Le 1er décembre marque la Journée mondiale de lutte contre le sida. Cette journée symbolique rappelle chaque année la réalité alarmante de cette épidémie dans le monde, qui impose aux pouvoirs publics un devoir constant de vigilance et d'information à l'égard de l'ensemble de la population.
L'humanité entière est confrontée aujourd’hui à ce fléau redoutable, le SIDA qui est à l'origine d'une crise grave en matière de développement socio-économique en raison de son ampleur et de son incidence dévastatrice
Le défi pour notre pays est de permettre aux malades atteints de Sida d’accéder à bas prix à la trithérapie. Ces médicaments de 3e génération sont très chers actuellement : 15.000 à 25.000 DH pour chaque patient !
En effet, dans notre pays il y a une insuffisance de diagnostic des personnes ayant une infection à VIH avec une estimation de plus de 25000 porteurs du virus qui s’ignorent et qui continuent à le transmettre sans le savoir et qui, de ce fait, ne seront diagnostiqués qu’à un stade trop tardif.
Notons que le ministère de la Santé offre gratuitement le traitement pour les personnes ne bénéficiant pas d’une assurance maladie en prenant en charge 50% de la trithérapie, le reste étant financé par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme.
Notons que le ministère de la Santé offre gratuitement le traitement pour les personnes ne bénéficiant pas d’une assurance maladie en prenant en charge 50% de la trithérapie, le reste étant financé par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme.
L'épidémie de sida demeure un enjeu majeur de santé individuelle et publique. L'information sur la prévention, notamment auprès des jeunes, sur le dépistage anonyme et gratuit dans les systèmes de soins, et en particulier l'intérêt de leur dépistage précoce, reste primordiale. C'est pourquoi la contribution de l'École à la politique nationale de lutte contre le sida est fondamentale.
L'humanité entière est confrontée aujourd’hui à ce fléau redoutable, le SIDA qui est à l'origine d'une crise grave en matière de développement socio-économique en raison de son ampleur et de son incidence dévastatrice
Le défi pour notre pays est de permettre aux malades atteints de Sida d’accéder à bas prix à la trithérapie. Ces médicaments de 3e génération sont très chers actuellement : 15.000 à 25.000 DH pour chaque patient !
En effet, dans notre pays il y a une insuffisance de diagnostic des personnes ayant une infection à VIH avec une estimation de plus de 25000 porteurs du virus qui s’ignorent et qui continuent à le transmettre sans le savoir et qui, de ce fait, ne seront diagnostiqués qu’à un stade trop tardif.
Notons que le ministère de la Santé offre gratuitement le traitement pour les personnes ne bénéficiant pas d’une assurance maladie en prenant en charge 50% de la trithérapie, le reste étant financé par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme.
Notons que le ministère de la Santé offre gratuitement le traitement pour les personnes ne bénéficiant pas d’une assurance maladie en prenant en charge 50% de la trithérapie, le reste étant financé par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme.
L'épidémie de sida demeure un enjeu majeur de santé individuelle et publique. L'information sur la prévention, notamment auprès des jeunes, sur le dépistage anonyme et gratuit dans les systèmes de soins, et en particulier l'intérêt de leur dépistage précoce, reste primordiale. C'est pourquoi la contribution de l'École à la politique nationale de lutte contre le sida est fondamentale.