA NOIX DE MUSCADE
Certes, il est conseillé d’utiliser des épices pour agrémenter vos plats et en rehausser les saveurs, mais attention à ne pas avoir la main trop lourde sur certaines. C’est le cas de la noix de muscade aux arômes puissants et au parfum entêtant qui sublime vos plats, car si vous en consommez trop, vous pourrez avoir des hallucinations !

 

  • LE BLAASOP À RAYURES ARGENTÉES
Comme le fugu japonais, le blaasop à rayures argentées est dangereux car sa peau, son foie et ses organes reproducteurs contiennent un poison, qui entraîne une paralysie musculaire et des troubles respiratoires. 

 

  • LES CHAMPIGNONS
Ils font partie des aliments qui peuvent vous tuer si vous ne savez pas les repérer. Si les champignons sont bons à déguster en poêlée avec un peu d’ail, ils ne sont pas tous comestibles. Certains champignons peuvent s’avérer jolis visuellement, mais peuvent provoquer des troubles digestifs et une intoxication alimentaire si vous les ingérez.
  

  • LES CACAHUÈTES
Oui, les cacahuètes peuvent être mortelles, surtout si vous souffrez d’allergies à l’arachide. Gonflement des lèvres, urticaire, vomissements, nausées, les personnes souffrant d’allergies sont bien conscientes que l’ingestion d’une seule cacahuète peut les tuer.

 

  • LE LAIT CRU
Le lait vendu dans les supermarchés est pasteurisé, mais certaines personnes boivent encore du lait cru, ou consomment du fromage au lait cru. Le lait cru est du lait qui n’a pas été pasteurisé (chauffé à haute température et refroidi rapidement) et est plus susceptible de contenir la salmonelle, la listéria et l’E. coli.

 

  • LES BAIES
De même que les champignons, les baies peuvent se ressembler ou paraître délicieuses du fait de leurs couleurs attrayantes. Mais certains sont très toxiques! Cela peut aller à des brûlures jusqu’à provoquer un dysfonctionnement cardiaque !

 

  • LES POUSSES DE SOJA

Les pousses de soja sont l’un des aliments véhiculant le plus d’E. coli, de salmonelle et de listéria : des bactéries qui adorent les environnements tièdes et humides.

  • LES CRUSTACÉS
Pour les personnes allergiques, les crustacés peuvent engendrer des crises d’urticaires, des démangeaisons, des œdèmes ou des douleurs abdominales, jusqu’à faire des chocs anaphylactiques, ce qui les empêche de respirer et peut s’avérer extrêmement dangereux.

Bébé-bulle ou Enfant-bulle

Les enfants-bulles (ou bébé-bulle pour les plus jeunes) sont des personnes dont les défenses immunitaires sont fortement affaiblies, voire inexistantes, si bien qu'elles doivent être placées dans une bulle pour leur protection immunitaire.

Quand j'étais bébé bulle... - Sciences - LeVif

Cela résulte le plus souvent d'une immunodéficience innée. Le nom d'« enfant-bulle » vient du fait que ces enfants doivent vivre dans un milieu stérile et isolé au maximum de l'environnement afin d'éviter les infections.

Les « bébés bulle » ont 11 ans : L'efficacité de la thérapie ...

 En effet ils ne doivent jamais sortir de chez eux au risque de grave maladie. L'air doit être filtré et il faut éviter le plus de visite possible au cours de la vie de l'enfant. Cette immunodéficience vient en général des cellules souches de la moelle osseuse qui génèrent un problème au niveau de la différenciation des lymphocytes T et des lymphocytes NK ou une anomalie dans la synthèse de cytokines. Ils sont de ce fait très vulnérables à toute forme d'infection, même aux micro-organismes normalement inoffensifs pour une personne non atteinte par cette déficience. Le risque de développer un cancer est également plus élevé.

Lors des premiers mois de leur vie, les enfants-bulles ne ressentent pas les effets de leur immunodéficience puisqu'ils possèdent encore des anticorps transmis par la mère au cours de la grossesse. Des recherches génétiques actuelles ont pour objectif de corriger cette déficience ; quelques enfants ont ainsi été guéris mais les infections réapparaissent parfois sans raisons évidentes. Le principe d'une de ces techniques est de prélever des cellules souches de la moelle osseuse de l'enfant-bulle, de corriger le gène muté (thérapie génique) grâce à un virus dont le potentiel pathologique est désactivé, et enfin de réinjecter les cellules souches dans l'organisme afin qu'elles prolifèrent et permettent d'avoir un système immunitaire fonctionnel.

