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Les 42 lois les plus insolites aux Etats-Unis


Il faut savoir qu’aux États Unis, il existe des lois fédérales, qui sont valables pour tout le pays et des lois d’état qui sont spécifiques à un état. Chaque état fait donc un peu comme il le veut.

Voici un tour des états et de leurs lois les plus improbables.

  1. En Arizona, il est interdit de faire dormir des ânes dans des baignoires (loi de 1924)
  2. En Alabama, il est interdit de porter une fausse moustache qui provoque des rires dans l’église.
  3. En Alaska, il est interdit de réveiller un ours endormi pour prendre une photo.
  4. En Californie, il est illégal de manger une grenouille qui est morte pendant une course de saut de grenouille.
  5. Dans le Colorado, il est interdit de monter un cheval sous l’influence d’alcool ou de drogue.
  6. En Géorgie, il est illégal de garder une cone de glace dans sa poche arrière, le dimanche.
  7. A Hawaii, il est interdit de placer une pièce de monnaie dans des oreilles.
  8. Dans l’Idaho, il est illégal d’offrir à son chéri une boîte de chocolat qui fasse plus de 50 pounds.
  9. Dans l’Indiana, les moustaches sont illégales si le porteur a tendance à embrasser habituellement les autres humains.
  10. Dans l’Iowa, les pianistes qui n’ont qu’un bras, devraient, par loi, jouer en public gratuitement.
  11. Au Kansas, une loi mal formulée stipule que si deux trains se rencontrent sur la même voie, aucun des deux ne doit continuer tant l’autre n’est pas passé.
  12. Au Kentucky, on ne peut pas teindre un canard en bleu et le proposer à la vente à moins que plus de six soient mis en vente à la fois.
  13. En Louisiane, tu peux avoir une amende de $500 si tu commandes une pizza pour l’envoyer chez quelqu’un d’autre sans son accord.
  14. Dans le Maine, il est illégal de garder des décorations de Noël installées après le 14 janvier.
  15. Dans le Maryland, il est interdit d’être dans un parc public avec un t-shirt sans manche. On peut encourir une amende de $10.
  16. Dans le Massachusetts, il est interdit de posséder une balle de golf explosive.
  17. Dans le Michigan, il est illégal pour une femme de couper ses propres cheveux sans la permission de son mari.
  18. Dans le Mississipi, on peut avoir une amende jusqu’à $100 si on utilise un langage profane dans des lieux publics.
  19. Dans le Minnesota, une personne ne devrait pas traverser une frontière d’état avec un canard sur la tête.
  20. Dans le Missouri, il est illégal de conduire avec un ours non enfermé en cage.
  21. Dans le Montana, guider des moutons jusqu’à une voie ferrée avec intention d’endommager un train est sujet à une amende allant jusqu’à $50000 et 5 ans de prison.
  22. Dans le Nevada, il est illégal de conduire un chameau sur la highway.
  23. Dans le New Jersey, c’est contre la loi pour une Home de tricoter pendant la saison de pêche.
  24. Dans le New Hampshire, depuis 1973, il est illégal de transporter ou collecter des algues la nuit.
  25. Dans l’état de New-York, les chaussons ne doivent pas être portés après 10 heures du soir.
  26. Dans le North Carolina, les éléphants ne devraient pas être utilisés pour labourer les champs de coton.
  27. Dans le North Dakota, il est illégal de s’allonger et de s’endormir avec des chaussures au pied.
  28. En Oklahoma, il est interdit de lutter contre un ours.
  29. Dans l’Oregon, il est interdit d’aller chasser dans les cimetières.
  30. Dans l’Ohio, il est interdit de pêcher bourré.
  31. A Rhode Island, mordre un bras ou une jambe de quelqu’un est puni de 1 à 20 ans de prison.
  32. En Caroline du Sud, les chevaux ne peuvent pas être gardés dans des baignoires.
  33. En Dakota du Sud, il est interdit de dormir dans un Cheese Factory.
  34. Dans le Tennessee, il est illégal de partager son mot de passe Netflix.
  35. Dans l’Utah, il est illégal de ne pas boire de lait.
  36. Au Texas, il est illégal de vendre l’œil de quelqu’un.
  37. Dans le Vermont, les femmes devraient obtenir une permission écrite de leurs maris pour porter des fausses dents.
  38. En Virginie, les enfants n’ont pas le droit de faire du trick or treat à Halloween.
  39. En Virginie de l’Ouest, siffler sous l’eau est interdit.
  40. Dans le Wyoming, tu ne devrais pas prendre de photo de lapin de Janvier à Avril sans un permis officiel.
  41. Dans le Wisconsin, il est illégal de servir des substituts de beurre en prison.
  42. Dans l’état de Washington, le harcèlement de Bigfoot ou autres sous-espèces non découvertes est un crime punissable d’une amende ou d’emprisonnement.


