Le phénomène s'est déclaré il y a deux ans. De minuscules taches vertes maculent le marbre blanc du Taj Mahal, et l'affaire fait la une des médias indiens, inquiets de voir l'édifice changer de couleur. L'Archeological survey of India (ASI) a beau nettoyer, les taches reviennent encore et encore. De quoi désespérer l'avocat et écologiste Mahesh Chandra Mehta, qui a saisi la Cour suprême le 1er mai: il espère faire pression sur les autorités pour qu'elles prennent le problème à bras-le-corps.
Le 9 mai, les juges interrogent un représentant de l'ASI. Commence alors un échange surréaliste. L'ASI explique que les taches vertes sont une algue qui vient de la Yamuna, la rivière qui coule à Agra.
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