Bébés-bulle : la thérapie génique plus efficace que la greffe


La huitième plaie d’Égypte s’abat sur une ville indienne

Un criquet pèlerin

La ville de Gurugram, située près de New Delhi, fait face à une invasion massive de criquets. L’aéroport international de New Delhi demande aux pilotes de prendre des précautions supplémentaires.
En pleine pandémie de coronavirus, une bonne partie de l’Inde est également confrontée à une véritable invasion de criquets. Ce samedi 27 juin, la ville de Gurugram située près de New Delhi (nord) a été recouverte par une nuée d’insectes volants,



Les autorités locales ont recommandé aux habitants de ne pas ouvrir leurs fenêtres et de frapper avec des ustensiles pour chasser les essaims.
L’aéroport international de New Delhi se trouvant près de Gurugram a pour sa part demandé aux pilotes de prendre des précautions supplémentaires au décollage et à l’atterrissage des avions.

L'homme électrique ou l'homme batterie.

Biba, un homme serbe est capable de supporter des décharges électriques de milliers de volts, sans en ressentir les effets. Personne n'a encore réussi à expliquer ce phénomène. 


The Man Who Can Survive Electric Chair! | Be Amazed

slaviša pajkić Archives | BesnoPile.rs 

Slavisa Pajkic vit à Pozarevac, un village serbe situé à quelques kilomètres de Belgrade. C'est un artisan tout à fait ordinaire, à une chose près : il est capable de supporter des décharges électriques de plus de 20 000 volts, sans ressentir la moindre douleur.



Le serbe Slavisa Pajkic est aujourd'hui beaucoup plus connu sous le surnom de Battery Man ou l'Homme Batterie. En effet, il a une particularité très spécifique de pouvoir supporter des charges électriques extrêmement importantes. Au-delà d'y résister, il peut également stocker ces charges d'électricité dans son corps puis de les restituer sur commande. Il est donc capable d'allumer une ampoule juste en touchant le culot ou de faire cuire une saucisse en tenant la fourchette en métal. 
Il a découvert son impressionnant pouvoir à l'âge de 17 ans, et a passé une grande partie de sa vie à tester les limites de celui-ci. Par exemple, en 1973, il rentre dans le Guiness des Records en résistant à une charge électrique de 20 000 Volts. En 2003, c'est une casserole d'eau qu'il parvient à faire bouillir en seulement 1 minute et 37 secondes. Aujourd'hui il continue de repousser les limites de ses exploits et vit également de son pouvoir en parcourant le monde pour différentes exhibitions.



Les médecins n'ont pu expliquer précisément pourquoi Slavia Pajkic a cette particularité, mais il semblerait que cela soit dû à un défaut génétique. En effet, Battery Man ne possède pas de glandes sudoripares qui produisent la transpiration du corps, ayant pour conséquence une peau qui se comporte comme un isolant naturel. 

Les reptiles les plus venimeux au monde

Les reptiles les plus venimeux au monde

Les reptiles et les amphibiens les plus étranges, les plus venimeux et les plus beaux représentent une vaste variété d'animaux provenant des profondeurs des jungles les plus intrépides aux déserts les plus arides. Certaines des espèces présentées sont extrêmement rares ou n'ont pas encore été découvertes et cataloguées.

Ouroborus cataphractus.  

Un Zonure ou Cordyle cataphracte. C'est une espèce de lézard fortement protégée par une armure dont le comportement est unique: lorsqu'il est menacé, il se roule en boule. Ils vivent en groupes et ne se trouvent que dans une petite partie de l'Afrique du Sud.

Ahaetulla mysterizans. 

 C'est une espèce de serpent actif de jour qui chasse à vue, d'où ses grands yeux. Ils sont très longs et minces.

Lanthanotus borneensis. 

Lanthanotus borneensis a été redécouvert il y a quelques années. Ce sont des animaux uniques qui sont fortement menacés par la déforestation en cours sur l'île où ils vivent, Bornéo.

Chalcides sexlineatus. 
 
 Le Chalcides sexlineatus est une espèce de lézard fouisseur (ce qui signifie qu’il vit sous terre) que l'on ne voit que très rarement et que l'on ne trouve que sur l'île de Tenerife, qui fait partie des Canaries. 

Laemanctus serratus.
 
  Le Laemanctus serratus est un prédateur qui agit en embuscade et se déplace lentement. On le trouve dans les cimes des arbres d'Amérique centrale.

Naja legionis. 

Les serpents les plus venimeux au monde est extrêmement dangereux et ne peut être couvert par aucune assurance. Le cobra égyptien est une espèce de serpent spectaculaire et hautement venimeuse, endémique de certaines régions du Maroc.

Dendroaspis viridis. 
 
Le Mamba vert de l'Ouest ou Mamba vert de Guinée est l'une des espèces de serpents les plus grandes, les plus rapides, les plus intelligentes et les plus venimeuses.
Dendrobates tinctorius azureus. 
 
