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Maroc : Le mystère derrière la sculpture iconique du Lion d'Ifrane

Le nom de l'auteur de la sculpture du Lion d'Ifrane reste un mystère. Si certaines hypothèses évoquent le sculpteur français Henri Jean Moreau, d'autres suggèrent une création des prisonniers italiens et allemands. Entre diverses affirmations, des recherches désignent Moreau plus souvent, durant les années 1930.
Ifrane, dite la petite Suisse du Maroc, est depuis longtemps une destination de vacances prisée tant par les Marocains que par les étrangers. Que ce soit pendant ses hivers enneigés ou ses saisons plus douces, ses paysages à couper le souffle, entourés de forêts de chênes verts alternant avec des cèdres, ne manquent jamais d'impressionner.
Pour prouver leur passage par Ifrane, tous les visiteurs se prennent en photo à côté du gardien emblématique de la cité, le Lion de l'Atlas. Sculptée dans la roche, cette statue repose dans l'un des jardins de style européen de la ville.
Le Lion d'Ifrane, également connu sous le nom de Gardien de la Forêt, partage un point en commun avec le Sphinx de Gizeh : personne ne sait avec certitude qui l'a créé.


Beaucoup ont essayé de répondre à cette question, mais la vérité est encore plus déroutante que la question elle-même. De nombreuses théories ont émergé concernant le sculpteur. Certains prétendent que le lion a été sculpté par un prisonnier italien qui aurait purgé sa peine dans une prison d'Ifrane, pendant la Seconde Guerre mondiale. D'autres récits locaux attribuent la création à un légionnaire allemand ou français.
Mais ces récits restent difficiles à vérifier, surtout que le Lion d'Ifrane est antérieur à cette période. Selon «Le Lion d'Ifrane : Une Exposition» à l'Université Al Akhawayn, ce monument est apparu sur des cartes postales dès les années 1930, peu après la fondation de la ville elle-même.
«Le lion est visible sur des cartes postales visant à promouvoir cette nouvelle destination de vacances estivales et hivernales», note l'exposition, faisant référence à des images des Archives & Collections Spéciales M6L présentant le lion dès 1933.
Une théorie plus logique a émergé, grâce à l'écrivain et enseignant natif d'Ifrane Mohammed El Aouene. Après des années de recherche, celui-ci soutient que la statue a été sculptée vers 1930 par Henri Jean Moreau. Ce dernier était professeur de dessin au Lycée Gouraud à Rabat (aujourd'hui Lycée Hassan II).
Beaucoup ont essayé de répondre à cette question, mais la vérité est encore plus déroutante que la question elle-même. De nombreuses théories ont émergé concernant le sculpteur. Certains prétendent que le lion a été sculpté par un prisonnier italien qui aurait purgé sa peine dans une prison d'Ifrane, pendant la Seconde Guerre mondiale. D'autres récits locaux attribuent la création à un légionnaire allemand ou français.
Mais ces récits restent difficiles à vérifier, surtout que le Lion d'Ifrane est antérieur à cette période. Selon «Le Lion d'Ifrane : Une Exposition» à l'Université Al Akhawayn, ce monument est apparu sur des cartes postales dès les années 1930, peu après la fondation de la ville elle-même.
«Le lion est visible sur des cartes postales visant à promouvoir cette nouvelle destination de vacances estivales et hivernales», note l'exposition, faisant référence à des images des Archives & Collections Spéciales M6L présentant le lion dès 1933.
Une théorie plus logique a émergé, grâce à l'écrivain et enseignant natif d'Ifrane Mohammed El Aouene. Après des années de recherche, celui-ci soutient que la statue a été sculptée vers 1930 par Henri Jean Moreau. Ce dernier était professeur de dessin au Lycée Gouraud à Rabat (aujourd'hui Lycée Hassan II).


Dans son livre La Perle du Moyen Atlas (2002), El Aouene suggère que Moreau soit derrière le Lion d'Ifrane, citant le fait qu'en plus de son travail d'enseignant, il a été nommé inspecteur des monuments historiques au Maroc.
El Aouene soutient également que le lion aurait été l'une des premières créations marocaines de Moreau. Celui-ci a sculpté de nombreuses autres pièces au Maroc, y compris la statue de la Vierge Marie à l'église d'Ifrane, Notre Dame des Cèdres. Il a également été chargé de créer le monument aux morts du Lycée Gouraud à Rabat, ainsi qu'un buste du sultan Mohammed Ben Youssef. Moreau a travaillé avec divers matériaux, dont la pierre, le bois et la terre cuite.


Si la version de El Aouene reste la plus plausible, peu d'autres sources nomment un auteur derrière le Lion d'Ifrane. Mais une chose reste certaine : à travers les décennies, le monument continuera toujours d'attirer les visiteurs de la ville.

L'Égypte a bloqué des tonnes d'eau de pluie du Nil, stoppant son écoulement dans le désert du Sahara

 

3 endroits sur Terre qui défient les lois de la gravité

 

Certains endroits sur Terre donnent l’illusion de défier la gravité. Mais quels sont-ils et où peut-on les trouver ?
La colline magnétique de Leh, en Inde, où les véhicules semblent rouler en montée, fait partie des lieux qui semblent défier la gravité terrestre. Il s’agit en réalité d’une illusion d’optique due à l’inclinaison du paysage. Par ailleurs, d’autres sites offrent des phénomènes similaires, comme Mystery Spot aux États-Unis ou la colline de Jeju en Corée du Sud. De plus, à Santa Cruz, en Californie, des maisons paraissent construites de travers. En Pologne, la forêt tordue de Gryfino intrigue avec ses arbres aux troncs courbés à 90 degrés, dont l’origine reste encore mystérieuse aujourd’hui. Plus spectaculaire encore, au sommet du barrage Hoover, l’eau déversée semble remonter au lieu de tomber, un effet dû à la présence de courants d’air extrêmement puissants.

Où se trouve le centre de gravité de la Terre ?
Le centre de gravité de la Terre se situe près de son noyau, mais il est aussi influencé par la répartition inégale des masses terrestres. En effet, contrairement à une sphère parfaite, la Terre est légèrement aplatie aux pôles, ce qui modifie donc sa gravité. C’est pourquoi les pôles enregistrent une gravité plus forte que l’équateur, où la force centrifuge, due à la rotation terrestre, contrebalance partiellement l’attraction gravitationnelle de la terre. En revanche, certaines zones affichent une gravité plus faible. C’est le cas de la baie d’Hudson, au Canada, où la fonte des glaciers aurait modifié la répartition des masses, entraînant une légère diminution de la gravité.


Maroc: Le roi interdit le sacrifice du mouton de l’Aïd Al-Adha !

 

Dans une annonce officielle diffusée le 26 février 2025, le roi Mohammed VI du Maroc a pris la décision d’interdire le sacrifice du mouton lors de la prochaine fête de l’Aïd Al-Adha. Cette mesure exceptionnelle a été communiquée via un message royal lu par le ministre des Affaires islamiques sur la télévision nationale marocaine.
SA Majesté le Roi appelle en effet son peuple à « s’abstenir d’accomplir le rite du sacrifice de l’Aïd de cette année ». Mais « notre pays affronte des défis climatiques et économiques qui ont eu pour conséquence une régression substantielle du cheptel », a indiqué le souverain dans un discours lu par son ministre des Affaires religieuses mercredi.
Le Maroc fait face à une septième année consécutive de sécheresse, et le cheptel de moutons a diminué de 38 % sur un an, explique le Monde. Mohammed VI estime ainsi que l’accomplissement du sacrifice rituel « est susceptible de porter préjudice » aux habitants du pays, et particulièrement à ceux dont les revenus sont « limités ». Car la baisse de l’offre a déjà fait flamber les prix de la viande de mouton dans le pays.

La Terre est-elle unique dans l’univers ?


La question de la pluralité des mondes taraude les scientifiques depuis l’Antiquité. Deux éminents spécialistes confrontent leur point de vue : pour l’un, la Terre pourrait être un cas exceptionnel, notamment concernant l’apparition de la vie. Le second voit dans la formation de planètes rocheuses un phénomène répandu et défend l’idée d’un univers infini, peuplé de nombreux mondes. Un débat aujourd'hui nourri par les recherches sur les exoplanètes.
C'est une question presque philosophique à laquelle la science tente de répondre en observant les planètes de notre Système solaire et celles, bien plus lointaines, qui orbitent autour des autres étoiles et que l'on découvre en grand nombre depuis trois décennies.
Pour comprendre ce que les scientifiques pensent aujourd'hui, nous avons demandé à deux spécialistes de nous répondre : Jean-Pierre Bibring*, spécialiste de l'exploration du Système solaire, et Michel Mayor, un des pionniers de l'étude des exoplanètes, qui a reçu le prix Nobel de physique en 2019 pour l'observation de 51 Pegasi b avec son doctorant de l'époque, Didier Queloz.


La réponse de Jean-Pierre Bibring, astrophysicien à l’Institut d’astrophysique spatiale de l’Université Paris-Saclay

Tant qu'aucune observation ne pouvait en orienter la réponse, cette question relevait d'une vision d'essence dogmatique, sans validation possible. Nombre de théologies ont fait de la Terre un objet unique, pour résulter d'une création singulière. Plusieurs penseurs ont tout au contraire proposé une « pluralité des mondes ». Épicure, dans sa lettre à Hérodote datée de 301 avant notre ère, proposait que « ce n'est pas seulement le nombre des atomes, c'est celui des mondes qui est infini dans l'univers. Il y a un nombre infini de mondes semblables au nôtre, et un nombre infini de mondes différents ». Giordano Bruno en fit de même, en 1583, sur la même base d'un univers infini. Fondamentalement hérétique, cette thèse lui valut une fin tragique.
Depuis, la physique s'est invitée dans le débat, en mettant en évidence que de mêmes « lois », universelles, opèrent de la même manière à toutes les échelles de l'Univers : les processus qui ont construit la Terre pourraient parfaitement -- devraient même -- avoir opéré ailleurs. En ce sens, la Terre ne saurait être unique. Telle était la situation à l'aube de l'ère spatiale. L'exploration spatiale du Système solaire, espérée valider ce principe, allait aboutir à sa profonde remise en question.

L’exploration spatiale rebat les cartes
Les uns après les autres, planètes, comètes et astéroïdes du Système solaire ont été finement caractérisés sur place. Il en est résulté un bouleversement de notre vision des mondes planétaires, mettant tout au contraire en évidence leur profonde diversité comme nouveau paradigme.
Simultanément, initiée par la découverte séminale de Michel Mayor et de Didier Queloz en 1995, l'existence générale « d'exoplanètes », ces planètes qui gravitent autour d'autres étoiles que le Soleil, s'accompagne d'une observation majeure : l'immense diversité des systèmes « exoplanétaires » eux-mêmes. De même que l'on ne peut extrapoler les propriétés de la Terre aux autres planètes du Système solaire, on ne peut généraliser les propriétés de celui-ci aux autres systèmes planétaires de la Galaxie.

Des lois physiques universelles mais des circonstances extraordinairement variées
Par un couplage fécond entre observations et modélisations, les processus responsables de la diversité des planètes et des exoplanètes commencent à être identifiés : migrations planétaires, instabilités gravitationnelles, collisions géantes... Ces processus ont un point commun : alors qu'il s'agit de processus génériques, en ce qu'ils opèrent dans une très grande variété de contextes, c'est leur forme spécifique, liée au contexte dans lequel ils surviennent, qui joue le rôle majeur dans l'évolution des objets concernés.
Par exemple, les collisions furent très nombreuses parmi les objets « protoplanétaires ». La collision qui a affecté la Terre et donné naissance à la Lune a modelé un grand nombre des propriétés terrestres : tectonique particulière, eau en surface, stabilité climatique liée à celle de l'obliquité de l'axe de rotation diurne par rapport au plan de révolution annuelle autour du Soleil, etc. Des paramètres à peine différents (vitesse et géométrie du choc, taille de l'impacteur, etc.) auraient conduit à une Terre totalement autre.
Par de tels événements, les évolutions planétaires, tout au long de leur histoire, sont faites d'innombrables bifurcations dont les chemins de sortie sont orientés, sélectionnés par le contexte. De ce point de vue, chaque situation est unique : il n'y a jamais deux configurations strictement identiques. Des écarts, même infimes, vont se traduire par des évolutions différentes. C'est ainsi que la contingence s'immisce dans le déterminisme des lois, pour forger une immense variété de chemins évolutifs ; ils bannissent toute flèche, tout sens à l'évolution.

