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Sa Majesté Le Roi, Mohammed VI, appelle le nouveau président algérien à renouer le dialogue,

La frontière entre le Maroc et l’Algérie est fermée depuis 1994.


Mohammed VI lors d'une précédente déclaration à Tetouan, le 29 juin 2019. Photo fournie par l'agence MAP.
Mohammed VI lors d'une précédente déclaration 
à Tetouan, le 29 juin 2019.

Le roi du Maroc Mohammed VI a appelé à ouvrir une « nouvelle page » dans les relations entre son pays et l’Algérie, dans un message de félicitations adressé au nouveau président algérien Abdelmadjid Tebboune, a annoncé dimanche l’agence officielle MAP.

Dans ce bref message, Mohamed VI appelle à la « confiance mutuelle » et au « dialogue constructif », alors que les rapports entre les deux pays voisins sont plombés depuis quarante ans par la question du Sahara occidental. La frontière entre le Maroc et l'Algérie est fermée depuis 1994, la dernière rencontre entre leurs chefs d’Etat remonte à 2005.


L’Algérie, le Maroc et le Front Polisario à la même table
Les discussions sur le devenir de l’ancienne colonie espagnole du Sahara occidental sont au point mort depuis des décennies, malgré une récente tentative de relance des Nations unies. Après avoir réuni par deux fois le Maroc, le mouvement indépendantiste Front Polisario, l’Algérie et la Mauritanie à la même table, le représentant spécial de l’ONU Horst Köhler, 76 ans, a quitté son poste en mai dernier pour « raison de santé ». Depuis aucun successeur n’a été nommé.
Le vaste territoire désertique situé au nord de la Mauritanie est en grande partie contrôlé par le Maroc, qui le considère comme sien et propose une « autonomie sous contrôle ». Le Front Polisario, soutenu par l’Algérie, milite pour l’indépendance et réclame un référendum d’autodétermination.

Un nouveau « mécanisme politique conjoint » proposé l’an dernier
L’an dernier, le roi du Maroc avait proposé à l’Algérie un nouveau « mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation » pour relancer des relations qui « échappent à la normalité, créant, de fait, une situation inacceptable ». Formulée à quelques semaines des premières discussions sous l’égide de l’ONU, cette offre n’avait pas reçu de réponse.

Abdelmadjid Tebboune a remporté dès le premier tour jeudi l’élection présidentielle en Algérie, mais pour être aussitôt conspué par le mouvement populaire de contestation qui ébranle le pays depuis près de dix mois et a poussé à la démission Abdelaziz Bouteflika en avril.

Mohammed VI s’oppose aux idées de Trump.

La Maison-Blanche avait annoncé lundi le report de la décision très attendue et hautement symbolique du déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem.


Gazoduc Maroc-Nigéria


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SM Le Roi Mohammed VI doit lancer ce lundi officiellement le projet du gazoduc qui reliera le Maroc et le Nigeria.

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SM Mohammed VI et le Président  Muhammadu Buhari
Cette cérémonie qui est prévue à Rabat se déroulera en présence notamment de chefs d’Etat africains et des responsables marocains et nigérians..
Long de 5 000 kilomètres, ce gazoduc va prolonger le West African Gas Pipeline, qui depuis 2010 relie le Nigeria au Ghana en passant par le Bénin et le Togo. Il devrait à terme atteindre également l’Europe.
A noter que 10 milliards de dollars seront nécessaires pour la construction de ce gazoduc et le Maroc devrait faire appel, comme souvent dans des projets d’envergure, à des financements arabes. Si l’option sous-marine est privilégiée par les deux pays, le coût de ce gazoduc sera doublé.

Mohammed VI : « Le Maroc est une puissance politique influente » en Afrique.

Le roi Mohammed VI a annoncé, dans son discours de la Marche verte, que le Maroc est « une puissance politique influente » en Afrique. Le souverain a appelé les Etats qui s’opposent à son adhésion à l’Union africaine à agir avec « sagesse ». 



C’est depuis Dakar que le roi a prononcé un discours à l’occasion de la commémoration du 41e anniversaire de la Marche verte. D’emblée le décor, une carte de l’Afrique sans les frontières politiques héritées de la colonisation entourée de deux drapeaux marocains, était révélateur de la teneur du message de Mohammed VI.

Le souverain est revenu sur la demande marocaine d’adhérer à l’Union africaine, affirmant que le royaume est dans son « droit légitime » et qu’il n’attend pas la « permission » de tierce pour reprendre sa place au sein de sa famille institutionnelle.

« La réintégration par le Maroc de l’Union africaine n’est pas une décision tactique, pas plus qu’elle n’a obéi à des calculs conjoncturels. Elle est plutôt l’aboutissement logique d’une réflexion approfondie », a-t-il expliqué. Pour mémoire, c’est depuis Casablanca, en janvier 1961, que les bases juridiques de l’Organisation de l’unité africaine (l’ancêtre de l’UA) ont été lancées.

« Une majorité écrasante » appuie la demande marocaine.

Rabat aborde l’échéance de l’examen de sa demande d’adhésion à l’UA avec sérénité et optimisme. Mohammed VI a rappelé que la « majorité écrasante » des 54 pays de l’organisation panafricaine appuie la requête marocaine. Fort de ce soutien, le monarque a invité les Etats qui ne se privent pas de déclarer ouvertement leurs désapprobations au retour du Maroc, la Namibie par exemple, à sa « famille naturelle » à réagir « avec toute la sagesse requise et en toute responsabilité à cette décision, de manière à faire prévaloir l’unité de l’Afrique et l’intérêt de ses peuples ».

Mohammed VI a promis, par ailleurs, de mettre l’expertise du Maroc au service du continent en vue de « contribuer à la consolidation de la sécurité et de la stabilité dans les différentes régions qui vivent des situations de tension et de guerre, et d’œuvrer au règlement des différends par les moyens pacifiques ». Et d’ajouter que « ce retour sera, également, l’occasion pour le Maroc de renforcer son implication dans les efforts continentaux de lutte contre l’extrémisme et le terrorisme, qui hypothèquent l’avenir de l’Afrique ».

Le roi a conclu la partie consacrée à l’Afrique en réaffirmant que le Maroc « constitue une puissance politique influente et jouit d’estime et de crédibilité non seulement auprès des dirigeants des pays africains, mais aussi aux yeux de leurs peuples ». Et de préciser que le Maroc compte consolider sa place sur l’ensemble du continent. Son prochain déplacement en Ethiopie annoncera le début d’une nouvelle ère dans la politique africaine du royaume.

Le Polisario panique à l’approche d’un avenir sombre et incertain.


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Les dirigeants du Polisario n’arrivent plus à dissimuler leurs signes de nervosité à l’approche d’événements majeurs qui risquent d’enterrer définitivement leurs revendications indépendantistes, un rêve qu’ils caressent depuis plus de quarante ans.
Au plan financier, le Polisario souffre énormément de l’amenuisement des aides extérieures qu’il recevait de l’Espagne, d’Italie, de France et surtout de l’Union européenne qui vient de la revoir à la baisse. Ces donateurs, s’ils n’ont pas carrément fermé le robinet de leurs aides, ils baissé drastiquement en raison de la crise économique à laquelle ils sont confrontés.
Par ailleurs, le Polisario a perdu en 2011, son principal et grand allié libyen avec la mort du colonel Mouammar Kadhafi et il ne compte plus depuis deux ou trois ans, sur l’appui financier des pays africains producteurs de pétrole comme le Nigeria, dont l’économie est entrée en récession ce mercredi 31 août, l’Angola ou même l’Algérie durement touchée par le tarissement de sa manne pétrolière à tel point qu’elle a été obligée de geler la moitié de ses grands projets de développement.
Désormais les dirigeants du Polisario ne reçoivent plus compter que sur des miettes d’aides que leurs fournissent encore certaines associations de la société civile et des ONG d’Europe occidentale et à un degré moindre d’Amérique Latine, pour nourrir et soigner les milliers de soi-disant «réfugiés» sahraouis séquestrés contre leur gré, dans les camps de Tindouf.
Au plan politico-diplomatique, l’avenir du Polisario s’annonce encore plus sombre.
En Algérie la situation politique actuelle rendue incertaine et imprévisible en raison de la grave maladie qui immobilise depuis un bon bout de temps, le président Abdelaziz Bouteflika et toutes les institutions du pays avec.
Au plan international, le Polisario est délaissé par la gauche en France et en Espagne qui le boudent ouvertement en s’alignant sur la position du Maroc.
Aux Etats-Unis, le Polisario est terrorisé par l’idée de l’élection très probable d’Hillary Clinton, une grande amie du Maroc et de son Roi Mohammed VI.
Même en Afrique, le Maroc, en décidant de réintégrer à partir du début de l’année prochaine l’Union Africaine, il va certainement couper l’herbe sous les pieds des dirigeants du Front Polisario et de leurs mentors algériens.
Que restera-t-il donc au Polisario, hormis quelques rares pays notamment dans le continent noir et en Amérique Latine qui continuent à lui témoigner encore un soutien presque symbolique.
Les dirigeants du Polisario, commente un diplomate africain basé à Rabat, ne vont certainement pas trader à mordre la poussière pour avoir décliné l’offre marocaine d’une large autonomie au Sahara occidental, une solution où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu.