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Le « bouton à Coca light » de Donald Trump supprimé du Bureau Ovale


Joe Biden a retiré un bouton rouge très apprécié par Donald Trump
Le nouveau président américain a tenu à s'approprier un peu les lieux, notamment le Bureau Ovale dans lequel il va passer les prochaines années. Il a alors pris une décision d'une importance moindre. En effet, Joe Biden a retiré l'un des objets préférés de Donald Trump dans cette pièce.
Il s'agit d'un bouton rouge qui avait une drôle d'utilité. À chaque fois que l'ancien président appuyait dessus, un employé venait avec... un Coca Light sur un plateau d'argent. Oui, vous avez bien lu. Ce bouton était d'ailleurs appelé le Diet Coke Button.  Quand Trump appuie sur le petit bouton rouge, un majordome entre dans le bureau avec un Coca Light sur un plateau d’argent.


Il lui serait souvent arrivé d’en boire une douzaine de canettes de cette boisson gazeuse sans sucre ni graisse au cours d’une journée.

Trump, positif au coronavirus, admis à l'hôpital "pour quelques jours"

 

Masqué et marchant seul, le président américain Donald Trump, testé positif au Covid-19, a quitté vendredi soir la Maison Blanche pour rejoindre un hôpital militaire dans la banlieue de Washington dans lequel il va être admis pour "quelques jours".
Donald Trump, qui portait un masque, a brièvement salué les journalistes présents dans les jardins de la Maison Blanche mais n'a pas dit un mot et a embarqué à bord de l'hélicoptère présidentiel Marine One qui a décollé peu après.


Retrait américain du traité " Ciel ouvert " ou "Open Skies en anglais"

Accusé par les Etats-Unis de ne pas avoir respecté ses engagements, la Russie dénonce « un coup » porté à la sécurité européenne.

Donald Trump descend de l'hélicoptère Marine One
 avant de partir pour le Michigan le 21 mai 2020.

Le virage isolationniste des Etats-Unis continue. Donald Trump a annoncé jeudi le retrait américain du traité « Ciel ouvert » (Open Skies en anglais) qui permet de vérifier les mouvements militaires et les mesures de limitation des armements des pays signataires, tout en laissant la porte ouverte à une renégociation de l’accord. L’an dernier, les Etats-Unis s’étaient déjà retirés d’un traité de désarmement nucléaire signé avec Moscou.

Moscou, de son côté, a dénoncé le « coup » porté à la sécurité européenne. « Le retrait des Etats-Unis de ce traité signifie non seulement un coup porté au fondement de la sécurité européenne mais aussi aux instruments de la sécurité militaire existants et aux intérêts essentiels de sécurité des alliés mêmes des Etats-Unis », a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Grouchko, cité par les agences russes. Les ambassadeur des pays membres de l'Otan ont, eux, été convoqués vendredi pour une réunion d'urgence, selon une source diplomatique, tandis que l'Allemagne a appelé Washington à revenir sur sa décision.

Une renégociation pas exclue
« La Russie n’a pas respecté le traité », a déclaré le président américain. « Donc tant qu’ils ne le respecteront pas, nous nous retirerons », a déclaré Donald Trump. Il n’a pas fermé la porte à une renégociation de ce traité signé par 35 pays. « Je pense que ce qui va se passer, c’est que nous allons nous retirer et ils vont revenir et demander à négocier un accord », a-t-il dit. « Nous avons eu de très bonnes relations récemment avec la Russie ».

Selon un porte-parole du Pentagone, Jonathan Hoffman, la Russie « viole continuellement et de façon flagrante ses obligations selon le traité Open Skies et l’applique d’une façon qui menace les Etats-Unis, ainsi que nos alliés et partenaires ».

Dans un communiqué, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Robert O’Brien, a souligné que les Etats-Unis « ne resteraient pas signataires de traités internationaux qui sont violés par les autres parties et qui ne sont plus dans l’intérêt de l’Amérique ». Il a cité les deux traités dont les Etats-Unis se sont retirés récemment : le traité sur le programme nucléaire iranien et le traité INF sur les missiles terrestres de moyenne portée. « Nous sommes prêts à négocier avec la Russie et la Chine sur un nouveau cadre de contrôle des armements qui aille au-delà des structures du passé datant de la Guerre Froide et qui permette de garantir la sûreté du monde », a conclu Brien.

Jusqu'où ira l'escalade de tensions entre les États-Unis et la Corée du Nord ?

Jusqu'où ira l'escalade verbale entre Donald Trump et son homologue nord-coréen ? Les échanges de menaces sont désormais incessants. Le président américain a qualifié ce vendredi le leader nord-coréen de "fou", affirmant qu'il allait être mis à l'épreuve "comme jamais", au moment où le régime de Pyongyang évoquait un possible essai de bombe H dans le Pacifique. Cette nouvelle escalade intervient quelques jours après le discours de Donald Trump à l'ONU, dans lequel le président américain avait qualifié Kim Jong-Un d'"homme-fusée" et avait menacé son pays de "destruction totale". Trump "m'a insulté, moi et mon pays, sous les yeux du monde entier, et a livré la plus féroce déclaration de guerre de l'histoire", a rétorqué le leader nord-coréen.



On en parle avec: Cédric Faiche, correspondant BFMTV aux États-Unis. - Week-end Direct, du vendredi 22 septembre 2017, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Donald Trump signe déjà un décret contre la loi sur la santé Obamacare

Après avoir prêté serment hier soir, Donald Trump n'a pas perdu de temps et a signé, dès son entrée à la Maison Blanche, un décret contre la loi sur l'assurance maladie. Il s'agit de l'Obamacare, qu'il avait promis d'abroger durant sa campagne. Le texte ordonne aux diverses agences fédérales de soulager le poids de cette réforme emblématique. Avec seulement 40% d'opinion favorable, jamais un président américain n'avait pris le pouvoir avec un niveau d'impopularité aussi élevé.






Obama et la santé : un président qui assure
Parmi les réformes phares de la présidence Obama, celle de l'assurance maladie, qui a rendu obligatoire la couverture santé tout en encadrant les pratiques des assureurs.

La réforme porte son nom et sera sans doute l’une des pierres angulaires de son héritage. En deux ans, l’«Obamacare» a permis à plus de 17 millions d’Américains de souscrire une assurance ­maladie privée pour couvrir leurs frais médicaux, très élevés aux Etats-Unis, Barack Obama a d’ailleurs, à plusieurs reprises, joué au VRP de sa réforme –  avec une perche à selfie sur BuzzFeed, ou transformé en zombie sur Snapchat, yeux rouges et dents aiguisées, dans une ­vidéo hilarante diffusée cette année lors du tra­ditionnel dîner des correspondants à la Maison Blanche.
L’Affordable Care Act (ACA), de son vrai nom, est une réforme du système national d’assurance santé votée en mars 2010 et entrée en vigueur en 2014. Son but : rendre accessibles des assurances santé privées de qualité. La réforme se fonde sur un élargissement du programme Medicaid, l’assurance publique américaine pour les plus pauvres, gérée par les Etats depuis 1965. Sur les 50 Etats américains, 31 ont choisi d’appliquer cette extension. Tout en restant dans un système de concurrence entre assureurs privés, l’ACA a aussi rendu obligatoire, pour les individus et les entreprises, la souscription à une couverture santé, au risque de payer une amende (sauf pour les plus pauvres). Des plateformes en ligne, appelées «marketplaces», ont été créées dans les Etats pour ceux qui ­opteraient pour une cou­verture individuelle. Les ­offres de différents assureurs privés y sont comparées pour faciliter le choix des citoyens, avec des prestations basiques obligatoires (contraception, soins préventifs gratuits, test de ­grossesse…).
Obamacare

Antécédents

Dans le viseur de l’ACA, les pratiques sauvages du marché de l’assurance. Jusqu’à la réforme, un assureur pouvait faire payer plus cher une personne en fonction de ses antécédents médicaux, de son âge ou même de son sexe. Et même lâcher son client quand celui-ci tombait malade, et risquait donc de lui coûter plus cher. Ces pratiques sont aujourd’hui interdites. Les jeunes peuvent également rester sur l’assurance de leurs parents jusqu’à leurs 26 ans.
«Les Etats-Unis se distinguent depuis longtemps par une proportion de la population non assurée très élevée, détaille Valérie Paris, spécialiste des politiques de santé à l’OCDE. Avec l’Obamacare, les dépenses sanitaires ont continué d’augmenter, mais beaucoup moins rapidement.» Sur la prochaine décennie, selon les projections fédérales, 25 millions de personnes obtiendront une couverture santé grâce à l’Obamacare. Barack Obama a durement bataillé contre les républicains au Congrès afin de faire passer sa loi. «Les conservateurs s’opposent principalement à la nouvelle obligation de s’assurer, et à la régulation par les instances fédérales du marché de l’assurance», explique Valérie Paris.

«Régulation»

L’ACA élargit en effet l’emprise de l’Etat fédéral (contre lequel s’érigent systématiquement les républicains) sur le système de santé national, surtout avec l’extension de Medic­aid, largement subventionné par le fédéral. La réforme ­devrait coûter environ 1 000 milliards de dollars (890 milliards d’euros) sur les dix prochaines années. Et malgré l’ACA, selon le site Vox, 31 millions d’Américains devraient rester sans couverture santé.
OBAMA BLUES

Etats-Unis: Donald Trump tient le feu nucléaire à portée de main

media
Un officier de l'armée américaine suit le président
 dans ses moindres déplacements avec
 la valise noire des codes nucléaires.
 
  Donald Trump a été officiellement investi 45e président des Etats-Unis, ce vendredi 20 janvier, au cours d’une journée très protocolaire. Entre autres moments clés, la transmission de codes secrets qui permettent le déclenchement d’une attaque nucléaire sur le seul ordre du président. Presque comme s’il s’agissait d’un sujet de conversation courante, le nucléaire militaire aura été un leitmotiv, initié pendant la campagne électorale américaine et poursuivi depuis l’élection de Donald Trump, le 8 novembre dernier.
Le sujet de l’arme nucléaire, légitimement abordé par les médias américains, a été régulièrement alimenté par le candidat républicain, puis le président élu, à travers ses réponses à la fois belliqueuses, provocatrices, floues et contradictoires. En résulte une inquiétante incertitude, comme le traduisent articles et éditoriaux de ce D-Day, en France : « On ressent tous un filet de sueur glacée couler le long de notre colonne vertébrale en imaginant Barack Obama remettre à Donald Trump la petite mallette contenant les codes nucléaires américains. » (Libération)… comme outre-Atlantique : « Les Etats-Unis s’apprêtent à donner son arsenal à quelqu’un qui est clairement incompétent pour commander ces armes. » (CNN)
Bouton, codes et mallettes
Au cours d’un meeting à San Diego, en pleine campagne, Hillary Clinton, encore dans la course à la Maison Blanche, avait harangué la foule de ses partisans : « Est-ce que nous souhaitons vraiment voir son doigt près du bouton rouge ? » De bouton rouge, déclenchant l’apocalypse par une simple pression, il n’y a point. Il n’existe que comme symbole dans l’imaginaire collectif. Mais il rappelle que le feu nucléaire est une réalité bien concrète. C’est ce pouvoir, parmi d’autres, que reçoit Donald Trump ce vendredi.
Aux Etats-Unis, comme dans d’autres pays détenteurs de la bombe, c’est une mallette qui contient la procédure à suivre en cas de décision de son utilisation. Il s’agit d’une sacoche noire, extérieur cuir, intérieur aluminium, qui pèse une vingtaine de kilos et relativement bombée : un drôle l’a donc surnommée « le ballon de football nucléaire », son nom quasi officiel depuis 1963. Après la crise des missiles à Cuba, « le ballon » suit le président comme son ombre, rapporte le Smithsonian Magazine, durant toute la durée du mandat. Il est transporté par des officiers triés sur le volet qui se relaient en permanence, que le président soit dans son bureau, en vacances ou encore… au Vatican.
La mallette de la marque Zero Halliburton
 porteuse des codes nucléaires.
 
Plus précisément, la « sacoche d’urgence présidentielle » comporte quatre choses principales, indique dans un livre l’ancien directeur du bureau militaire de la Maison Blanche, Bill Gulley : « Il y a un livre noir qui présente le menu des options d’attaques ; une liste des bunkers sécurisés où le président peut être abrité ; les instructions pour mettre en œuvre l’Emergency Broadcast System ; et une carte de 3 pouces sur 5 avec des codes d’identification afin que le président puisse confirmer son identité. »Cette petite carte de plastique, le « biscuit », est une pièce essentielle du processus. Elle est générée par l’Agence nationale de sécurité (NSA). Elle n’est pas nécessairement placée dans la mallette : le président peut aussi simplement la porter dans ses poches. Par le passé, elle s’est régulièrement fait la malle : Bill Clinton l’aurait égarée plusieurs mois et Gerald Ford l’avait oubliée au pressing.
Une chaîne de déclenchement… sans veto légalLa décision d’utiliser l’arme nucléaire est souveraine : elle ne revient qu’au commandant suprême des armées incarné par le président. « Un président ne peut être stoppé que par une mutinerie, et plus d’une personne (dans l’appareil militaire, ndlr) devrait désobéir à ses ordres » pour l’en empêcher, détaille Kingston Reif, directeur à l’Association de contrôle des armes.« Donald Trump pourrait certes, tout seul, ordonner une frappe nucléaire. Mais cet ordre devrait être vérifié par le secrétaire à la Défense. Dans le cas d’un ordre absurde, le système peut bloquer », assure de son côté à Libération le chercheur Bruno Tertrais, coauteur du livre Le Président et la bombe.En réalité, officiellement, le secrétaire d’Etat à la Défense ne vérifie pas l’ordre, mais l’identité du président. « Est-ce qu’il existe un quelconque droit de regard sur le pouvoir du président de lancer un missile nucléaire qui pourrait détruire des villes ou des pays entiers ?, s’est demandé le New York Times. La réponse immédiate est non, bien que l’histoire montre qu’en pratique, il peut y avoir des moyens de ralentir, voire de faire dérailler la prise de décision. »« Il n’y a pas de veto dès lors que le président a ordonné une frappe », tranche pour le journal new-yorkais Franklin C. Miller, spécialiste nucléaire à la Maison Blanche et au département de la Défense pendant 31 ans. De surcroît, des spécialistes s’accordent à dire qu’il n’y a aucun filet de protection dans le cas d’un président mentalement malade.Quoi qu’il en soit, la transmission des codes et de la mallette est au coeur d’un rite de passage entre les présidents. Traditionnellement, ce moment singulier a lieu plusieurs heures avant la cérémonie publique. A l’abri des regards et en comité réduit, le chef d’Etat intronisé est instruit sur sa nouvelle « compétence ». Mais la transmission physique a bien lieu devant tous : « Aux États-Unis, on peut le voir sur les images de l'inauguration : l'officier change de place et se met derrière le nouveau président dès que celui-ci a prêté serment », explique Bruno Tertrais au Figaro.Mais celui-ci est faillible. Aussi le vice-président (Mike Pence en l’occurrence) tient-il lui aussi à sa disposition un « ballon de foot ». Le ministre de la Défense serait le troisième personnage à qui reviendrait l’autorité militaire en cas d’incapacité des deux autres.
« Comment lui faire confiance ? »
Barack Obama, pour ne citer que le président sortant, n’a pas pris de gants pour dévoiler le fond assombri de sa pensée : il juge son successeur trop « inconstant » pour se voir confier une arme aussi destructrice. « Comment pouvez-vous lui faire confiance avec les codes nucléaires? Vous ne pouvez pas », avait-il clamé en octobre. « Si quelqu'un ne peut pas gérer un compte Twitter, il ne peut pas gérer les codes nucléaires ».
L’impulsivité du 45e président américain interroge au minimum, et donne carrément des suées dans les cénacles les plus concernés. « A minuit précisément, le contrôle de cette mallette passera dans les mains d’un homme qui a été décrit par les experts sécurité de son propre camp comme manquant de jugement, de tempérance et de connaissance pour commander des armes nucléaires », enfonce encore CNN, dans un éditorial le 18 janvier dernier.
Des déclarations intempestives et contradictoires
Parce qu’il ne sait pas foncièrement de quoi il parle - son ignorance en géostratégie a été étalée sur les écrans de télévisions -, Donald Trump maintient le flou sur sa conception de l’arme nucléaire et de son utilisation. « Je crois personnellement que c’est le plus gros problème du monde, la capacité nucléaire, sa prolifération », confiait-il le 26 mars au New York Times. « Je ne voudrais vraiment pas être le premier à les utiliser », poursuivait-il.
Quelques mois plus tard, il tweetait : « les Etats-Unis doivent grandement renforcer et accroître leur capacité nucléaire tant que le monde n’aura pas retrouvé la raison dans le domaine des armes nucléaires. » Le lendemain, vendredi, il aurait renchéri, lors d’une conversation avec une journaliste de la chaîne d’information MSNBC, Mika Brzezinski. « S’il le faut, il y aura une course à l’armement », aurait-il déclaré, selon la journaliste. « Nous les dépasserons à chaque étape et nous leur survivrons », aurait-il ajouté, visant les rivaux des Américains.
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Le roi Mohammed VI s’entretient avec Donald Trump

