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Le torchon continue de brûler entre Alger et Rabat sur le Sahara occidental


Le torchon continue de brûler entre Alger et Rabat sur le Sahara occidental


Dans une lettre adressée, le 4 avril 2018, au secrétaire général de l’Onu, le roi du Maroc Mohammed VI a affirmé que «l’Algérie a une responsabilité flagrante» au Sahara occidental tout en l’appelant à «assumer sa pleine responsabilité dans la recherche de la solution» au conflit. 

«L'Algérie a une responsabilité flagrante. C'est l'Algérie qui finance, c'est l'Algérie qui abrite, c'est l'Algérie qui arme, c'est l'Algérie qui soutient et qui apporte son soutien diplomatique au Front Polisario», a écrit le roi du Maroc Mohammed VI dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, remise le 4 avril 2018 à New York, par son ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita, indique le journal marocain Le Matin en citant la lettre. 

«Le Maroc demande et a toujours demandé que l'Algérie puisse participer au processus politique, que l'Algérie puisse assumer une responsabilité pleine dans la recherche de la solution et que l'Algérie puisse jouer un rôle à la hauteur de sa responsabilité dans la genèse et l'évolution de ce différend régional», a ajouté le souverain, selon le quotidien. 

«Sa Majesté le Roi a tenu à exprimer, au nom de toutes les forces vives nationales, toutes sensibilités confondues, le rejet ferme et déterminé du Maroc de ces provocations et de ces incursions inacceptables», a souligné M. Bourita, lors d'une conférence de presse donnée le même jour en citant les propos du roi lors d'un entretien téléphonique avec le secrétaire général de l'Onu avec lequel il a évoqué la situation sécuritaire à Bir Lahlou et à Tifariti qu'il ne souhaite pas voir s'aggraver comme c'est le cas à Guergarate, selon le journal. Ces agissements «constituent une menace au cessez-le-feu, violent le droit international et les résolutions de l'Onu, et compromettent sérieusement le processus politique (de paix)», a ajouté le roi cité par le diplomate. 

En avertissant des conséquences graves que pourrait engendrer l'enlisement de la situation sécuritaire dans les régions citées ci-dessus, Nasser Bourita a déclaré que: «Si le Conseil de sécurité n'assume pas ses responsabilités, le Maroc assumera les siennes», avant d'ajouter que « Le Maroc en tirera toutes les conséquences », selon le site d'information Tout Sur L'Algérie. 

Pour rappel, le 1 avril 2018, le représentant permanent du Maroc à l'Onu, Omar Hilale, a alerté le Conseil de sécurité sur des incursions faites par des combattants du Front Polisario dans la ville de Mahbes, dans le nord-est du Sahara occidental, en violation d'un accord militaire sur une zone tampon surveillée par les Nations unies. Des allégations rejetées par la Mission des Nations Unies pour l'organisation d´un référendum au Sahara occidental (Minurso), qui a déclaré «n'avoir observé aucun mouvement d'éléments militaires dans le territoire nord-est» du Sahara occidental. 

Face à ces déclarations, aucune réaction n'a pour le moment été enregistrée de la part des autorités algériennes qui soutiennent le règlement du conflit au Sahara occidental dans le cadre des résolutions de l'Onu, et ce en appuyant le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui. 

Le Polisario panique à l’approche d’un avenir sombre et incertain.


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Les dirigeants du Polisario n’arrivent plus à dissimuler leurs signes de nervosité à l’approche d’événements majeurs qui risquent d’enterrer définitivement leurs revendications indépendantistes, un rêve qu’ils caressent depuis plus de quarante ans.
Au plan financier, le Polisario souffre énormément de l’amenuisement des aides extérieures qu’il recevait de l’Espagne, d’Italie, de France et surtout de l’Union européenne qui vient de la revoir à la baisse. Ces donateurs, s’ils n’ont pas carrément fermé le robinet de leurs aides, ils baissé drastiquement en raison de la crise économique à laquelle ils sont confrontés.
Par ailleurs, le Polisario a perdu en 2011, son principal et grand allié libyen avec la mort du colonel Mouammar Kadhafi et il ne compte plus depuis deux ou trois ans, sur l’appui financier des pays africains producteurs de pétrole comme le Nigeria, dont l’économie est entrée en récession ce mercredi 31 août, l’Angola ou même l’Algérie durement touchée par le tarissement de sa manne pétrolière à tel point qu’elle a été obligée de geler la moitié de ses grands projets de développement.
Désormais les dirigeants du Polisario ne reçoivent plus compter que sur des miettes d’aides que leurs fournissent encore certaines associations de la société civile et des ONG d’Europe occidentale et à un degré moindre d’Amérique Latine, pour nourrir et soigner les milliers de soi-disant «réfugiés» sahraouis séquestrés contre leur gré, dans les camps de Tindouf.
Au plan politico-diplomatique, l’avenir du Polisario s’annonce encore plus sombre.
En Algérie la situation politique actuelle rendue incertaine et imprévisible en raison de la grave maladie qui immobilise depuis un bon bout de temps, le président Abdelaziz Bouteflika et toutes les institutions du pays avec.
Au plan international, le Polisario est délaissé par la gauche en France et en Espagne qui le boudent ouvertement en s’alignant sur la position du Maroc.
Aux Etats-Unis, le Polisario est terrorisé par l’idée de l’élection très probable d’Hillary Clinton, une grande amie du Maroc et de son Roi Mohammed VI.
Même en Afrique, le Maroc, en décidant de réintégrer à partir du début de l’année prochaine l’Union Africaine, il va certainement couper l’herbe sous les pieds des dirigeants du Front Polisario et de leurs mentors algériens.
Que restera-t-il donc au Polisario, hormis quelques rares pays notamment dans le continent noir et en Amérique Latine qui continuent à lui témoigner encore un soutien presque symbolique.
Les dirigeants du Polisario, commente un diplomate africain basé à Rabat, ne vont certainement pas trader à mordre la poussière pour avoir décliné l’offre marocaine d’une large autonomie au Sahara occidental, une solution où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu.