Exécutée à Paris par le
sculpteur Bartholdi avec la collaboration
de Gustave Eiffel pour la charpente métallique, composée de 300 plaques de cuivre modelées et rivetées,
Elle est située à New York, sur l'île de Liberty Island.
Elle fut offerte par la France, en signe
d'amitié
entre les deux nations, pour célébrer le centenaire de la déclaration d'indépendance américaine.
La statue fut inaugurée le 28 octobre
1886 en présence du Président des États-Unis, Grover Cleveland.
Elle est devenue l'un des symboles des États-Unis
et représente de manière plus générale la liberté
et l'émancipation vis-à-vis de l'oppression. Elle a accueilli depuis lors à
l'entrée du port de New York des millions d'immigrants venus peupler les
États-Unis.
Voici quelques informations sur
les dimensions et les proportions de la Statue :
Poids : 200 tonnes
Hauteur de la base jusqu'à la
torche : 46.50m
Hauteur du piédestal à la torche : 92.99m
Hauteur du talon à la tête : 33.86m
Longueur de la main : 5m
Longueur de l'index : 2.44m
Distance du menton au crâne : 5.26m
Epaisseur de la tête : 3.05m
Distance entre les deux yeux : 0.76m
Longueur du bras droit : 12.80m
Epaisseur du bras droit : 3.66m
Longueur des tablettes : 7.19m
Largeur des tablettes : 4.14m
Epaisseur des tablettes : 0.61m
Longueur du nez : 1.48m
Hauteur du piédestal à la torche : 92.99m
Hauteur du talon à la tête : 33.86m
Longueur de la main : 5m
Longueur de l'index : 2.44m
Distance du menton au crâne : 5.26m
Epaisseur de la tête : 3.05m
Distance entre les deux yeux : 0.76m
Longueur du bras droit : 12.80m
Epaisseur du bras droit : 3.66m
Longueur des tablettes : 7.19m
Largeur des tablettes : 4.14m
Epaisseur des tablettes : 0.61m
Longueur du nez : 1.48m
A la base de la statue, gravé
sur une plaque de bronze, est inscrit ce poème
d'Emma Lazarus intitulé "The New Colossus" :
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués
Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte
De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !"
Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte
De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !"