Au Maroc,à l’heure du déconfinement, un relâchement se fait sentir auprès de certains citoyens quant au port du masque.
Les Marocains ont dans l’ensemble fait preuve de beaucoup de discipline et d’abnégation lors du confinement, permettant ainsi le contrôle de l’épidémie.
Actuellement, il y a un relâchement dans l’utilisation des masques, compréhensible psychologiquement mais dangereux.
Au niveau du Maroc, Khalid Ait Taleb, ministre de la santé, avait rappelé (le 27 juin dans un communiqué sur la situation générale au Maroc) au respect strict des mesures préventives recommandées par les autorités sanitaires. Parmi ces mesures, le port correct du masque, l’hygiène, le respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements.
Le port de masques en public correspond au moyen le plus efficace de prévenir la transmission interhumaine, et cette pratique peu coûteuse, en conjonction avec l’éloignement social simultané, la quarantaine et la recherche des contacts, représente l’opportunité de combat la plus probable pour arrêter la pandémie.
Il s’avère que la diffusion aérosolisée et aéroportée du coronavirus constitue la voie majeure de propagation. Dans ce sens, les travaux effectués confirment l’efficacité du port du masque, réaffirmant sa nécessité dans les mois qui suivent le déconfinement et ce dans l’attente de vaccins et/ou traitements contre l’infection. Ils mettent bien en évidence que le masque est non seulement utile pour empêcher les gouttelettes de toux infectées d’atteindre des personnes non infectées, mais aussi pour éviter de respirer ces minuscules particules aérosolisées qui peuvent également contaminer.
Rappelant par ailleurs qu’une seule toux peut produire jusqu’à 3.000 gouttelettes, les éléments les plus dangereux qui risquent de s’étaler sur les vêtements et sur les surfaces qui les entourent.
Actuellement, il y a un relâchement dans l’utilisation des masques, compréhensible psychologiquement mais dangereux.
Au niveau du Maroc, Khalid Ait Taleb, ministre de la santé, avait rappelé (le 27 juin dans un communiqué sur la situation générale au Maroc) au respect strict des mesures préventives recommandées par les autorités sanitaires. Parmi ces mesures, le port correct du masque, l’hygiène, le respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements.
Le port de masques en public correspond au moyen le plus efficace de prévenir la transmission interhumaine, et cette pratique peu coûteuse, en conjonction avec l’éloignement social simultané, la quarantaine et la recherche des contacts, représente l’opportunité de combat la plus probable pour arrêter la pandémie.
Il s’avère que la diffusion aérosolisée et aéroportée du coronavirus constitue la voie majeure de propagation. Dans ce sens, les travaux effectués confirment l’efficacité du port du masque, réaffirmant sa nécessité dans les mois qui suivent le déconfinement et ce dans l’attente de vaccins et/ou traitements contre l’infection. Ils mettent bien en évidence que le masque est non seulement utile pour empêcher les gouttelettes de toux infectées d’atteindre des personnes non infectées, mais aussi pour éviter de respirer ces minuscules particules aérosolisées qui peuvent également contaminer.
Rappelant par ailleurs qu’une seule toux peut produire jusqu’à 3.000 gouttelettes, les éléments les plus dangereux qui risquent de s’étaler sur les vêtements et sur les surfaces qui les entourent.