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Quelques oiseaux au bec remarquable

  • Le calao rhinocéros
Le calao rhinocéros est très facilement reconnaissable grâce à son long bec surmonté d’un casque courbé qui se termine en pointe. Si le bec de cet oiseau qui vit entre Malaisie et Indonésie est naturellement blanc, il doit sa couleur orangée à une glande que possède le calao et contre laquelle il frotte souvent son bec. C’est le liquide sécrété par cette glande qui colore le bec de l’oiseau, lui donnant cet aspect des plus exotiques. Le calao vit dans les grands arbres et se nourrit principalement de fruits. Toutefois, son régime alimentaire peut comporter de petits animaux, comme des lézards ou des oiseaux.


  • Le casoar à casque
Le casoar à casque est un des oiseaux les plus grands du monde. Comme son nom l’indique, ce volatile que l’on trouve dans la région indonésienne est muni, au niveau du crâne, d’une protubérance de corne semblable à un casque. Dans le prolongement de cette coiffe étonnante se trouve le bec du casoar, plutôt court et puissant, dont il se sert pour consommer les nombreux fruits qui font partie de son régime alimentaire. Le casoar, relativement craintif et discret, est aussi réputé pour ses attaques défensives dangereuses. Chacune de ses pattes est en effet dotée d’un crochet particulièrement tranchant.

L'Oiseau Le Plus Dangereux Du Monde: Le Casoar | 2020
  • Le bec-en-sabot
Le bec-en-sabot est certainement l’un des oiseaux dont le bec est le plus surprenant. Tellement original qu’il vaut même à ce volatile d’Afrique centrale et tropicale d’avoir été nommé en fonction de cet attribut. Fruits et graines ? Très peu pour le bec-en-sabot, qui préfère de loin les poissons-chats, les serpents, les grenouilles ou même les petits oiseaux et les rongeurs. Son bec large, tranchant sur les côtés et crochu à son extrémité, ne laisse que de peu de chance à ses proies. Le bec-en-sabot est aujourd’hui menacé de disparition.


  • La huppe fasciée
Il n’est pas rare d’observer la huppe fasciée au sol, où elle trouve l’essentiel de sa nourriture : fourmis, chenilles et larves, mais aussi scarabées et escargots. La coquille protectrice de ces créatures n’effraie pas la huppe, qui se sert de son long bec pointu et recourbé pour accéder à ses petites proies. Ce bec lui est aussi utile pour picorer dans le bois mort, ou encore fouiller dans les déjections des animaux où fourmillent les organismes. La huppe fasciée, que l’on reconnaît grâce à la ligne quasi parfaite que dessinent son bec et sa pointe de plumes sur la tête, est un oiseau migrateur, qui vit entre l’Afrique et le sud de l’Europe.


  • Le macareux
Le macareux moine vit dans la région de l’Atlantique Nord, de la Norvège à l’Amérique du Nord en passant par l’Islande. Son bec, très visible, a la forme grossière d’un triangle parcouru de différentes stries colorées. A l’époque de la reproduction, la couleur du bec du macareux est bien prononcée, entre une pointe rouge et une base bleutée ponctuée de jaune. Cet oiseau marin, qui vole assez mal mais nage parfaitement, s’accouple dans l’eau. A l’approche de la pondaison, il creuse un nid profond à l’aide de son bec puissant et de ses pattes afin d’aménager un endroit où protéger le poussin des éléments extérieurs. Si le macareux moine a longtemps été chassé et menacé par l’introduction accidentelle de rats dans son habit naturel, les populations de ces volatiles attachants semblent aujourd’hui s’être stabilisées.


  • Le toucan
Le toucan est un des plus beaux représentants ailés d’Amérique du Sud, et plus particulièrement de la forêt amazonienne. Le nom « toucan » désigne en réalité plusieurs espèces d’oiseaux de la famille des ramphastidés. Le toucan à carène (à l’image) figure parmi les ambassadeurs les plus spectaculaires de ces volatiles au bec imposant et multicolore. Ce dernier leur sert non seulement à se nourrir, grâce à une langue adaptée pour attraper insectes et graines, mais aussi à réguler leur température. En effet, le bec du toucan agit comme un véritable « climatiseur » qui évacue la chaleur du corps de l’oiseau lorsque la température ambiante est trop importante, ou qui au contraire conserve cette chaleur quand la météo le nécessite.


  • Le pygargue à tête blanche
A première vue, le pygargue à tête blanche n’inspire pas vraiment la sympathie, mais plutôt le respect et la crainte. Et pour cause : cet aigle, emblème des Etats-Unis d’Amérique, est un des prédateurs les plus redoutables du monde. Son bec jaune et massif, qui se termine en un crochet très marqué, permet au pygargue d’attraper facilement ses proies, prises de surprise par la vitesse d’attaque du volatile. Contrairement à la plupart des aigles, dont le régime alimentaire est composé de petits et moyens mammifères, le pygargue, surnommé « l’aigle pêcheur », se nourrit de poissons. On le retrouve donc naturellement près des lacs et des rivières.


  • Le flamant rose
Si le flamant rose attire immédiatement l’attention grâce à son extraordinaire plumage coloré et à sa silhouette tout en finesse, ce grand oiseau migrateur qui apprécie les zones marécageuses se distingue aussi par un bec singulier. De taille imposante, le bec du flamant est courbe et bien innervé. Sans cet outil qui lui permet de filtrer l’eau saumâtre et vaseuse dans laquelle il trouve ses aliments, le flamant ne pourrait se nourrir correctement. Aplati sur les côtés, le bec de cet échassier est rose et marqué de noir aux extrémités. La langue du flamant, couverte de petits poils, contribue à capter les organismes au menu de l’oiseau.


  • L'harfang des neiges
Le harfang des neiges, superbe hibou originaire du grand Nord, est un chasseur hors pair. Ses yeux, particulièrement grands, lui permettent de scruter de loin lemmings et autres rongeurs, ses proies favorites. Son plumage, blanc immaculé chez le mâle et tacheté ou strié de brun chez la femelle, est idéal pour se fondre dans le décor glaciaire de la toundra arctique. La panoplie du parfait oiseau prédateur est complétée par un bec noir, à la fois court et discret, mais surtout crochu et acéré.


Harfang des neiges 
  • Le paon
Rarement oiseau n’a autant inspiré les arts et la culture. Renommé à travers le monde pour son plumage aux couleurs fascinantes et la fameuse « roue » du mâle en parade, le paon semble tout droit sorti d’un conte fabuleux. Les ocelles de ses plumes, semblables à d’étranges yeux, a longtemps séduit les créateurs. Au-delà de cette image de raffinement extrême, le paon n’en reste pas moins un oiseau de la famille des phasianidés, qui regroupe notamment perdrix et faisans. Son bec, contrairement à son plumage, est à la fois modeste, pratique et puissant : il lui permet d’attraper à terre les insectes et les graines dont il se nourrit.



  • Le manchot royal
Le manchot royal, grand oiseau originaire de la région sub-antarctique, étonne par sa morphologie. Debout sur deux courtes pattes, doté d’une paire d’ailes qui lui servent de nageoires, cet animal qui se nourrit en mer est bien plus habile dans l’eau que sur la terre ferme, où il se déplace de façon maladroite. On le distingue des autres manchots par son bec fin, long d’une quinzaine de centimètres et marqué par une mandibule inférieure orange. Ce bec lui permet d’attraper avec dextérité les poissons qu’il consomme. En comparaison, le manchot empereur, plus grand et plus lourd que le manchot royal, possède un bec long d’une dizaine de centimètres seulement.

