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Canada: les députés votent la légalisation du cannabis


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Une plantation de cannabis à Ontario le 20 février 2014.
Une plantation de cannabis à Ontario le 20 février 2014.

Les députés canadiens ont adopté ce lundi un projet de loi visant à la légalisation du cannabis dès le mois de septembre. Le Canada deviendrait alors le premier pays du G7 autorisant la libre consommation et production de cette drogue. Si le but est d’écarter le crime organisé et le trafic illégal, le gouvernement canadien va aussi encaisser au passage d’importantes recettes fiscales.
Ce sera le premier pays du G7 à franchir le pas. Le Canada est en passe de légaliser le cannabis après l’adoption lundi 18 juin par ses députés d’un projet de loi permettant la libre consommation et production de cette drogue dès septembre. Le projet de loi a été adopté par la Chambre des Communes à 205 voix contre 82.
Il a maintenant été renvoyé au Sénat, qui l’avait amendé. Selon la constitution, le Sénat peut retarder l’adoption d’un projet de loi mais pas la bloquer. Une légalisation effective est ainsi attendue « entre le début et la mi-septembre », selon Bill Blair, député qui avait été mandaté par le Premier ministre Justin Trudeau pour piloter cette réforme, promesse phare de campagne.


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Quatre plants maximum par personne.
Le gouvernement libéral avait rejeté la semaine dernière 13 des 46 amendements proposés par le Sénat qui avait approuvé le projet de loi au terme de sept mois d’étude. L’un de ces amendements aurait laissé le choix aux provinces d’interdire la culture du cannabis à domicile, comme souhaitent le faire le Manitoba et le Québec. Mais le gouvernement s’y est fermement opposé et veut autoriser la culture de quatre plants de cannabis au maximum par personne.
« On reconnaît qu’il y a diverses perspectives à travers le pays mais nous avons fait les études et les consultations par rapport à la culture à domicile, avait déclaré Justin Trudeau en justifiant cette décision. Dans trois ans, on pourra réviser ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas » dans la loi, avait-il dit.

Une manne fiscale importante.
Le chef de gouvernement justifie la légalisation pour sortir les trafiquants du marché et protéger les jeunes. Il est d’ailleurs persuadé que d’autres États vont suivre. Certains pays occidentaux « reconnaissent l’honnêteté » du pays, qui avoue que le système répressif actuel « ne fonctionne pas pour empêcher nos jeunes d’avoir un accès facile au cannabis », avait déclaré Justin Trudeau en mai, ajoutant également que le cannabis est « une source de revenus épouvantables pour le crime organisé ».
Avec cette légalisation, le gouvernement canadien va encaisser des recettes fiscales sur un marché estimé de 6 à 7 milliards de dollars canadiens (3,9 à 4,5 milliards d’euros). Pour chaque gramme de cannabis vendu à un prix inférieur ou égal à 10 dollars, un droit d’accise d’un dollar canadien (0,65 €) sera collecté avec une répartition entre l’État fédéral (un quart) et les provinces. À cela s’ajoutent des taxes à la consommation fédérales et provinciales. Au final, le gouvernement table sur une manne fiscale de l’ordre de 400 millions de dollars canadiens (260 millions d’euros).
 

Canada. Les termes « madame » ou « monsieur » exclus du service public

Le drapeau canadien.
Le drapeau canadien.


Les fonctionnaires canadiens sont invités à adopter un langage plus neutre, pour lutter contre les discriminations de sexe et de genre. Service Canada, le guichet unique de l’administration canadienne, demande à ses employés d’éviter les termes « madame » ou « monsieur », ou encore « père » et « mère ». L’administration préconise à ses agents de s’adresser aux personnes par leur nom complet. Voire de demander de quelle façon ils préfèrent qu’on s’adresse à eux.
Le langage est en perpétuelle évolution, tout comme l’emploi de certains mots. Ainsi, Service Canada, le guichet unique de l’administration canadienne, vient de demander à ses employés d’utiliser « un langage neutre au niveau du genre », relaie Radio Canada ce mercredi 21 mars.
L’objectif de la mesure est d’éviter de donner l’impression que les fonctionnaires fédéraux « entretiennent un biais envers un genre ou un sexe », explique la radio canadienne.

