Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est COVID-19. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est COVID-19. Afficher tous les articles

Covid-19: Omicron, le nouveau variant qui inquiète le monde

 

Alors que l’Europe peine à endiguer la nouvelle vague hivernale de Covid, l’annonce de la découverte d’un nouveau variant «préoccupant» en Afrique du Sud a fait l’effet d’un électrochoc. Que sait-on exactement à ce stade sur le B 1.1.529 ?

Depuis l’annonce jeudi par l’Afrique du Sud de la découverte d’un nouveau variant préoccupant, la panique se répand dans le monde comme une traînée de poudre. L’Organisation mondiale de la santé l’a classé jeudi comme «préoccupant» et lui a ainsi donné son appellation officielle: la lettre grecque Omicron. Le nouveau venu a de quoi inquiéter: un cumul inhabituel de mutations pouvant à la fois réduire l’efficacité de nos défenses immunitaires et accroître sa contagiosité.

L’Afrique du Sud a très rapidement donné l’alerte, trente-six heures seulement après l’identification des premiers signes alarmants: une montée en flèche des cas de Covid chez les jeunes de la région de Gauteng (Nord).

 

Alors que la France essaie de limiter une fulgurante cinquième vague hivernale de Covid-19, les virologues du monde entier ont depuis quelques heures les yeux rivés sur un autre pays, l’Afrique du Sud, où un nouveau variant aux mutations inquiétantes a été découvert. À tel point que l’OMS a baptisé B.1.1.529 (surnommé "Nu" dans un premier temps) "variant Omicron". Ce variant du Covid a été directement classé préoccupant. 

Covid-19 : ce que l'on sait de la nouvelle mutation détectée au Royaume-Uni


Londres et le sud-est de l'Angleterre repassent en confinement. Objectif ? Tenter de juguler une envolée des contaminations, attribuée à une nouvelle souche du coronavirus.


Une "variante" qui compte 23 changements
Cette nouvelle forme du virus a été dévoilée lundi 14 décembre par le ministre de la Santé Matt Hancock aux députés. Il s'agit d'une souche, identifiée chez plus de 1000 personnes principalement dans le sud de l'Angleterre, qui pourrait être impliquée dans la propagation "exponentielle" du virus dans le sud-est de l'Angleterre, sans que l'on sache "dans quelle mesure", selon Matt Hancock.
Cette variante, qui serait apparue mi-septembre à Londres ou dans le Kent (sud-est), était à l'origine de 62% des contaminations enregistrées à Londres en décembre et de 43% dans le sud-est, bien plus qu'à la mi-novembre. Selon le conseiller scientifique du gouvernement, Patrick Vallance, cette variante contient 23 changements par rapport au virus désormais bien connu des chercheurs. Il s'agit d'un "nombre inhabituellement grand", beaucoup étant "associés aux changements dans la protéine que le virus fabrique" et "à la manière dont le virus se lie aux cellules ou les pénètre", précise-t-il.
Après la découverte d'un cas de contamination par cette variante aux Pays-Bas, "au début de décembre" selon le ministère néerlandais de la Santé, le gouvernement de Mark Rutte a annoncé la suspension dès dimanche de tous les vols de passagers en provenance du Royaume-Uni. Une décision également prise par la Belgique tandis que l'Allemagne a indiqué qu'elle envisageait "sérieusement" d'en faire de même.

Bien plus contagieuse
Samedi soir, Boris Johnson a reconnu que la nouvelle variante du virus se transmet "bien plus facilement", "jusqu'à 70% de plus". "Rien n'indique qu'il est plus mortel ou qu'il cause une forme plus sévère de la maladie" ou qu'il réduit l'efficacité des vaccins, a-t-il toutefois ajouté. 


Selon Patrick Vallance, cette nouvelle variante "se propage rapidement", et devient aussi la forme "dominante", ayant entraîné "une très forte hausse" des hospitalisations en décembre. Pas d'inquiétude outre mesure cependant : s'en référant aux scientifiques, le conseiller gouvernemental assure que les vaccins continuent d'offrir une réponse "adéquate".

Déjà d'autres mutations
Les mutations d'un virus sont courantes. Certaines les rendent plus résistants aux traitements ou aux vaccins, qui peuvent être adaptés, mais d'autres n'ont "absolument aucun effet", a commenté dans un communiqué Jonathan Ball, professeur de virologie moléculaire à l'université de Nottingham. "Nous n'avons pas beaucoup de raisons de penser que cela pourrait affecter l'efficacité du vaccin", nous indiquait plus tôt dans la semaine Morgane Bomsel, spécialiste de virologie et chercheuse au CNRS.

Le covid-19 fait deux nouvelles victimes parmi le corps médical à Fès.