  • La mésange
Sous nos latitudes vivent aussi des oiseaux dont la morphologie, et notamment le bec, méritent qu’on s’y attarde. Les mésanges, que l’on trouve aussi bien en Europe qu’en Amérique, égayent les jardins et les sous-bois où elle se rassemblent, notamment en hiver, pour trouver leur nourriture ou chercher un abri dans les nichoirs. Malgré leur petite taille, les mésanges sont des oiseaux très énergiques qui se servent de leur bec court mais très résistant pour se nourrir : percer une coque, picorer un fruit ou débusquer larves et insectes sous l’écorce des arbres est le quotidien de ce petit passereau.


  • L'ara
Sera-t-il possible d’observer pendant longtemps encore l’ara amazonien dans son milieu naturel ? Rien n’est moins sûr, puisque ce magnifique oiseau d’Amérique du Sud est en voie de disparition. Captures abusives et réduction drastique de son habitat sont à l’origine de son sort désormais très inquiétant. Ce grand perroquet au plumage chatoyant se nourrit principalement de graines. Son bec, en forme de pince robuste, lui permet de briser sans problème les fruits à coque.


  • La spatule rosée
La spatule rosée concourt sans aucun doute pour le titre de l’oiseau au bec le plus remarquable. Il fait d’ailleurs partie de ces oiseaux que l’on nomme en fonction de cette particularité anatomique. La spatule vit essentiellement en Amérique du Sud. Elle se nourrit de petits poissons et d’amphibiens, qu’elle trouve dans les eaux peu profondes. Son bec est adapté à cette alimentation : d’une part, la forme de spatule permet à l’oiseau de remuer la vase et d’en dégager les petits organismes dont il se nourrit ; d’autre part, le volatile se sert de la faculté tactile de son bec pour détecter les animaux cachés dans l’eau trouble.


  • Le colibri
Comment faire pour atteindre en toute facilité le délicieux nectar emprisonné dans les fleurs ? Le colibri ne se pose pas la question. Grâce à son bec très fin, il s’introduit dans le calice et se sert de sa langue agile et bifide pour en récupérer le précieux liquide. Ces petits oiseaux-mouches aux espèces variées présentent des anatomies différentes, particulièrement au niveau du bec, plus ou moins long et courbé. Le colibri, qui joue un rôle important dans la pollinisation de certaines espèces de fleurs, peut adapter librement son vol en fonction de son approche des plantes : il s’agit par exemple du seul oiseau capable de voler en marche arrière.


  • Le vautour fauve
Le vautour fauve est un charognard qui est incapable de chasser lui-même, en raison de son corps inadapté. Il se nourrit donc des cadavres d’animaux tués par d’autres prédateurs. Grâce à son bec crochu et massif, il déchire sans problème la chair des carcasses qu’il repère. D’une envergure qui peut dépasser les 2,50m, le vautour fauve utilise les vents pour planer sans se fatiguer grâce à ses grandes ailes. On trouve notamment cet oiseau impressionnant dans les Pyrénées françaises.


  • La cigogne blanche
Grande et longiligne, d’une envergure pouvant atteindre les 1,80m, la cigogne blanche est un superbe échassier qui vit entre l’Europe et l’Afrique, où elle passe l’hiver. Le bec long et fin de la cigogne lui permet d’attraper ses proies avec précision en eau peu profonde et dans les herbes hautes. Lézards, grenouilles et petits rongeurs n’échappent pas à ce bec qui agit comme une pince. La cigogne, qui ne peut pas crier, se sert aussi de son bec pour communiquer avec ses congénères. On dit qu’elle claquète, ou qu’elle craquette.


  • Le héron cendré
Contrairement à la cigogne, le héron n’hésite pas à utiliser son bec long et fin pour transpercer les proies qu’il chasse. Cet échassier qui vit dans les zones humides peut rester longtemps immobile en attendant qu’un poisson ou un batracien s’approche à portée de bec. Il détend alors son cou plié en forme de « s » et projette son bec vers sa proie. On retrouve le héron en Europe, en Asie ainsi qu’en Afrique.


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