Privilégier les termes génériques

Les fonctionnaires sont invités à employer des termes neutres et à éviter les « madame » ou « monsieur », tout comme les « mademoiselle » ou encore « père » et « mère », pour lesquels Service Canada recommande l’emploi du terme générique« parent ». Par ailleurs, l’agence préconise de s’adresser aux personnes par leur nom complet, voire de leur demander de quelle façon ils préfèrent que l’on s’adresse à eux.

Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des enfants et du développement social du Canada, a fait part de sa fierté sur Twitter. « Nous vérifions simplement comment les gens souhaitent qu’on s’adresse à eux. C’est une question de respect », a-t-il déclaré.



L’hymne national remanié

En août 2017, l’administration Trudeau s’était déjà illustrée dans la question du genre, en autorisant le « sexe neutre » sur les documents d’identité, pour les personnes qui déclarent ne pas être identifiées au sexe féminin ou masculin. « En introduisant une désignation de sexe X dans les documents délivrés par le gouvernement, nous prenons une mesure importante pour favoriser l’égalité pour tous les Canadiens, indépendamment de leur identité ou leur expression sexuelle », avait expliqué le ministre de l’Immigration, des réfugiés et de la citoyenneté.
En 2016, l’hymne national canadien avait lui aussi été réécrit : le passage « Un vrai amour de la patrie anime tous tes fils » a été transformé en « Un vrai amour de la patrie nous anime tous ».

Canada : un bruit étrange rend fou les habitants de Windsor.

 
Mais que se passe-t-il dans la ville de Windsor, en Ontario ? Des résidents subissent au quotidien, depuis 2011, la nuisance sonore d’un étrange bourdonnement lointain, accompagné de vibrations, sans en connaître la cause. À force, certains d’entre eux ont même cru devenir fous. Mais il y aurait une explication




Cela fait sept ans que les habitants de la ville canadienne de Windsor, en Ontario, vivent avec un drôle de grondement diffus qui fait tout trembler chez eux. Maisons et quartiers vibrent au gré d’un vrombissement lointain, rappelant un gros moteur diesel qui tournerait constamment. Les habitants ont d’ailleurs appelé ce phénomène le « Windsor Hum » (le bourdonnement de Windsor).
Chose étrange, ce phénomène n’est perceptible que dans certaines zones de la ville. Et selon les journaux locaux, les vibrations sonores seraient de plus en plus fortes, avec le temps. Mais pendant longtemps personne n’a pu fournir d’explication claire quant à l’origine du bruit : des navires voguant sur la rivière Detroit séparant le Canada des États-Unis ? Le passage de trains de marchandises ? Le décollage ou l’atterrissage d’avions à l’aéroport de la ville américaine de Detroit (Michigan) juste en face ?

Théories du complot
Certains habitants ont d’abord cru devenir fous, en voyant des objets trembler dans leurs maisons, comme lors d’un léger séisme. D’autres ont estimé que ce bruit de fond quasi permanent était la cause de leurs problèmes de santé : dépression, troubles du sommeil, palpitations cardiaques ou maux de tête…
D’autres encore sont allés jusqu’à imaginer des théories farfelues, suspectant un complot de la Ville ou du gouvernement. Tout a été envisagé : de la présence d’ovnis à des « opérations secrètes » menées près des habitations… Malgré leurs plaintes et demandes d’explication, les résidents n’ont obtenu aucune réponse convaincante des autorités ontariennes et fédérales.

Une explication plausible
Ce sont finalement des chercheurs qui leur ont fourni l’explication la plus plausible. Deux enquêtes, menées en 2011 puis en 2014 par l’Université de Western Ontario et par l’Université de Windsor, ont mesuré la puissance du mystérieux bruit et relevé une fréquence d’environ 35 Hz. Ce niveau sonore n’est pas très élevé, mais le fait qu’il ait pu être mesuré scientifiquement a réconforté les résidents : ils n’étaient pas fous, ce bourdonnement était bien réel.
Soutenus par le ministère canadien des Affaires étrangères, les chercheurs ont poursuivi leurs investigations et réussi à déterminer que la source du bruit provenait de l’île américaine de Zug dans le Michigan, située à quelques kilomètres au sud-ouest de Windsor, de l’autre côté de la frontière avec les États-Unis.



Zug Island est une zone industrielle américaine,
près de la frontière canadienne.


La nuit, les hauts fourneaux de l’aciérie
de Zug Island tournent aussi.  

L’île fait partie de la zone industrielle de River Rouge près de Detroit et abrite des hauts fourneaux, qui produisent de l’acier. Les scientifiques ont également constaté que les bourdonnements se produisaient dans des flammes s’échappaient des cheminées.
L’usine est exploitée par US Steel, aciérie américaine très discrète, qui ne s’est pas manifestée quand les habitants ont demandé des explications. Les membres du Parlement canadien sont sur l’affaire, ils ont demandé au Premier ministre canadien Justin Trudeau d’intervenir. Les habitants de Windsor vont peut-être bientôt pouvoir dormir tranquilles…


Canada : Ces chiens ont sauvé 89 moutons d’un incendie



Tad et Sophie, deux chiens de berger, ont protégé leur troupeau de moutons d’un feu de forêt au Canada. Et ce, durant vingt jours, alors que leurs propriétaires avaient été contraints d’évacuer leur domicile.


« Nous ne pouvions plus rien faire. Nous devions partir. » La mort dans l’âme, Lynn Landry et son mari, éleveurs de moutons à 100 Mile House en Colombie-Britannique, province du nord-ouest du Canada, ont dû fuir leur exploitation à cause d’un important feu de forêt, survenu le 6 juillet dernier. L’état d’urgence venait d’être déclaré.

Invités par les pompiers à évacuer sans plus attendre, ils ont été contraints de partir en abandonnant derrière eux Tad et Sophie, leurs deux chiens de berger qui veillaient sur le troupeau du ranch composé de 90 moutons.

« Sans eux, les moutons seraient morts »
L’incendie fut l’un des pires qu’ait connu la région détruisant près de 9 000 kilomètres carrés, selon les autorités locales. Le préjudice se chiffrerait à 204 millions de dollars.
Lynn Landry était convaincue qu’aucun des animaux ne survivrait aux flammes. Pourtant, vingt jours plus tard, lorsque la famille a pu regagner son domicile, à sa plus grande surprise, elle a découvert les deux chiens, assis, avec le troupeau de moutons, au milieu d’un décor lunaire.
Seul un mouton, assez âgé, avait perdu la vie. Les 89 autres ainsi que les chiens ont réussi à survivre. Autour des animaux rien n’avait pourtant résisté au feu. Les maisons voisines étaient totalement détruites.
« C’est absolument incroyable, je n’en reviens pas : non seulement les chiens ont protégé les moutons du feu, mais aussi des coyotes et des ours. Sans eux, c’est certain, les moutons n’auraient jamais survécu », a raconté la propriétaire des chiens aux médias canadiens.
Depuis cette belle histoire a été relayée par le site USA Today et le journal britannique The Independent. Ce dernier précise que, pour leur acte de bravoure, les chiens ont été récompensés d’un bon steak. Depuis ils ont repris leur vie normale et continuent à veiller sur le troupeau. Et font la fierté de leurs maîtres.

Canada. Ils volent une moto et la ramènent le lendemain...


Une moto pour enfants a été volée au Canada... puis ramenée, avec le plein d'essence.
Une moto pour enfants a été volée au Canada... puis ramenée, avec le plein d'essence. 

Ces deux adolescents ont vite culpabilisé. Il leur a fallu moins de deux jours pour rendre la moto pour enfants qu'ils avaient dérobée... Pour se faire pardonner, ils lui ont même refait une beauté, et y ont scotché une lettre d'excuse.
Le cliché veut que les Canadiens soient toujours polis, toujours gentils, toujours serviables... Et cette histoire a plutôt tendance à le confirmer. La semaine dernière, la Canadienne Mel Flesher postait, sur Facebook, un avis de recherche : La moto des enfants de son compagnon était introuvable. Disparue. Seul le cadenas brisé avait été retrouvé sur le sol.
« Nous avions récupéré cette moto récemment, et l'avions modifiée pour que les enfants puissent apprendre à la conduire, écrit la jeune femme. Elle est vieille mais est parfaite pour eux. »
Le post a tourné sur Facebook. Partagé une cinquantaine de fois, il a ému les internautes, qui ont promis de garder l'oeil ouvert pour retrouver la petite Yamaha jaune.
Réapparue comme par magie
Deux jours plus tard, la mère de famille revient sur Facebook, pour annoncer une bonne nouvelle. La petite moto est miraculeusement revenue au bercail ! En parfait état... et même plus. Pour se faire pardonner, les adolescents qui l'avaient dérobée ont pris soin de remplir la jauge d'huile, de faire le plein d'essence et de racheter un cadenas neuf.
Ils y ont également accroché une lettre d'excuse, soigneusement emballée dans une pochette plastique, et scotchée au véhicule. 

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« Nous devons commencer par nous excuser d'avoir volé la moto de votre fils, écrivent les voleurs. En lisant votre post Facebook, nous avons immédiatement compris que nous devions la lui rendre. »
« Encore une fois, nous sommes vraiment désolés de lui avoir fait vivre ça. Nous vous souhaitons à tous les deux de profiter a mieux de ses voyages à moto, et espérons que vous pourrez trouver dans vos coeurs la force de nous pardonner. Roule, petit homme. Tu le mérites ! »
Une lettre qui a touché Mel Flesher. « Vous avez l'air d'être de bons enfants!! Nous vous pardonnons et espérons que vous avez retenu la leçon », leur répond-elle sur les réseaux sociaux. Au Canada, les histoires se terminent toujours bien.

Canada. Sur un malentendu, un ado repeint sa jument en rose

« Je pensais que ma mère m'avait demandé de peindre entièrement le cheval pour le rendre visible, et que de cette façon, si on devait le libérer, les gens pourraient le retrouver facilement ».
 « Je pensais que ma mère m'avait demandé de peindre entièrement le cheval pour le rendre visible, et que de cette façon, si on devait le libérer, les gens pourraient le retrouver facilement »

Il pensait bien faire. Un adolescent canadien a récemment repeint une jument en rose, de la tête aux sabots. Il avait mal compris une consigne de sa mère, qui lui avait conseillé de noter leur numéro de téléphone sur l’animal pour le retrouver facilement, alors que le Canada est actuellement en proie à des incendies.
C’est un quiproquo plus qu’insolite. Un adolescent a repeint sa jument… En rose fluo, croyant répondre à une consigne de sa mère.
Cette incroyable histoire, racontée s’est déroulée ce mardi en Colombie-Britannique, dans l’ouest du Canada. La région est actuellement ravagée par de nombreux feux de forêt qui ont forcé plus 14 000 habitants à évacuer leurs logements.
L’adolescent a compris la consigne de travers
Alors que les flammes s’approchent de sa propriété, Cindy Roddick réalise qu’elle va devoir se préparer à relâcher ses chevaux. Elle demande à son fils de 15 ans, Jacob Sharkey, d’écrire leur numéro de téléphone sur les chevaux, dont la justement nommée Rosy. La famille pourrait alors les retrouver plus facilement après l’incendie.

Réfugiés : la ruée vers le Canada

Les chiffres sont même impressionnants : en un an, le nombre de migrants passant à pied l'immense frontière qui sépare les deux pays a triplé au Québec et été multiplié par dix entre le Minnesota en la province canadienne du Manitoba.
Et ces chiffres ne valent que pour ces deux provinces. Le constat est le même, sans chiffres, avec dans le reste du Canada qui partage avec les États-Unis 6 400 km, si l'on excepte la frontière avec l'Alaska, près de 9 000 km avec. Impossible donc de tout surveiller.
Il faut souligner deux éléments.

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D'abord, traverser la frontière américano-canadienne n'a rien d'une partie de plaisir en hiver : beaucoup de migrants se retrouvent dans les hôpitaux canadiens, sitôt la frontière passée, avec de graves engelures.
Ensuite, beaucoup de ces migrants ont parfois voyagé plusieurs mois (typiquement 5 ou 6 mois) depuis, par exemple, la corne de l'Afrique ou le Moyen-Orient, en passant par l'Afrique du Sud, le Brésil puis en remontant toute l'Amérique latine jusqu'aux États-Unis.
Enfin, pour eux, le Canada est souvent un second choix. Ils ont avant tenté de rester aux États-Unis mais se sont heurtés aux restrictions du système d'asile qui renvoie au pays un demandeur d'asile débouté.
Le Canada, lui, n'expulse pas vers des pays dangereux.

HitchBot traverse le Canada cet été.


HitchBot lève le pouce au bord des routes canadiennes comme n'importe quel auto-stoppeur, et sa qualité de robot semble rassurer les automobilistes qui s'amusent à l'installer pour un bout de route, protégé par la ceinture de sécurité.


Des bottes jaunes en caoutchouc parsemées de petites étoiles noires, les bras et les jambes en frites de piscine en mousse, un rehausseur pour enfants en guise de siège avec un pied télescopique pliable pour lui permettre d'attendre sur le bas-côté des routes, HitchBot traverse le Canada d'est en ouest au bon vouloir des automobilistes.



Une fois à bord de la voiture, HitchBot prévient qu'il peut avoir une fatigue passagère. Le conducteur pourra facilement lui redonner un peu de tonus en le branchant sur la prise de l'allume cigare du véhicule pour recharger ses batteries. Il en a besoin pour illuminer son sourire fait de petites diodes rouges et surtout participer aux conversations de ses hôtes qui l'assaillent de questions.

Une eau vieille d'un milliard d'années a une teinte orange et un goût horrible.


L’eau en question se trouverait plus de 2 km sous terre, au Canada, dans une des nombreuses poches qui se trouvent dans le sol à cet endroit. L’eau a été datée à plus d’un milliard d’années, certaines poches contenant potentiellement de l’eau datant d’il y a près de 2,6 milliards d’années. Pour les scientifiques, cette eau pourrait avoir beaucoup à raconter sur l’histoire de la Terre. Si certains tests et analyses ont été pratiqués, il ne viendrait cependant pas à l’esprit de n’importe qui d’en boire, mais pour la scientifique, il s’agissait encore du « moyen le plus rapide » d’en déterminer certaines caractéristiques, comme la teneur en sel. C’est en effet une des principales caractéristiques qui permet de dater l’eau : plus la teneur en sel est élevée, plus l’eau est ancienne.


Cette eau est décrite comme étant plus salée encore que l’eau de mer. Elle aurait une consistance proche d’un « sirop d’érable très léger ».


 Cette eau se trouve notamment emprisonnée dans des gisements de zinc et de cuivre, ce qui contribue tant à sa teneur en sel qu’à sa consistance, et lui donne une teinte orangée sitôt qu’elle est en contact avec l’oxygène.
Barbara Sherwood Lollar, chercheuse canadienne et professeure à l’Université de Toronto, a indiqué au Los Angeles Times avoir bu une eau vieille de près d’un milliard d’années, au goût horrible, dans le cadre d’une expérience.