Le roi Mohammed VI s'entretient avec Donald Trump


Le roi Mohammed VI s’est entretenu mercredi au téléphone avec Donald Trump, Président-élu des Etats-Unis, indique un communiqué du Cabinet royal.
Lors de cet entretien, le Souverain a réitéré ses chaleureuses et sincères félicitations à M. Trump pour son élection en tant que 45 ème Président des Etats Unis.
Les deux chefs d’Etat ont convenu d’œuvrer pour le renforcement des liens stratégiques forts, profonds et multidimensionnels qui unissent les deux pays.

Donald Trump, une famille en images


Donald et Ivana Trump, en 1982.
 DONALD ET IVANA TRUMP, EN 1982.
Marié à trois reprises, Donald Trump a eu cinq enfants : Donald Jr, Ivanka, Eric, Tiffany et Barron. Retour en images sur la famille du 45e président américain.
Cinq enfants, huit petits-enfants : Donald Trump est à la tête d'une large famille. Le milliardaire a épousé en 1977 Ivana Zelníčková, une ancienne athlète et mannequin tchèque. Ensemble, ils ont eu trois enfants : Donald Jr, né en 1977, Ivanka, née en 1981, et Eric, né en 1984. Ils se sont séparés en 1990 à cause de la révélation de la liaison de Donald Trump avec l'actrice Maria Maples, qu'il a épousée en 1992 une fois divorcé. Un an plus tard, elle donnait naissance à leur seul enfant, une fille baptisée Tiffany. Le couple s'est séparé en 1997.
Peu de temps après, Donald Trump rencontrait le mannequin slovène de 24 ans sa cadette Melania Knauss, qui est devenue sa troisième épouse en janvier 2005 lors de somptueuses noces dans sa demeure de Mar-a-Lago, en Floride. Leur fils Barron est né en mars 2006. 
Les enfants de Donald Trump sont devenus parents à leur tour. Son aîné Donald Jr a eu cinq enfants avec le mannequin Vanessa Haydon : deux filles nommées Kai et Chloe et trois garçons Donald III, Tristan et Spencer. Ivanka, elle, a eu trois enfants avec son mari Jared Kushner : Arabella, Joseph et Theodore -ce dernier est né en mars 2016, en pleine campagne de la primaire républicaine pour son père.
Donald et Ivana Trump, en septembre 1986.
 Donald et Ivana Trump, en septembre 1986.

Donald et Ivana Trump, en août 1987.
 Donald et Ivana Trump, en août 1987.

Donald et Ivana Trump, en juillet 1988.
Donald et Ivana Trump, en juillet 1988. 

Donald et Ivana Trump en mai 1988.
 Donald et Ivana Trump en mai 1988.

Ivana et Donald Trump, en avril 1990.
 Ivana et Donald Trump, en avril 1990.

Donald Trump et sa fille Ivanka, en 1991.
Donald Trump et sa fille Ivanka, en 1991. 

Donald et Ivana Trump, en 1991.
 Donald et Ivana Trump, en 1991.

Maria Maples et Donald Trump, en novembre 1992.
 Maria Maples et Donald Trump, en novembre 1992.

Donald Trump et Maria Maples, en décembre 1993.
 Donald Trump et Maria Maples,
en décembre 1993.

Donald Trump et Maria Maples le jour de leur mariage, en décembre 1993.
 Donald Trump et Maria Maples le jour de
 leur mariage, en décembre 1993.

Donald Trump et Maria Maples le jour de leur mariage, en décembre 1993.
Donald Trump et Maria Maples le jour
de leur mariage, en décembre 1993.
 

Maria Maples, Tiffany, Ivanka et Donald Trump à l'US Open, en septembre 1994.
Maria Maples, Tiffany, Ivanka et Donald Trump
à l'US Open, en septembre 1994.
 

Maria Maples, Donald et Ivanka Trump, en 1995.
Maria Maples, Donald et Ivanka Trump, en 1995. 

Donald Trump, Maria Maples et leur fille Tiffany, en novembre 1995.
Donald Trump, Maria Maples et
leur fille Tiffany, en novembre 1995.
 

Donald Trump, Maria Maples et leur fille Tiffany, en juin 1996.
 Donald Trump, Maria Maples et
leur fille Tiffany, en juin 1996.

Ivanka Trump sur un podium, en novembre 1997.
 Ivanka Trump sur un podium,
en novembre 1997.

Une des premières apparitions publiques de Donald Trump avec Melania, en mai 1999.
Une des premières apparitions publiques de
Donald Trump avec Melania, en mai 1999.
 

Ivanka Trump et sa mère Ivana, en août 2001.
 Ivanka Trump et sa mère Ivana, en août 2001.

Donald Trump et sa fille Tiffany, en avril 2004.
 Donald Trump et sa fille Tiffany, en avril 2004.

Melania Trump le jour de son mariage avec Donald Trump, en janvier 2005.
 Melania Trump le jour de son mariage
avec Donald Trump, en janvier 2005.

Donald et Melania Trump, en mars 2005.
Donald et Melania Trump, en mars 2005. 

Donald Trump Jr., Tiffany, Donald, Melania et Ivanka Trump, en juin 2006.
 Donald Trump Jr., Tiffany, Donald,
Melania et Ivanka Trump, en juin 2006.

Donald et Melania Trump, avec leur fils Barron, en janvier 2007.
 Donald et Melania Trump, avec leur fils Barron, en janvier 2007.

Barron et Donald Trump, en janvier 2007.
Barron et Donald Trump, en janvier 2007. 

Ivanka, alors enceinte, et Donald Trump, en février 2016.
Ivanka, alors enceinte, et Donald Trump, en février 2016. 

Donald Trump, sa femme et ses enfants invités du «Today Show», en avril 2016.
 Donald Trump, sa femme et ses enfants
invités du «Today Show», en avril 2016.

Donald Trump Jr et sa femme Vanessa, en avril 2016.
 Donald Trump Jr et sa femme
Vanessa, en avril 2016.

Eric Trump et sa femme Lara, en avril 2016.
 Eric Trump et sa femme Lara, en avril 2016.

Ivanka Trump et son mari Jared Kushner, en mai 2016.
Ivanka Trump et son mari
Jared Kushner, en mai 2016.
 

Tiffany et Barron Trump, en juillet 2016.
 Tiffany et Barron Trump, en juillet 2016.

Donald et Melania Trump, en juillet 2016.
Donald et Melania Trump, en juillet 2016. 

Donald Trump entouré de ses enfants à l'inauguration de son palace de Washington, en octobre 2016. 
Donald Trump entouré de ses enfants à l'inauguration 
de son palace de Washington, en octobre 2016.

