Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est grossesse. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est grossesse. Afficher tous les articles

COVID-19 et grossesse



Les femmes enceintes sont-elles plus à risque d’infection au coronavirus ?
A ce jour, il existe peu de données pour évaluer la sensibilité des femmes enceintes au coronavirus COVID-19. Mais on sait que les femmes enceintes subissent des changements immunologiques et physiologiques qui peuvent les rendre plus sensibles et plus à risque de complications aux infections virales respiratoires. Cela a été le cas avec de précédents épisodes d’infections à coronavirus (Sars-CoV à l’origine de l’épidémie de SRAS en 2003 ou le MERS-Cov)1 ou d’autres infections virales respiratoires comme la grippe ou la coqueluche, deux maladies face auxquelles les femmes enceintes doivent être vaccinées.
A ce titre et en l’absence de vaccin disponible contre le nouveau coronavirus, les femmes enceintes sont invitées à suivre avec la plus grande attention les recommandations de prévention pour éviter les infections : se laver régulièrement les mains avec du savon et de l’eau pendant au moins 20 secondes (ou à défaut avec du gel hydroalcoolique), éviter les personnes malades, ne pas se toucher le visage, se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir ou le coude lorsque vous éternuez, nettoyer sa chambre et les objets courants, éviter les contacts proches et les lieux très fréquentés…

Les femmes enceintes sont-elles plus à risque de complications en cas d’infections ?
Là-encore, peu d’études permettent d’apporter une réponse claire sur les conséquences d’une infection pendant la grossesse pour la mère et le bébé.
Sur les deux rapports, décrivant 18 grossesses de femmes infectées par le coronavirus Covid-19 (toutes infectées lors du dernier trimestre), les symptômes chez les mères sont similaires aux autres femmes. Sur les 19 naissances (un cas de jumeaux), 16 ont bénéficié d’une césarienne, des détresses fœtales ont été notés chez 6 femmes et 6 enfants sont nés prématurément. A partir de ces données très limitées, il est difficile d’en tirer des conclusions définitives.
En extrapolant à partir des autres cas d’infection par un coronavirus (SARS-CoV et MERS-CoV), pendant la grossesse, il semblerait que ces infections augmentent le risque d’accouchements prématurés, de fausses couches et de décès du fœtus. Par ailleurs, des fièvres élevées au cours du premier trimestre de grossesse peuvent avoir des conséquences sur le fœtus (risque plus élevé de malformations).
Les établissement hospitaliers sont conscients de ces risques et mettent en œuvre des procédures limitant les risques d’infections. Mais certains experts préconisent un dépistage systématique au coronavirus COVID-19, comme les autorités chinoises le recommandent déjà.
A l’heure actuelle, il n’existe aucune recommandation officielle concernant les femmes enceintes.

Le virus peut-il être transmis au fœtus pendant la grossesse ?
Aujourd’hui, la transmission du coronavirus COVID-19 se fait essentiellement par contact étroit avec une personne infectée par le biais de gouttelettes respiratoires. On n’a peu de données concernant la possible transmission de l’infection de la mère au fœtus ou au nouveau-né par "transmission verticale" (avant, pendant ou après l'accouchement).
Selon la série limitée de cas récents de nourrissons nés de mères avec COVID-19 publiés dans la littérature médicale, aucun des nourrissons n'a été infecté ; aucun virus n'a été détecté dans le liquide amniotique ou le lait maternel. Concernant les autres infections par coronavirus (MERS-CoV et SARS-CoV), les données sont limitées mais aucune transmission verticale n'a été signalée. Il existe cependant quelques cas rapportés de nouveau-nés testés positifs au COVID-19, mais aucun n’a fait l’objet d’une évaluation médicale complète, on ne peut donc savoir avec certitude comment l’infection a eu lieu et s’il peut se transmettre de la mère à l’enfant8.
Le 16 mars 2020, une nouvelle étude chinoise rapportant 4 naissances, publiée dans la revue Frontiers in Pediatrics semble également rassurante. Les quatre mères infectées ont accouché à l'hôpital de l'Union de Wuhan, l'épicentre de l'épidémie actuelle. Résultats : aucun des nourrissons n'a développé de symptômes graves associés au COVID-19 tels que de la fièvre ou de la toux, bien que tous aient été initialement isolés dans des unités de soins intensifs. Trois des quatre bébés ont été testés négatifs pour l'infection respiratoire après un prélèvement de gorge, tandis que la mère du quatrième enfant a refusé l'autorisation pour ce test. Un nouveau-né a eu un problème respiratoire mineur pendant trois jours qui a été traité par ventilation mécanique non invasive. Deux bébés, dont celui ayant eu un problème respiratoire, ont présenté des éruptions cutanées qui ont finalement disparu spontanément. Il est impossible de conclure s'il existe un lien entre ces autres problèmes médicaux et COVID-19, selon les auteurs.

Quels sont les risques pour les nouveau-nés ?
A ce jour, les risques pour le nourrisson à court et à long terme ne sont pas connus avec certitude. Selon l’une des études, certaines enfants avaient des symptômes particuliers (détresse respiratoire, cyanose, saignements gastrique et un décès), mais aucun n’avait été testé positif au test de détection de l’infection. Le fait de garder l’enfant auprès de sa mère malade paraît peu recommandé.
Par ailleurs, les données pour d'autres infections virales respiratoires pendant la grossesse (coronavirus mais aussi le virus grippal) ont rapporté des effets notamment un faible poids à la naissance et un accouchement prématuré. De plus, avoir un rhume ou une grippe avec une forte fièvre au début de la grossesse peut augmenter le risque de certaines malformations congénitales.
Les effets sur le long terme sont à ce jour inconnus, au-delà des effets à long terme lié à un faible poids de naissance et une prématurité.

Le virus peut-il être transmis via l’allaitement ?
A ce jour, aucune étude n’a rapporté de preuve de la présence de virus dans le lait maternel des femmes infectées. Concernant le nouveau coronavirus, les tests effectués sur le lait de 6 femmes infectées ont tous été négatifs. En extrapolant au virus du SRAS, le test du lait maternel d’une femme ayant guéri du Sars-Cov n’a pas révélé la présence de virus, mais des anticorps contre le virus. A l’inverse, 6 autres cas ne présentaient ni trace de virus, ni d’anticorps.
A ce jour, selon la publication la plus récente de l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, les mères qui sont en bonne santé, qui ne sont plus susceptibles d’être infectieuses, sont donc encouragées à allaiter.
Malgré des données limitées, les données préliminaires et les leçons des précédentes épidémies de coronavirus permettent de dire que l’infection au coronavirus-COVID-19 peut avoir des conséquences importantes chez les femmes enceintes. A ce titre, la recherche d’une grossesse en cours lors de la prise en charge pourrait être utile. La prise en charge rapide et efficace d’une possible détresse respiratoire doit pouvoir être mis en place pour le suivi des femmes enceintes infectées.
 

Etes-vous une cible pour les moustiques ?


Résultat de recherche d'images pour "Etes-vous une cible pour les moustiques"

Les moustiques femelles se repaissent de sang pour parvenir à se reproduire correctement. On est donc des proies de choix, notre corps attirant plus ou moins ces petites bestioles en fonction de différentes “émanations” génétiques, mais pas que. Si vous vous faites piquer, ce n’est donc pas que la faute à pas de chance. Voici les 4 facteurs majeurs qui font de vous un repas pour les moustiques :
1 – La grossesse
Les moustiques repèrent leurs proies grâce au dioxyde de carbone, que les femmes enceintes produisent en plus grande quantité que n’importe quel autre être humain normal. Une raison de plus pour prendre des précautions avec la propagation du virus Zika qui a des effets néfastes sur les fœtus.
Résultat de recherche d'images pour "moustiques grossesse"

2 – L’exercice
Autre facteur attirant pour les moustiques : l’acide lactique. Un acide organique présent dans le lait, le vin mais aussi dans les muscles qui en sécrètent après l’exercice. Prenez garde lors de votre prochaine session d’exercice en plein air.

Résultat de recherche d'images pour "moustiques consommation alcool"

3 – L’alcool
Vous aurez remarqué que les moustiques prolifèrent quand il fait chaud. Ils apprécient aussi la chaleur de notre corps qui est naturellement augmentée par la consommation d’alcool. A la vôtre, et la leur.

Résultat de recherche d'images pour "moustiques proliferent avec chaleur"

Résultat de recherche d'images pour "moustiques alcool"

4 – Le groupe sanguin type O
Selon une étude qui remonte aux années 70, les personnes au groupe sanguin de type O ont 83% de chances supplémentaires d’être piquées. A l’inverse, le type A réduit les risques. C’est sans doute une question de goût.

Résultat de recherche d'images pour "moustiques et groupe sanguin 0"

5 – Les bactéries de la peau
En 2011, une autre étude a prouvé que les moustiques africains porteurs de la malaria s’intéressent davantage aux peaux odorantes. Un appel des sens généré par des colonies de bactéries présentes dans l’épiderme. Elles sont d’ailleurs plus nombreuses au niveau des pieds et des chevilles, zones plus susceptibles d’être attaquées.

Résultat de recherche d'images pour "moustiques et peaux malades"