Cette question touche à ce que l’on appelle la santé sexuelle, qui est un état de bien-être physique, émotionnel, mental et social associé à la sexualité. De nombreuses études montrent qu’elle a des effets bénéfiques sur la santé au sens large et sur l’épanouissement de la personne.
Le plus souvent, la sexualité se vit au sein d’un couple grâce à l’autoérotisme. Elle ne se limite pas seulement aux rapports sexuels avec pénétration. Elle est constituée d’échanges affectifs, émotionnels et relationnels, mais aussi d’amour, de tendresse, de respect mutuel et de découvertes de sensations corporelles.
Suivant les périodes de la vie, la fréquence de la sexualité peut varier de quotidienne à inexistante. Parfois, l’individu vit des périodes, plus ou moins longues, où la sexualité est absente. Cette abstinence peut découler d’un choix, d’une absence de désir ou d’une absence de partenaire.
Le manque de rapports sexuels peut être la conséquence de l’apparition et/ou de l’existence d’une difficulté sexuelle passagère ou régulière qui se répercute négativement sur le désir.
Le plus souvent, la sexualité se vit au sein d’un couple grâce à l’autoérotisme. Elle ne se limite pas seulement aux rapports sexuels avec pénétration. Elle est constituée d’échanges affectifs, émotionnels et relationnels, mais aussi d’amour, de tendresse, de respect mutuel et de découvertes de sensations corporelles.
Le manque de rapports sexuels peut être la conséquence de l’apparition et/ou de l’existence d’une difficulté sexuelle passagère ou régulière qui se répercute négativement sur le désir.