C'est une espèce très menacée qui se trouve dans quelques forêts tropicales de la région frontalière entre le Suriname et le Brésil. Elle possède certaines couleurs les plus spectaculaires de toutes les grenouilles.

Uracentron azureum.  

L'Uracentron azureum est unique et il n'existe presque aucune photo de cet animal. Il habite la cime des arbres et vit très haut dans la forêt amazonienne en Amérique du Sud. Ce sont de gros mangeurs de termites et leurs couleurs sont spectaculaires.

Uroplatus phantasticus 

L'Uroplatus phantasticus est une merveille d'adaptation. La queue ressemble à une feuille morte et elle est invisible entre les feuilles de la forêt tropicale. Il est tristement très en danger en raison de la déforestation à Madagascar.

Découverte de deux pierres précieuses en Tanzanie

 
Le Tanzanien Saniniu Kuryan Laizer et ses deux tanzanite, à Manyara le 24 juin 2020

En Tanzanie, un simple éleveur devient millionnaire après la découverte de deux énormes pierres précieuses
C'est une histoire qui fait rêver : dans ce pays d'Afrique de l'Est, un éleveur, petit prospecteur à ses heures, vient d'empocher le jackpot après avoir mis la main sur deux tanzanites.
Saniniu Laizer Kurian, c’est son nom, a trouvé deux énormes tanzanite, des pierres précieuses très rares. Ce mercredi 25 juin, l’Etat lui a acheté les pierres, pour la somme de trois millions d’euros. L’histoire commence une semaine plus tôt : Saniniu Laizer a 52 ans, il est éleveur, il possède 2 000 vaches, dans le nord de ce pays de 57 millions d’habitants, grand comme une fois et demie la France. Saniniu est aussi mineur à ses heures. Comme des milliers d’autres, il tente sa chance dans la mine de Manyara.
Mi-juin, miracle : il extrait deux énormes pierres, de la taille d’un avant-bras ! L’une pèse plus de neuf kilos, l’autre plus de cinq kilos. Ce sont les plus grosses et les plus lourdes jamais découvertes. Le gouvernement tanzanien a donc décidé de les lui acheter, pour éviter que les trafiquants ou les grandes sociétés privées ne s’en emparent. Ce 24 juin, le président tanzanien John Magufuli a téléphoné à Saniniu et lui a donc fait remettre un chèque de trois millions en échange des deux pierres.



Le nom "tanzanite" trouvé par Tiffany
Cette pierre précieuse, la tanzanite a une histoire, une histoire révélatrice de la mondialisation. Elle est peu connue, parce qu’elle est très rare. On ne la trouve que dans cette région du nord de la Tanzanie, d’où son nom. C’est une pierre d’un bleu très profond, presque noir comme l’onyx. Mais avec des reflets violets, parfois rouges ou bleus. Elle est très prisée au sein de la haute bourgeoisie d’Afrique du Sud, et aussi en Inde et aux Etats-Unis. Le problème, c’est que jusqu’à il y a peu, elle n’a pas vraiment profité à la Tanzanie. Comme souvent en Afrique, les bénéfices du sous-sol pourtant très riche ne vont pas dans la poche des Africains. D’ailleurs, le premier à avoir découvert une tanzanite est un berger masaï en 1967, qui n’a quasiment tiré aucun profit de la pierre. Elle est passée rapidement entre les mains du grand joaillier américain Tiffany qui a choisi de l’appeler tanzanite.

Une exploitation minière reprise en main
Quant à l’exploitation de la mine principale, elle est longtemps passée de main en main, contrôlée successivement par des Sud-Africains et des Britanniques, avec beaucoup de trafic illégal. Et au bout du compte très peu d’argent dans les poches de la population tanzanienne. Il y a trois ans, le gouvernement de Dar Es Salaam (la capitale) a décidé de mettre de l’ordre là-dedans. L’affaire est désormais détenue par une entreprise mixte, publique-privée, Tanzanite One, avec des capitaux uniquement tanzaniens. Et un mur de 24 km a été érigé autour de la mine, pour mettre fin aux trafics. Cela dit, près de 30 000 petits mineurs indépendants continuent d’y travailler, dont de nombreux enfants. L’exploitation pourrait encore durer une vingtaine d’années.
Une fête, une école et un centre commercial

Quant au mineur multimillionnaire, il dit qu’il ne va rien changer à son mode de vie. Il va continuer d’élever ses vaches. Il veut quand même organiser une grande fête. Et surtout il veut faire construire une école et un centre commercial près de chez lui. Pour que toute la population alentour puisse enfin envoyer ses enfants à l’école. En Tanzanie, le taux d’alphabétisation ne s’élève qu’à 77%.