En ces jours-ci, la question somme toute logique pour les concernés, qui se pose est où s’inscrire, une fois bachelier ? Nous y sommes. De toutes les étapes qui jalonnent le long fleuve des études, il en y a une, décisive et déterminante : après le bac. Une importante étape qui angoisse les jeunes tout autant que les parents.
Il se trouve que le bac n’a plus la même résonance symbolique qu’il avait par le passé. En clair, ce diplôme ne débouche sur rien. Sauf peut être, pour mener, pour certains, une vie de farniente dans une faculté de lettres ou de droit, ou, pour les plus heureux, errer dans les fausses passerelles des filières du privé.
Les autres, ceux dont les parents ont les moyens, c’est « sauve qui peut » pour partir s’installer à l’étranger.
Les heureux élus de ce bac là, à la fois plus cher et plus valorisant, bénéficient d’un traitement préférentiel pour l’entrée à certains instituts plus prisés que d’autres.
Sans vouloir leur jeter la pierre, il se trouve que ces jeunots, un peu plus égaux que les autres, restent minoritaires. Les « autres » forment un chiffre qui devrait donner des insomnies à notre ministère de l’enseignement.
Les autres, ceux dont les parents ont les moyens, c’est « sauve qui peut » pour partir s’installer à l’étranger.
Les heureux élus de ce bac là, à la fois plus cher et plus valorisant, bénéficient d’un traitement préférentiel pour l’entrée à certains instituts plus prisés que d’autres.
Sans vouloir leur jeter la pierre, il se trouve que ces jeunots, un peu plus égaux que les autres, restent minoritaires. Les « autres » forment un chiffre qui devrait donner des insomnies à notre ministère de l’enseignement.