Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Qu’en est-il de cette terre domaniale usurpée par un ex-commissaire ?
A Ain Défali, les vieux doivent-ils laisser la place aux jeunes ?
Certains membres s'entêtent à vouloir rester éternellement en place malgré leur âge très avancé et leur ignorance affichée des choses de notre époque qui exigent l'implication des gens lettrés et compétents, capables de gérer au mieux et avec tact le quotidien de la population d’Ain Défali.
Ces jeunes ne doivent plus se contenter d'être de simples spectateurs devant ces gens âgés et incompétents de surcroit.
C'est aux jeunes de se décider à assumer pleinement leurs responsabilités vis à vis de leur avenir et celui de leurs enfants et de par là celui des générations à venir.
A cet effet, il devient évident que les autorités locales et provinciales doivent s'impliquer d'avantage, et de façon plus rigoureuse, pour que la transition souhaitée par tous, se fasse dans de très bonnes conditions possibles, entre d'une part, les vieux usés par le temps et dépassés et les jeunes compétents et actifs qui aspirent à participer pleinement au développement de leur commune, dans le cadre de l'initiative nationale de développements humains, décidé par S.M le Roi Mohamed VI que Dieu le protège et le glorifie.
L’ALOE VERA EST TRES CONNUE A AIN DEFALI SOUS LE NOM DE « SABRA ».
Elle possède de massives feuilles arborescentes, aux extrémités pointues pourvues d’épines de couleur jaune clair qui font la particularité de l’Aloe Vera. Charnues, ses feuilles sont munies d’une cuticule, d’une couche épidermique, d’un derme cellulosique et d’un parenchyme mucilagineux appelé « jus » qui, en réalité, se présente sous forme de liquide gélatineux. Son gel est le plus utilisé, que ce soit en médecine ou en cosmétique. La raison en est que les principes actifs de celle-ci sont concentrés dans ce « jus ». Son jus est très utilisé en boisson, en inhalation et en crème.
L’Aloe vera est avant tout médical. La feuille d'Aloe vera contient plus de 75 éléments nutritifs et 200 autres composants, ainsi que 20 minéraux, 18 acides aminés et 12 vitamines . L’Aloe Vera est riche en sels minéraux :
- calciulm et phosphore essentiels pour la croissance osseuse,
- du fer indispensable pour le sang,
- du magnésium et du manganèse nécessaires pour les muscles et le système nerveux,
- le cuivre qui maintient l’équilibre de l’organisme, - le chrome utile pour l’activité enzymatique.
L’aloe vera regorge de vitamines : - A : nécessaire pour la croissance du foetus intra-utérin et la protection des cellules en général, - B1 : nécessaire pour la production d’énergie et le développement des tissus, - B2 : essentielle à la vision, la peau et les cheveux, - B3 et B12 : nécessaires au flux sanguin,
- B6 : joue un rôle dans l’assimilation des protéines,
- B9 : utile pour la constitution de L’ADN,
- C : augmente la résistance de l’organisme, - E : excellent antioxydant). L’aloe vera a une composition riche en acides aminés, qui participent à la régulation de l’équilibre chimique ainsi qu'à la régénération des tissus et enfin, à l’emmagasinage d’énergie. L’Aloe vera est très utilisée en textile pour produire de très belles étoffes aux reflets soyeux.
Si vous optez pour une médecine traditionnelle, opérez une entaille dans la feuille de sabra et laissez couler le jus sur la plaie ou la brûlure, ça guérit vite et ça donne de bons résultats car il s’agit d’une plante anti-inflammatoire et désinfectante.
Cette plante qui porte le nom de « sabra » se trouve un peu partout dans nos douars mais n’est utilisé ni en médecine ni en textile mais ses épines servent surtout pour piquer l’échine de nos pauvres ânes et mulets pour les stimuler à bien galoper.
Les Indiens huaoranis peuple premier vivant nu
Aujourd'hui, à Bameno, des membres de la tribu Huaorani vivent encore de la chasse et de la cueillette.
Pourtant, les ravages causés par l'arrivée de la civilisation semblent irréparables...
LE «TRANSPORT CLANDESTIN» ET LES « KHATTAFAS » A AIN DEFALI.
Un pourcentage important de notre population rurale, qui ne dispose d’aucun moyen légal de transport, ignore qu'il n’est pas assuré en cas d'accidents et se déplace à bord de pick-up, de camionnettes 207 et de tous moyens de transports disponibles.
Ces gens préfèrent se soumettre au diktat des « khattafas » pour leur déplacement et utiliser ce mode de transport clandestin pour vaquer à leurs occupations habituelles ou pour vendre leur (bétail, agrumes, céréales, tec…) dans des souks hebdomadaires ou dans les patelins avoisinants (Ouezzane, Had kourt, Jorf El melha, Khénichet, etc…).
Ce transport clandestin des passagers, dans des conditions inhumaines des fois, en perpétuelle progression, au vu et au su des autorités publiques et en toute impunité, porte atteinte à l’activité légale du transport. Des fois, des rabatteurs rôdent souvent auprès des stations de taxis "réguliers" ou des cars, hélant les voyageurs d'un " taxi ! taxi ! ". Le parc des clandestins est composé de véhicules de marques différentes : Peugeot, Renault, Toyota, Nissan, Volkswagen, etc. Toutes ces marques sont utilisées pour transporter en moyenne, 6 à 7 passagers dont 2 à 3 devant, à côté du chauffeur et 4 dans le siège arrière. En fait, l'activité des " khatafas " est tout bénéfice. Ceux qui l'exercent n'ont ni charges, ni assurance à payer. Il leur suffit juste d'avoir " une épave roulante ". Certains chauffeurs clandestins conduisent même sans permis et sans assurance. Le nouveau code de la route, a-t-il tenu compte des moyens de transport appropriés, sûrs et certains pour cette population rurale éloignée et isolée du reste de l’autre Maroc ?
Ain Défali est une région apicole de grande importance.
La forêt à essence mellifère est constituée par les plantations d'Eucalyptus et par la forêt naturelle. Les premières plantations d'Eucalyptus dans le Gharb datent des années 1920. Elles sont destinées essentiellement à l'approvisionnement de l'usine de la cellulose de Sidi Yahya et offrent la principale source de nectar et de pollen pour l'apiculture. Cette forêt comporte une gamme variée d'espèces dont les périodes de floraison sont différentes. Ceci permet d'avoir des ressources mellifères durant une bonne partie de l'année
. Parmi les autres plantes mellifères annuelles existantes à Ain Défali, on peut citer le bersim, le tournesol et les orangers.
La période de leur floraison est le mois de Mai pour le bersim et Juillet-Août pour le tournesol. On peut déduire qu’Ain Défali, par sa flore mellifère très riche, offre une disponibilité en pollen et en nectar tout au long de l'année.
Parmi les 3 races d'abeilles existantes au MAROC (Apis mellifica intermissa, major et sahariensis), la race la plus rencontrée dans la région d’Ain Défali est Apis mellifica intermissa.
Incompétence du président de la commune d’Ain Défali.
L'enseignement coranique traditionnel à Ain Défali.
Cette planchette est en forme de trapèze de 40 centimètres environ de hauteur, sur 25 centimètres dans sa base la plus large et 20 centimètres dans son côté le plus étroit. Pour écrire, l'enfant recouvre cette planchette d'un enduit d'argile délayée dans de l'eau, que l'on appelle Sounssal. On écrit sur cette sorte d'ardoise avec le Klem (plume de roseau) habituel, en se servant d'une encre appelée smac ou smagh. Cette encre est faite soit avec de la laine brûlée, et c'est la meilleure, soit avec de la corne d'agneau brûlée. La laine dont on se sert est celle qui est le plus près de la peau et qui est imprégnée de suint.
Lorsque l'enfant a appris à écrire les lettres de l'alphabet, à les relier entre elles et à connaître leur valeur exacte, ainsi que toutes les voyelles et les signes orthographiques, le maître commence à lui apprendre, en la lui dictant, la première sourate du Coran, El Fatiha. Il ne se sert pour cela d'aucun livre : il sait le Coran par coeur. Au fur et à mesure que la planchette est couverte d'écriture, l'enfant apprend par coeur ce qu'il a écrit ; son attention et sa mémoire sont fortement stimulées par la crainte des coups de baguette de cognassier que le maître lui applique sur la plante des pieds pour corriger ses erreurs ou ses oublis. Dans ce cas, la victime est maintenue par deux de ses camarades qui tiennent ses pieds à la portée de la baguette du fakih. Cette correction est usitée pour toutes les fautes des écoliers, et elle leur est même souvent infligée s'ils se conduisent mal en dehors de l'école. Aucune explication n'est donnée aux enfants sur le Coran, qu'ils apprennent ainsi par coeur ; le maître qui le leur apprend serait d'ailleurs très embarrassé d'expliquer le moindre passage de ce qu'il enseigne. Toute sa science consiste à savoir le Coran par coeur d'un bout à l'autre, à en connaître admirablement l'orthographe exacte, toutes les intonations, tous les accents ; mais il n'y comprend rien, et ne cherche pas à comprendre, pas plus que ses élèves. Si l'un d'eux, ce qui n'arrive d'ailleurs jamais, s'avisait de demander une explication sur le sens des phrases qu'on lui fait apprendre par coeur, par lambeaux, il serait d'abord battu, pour le bon exemple, et ensuite certainement exorcisé, car seule la présence en lui d'un démon pourrait expliquer sa curiosité. On n'apprend pas le Coran pour le comprendre, mais pour le savoir, pour le posséder, non parce que cela peut être d'une utilité quelconque dans la conduite de la vie, mais pour le mérite, El Ajar, et pour la bénédiction, El Baraka, qui sont attachés au fait de posséder dans sa mémoire tout le livre sacré. La principale préoccupation de tous ceux qui sont arrivés, après bien des années, à réaliser ce tour de force de mémoire, consiste à ne pas oublier ce qu'ils ont appris, et à entretenir leur mémoire par une continuelle récitation du Coran, de façon à n'en pas perdre un seul mot. C'est que, par une singulière interprétation de quelques versets de la quinzième sourate, les Marocains en sont arrivés à croire que ceux qui, ayant appris le Coran, l'auraient oublié, seront frappés de cécité dans l'autre monde.
L'école, appelée M'sid, se compose d'une pièce, généralement au rez-de-chaussée, souvent sans fenêtres et ne recevant la lumière que par la porte. Le mobilier de l'école se compose universellement d'une simple natte achetée par les élèves, et d'une sorte de banc très bas sur lequel le professeur est assis, les jambes repliées sous lui. Les élèves sont assis de la même façon sur la natte. Il n'y a jamais ni bancs ni pupitres. L'éclairage, en hiver, se fait au moyen d'une lampe qui se compose d'un verre suspendu au plafond par un fil de fer, et dans lequel se trouve de l'huile d'olive et une mèche faite d'un bout de chiffon de coton.
C’est pour quand l’ouverture de la brigade de gendarmerie d’Ain Défali ?
Le bâtiment de la brigade se trouve au centre d’Ain Défali et il est construit depuis des mois. Nous attendons avec impatience son inauguration.
Nous espérons que cette nouvelle brigade va implanter la sécurité pour la quiétude de la population de la commune d’Ain Défali et non pas la terreur.
La Gendarmerie nationale est une force de police à statut militaire. Elle dispose également de tous les pouvoirs de police, à l'instar de la police nationale, mais n'occupe pas le même espace. La gendarmerie relève du ministère de la défense pour la gestion, et du ministère de l'intérieur pour ses opérations. La brigade a un effectif variable, de 6 à 12 militaires en moyenne, et est commandée par un adjudant ou un adjudant-chef. .
La Légation des Etats-Unis à Tanger.
Situé au cœur de l’ancienne médina et dominant le détroit de Gibraltar, le Musée Américain ou l’ancienne Légation Américaine de Tanger a une histoire unique. Sa structure originelle date du 18ème siècle. Le bâtiment fut offert par le Sultan du Maroc, Moulay Souleiman, en 1821,
à la jeune république américaine alors sous la présidence Monroe.
Ce fut la première propriété américaine à l'étranger. Durant 140 ans, elle hébergea la représentation diplomatique et consulaire des USA au Maroc. Il s’agit d’ailleurs du seul et unique monument historique américain situé en dehors du territoire des Etats-Unis. C’est aujourd’hui, un musée relatant l’histoire des relations américaines et marocaines. Les liens d’amitié entre le Maroc et les Etats-Unis sont proches et cela n’est sans doute pas étranger au fait que le Maroc fut l’un des premiers pays au monde à reconnaître l’indépendance des Etats-Unis en 1778.
En 1976, 200ème anniversaire de l'indépendance américaine, des dons privés permirent la création d'une Fondation transformant l'Ancienne Légation Américaine en un Musée et un centre culturel. Le Musée présente une collection de peintres marocains et étrangers résidant à Tanger.
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