    Ces lois nous paraissent bizarres et nous font rire en ces temps modernes mais il faut se dire qu’elles devaient être appropriées et justifiées lorsqu’elles ont été écrites (il y a plus de 100 ans pour certaines).

Les Etats-Unis redoutent l'invasion de "cigales zombies"

L'est des États-Unis se prépare à l’invasion de milliards de cigales. Un phénomène qui se produit tous les 17 ans, en raison du cycle de vie d'une espèce propre à cette région du globe.



L'envahisseur a un nom : Magicicadas septendecim : de petites cigales de trois ou quatre centimètres, noir et orange. Des "cigales de 17 ans", aussi appelées "cigales zombies" parce qu’elles passent toute leur vie sous terre sous forme de nymphe, c’est-à-dire juste avant d’arriver à l’âge adulte. Elles s’y nourrissent de racines et de sève avant de sortir de terre pour se reproduire et mourir. Rassurez-vous, c’est une espèce qui n’existe qu’aux États-Unis. Lorsqu'elles sortent de terre, il devient difficile de conduire la fenêtre ouverte. Les cadavres jonchent le sol avant de disparaitre et les mâles appelant les femelles peuvent faire un bruit assourdissant, jusqu'à 100 décibels, comme un marteau piqueur.


Un cycle de 13 à 17 ans
La dernière grande éclosion, près de la capitale fédérale Washington, date de 2004. Mais, il y a en eu aussi en 2016 dans les États plus au Sud, comme la Louisiane, où l'espèce à un cycle de vie plutôt de 13 ans. Pour leurs homologues plus au Nord, les scientifiques de l’université Virginia Tech estiment qu’elles sont prêtes pour leur grand bal de reproduction cette année. Mais il faut que la température extérieure soit autour des 17°C après une nuit un peu humide pour les voir sortir toutes en même temps, ce qui devrait arriver d’ici quelques semaines. Une vision un peu apocalyptique, qui vous passe l’envie de faire un pique-nique.
Même si c’est impressionnant, ces cigales ne piquent pas, ne font pas comme les criquets qui ravagent les cultures en Afrique de l’Ouest en mangeant tout sur leur passage. Les arboriculteurs et les viticulteurs américains ont quand même commencé à prendre des précautions en couvrant leurs arbres ou leurs plants.


Une stratégie de survie pour l'espèce
Les scientifiques américains qui les étudient ne savent pas vraiment pourquoi elles vivent ainsi mais ils estiment que c’est une stratégie de survie de l’espèce. Ainsi, en arrivant toutes en même temps pour leur reproduction, elles font le régal de leurs prédateurs : les oiseaux, les écureuils et autres rongeurs. Mais face à la quantité, près de 2 000 insectes par mètre carré, ils n’arrivent pas à suivre la cadence. Et cela permet à une bonne partie de l’espèce de survivre pendant les six semaines que durent leur reproduction. Mais cette capsule temporelle ne les protège pas totalement, les "cigales zombies" sont considérées comme quasi menacées aux États-Unis, notamment en raison d’un champignon mais aussi à cause de l’artificialisation des sols. Difficile pour elles avec le béton de trouver le chemin de la sortie après 17 ans de confinement sous terre.

Les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental

C’est une décision courageuse qui sera gravée dans l’histoire, tout comme celle de la reconnaissance par le Maroc des USA en tant que pays indépendant et souverain, à une époque où la reconnaissance n’était pas facile ni organisée.        Le pays des Etat-Unis, qui adopte le principe du réalisme dans la gestion de ses relations internationales, est conscient de l’importance d’aider le Maroc dans cette affaire du Sahara qui n’a que trop duré, au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU, pris en otage l’avenir du Maghreb et porté préjudice aux pays du continent, en les privant de plusieurs opportunités de développement. 

Cette reconnaissance constitue un tournant décisif, puisque c’est la première fois que ce pays, grande puissance mondiale et membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, reconnait, de manière claire, la marocanité du Sahara.              Ce pays a été persuadé que la région sud du Maroc offre d’importantes opportunités d’investissement, la raison pour laquelle il a décidé d’ouvrir un consulat à Dakhla, notant que cette initiative profite non seulement au Maroc mais à l’ensemble des pays africains.                                                                  Le Conseil de sécurité de l’ONU doit désormais être persuadé que l’Algérie n’a plus à s’ingérer dans ce différend autour du Sahara marocain, monté de toute pièce, surtout que le Maroc offre une occasion pour le règlement de ce conflit, à travers l’Initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine, en vue d’aboutir à une complémentarité économique qui profitera à l’ensemble des pays africains.



Etats-Unis : le pays le plus dangereux du monde ! - Géant aux pieds d'argile

Ce film réalisé par Morad Aït-Habbouche souligne la fragilité et la vulnérabilité des Etats-Unis face aux éléments. Conscients des risques qui menacent leurs villes, souvent sous-estimés par l'ensemble de la population, des hommes et les femmes se préparent à affronter l’inévitable.

Trump pense que Renault vend toujours des voitures aux Etats-Unis

Le président s’en est pris à la marque au losange, accusée à tort d’exporter trop de voitures sur le sol américain.

Donald Trump le 16 octobre 2019 à la Maison Blanche.
Donald Trump le 16 octobre 2019 à la Maison Blanche

Donald Trump n’est pas incollable sur le marché automobile français… ou américain. Ce mercredi, le président américain s’en est pris à la marque Renault lors d’un point presse, Dans son discours, il a accusé la marque de voiture de « trop vendre » aux Etats-Unis… sauf que l’entreprise a quitté le marché américain en 1987.
« Pour nos produits agricoles, c’est très compliqué d’y être exportés [en Europe], pour nos voitures, c’est très compliqué », a déclaré le président américain, en pleine guerre des tarifs douaniers avec l'Union européenne. « Eux, ils envoient des Mercedes, des BMW, des Volkswagen, des Renault, dans le cas de la France. » La séquence a été repérée et partagée sur Twitter. 
Quelques modèles vendus en 1992
En réalité, Renault n’est plus présente sur le marché américain depuis la revente d’American Motors Corporation (AMC), survenue en 1987. Certains modèles de la marque au losange ont continué à être commercialisés aux États-Unis pendant quelques années, comme la version américaine de la R25, vendue jusqu’en 1992 sous la marque Eagle.

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Une chèvre devient maire d'une ville Américaine.

Parmi ses adversaires se trouvaient des chiens, des chats mais aussi une gerbille domestique.

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Lincoln, une chèvre anglo-nubienne de 3 ans est devenue maire de la ville de Fair Haven aux Etats-Unis.
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L’animal prendra ses fonctions mardi 12 mars 2019. Des habitants de la ville ont élu Lincoln qui avait face à elle 15 adversaires : des chiens, des chats mais aussi une gerbille domestique. Lincoln a remporté les élections avec 13 voix contre Sammie, un chien, qui n’en a obtenu que 10.

Intéresser les enfants à la politique

La durée du mandat est d’un an. Dans le cadre de ses fonctions, la chèvre devra assister à des évènements locaux notamment au défilé du Memorial Day où elle portera une ceinture sur mesure. La petite ville de 2.500 habitants n’a pas de maire humain, mais un directeur municipal qui s’est inspiré d’une ville du Michigan pour cette drôle d’élection. « C’est une excellente façon de présenter le gouvernement local aux enfants de l’école primaire », s’est réjoui le directeur.
Le vote du maire pour animaux de compagnie a eu lieu lors de la réunion de la commune. Tout résident pouvait voter.

Aux Etats-Unis, le règne du sucre est contesté


Résultat de recherche d'images pour "Les législations anti-sodas se multiplient, certains changent leurs habitudes, mais le pays reste de loin le plus gros consommateur de sucre au monde."

La chasse au sucre est ouverte aux Etats-Unis. Conscientes qu'il s'agit là d'un sujet de santé de la plus haute importance, les autorités locales multiplient les initiatives pour réduire son influence dans l'alimentation des Américains. Les restaurants de Baltimore n'ont plus le droit d'inclure des sodas dans leurs menus enfants, plusieurs villes (San Francisco, Boulder, Chicago, Philadelphie...) ont légiféré et imposent désormais des taxes sur les boissons trop sucrées... Et les consommateurs commencent à faire attention.
Il faut dire que, depuis des années, les Américains sont de loin les champions de la consommation de sucre. Ils en consomment plus de 120 grammes par jour, plus de deux fois la norme recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé. Quasiment le double des quantités consommées en France et près de huit fois plus qu'en Chine. L'impact sur la santé serait conséquent : le taux d'obésité est supérieur à 35% dans le pays et un Américain sur deux aurait de forts risques de devenir, un jour, diabétique. Les dépenses de santé, elles, explosent...
Si la consommation globale, dans le pays, croît toujours avec l'augmentation de la population, la consommation par habitant est, elle, en repli depuis deux ans. Le marché américain est très fragmenté dans les usages, notamment entre les grandes villes et le reste du pays, mais la tendance est à une prise de conscience. C'est aussi vrai du point de vue des entreprises, qui veulent être associées à une alimentation saine.



Des taxes aux effets variables
Principaux visés : les sodas. Leur consommation a été dépassée l'an dernier, pour la première fois, par celle de l'eau en bouteille, selon la Beverage Marketing Corp. Les revenus des grands groupes, dont Coca-Cola , s'étiolent et sont désormais tirés par leur offre « healthy », comme l'eau ou les jus de fruit. Les consommateurs se tournent aussi davantage vers les sucres naturels (fructose, lactose, etc.) et tendent à délaisser les substituts tels que la stevia. Ce qui pose d'autres problèmes : malgré l'engagement des industriels à réduire de 20% les calories contenues dans leurs boissons d'ici à 2025, les calories réellement ingurgitées sont en hausse, du fait du boom des boissons énergétiques et sportives.
Aux Etats-Unis, les sodas représentent toutefois encore plus de 30% du total de sucres consommés. Une proportion plus élevée qu'ailleurs, qui a généré des régulations spécifiques. 
Reste que la vague anti-sucre ne fait pas que des heureux. En Californie, l'industrie a obtenu l'interdiction de nouvelles taxes pour les 12 prochaines années et tente de prendre les devants dans d'autres Etats. Des parlementaires républicains se sont, eux, organisés, pour éviter toute législation au niveau national.  

Etats-Unis: Donald Trump tient le feu nucléaire à portée de main

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Un officier de l'armée américaine suit le président
 dans ses moindres déplacements avec
 la valise noire des codes nucléaires.
 
  Donald Trump a été officiellement investi 45e président des Etats-Unis, ce vendredi 20 janvier, au cours d’une journée très protocolaire. Entre autres moments clés, la transmission de codes secrets qui permettent le déclenchement d’une attaque nucléaire sur le seul ordre du président. Presque comme s’il s’agissait d’un sujet de conversation courante, le nucléaire militaire aura été un leitmotiv, initié pendant la campagne électorale américaine et poursuivi depuis l’élection de Donald Trump, le 8 novembre dernier.
Le sujet de l’arme nucléaire, légitimement abordé par les médias américains, a été régulièrement alimenté par le candidat républicain, puis le président élu, à travers ses réponses à la fois belliqueuses, provocatrices, floues et contradictoires. En résulte une inquiétante incertitude, comme le traduisent articles et éditoriaux de ce D-Day, en France : « On ressent tous un filet de sueur glacée couler le long de notre colonne vertébrale en imaginant Barack Obama remettre à Donald Trump la petite mallette contenant les codes nucléaires américains. » (Libération)… comme outre-Atlantique : « Les Etats-Unis s’apprêtent à donner son arsenal à quelqu’un qui est clairement incompétent pour commander ces armes. » (CNN)
Bouton, codes et mallettes
Au cours d’un meeting à San Diego, en pleine campagne, Hillary Clinton, encore dans la course à la Maison Blanche, avait harangué la foule de ses partisans : « Est-ce que nous souhaitons vraiment voir son doigt près du bouton rouge ? » De bouton rouge, déclenchant l’apocalypse par une simple pression, il n’y a point. Il n’existe que comme symbole dans l’imaginaire collectif. Mais il rappelle que le feu nucléaire est une réalité bien concrète. C’est ce pouvoir, parmi d’autres, que reçoit Donald Trump ce vendredi.
Aux Etats-Unis, comme dans d’autres pays détenteurs de la bombe, c’est une mallette qui contient la procédure à suivre en cas de décision de son utilisation. Il s’agit d’une sacoche noire, extérieur cuir, intérieur aluminium, qui pèse une vingtaine de kilos et relativement bombée : un drôle l’a donc surnommée « le ballon de football nucléaire », son nom quasi officiel depuis 1963. Après la crise des missiles à Cuba, « le ballon » suit le président comme son ombre, rapporte le Smithsonian Magazine, durant toute la durée du mandat. Il est transporté par des officiers triés sur le volet qui se relaient en permanence, que le président soit dans son bureau, en vacances ou encore… au Vatican.
La mallette de la marque Zero Halliburton
 porteuse des codes nucléaires.
 
Plus précisément, la « sacoche d’urgence présidentielle » comporte quatre choses principales, indique dans un livre l’ancien directeur du bureau militaire de la Maison Blanche, Bill Gulley : « Il y a un livre noir qui présente le menu des options d’attaques ; une liste des bunkers sécurisés où le président peut être abrité ; les instructions pour mettre en œuvre l’Emergency Broadcast System ; et une carte de 3 pouces sur 5 avec des codes d’identification afin que le président puisse confirmer son identité. »Cette petite carte de plastique, le « biscuit », est une pièce essentielle du processus. Elle est générée par l’Agence nationale de sécurité (NSA). Elle n’est pas nécessairement placée dans la mallette : le président peut aussi simplement la porter dans ses poches. Par le passé, elle s’est régulièrement fait la malle : Bill Clinton l’aurait égarée plusieurs mois et Gerald Ford l’avait oubliée au pressing.
Une chaîne de déclenchement… sans veto légalLa décision d’utiliser l’arme nucléaire est souveraine : elle ne revient qu’au commandant suprême des armées incarné par le président. « Un président ne peut être stoppé que par une mutinerie, et plus d’une personne (dans l’appareil militaire, ndlr) devrait désobéir à ses ordres » pour l’en empêcher, détaille Kingston Reif, directeur à l’Association de contrôle des armes.« Donald Trump pourrait certes, tout seul, ordonner une frappe nucléaire. Mais cet ordre devrait être vérifié par le secrétaire à la Défense. Dans le cas d’un ordre absurde, le système peut bloquer », assure de son côté à Libération le chercheur Bruno Tertrais, coauteur du livre Le Président et la bombe.En réalité, officiellement, le secrétaire d’Etat à la Défense ne vérifie pas l’ordre, mais l’identité du président. « Est-ce qu’il existe un quelconque droit de regard sur le pouvoir du président de lancer un missile nucléaire qui pourrait détruire des villes ou des pays entiers ?, s’est demandé le New York Times. La réponse immédiate est non, bien que l’histoire montre qu’en pratique, il peut y avoir des moyens de ralentir, voire de faire dérailler la prise de décision. »« Il n’y a pas de veto dès lors que le président a ordonné une frappe », tranche pour le journal new-yorkais Franklin C. Miller, spécialiste nucléaire à la Maison Blanche et au département de la Défense pendant 31 ans. De surcroît, des spécialistes s’accordent à dire qu’il n’y a aucun filet de protection dans le cas d’un président mentalement malade.Quoi qu’il en soit, la transmission des codes et de la mallette est au coeur d’un rite de passage entre les présidents. Traditionnellement, ce moment singulier a lieu plusieurs heures avant la cérémonie publique. A l’abri des regards et en comité réduit, le chef d’Etat intronisé est instruit sur sa nouvelle « compétence ». Mais la transmission physique a bien lieu devant tous : « Aux États-Unis, on peut le voir sur les images de l'inauguration : l'officier change de place et se met derrière le nouveau président dès que celui-ci a prêté serment », explique Bruno Tertrais au Figaro.Mais celui-ci est faillible. Aussi le vice-président (Mike Pence en l’occurrence) tient-il lui aussi à sa disposition un « ballon de foot ». Le ministre de la Défense serait le troisième personnage à qui reviendrait l’autorité militaire en cas d’incapacité des deux autres.
« Comment lui faire confiance ? »
Barack Obama, pour ne citer que le président sortant, n’a pas pris de gants pour dévoiler le fond assombri de sa pensée : il juge son successeur trop « inconstant » pour se voir confier une arme aussi destructrice. « Comment pouvez-vous lui faire confiance avec les codes nucléaires? Vous ne pouvez pas », avait-il clamé en octobre. « Si quelqu'un ne peut pas gérer un compte Twitter, il ne peut pas gérer les codes nucléaires ».
L’impulsivité du 45e président américain interroge au minimum, et donne carrément des suées dans les cénacles les plus concernés. « A minuit précisément, le contrôle de cette mallette passera dans les mains d’un homme qui a été décrit par les experts sécurité de son propre camp comme manquant de jugement, de tempérance et de connaissance pour commander des armes nucléaires », enfonce encore CNN, dans un éditorial le 18 janvier dernier.
Des déclarations intempestives et contradictoires
Parce qu’il ne sait pas foncièrement de quoi il parle - son ignorance en géostratégie a été étalée sur les écrans de télévisions -, Donald Trump maintient le flou sur sa conception de l’arme nucléaire et de son utilisation. « Je crois personnellement que c’est le plus gros problème du monde, la capacité nucléaire, sa prolifération », confiait-il le 26 mars au New York Times. « Je ne voudrais vraiment pas être le premier à les utiliser », poursuivait-il.
Quelques mois plus tard, il tweetait : « les Etats-Unis doivent grandement renforcer et accroître leur capacité nucléaire tant que le monde n’aura pas retrouvé la raison dans le domaine des armes nucléaires. » Le lendemain, vendredi, il aurait renchéri, lors d’une conversation avec une journaliste de la chaîne d’information MSNBC, Mika Brzezinski. « S’il le faut, il y aura une course à l’armement », aurait-il déclaré, selon la journaliste. « Nous les dépasserons à chaque étape et nous leur survivrons », aurait-il ajouté, visant les rivaux des Américains.
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Le Polisario panique à l’approche d’un avenir sombre et incertain.


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Les dirigeants du Polisario n’arrivent plus à dissimuler leurs signes de nervosité à l’approche d’événements majeurs qui risquent d’enterrer définitivement leurs revendications indépendantistes, un rêve qu’ils caressent depuis plus de quarante ans.
Au plan financier, le Polisario souffre énormément de l’amenuisement des aides extérieures qu’il recevait de l’Espagne, d’Italie, de France et surtout de l’Union européenne qui vient de la revoir à la baisse. Ces donateurs, s’ils n’ont pas carrément fermé le robinet de leurs aides, ils baissé drastiquement en raison de la crise économique à laquelle ils sont confrontés.
Par ailleurs, le Polisario a perdu en 2011, son principal et grand allié libyen avec la mort du colonel Mouammar Kadhafi et il ne compte plus depuis deux ou trois ans, sur l’appui financier des pays africains producteurs de pétrole comme le Nigeria, dont l’économie est entrée en récession ce mercredi 31 août, l’Angola ou même l’Algérie durement touchée par le tarissement de sa manne pétrolière à tel point qu’elle a été obligée de geler la moitié de ses grands projets de développement.
Désormais les dirigeants du Polisario ne reçoivent plus compter que sur des miettes d’aides que leurs fournissent encore certaines associations de la société civile et des ONG d’Europe occidentale et à un degré moindre d’Amérique Latine, pour nourrir et soigner les milliers de soi-disant «réfugiés» sahraouis séquestrés contre leur gré, dans les camps de Tindouf.
Au plan politico-diplomatique, l’avenir du Polisario s’annonce encore plus sombre.
En Algérie la situation politique actuelle rendue incertaine et imprévisible en raison de la grave maladie qui immobilise depuis un bon bout de temps, le président Abdelaziz Bouteflika et toutes les institutions du pays avec.
Au plan international, le Polisario est délaissé par la gauche en France et en Espagne qui le boudent ouvertement en s’alignant sur la position du Maroc.
Aux Etats-Unis, le Polisario est terrorisé par l’idée de l’élection très probable d’Hillary Clinton, une grande amie du Maroc et de son Roi Mohammed VI.
Même en Afrique, le Maroc, en décidant de réintégrer à partir du début de l’année prochaine l’Union Africaine, il va certainement couper l’herbe sous les pieds des dirigeants du Front Polisario et de leurs mentors algériens.
Que restera-t-il donc au Polisario, hormis quelques rares pays notamment dans le continent noir et en Amérique Latine qui continuent à lui témoigner encore un soutien presque symbolique.
Les dirigeants du Polisario, commente un diplomate africain basé à Rabat, ne vont certainement pas trader à mordre la poussière pour avoir décliné l’offre marocaine d’une large autonomie au Sahara occidental, une solution où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu.

Le «sinkhole» ou le « doline » est un phénomène avant tout spectaculaire.


Le «sinkhole» (littéralement trou d'évier) que l'on appelle notamment doline en français est un affaissement de terrain abrupt. La plupart de ces cavités se forment quand les pluies acides dissolvent la roche calcaire ou assimilée sous la surface. Cela crée un immense vide qui s'effondre lorsque le poids à porter en surface est trop lourd.
 
 Ces affaissements sont monnaie courante en Floride,  car le calcaire est la roche la plus répandue dans cet Etat.    
                                       
La Floride, dont le sol est en majorité composé de calcaire, est une zone à risque mais ces trous qui apparaissent soudainement et happent tout ce qui repose sur leur surface font rarement des victimes.