Clinton donnée largement vainqueur

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La candidate démocrate à la présidentielle, Hillary Clinton, a profité du traditionnel sursaut post-convention de nomination et dispose désormais une marge confortable de 7 à 9 points d’avance sur son rival Donald Trump selon les premiers sondages. Le milliardaire avait lui aussi profité du coup de pouce de la couverture médiatique des conventions qui tentent de montrer les candidats sous leur meilleur jour, mais selon un sondage CBS, 46% des personnes interrogées ont affirmé donner leur voix à la candidate démocrate contre 39% pour le républicain. Clinton enregistre ainsi un rebond de 4 points. Rappelons qu’une nouvelle polémique fait rage depuis plusieurs jours, Trump étant sévèrement critiqué y compris dans son propre camp pour s’en être pris assez violemment à un couple musulman américain dont le fils est mort au combat en Irak en 2004.

Biographie de Donald Trump



Donald Trump naît le 14 juin 1946 dans le Queens à New York. Ses parents l’ins­crivent dans une acadé­mie mili­taire afin de cana­li­ser son éner­gie d'adoles­cent. A sa sortie, il s'inscrit en cursus écono­mie et décroche un diplôme de la Whar­ton School of Finance de l'univer­sité de Penn­syl­va­nie, avant de rejoindre l’en­tre­prise fami­liale spécia­li­sée dans l'immo­bi­lier. Donald apprend les rouages du métier sous la houlette de son père, et se montre très rapi­de­ment doué pour les affaires. 
En 1983, il construit son premier gratte-ciel, la Trump Tower, qui marque le paysage new-yorkais. À la tête d’un empire finan­cier, Donald Trump érige des bâti­ments pres­ti­gieux qui portent son nom. Une décen­nie plus tard, lors de la crise immo­bi­lière de 1990, il doit faire face à des dettes qui s'élèvent à plusieurs milliards de dollars et frôle la faillite. Mais le magnat de l'immo­bi­lier de luxe tire son épingle du jeu et rebon­dit. En 2005, son groupe est à nouveau confronté à la faillite à cause de ses casi­nos d'Atlan­tic City, mais il sauve in-extre­mis ses affaires. Dès lors, l'entre­pre­neur avisé multi­plie les asso­ciés afin de mini­mi­ser les risques finan­ciers et déve­loppe un système de licences qui lui permettent d'appo­ser son nom sur des gratte-ciel sans qu'ils lui appar­tiennent. Paral­lè­le­ment véri­table touche-à-tout, il permet à son groupe se diver­si­fie dans le prêt-à-porter, la créa­tion de parcours de golf, ou encore la forma­tion profes­sion­nelle (Trump Univer­sity puis The Trump Entre­pre­neur Initia­tive depuis 2010).
Média­tique, l'homme d'affaires décide de créer et co-produire, en 2004, une émis­sion de télé-réalité,The Appren­tice. Le succès est immé­diat et l'émis­sion pulvé­rise des records d'audience (28 millions de télé­spec­ta­teurs le soir de la finale de la première saison). Donald Trump se prête au jeu et prend les commandes de la présen­ta­tion du jeu pendant plusieurs saisons. Person­nage extra­va­gant, sa cote de popu­la­rité ne cesse de grim­per. Le concept est décliné dans de nombreux pays. En France, c'est la chaîne M6 qui adapte le concept avec The Appren­tricequi décro­chera le job?présenté par Bruno Bonnell et diffusé à partir de septembre 2015. 
En juin 2015, le milliar­daire est de retour sur le devant de la scène poli­tique, presque vingt ans après sa première candi­da­ture aux primaires répu­bli­caines en 1996. Il choi­sit le hall de la tour Trump à New York pour lancer sa candi­da­ture aux primaires répu­bli­caines en vue de l'élec­tion prési­den­tielle de 2016.

Côté vie privée, Donald Trump épouse en 1977 Ivana Zelni­ckova, athlète et mannequin tchèque. Le couple a trois enfants; Donald Trump Jr (né en 1977), Ivanka (née en 1981) et Eric (né en 1984). En 1993, il épouse en secondes noces – un an après son divorce d'avec Ivana – Marla Maples dont il a une fille, Tiffany (née en 1993). Mais le couple divorce en 1999. Depuis janvier 2005, Donald Trump est marié au mannequin slovène Mela­nia Knauss. Ils ont un fils, Barron William, né en 2006. Il est égale­ment le grand-père de sept petits-enfants.