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Les Russes reviennent dans la course à la Lune.

La Russie a procédé, vendredi 11 août 2023, au lancement de sa première mission lunaire en 47 ans avec l'objectif de devenir la première puissance mondiale à effectuer un atterrissage en douceur sur le pôle Sud de la Lune, où se trouveraient des sources d'eau glacée.
Une fusée Soyouz-2.1, transportant l'atterrisseur lunaire Luna-25, a décollé du cosmodrome de Vostochny, à quelque 5 500 kilomètres à l'est de Moscou. L'appareil devrait se poser sur la Lune le 21 août, a déclaré à la télévision le directeur de Roscosmos, Iouri Borissov.


De la taille d'une petite voiture, Luna-25 doit opérer pendant un an sur le pôle Sud de la Lune où des scientifiques de la Nasa, l'agence spatiale américaine, et d'autres agences spatiales ont découvert des traces d'eau glacée. La question de la présence d'eau sur la Lune, dont la surface est 100 fois plus sèche que le désert du Sahara, occupe les esprits des astronomes depuis des siècles. Les États-Unis, la Chine, le Japon ou encore l'Union européenne ont envoyé ces dernières années des missions spatiales sur la Lune, mais jamais son pôle Sud n'a été exploré. En 2019, une mission indienne en ce sens avait échoué.
Ce lancement intervient plus d'un an après le début de l'invasion russe en Ukraine, qui a isolé Moscou de ses alliés occidentaux dans l'exploration spatiale et alors que les sanctions se sont multipliées contre l'économie russe. Cette première mission lunaire effectuée par la Russie depuis l'ère soviétique permet à la Russie de renouer avec son rôle de pionnier dans l'exploration spatiale. La mission spatiale Luna-2 a envoyé le premier appareil sur le satellite de la Terre en 1959, dix ans avant les premiers pas de l'Homme sur la Lune dans le cadre du programme américain Apollo.


Cinquante ans après sa dernière mission vers la Lune, la Russie récidive et ambitionne de réussir à poser une sonde au pôle Sud. À terme, c’est l’idée d’un voyage encore plus long.
Ce décollage depuis le cosmodrome de Vostotchny (Russie), dans la nuit du jeudi 10 août, doit permettre un nouvel élan pour le pays. Pour les Russes, l’objectif est la Lune, une première depuis cinquante ans. Il ne s’agit que d’une sonde, mais elle doit alunir au pôle Sud, là où aucun engin ne s’est jamais posé. "Vis à vis du reste du monde, c’est de montrer que l’on est toujours parmi les grandes puissances spatiales.

Retard à cause des sanctions européennes.
La mission a été retardée à cause du manque de soutien européen, dû à la guerre en Ukraine. C'est désormais vers la Chine que la Russie décide de se tourner. Elle a déjà sa propre station spatiale et compte envoyer ses hommes sur la Lune. Alors, les Américains ripostent avec le programme Artémis, qui doit emmener d’autres astronautes occidentaux sur la Lune. "C’est bien évidemment de la géopolitique comme dans les années 60", avance Didier Schmitt, de la direction exploration robotique et humaine ESA.

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