Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est Corée du Sud. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Corée du Sud. Afficher tous les articles

Un robot employé à la mairie se « suicide » en se jetant d’un escalier.

 En Corée du Sud, une mairie a ouvert une enquête à la suite de la chute d’un robot employé comme fonctionnaire municipal. Il a été retrouvé la semaine dernière en bas d’un escalier, inerte. Juste avant, des témoins ont vu le robot « tourner en rond comme si quelque chose était là », a expliqué un responsable de l’équipe municipale.


Il aidait les habitants de la municipalité de Gumi à accomplir des tâches administratives depuis près d’un an. Il travaillait de 9 heures à 18 heures et possédait sa propre carte d’agent de la fonction publique. A la différence d’autres androïdes cantonnés à un seul niveau, il pouvait appeler l’ascenseur et passer d’un étage à un autre.
 L’équipe municipale se dit bouleversée par la chute de ce robot, qui semble donc s’être jeté du haut d’un escalier.  Il faisait officiellement partie du personnel de la mairie.


La Corée du sud possède la plus forte densité de robots au monde, avec un androïde pour dix employés.

Corée du Sud : qu'est ce que le Molka Porn ?

Attention à vos jupes mesdames ! En Corée du Sud, un nouveau phénomène a envahi les rues : le Molka Porn. Des hommes filment les dessous des femmes, à leur insu. 


En voyage en Corée du Sud, vous pouvez devenir star du porno sans le savoir. Sur twitter des messages d'alerte fleurissent : "Ne venez pas en Corée, vous vous retrouverez sur un site porno sous le pseudo de : 'femme étrangère'". Ce phénomène s'appelle le "Molka Porn", espionnage sexuel en français. Le mode opératoire est simple : filmer une femme à l'aide d'une caméra miniature et à son insu. Ces contenus sont alors diffusés sur des plateformes spécialisées en ligne. Ces situations se passent dans les rues, dans les vestiaires, mais aussi dans les toilettes publiques. 

La Corée du Sud a inventé la ville 100 % sans voitures

Elle a tous les atouts d’une ville propre, du moins sur le papier. Des pistes cyclables, un réseau de transports en commun particulièrement bien développé, des espaces verts… Mais dans les faits, la « ville parfaite » n’est pas si agréable à vivre.




Le défi a été relevé haut la main. À Songdo, une ville sud-coréenne située à plus d’une soixantaine de kilomètres à l’ouest de Séoul, presque aucune voiture ne circule. C’était l’idée de départ : bâtir une ville propre afin de limiter la pollution et la consommation d’énergie. À l’endroit où il n’y avait qu’un terrain vague, un polder gagné sur la mer Jaune, se dressent aujourd’hui des immeubles de verre et d’acier et d’autres buildings encore en chantier.

Lancée en 2003, la construction de Songdo est le résultat d’un partenariat public/privé avec des compagnies coréenne (le constructeur Posco) et américaines (le promoteur Gale et la banque Morgan Stanley), soutenues par la municipalité de la province de Incheon. L’objectif était de créer un centre d’affaires en Asie du Nord-Est, pour attirer des investissements du monde entier et offrir une qualité de vie inégalée, servant de modèle à exporter. 
Au total, l’aménagement de Songdo a coûté 35 milliards de dollars (soit 30 milliards d’euros). À terme, la ville devrait accueillir 265 000 personnes. Pour le moment, presque dix ans après son ouverture officielle, le nombre d’habitants tourne autour de 100 000. Surtout des Sud-Coréens, car les loyers sont moitié moins chers que dans certains quartiers de Séoul.

Big brother vert ?
En théorie, cette « smart-city » a de quoi séduire : un réseau de transport pensé pour qu’aucun appartement ou bureau ne soit à plus de 15 minutes à pieds d’un arrêt de bus ou d’une station de métro, 145 km de piste cyclable sécurisée, dont 25 km qui parcourent le quartier d’affaires, 40 % de la superficie de la ville constituée d’espaces verts, des buildings peu gourmands en énergie, certifiés LEED, couverts de toits végétaux et de panneaux solaires, des taxis fluviaux, un métro qui ne rejette pas de CO2.
Même le service de ramassage des ordures est ultra moderne : comme les rues sont piétonnes, plus de camions-bennes, mais des tubes pneumatiques qui aspirent les déchets ménagers qui arrivent par le biais de souterrains dans une grande plateforme de tri sélectif où ils sont revalorisés. Tous ces aménagements devaient permettre à la ville d’émettre 30 % de gaz à effet de serre en moins, par rapport à une ville de la même taille.

Lorsque Songdo était en construction.


Pourtant, sur place, la réalité semble différente. L’électricité qui sert à faire fonctionner la ville provient, comme pour les autres villes sud-coréennes, de centrales à charbon. Une habitante de la ville que les « bâtiments sont tout en transparence et [qu’] il est impossible d’ouvrir les fenêtres. L’été et l’hiver, la clim’fonctionne à fond ».
Autre ombre au tableau : les caméras. La ville en compte 500 qui surveillent la circulation et les comportements suspects. Les immenses parkings souterrains placés à des endroits stratégiques de la ville sont équipés de lecteurs qui scannent les plaques minéralogiques des voitures pour, apparemment, réguler le trafic et éviter les embouteillages. Les habitations sont aussi truffées de capteurs qui indiquent en temps réel la consommation du logement en eau et en énergie, qui alertent si des déchets se trouvent dans les mauvaises poubelles. Bientôt, les appartements seront équipés pour bénéficier de la télémédecine.
En plus des dizaines de capteurs qui truffent
les immeubles, 500 caméras quadrillent la ville.


Une « ville perturbante », selon les
reporters qui sont allés sur place

Finalement, ceux qui se promènent dans la ville cherchent un peu « son âme », rapportent les journalistes qui y sont allés en reportage. Ce n’est pas une ville fantôme, mais on ne croise pas grand monde. Ceux qui comptent déjà plusieurs séjours dans la ville intelligente voient quelques améliorations – des commerces, un peu plus de piétons dans les rues – mais persistent : C’est une ville perturbante.