Le covid-19 fait deux nouvelles victimes parmi le corps médical à Fès. Dr BOUDALI Abdelmajid, éminent Traumato-Orthopédiste et Docteur BERRADA Ahmed, grand chirurgien viscéraliste sont décédés ces derniers quarante huit heures des suites du coronavirus.

Les défunts étaient placés en réanimation au centre universitaire Hassan II et après la détérioration de leur état de santé avant de rendre leur dernier souffle, malgré les multiples interventions médicales pour le sauver.

Rappelons que des dizaines de médecins au Maroc sont décédés des suites du covid-19 depuis le début de la pandémie.

Trump, positif au coronavirus, admis à l'hôpital "pour quelques jours"

 

Masqué et marchant seul, le président américain Donald Trump, testé positif au Covid-19, a quitté vendredi soir la Maison Blanche pour rejoindre un hôpital militaire dans la banlieue de Washington dans lequel il va être admis pour "quelques jours".
Donald Trump, qui portait un masque, a brièvement salué les journalistes présents dans les jardins de la Maison Blanche mais n'a pas dit un mot et a embarqué à bord de l'hélicoptère présidentiel Marine One qui a décollé peu après.


Covid-19: un test salivaire rapide bientôt commercialisé


Un test de dépistage salivaire du Covid-19 sera disponible à partir du 19 juin. Son efficacité serait très proche de la méthode PCR, mais beaucoup plus rapide et moins désagréable.
Un test salivaire de dépistage du SARS-Cov-2, appelé EasyCov, sera mis en circulation le 19 juin à l’échelle internationale. Il a été développé par les scientifiques du laboratoire Sys2diag (CNRS/Alcen) et les médecins du CHU de Montpellier. Jusqu’à présent, la méthode RT-PCR était la plus fiable en cas de symptômes. Celle-ci consiste à prélever des cellules nasales à l’aide d’un écouvillon, un long coton-tige, inséré profondément dans les narines.

Les résultats disponibles en 1 heure
La méthode EasyCov promet d’être plus simple et plus rapide. "Le prélèvement de salive n’est pas désagréable, décrit le professeur Jacques Reynes, chef du service de maladie infectieuse au CHU de Montpellier. Il nécessite très peu de matériel ce qui le rend facilement transportable et permet d’obtenir un résultat en une heure" contre 24 heures maximum pour le test PCR.

Le test salivaire est-il aussi efficace que le prélèvement nasal?
"Les performances sont très similaires. L’efficacité du PCR est un peu dégradée par un prélèvement difficile à faire, vante Franck Molina, chercheur au CNRS. Parfois les tests salivaires sont plus efficaces que les tests nasopharyngés et inversement. Aucune technique ne permettra de détecter 100% des patients infectés".



COVID-19 et grossesse



Les femmes enceintes sont-elles plus à risque d’infection au coronavirus ?
A ce jour, il existe peu de données pour évaluer la sensibilité des femmes enceintes au coronavirus COVID-19. Mais on sait que les femmes enceintes subissent des changements immunologiques et physiologiques qui peuvent les rendre plus sensibles et plus à risque de complications aux infections virales respiratoires. Cela a été le cas avec de précédents épisodes d’infections à coronavirus (Sars-CoV à l’origine de l’épidémie de SRAS en 2003 ou le MERS-Cov)1 ou d’autres infections virales respiratoires comme la grippe ou la coqueluche, deux maladies face auxquelles les femmes enceintes doivent être vaccinées.
A ce titre et en l’absence de vaccin disponible contre le nouveau coronavirus, les femmes enceintes sont invitées à suivre avec la plus grande attention les recommandations de prévention pour éviter les infections : se laver régulièrement les mains avec du savon et de l’eau pendant au moins 20 secondes (ou à défaut avec du gel hydroalcoolique), éviter les personnes malades, ne pas se toucher le visage, se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir ou le coude lorsque vous éternuez, nettoyer sa chambre et les objets courants, éviter les contacts proches et les lieux très fréquentés…

Les femmes enceintes sont-elles plus à risque de complications en cas d’infections ?
Là-encore, peu d’études permettent d’apporter une réponse claire sur les conséquences d’une infection pendant la grossesse pour la mère et le bébé.
Sur les deux rapports, décrivant 18 grossesses de femmes infectées par le coronavirus Covid-19 (toutes infectées lors du dernier trimestre), les symptômes chez les mères sont similaires aux autres femmes. Sur les 19 naissances (un cas de jumeaux), 16 ont bénéficié d’une césarienne, des détresses fœtales ont été notés chez 6 femmes et 6 enfants sont nés prématurément. A partir de ces données très limitées, il est difficile d’en tirer des conclusions définitives.
En extrapolant à partir des autres cas d’infection par un coronavirus (SARS-CoV et MERS-CoV), pendant la grossesse, il semblerait que ces infections augmentent le risque d’accouchements prématurés, de fausses couches et de décès du fœtus. Par ailleurs, des fièvres élevées au cours du premier trimestre de grossesse peuvent avoir des conséquences sur le fœtus (risque plus élevé de malformations).
Les établissement hospitaliers sont conscients de ces risques et mettent en œuvre des procédures limitant les risques d’infections. Mais certains experts préconisent un dépistage systématique au coronavirus COVID-19, comme les autorités chinoises le recommandent déjà.
A l’heure actuelle, il n’existe aucune recommandation officielle concernant les femmes enceintes.

Le virus peut-il être transmis au fœtus pendant la grossesse ?
Aujourd’hui, la transmission du coronavirus COVID-19 se fait essentiellement par contact étroit avec une personne infectée par le biais de gouttelettes respiratoires. On n’a peu de données concernant la possible transmission de l’infection de la mère au fœtus ou au nouveau-né par "transmission verticale" (avant, pendant ou après l'accouchement).
Selon la série limitée de cas récents de nourrissons nés de mères avec COVID-19 publiés dans la littérature médicale, aucun des nourrissons n'a été infecté ; aucun virus n'a été détecté dans le liquide amniotique ou le lait maternel. Concernant les autres infections par coronavirus (MERS-CoV et SARS-CoV), les données sont limitées mais aucune transmission verticale n'a été signalée. Il existe cependant quelques cas rapportés de nouveau-nés testés positifs au COVID-19, mais aucun n’a fait l’objet d’une évaluation médicale complète, on ne peut donc savoir avec certitude comment l’infection a eu lieu et s’il peut se transmettre de la mère à l’enfant8.
Le 16 mars 2020, une nouvelle étude chinoise rapportant 4 naissances, publiée dans la revue Frontiers in Pediatrics semble également rassurante. Les quatre mères infectées ont accouché à l'hôpital de l'Union de Wuhan, l'épicentre de l'épidémie actuelle. Résultats : aucun des nourrissons n'a développé de symptômes graves associés au COVID-19 tels que de la fièvre ou de la toux, bien que tous aient été initialement isolés dans des unités de soins intensifs. Trois des quatre bébés ont été testés négatifs pour l'infection respiratoire après un prélèvement de gorge, tandis que la mère du quatrième enfant a refusé l'autorisation pour ce test. Un nouveau-né a eu un problème respiratoire mineur pendant trois jours qui a été traité par ventilation mécanique non invasive. Deux bébés, dont celui ayant eu un problème respiratoire, ont présenté des éruptions cutanées qui ont finalement disparu spontanément. Il est impossible de conclure s'il existe un lien entre ces autres problèmes médicaux et COVID-19, selon les auteurs.

Quels sont les risques pour les nouveau-nés ?
A ce jour, les risques pour le nourrisson à court et à long terme ne sont pas connus avec certitude. Selon l’une des études, certaines enfants avaient des symptômes particuliers (détresse respiratoire, cyanose, saignements gastrique et un décès), mais aucun n’avait été testé positif au test de détection de l’infection. Le fait de garder l’enfant auprès de sa mère malade paraît peu recommandé.
Par ailleurs, les données pour d'autres infections virales respiratoires pendant la grossesse (coronavirus mais aussi le virus grippal) ont rapporté des effets notamment un faible poids à la naissance et un accouchement prématuré. De plus, avoir un rhume ou une grippe avec une forte fièvre au début de la grossesse peut augmenter le risque de certaines malformations congénitales.
Les effets sur le long terme sont à ce jour inconnus, au-delà des effets à long terme lié à un faible poids de naissance et une prématurité.

Le virus peut-il être transmis via l’allaitement ?
A ce jour, aucune étude n’a rapporté de preuve de la présence de virus dans le lait maternel des femmes infectées. Concernant le nouveau coronavirus, les tests effectués sur le lait de 6 femmes infectées ont tous été négatifs. En extrapolant au virus du SRAS, le test du lait maternel d’une femme ayant guéri du Sars-Cov n’a pas révélé la présence de virus, mais des anticorps contre le virus. A l’inverse, 6 autres cas ne présentaient ni trace de virus, ni d’anticorps.
A ce jour, selon la publication la plus récente de l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, les mères qui sont en bonne santé, qui ne sont plus susceptibles d’être infectieuses, sont donc encouragées à allaiter.
Malgré des données limitées, les données préliminaires et les leçons des précédentes épidémies de coronavirus permettent de dire que l’infection au coronavirus-COVID-19 peut avoir des conséquences importantes chez les femmes enceintes. A ce titre, la recherche d’une grossesse en cours lors de la prise en charge pourrait être utile. La prise en charge rapide et efficace d’une possible détresse respiratoire doit pouvoir être mis en place pour le suivi des femmes enceintes infectées.