La Terre – et la vie – sont-elles uniques dans l’univers ?
La réponse dépend donc de ce que recouvre la notion de « Terre ». Si on limite les caractéristiques de la Terre à sa taille, sa distance au Soleil et à quelques autres propriétés globales, il existe certainement quantité « d'exo-Terres ».
Si, en revanche, la Terre se définit par un champ étendu de ses propriétés, qui résultent de suites d'événements très spécifiques, souvent imprédictibles (« hasards »), la probabilité qu'il existe d'autres Terres dans l'Univers, qui est fini tant dans l'espace que dans le temps, chute vertigineusement : chaque planète est unique en ses propriétés, car elle résulte d'une séquence évolutive fondamentalement singulière.
Ce serait l'une des propriétés spécifiques de la Terre d'avoir construit, par innombrables étapes réactionnelles, une chimie organique cosmique très singulière : le vivant. Singulière, car issue de grains extraterrestres - dont certaines propriétés ont été synthétisées dans l'environnement particulier du disque proto-solaire (qui va former le Soleil et les planètes) - immergés dans des océans terrestres primordiaux, riches d'ingrédients et de catalyseurs particuliers, puis continûment adaptés à l'évolution particulière de leur environnement. Le vivant serait terrestre par essence !
La réponse de Michel Mayor, astrophysicien à l’Université de Genève, pionnier de la découverte d’exoplanètes, Prix Nobel de physique 2019 pour cette découverte.
La pluralité des mondes et la pluralité des mondes habités sont des questions déjà présentes au temps des philosophes grecs ; des questions toujours actuelles pour la science de notre époque ; des questions qui ont vu des changements majeurs de paradigmes, ne serait-ce que depuis un siècle.

D’autres systèmes planétaires dans la galaxie
Il est intéressant de noter que durant la première moitié du vingtième siècle, les astronomes ont publié maintes études clamant toutes que le Système solaire était unique parmi les centaines de milliards d'étoiles de la Voie lactée. Ils pensaient que seules des circonstances infiniment improbables permettaient de créer un disque protoplanétaire, c'est-à-dire un disque de poussières et de gaz en rotation qui finit par s'agréger en planète.
En 1952, l'astronome américain, émigré de l'Empire russe, Otto Struve remarque au contraire que les étoiles comparables à notre Soleil tournent trop peu vite par rapport à ce que l'on attend, les étoiles se formant à partir de nuages turbulents de gaz qui se contractent en tournant à une vitesse qui devrait se transférer à la rotation de l'étoile, mais qui semble manquante. Il en conclut que l'excès de « moment angulaire » est transféré dans un disque protoplanétaire. Les poussières et le gaz s'agrègent pour former des planètes. En d'autres termes, Struve montre que les planètes sont des sous-produits obligatoires de la formation des étoiles elles-mêmes. Les systèmes planétaires doivent donc être innombrables dans la galaxie.
À la fin du XXe siècle, les premières détections de planètes autour d'autres étoiles que notre Soleil (ou « exoplanètes »), puis les premières observations de systèmes planétaires ont largement confirmé ce postulat de Struve. Depuis, les mesures systématiques, tant depuis le sol (grâce à la spectroscopie Doppler) que depuis l'espace (avec les mesures de « transits planétaires », c'est-à-dire la chute de luminosité quand les planètes passent devant leurs étoiles), indiquent que la quasi-totalité des étoiles est entourée de systèmes planétaires.

Notre Terre, planète rocheuse, est-elle un objet rare, unique ?
Ces mesures montrent également que des planètes rocheuses de masses comparables à notre Terre sont de loin les plus fréquentes -- en accord avec les modèles des astrophysiciens. Non, notre Terre n'est pas unique en tant que planète rocheuse.
En revanche, la diversité des systèmes planétaires est étonnante, et ceci n'avait pas été anticipé avant la découverte des premières exoplanètes. Il est intéressant aussi de rappeler qu'il était admis que les planètes géantes ne pouvaient avoir que des périodes orbitales supérieures à 10 ans, donc des demi-grands axes orbitaux suffisants pour que des grains de glace puissent exister. Les découvertes de 51 Pegasi b et des innombrables autres systèmes planétaires ont mis en évidence le phénomène de la migration orbitale, responsable pour beaucoup de la diversité observée des systèmes planétaires. La migration orbitale résulte de l'interaction de la planète en formation avec le disque protoplanétaire -- un phénomène qui n'était pas pris en compte jusqu'à lors dans les scénarios de formation planétaire. C'est un changement majeur dans notre compréhension de la formation planétaire.

Des mondes habitables : y a-t-il de la vie ailleurs, sur d’autres planètes rocheuses dans l’univers ?
On sait que la vie telle qu'elle existe sur Terre a besoin d'eau, donc un premier axe pour répondre à cette question est de chercher de l'eau sur d'autres planètes rocheuses. Quel est l'ordre de grandeur du nombre de planètes rocheuses à une distance telle de son étoile que la température de surface soit compatible avec la présence d'eau liquide à sa surface ? Aujourd'hui, les estimations de la fréquence des planètes rocheuses dans les systèmes planétaires sont encore très imprécises (quelques pour cent de tous les systèmes planétaires). Si, estimation pessimiste, seul 1 % des systèmes abritent une planète rocheuse dans la zone de température où la chimie complexe à l'origine de la vie pourrait se dérouler, on en déduit que de l'ordre du milliard de planètes rocheuses tempérées sont présentes dans la Voie lactée -- sans même parler de l'Univers entier, qui contient des centaines de milliards de galaxies.
Regardons la diversité des milieux présents sur Terre, leur variété de températures, de pH, de composition chimique, sources volcaniques sous-marines, interfaces avec des solides différents. Peut-on imaginer la chimie qui s'opère sur ces milieux divers, pendant des centaines de millions d'années, sur les 510 millions de kilomètres carrés de la surface terrestre et les centaines de millions de planètes comparables à notre Terre... et affirmer « le vivant n'existe que sur notre Terre » ? Loin d'avoir une réponse à cette question, je pense qu'aujourd'hui, le regard que l'on obtient à partir du seul Système solaire ne peut certainement pas résoudre la question : « Existe-t-il de la vie ailleurs dans l'Univers ? »
À ce jour, face à la complexité énorme de ce problème, il n'existe pour moi qu'une réponse scientifique possible :
« Cherchez, cherchez encore si la vie existe hors de notre Terre, par exemple dans l'océan des profondeurs d'Europa, ou dans les atmosphères d'exoplanètes rocheuses dites "tièdes". »

La vie existe-t-elle sur d'autres « mondes » ? 
C'est une superbe question à laquelle des milliers de chercheurs travaillent aujourd'hui dans des instituts multidisciplinaires d'exobiologie. Combien d'années seront nécessaires avant que la science apporte une réponse à cette question posée voici plus de deux millénaires ?

Ville dans le ciel, montagne Fanjing à Guizhou, Chine


Pouvez-vous imaginer que la légendaire Sky City soit réelle ? Cet endroit n'est pas seulement une imagination, mais une existence réelle et choquante sur les terres du Guizhou. Il s’agit du sommet doré du nuage rouge de la montagne Fanjing. Il se dresse au sommet des montagnes. Lorsque vous grimperez au sommet doré, vous serez choqué par la scène devant vous. Entouré de montagnes sans fin, il y a un abîme en contrebas. L'endroit est enveloppé de nuages ​​et de brume toute l'année. Au sommet, on a l'impression d'être dans un pays des fées. Les gens ne peuvent s'empêcher de soupirer : il s'avère que la Ville dans le Ciel existe vraiment ! Cependant, le charme du mont Fanjing va bien au-delà. En plus du magnifique Red Cloud Golden Dome, il y a aussi le célèbre Mushroom Rock et le majestueux Old Golden Dome. Suivez ensuite notre objectif et appréciez ensemble ce paysage naturel magique.

Top 6 des plus beaux carnavals du monde

  • Le Carnaval de Rio de Janeiro, Brésil.


Le Carnaval de Rio de Janeiro est une célébration inégalée qui plonge la ville dans un tourbillon de couleurs, de rythmes et d'énergie contagieuse. Chaque année, des millions de personnes du monde entier se rassemblent pour participer à cette fête grandiose, considérée comme l'un des plus grands spectacles de rue de la planète. Les festivités s'étendent sur plusieurs jours, mais c'est le défilé des écoles de samba au Sambodrome qui constitue le point culminant du carnaval. Des écoles de samba rivalisent pour impressionner le public et les juges avec leurs chorégraphies complexes, leurs costumes somptueux et leurs chars démesurés. La compétition est féroce, et les préparatifs commencent des mois à l'avance, avec des répétitions intensives et la création de costumes à la fois extravagants et symboliques.
Le carnaval de Rio n'est pas seulement une célébration, c'est un mode de vie. La samba, un rythme qui fait vibrer la ville tout au long de l'année, devient l'hymne officiel du carnaval. Les danseurs, connus sous le nom de "sambistas", répètent leurs mouvements avec une dévotion presque religieuse, capturant l'essence même de la culture brésilienne. Les rues se transforment en un spectacle vivant où la musique, la danse et la joie de vivre s'entremêlent de manière magique. Le carnaval de Rio de Janeiro est bien plus qu'un événement ; il représente l'âme vibrante du Brésil, une célébration de la vie, de la diversité et de la passion. Que diriez-vous d'un circuit au Brésil pour le vivre de l'intérieur ?


  • Le Carnaval de Venise (Italie).

En plein contraste avec l'extravagance brésilienne, le Carnaval de Venise est une célébration élégante et raffinée qui transporte les participants dans une époque révolue. Les ruelles pavées et les canaux pittoresques de Venise servent de toile de fond à cette fête d'une élégance intemporelle. L'élément distinctif de ce carnaval est, bien sûr, les masques vénitiens. Portés à l'origine pour permettre aux gens de s'engager dans des comportements sans inhibition, les masques sont devenus une pièce maîtresse de la tradition vénitienne.
Les défilés se déroulent dans un cadre unique, avec des participants vêtus de costumes richement décorés et de masques élaborés. Des concours de costumes sont organisés, mettant en valeur la créativité et l'artisanat des participants. Les bals masqués, organisés dans des palais somptueux, ajoutent une touche de mystère et d'intimité à l'ensemble de la célébration. Le Carnaval de Venise est bien plus qu'une simple fête ; il offre une immersion dans l'histoire et la culture italiennes, une expérience où le passé et le présent se rencontrent dans une danse enchanteresse.

  • Le Carnaval de Notting Hill (Londres, Royaume-Uni).

Le Carnaval de Notting Hill à Londres est une explosion de couleurs, de saveurs et de rythmes qui témoigne de la diversité culturelle de la ville. Initié en 1966 par la communauté caribéenne, le carnaval s'est rapidement transformé en l'un des événements les plus attendus de l'année. Les rues du quartier de Notting Hill se transforment en un carnaval multiculturel, où la musique reggae, le calypso et d'autres genres musicaux transportent les participants dans une ambiance tropicale.
Les costumes sont un élément essentiel du Carnaval de Notting Hill, allant des tenues traditionnelles aux créations contemporaines audacieuses. Les parades débordent d'énergie, avec des danseurs exécutant des mouvements précis au rythme des tambours. La cuisine caribéenne, avec ses arômes épicés et ses saveurs exotiques, imprègne l'atmosphère, invitant les visiteurs à s'immerger pleinement dans cette célébration unique. Le Carnaval de Notting Hill est un hommage vibrant à la diversité culturelle de Londres, un exemple éclatant de la façon dont les différentes communautés peuvent se réunir pour créer quelque chose de véritablement extraordinaire.


  • Le Carnaval de Barranquilla (Colombie).

Sur la côte caraïbe de la Colombie, le Carnaval de Barranquilla est une fête animée qui mêle traditions ancestrales et influences afro-caribéennes. Déclaré par l'UNESCO comme chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité, ce carnaval est bien plus qu'une simple célébration ; c'est une représentation vivante de l'identité colombienne. Les danses traditionnelles, telles que la cumbia et l'mapalé, prennent vie dans les rues animées de Barranquilla.
La Batalla de Flores, ou bataille des fleurs, est l'un des moments forts du carnaval. Des chars richement décorés défilent, jetant des fleurs aux spectateurs enthousiastes. Les costumes, ornés de plumes vibrantes et de motifs colorés, reflètent l'héritage culturel riche de la Colombie. La musique, les danses et les festivités créent une atmosphère où l'authenticité et la créativité se marient harmonieusement. Le Carnaval de Barranquilla est un hommage passionné à la diversité culturelle et à la vitalité du peuple colombien.

  • Le Carnaval de la Nouvelle-Orléans (États-Unis).
Le Carnaval de La Nouvelle-Orléans, également connu sous le nom de Mardi Gras, est une célébration unique qui reflète l'esprit festif et l'héritage culturel de la ville. La Nouvelle-Orléans est célèbre pour ses parades somptueuses, ses défilés de chars et ses costumes extravagants. Chaque jour précédant le Mardi Gras a ses propres traditions, du défilé des krewes aux bals masqués. Les rues résonnent de la musique jazz, créant une ambiance électrique qui anime toute la ville.
Les krewes, des groupes sociaux qui organisent les défilés, rivalisent pour créer les chars les plus inventifs et les costumes les plus excentriques. Les lancers de perles, où les participants lancent des colliers de perles aux spectateurs enthousiastes, sont une tradition bien-aimée. Le Mardi Gras est plus qu'une simple fête; c'est une institution sociale, une période où la ville entière se transforme en un théâtre vivant de célébration et de divertissement.


  • Le Carnaval de Nice (France).

Le Carnaval de Nice, sur la Côte d'Azur, est un événement prestigieux qui allie élégance et créativité artistique. Fondé au XVe siècle, le carnaval a évolué au fil des siècles pour devenir l'un des plus grands carnavals d'Europe. La Promenade des Anglais devient le théâtre de défilés somptueux, de chars magnifiquement décorés et de spectacles de lumière éblouissants.
La Bataille de Fleurs est l'un des moments forts du carnaval, où des chars déversent des tonnes de fleurs sur la foule enthousiaste. Les géants en papier mâché, représentant des personnages fantastiques, donnent une touche de conte de fées à la célébration. Les défilés nocturnes, avec des chars illuminés et des artistes vêtus de costumes lumineux, ajoutent une dimension féérique à cette fête grandiose. Le Carnaval de Nice est un mariage entre l'histoire et la modernité, où l'art, la musique et la créativité se fondent dans une expérience inoubliable.


Ces carnavals ne sont pas seulement des événements, ce sont des expressions vivantes de la créativité humaine, des témoins de l'histoire et des joyaux culturels qui illuminent le monde de leur éclat. Chaque année, des millions de personnes participent à ces festivités, contribuant à la préservation de traditions séculaires et à la création de nouvelles expériences qui resteront gravées dans les mémoires pendant des générations. Les plus beaux carnavals du monde transcendent les frontières et unissent les gens dans une célébration commune de la vie, de la musique et de la diversité. En participant à ces fêtes extraordinaires, les individus deviennent non seulement des spectateurs, mais également des participants à une célébration mondiale où la créativité est célébrée, la diversité est honorée, et la joie devient une langue universelle.

Les 10 pays les plus froids du monde

Le froid glacial peut être à la fois fascinant et éprouvant. Alors que certaines régions du monde connaissent des températures agréables toute l’année, d’autres subissent des conditions extrêmes qui mettent à l’épreuve les limites de la résistance humaine. Voici une liste des 10 pays les plus froids du monde, où les températures glaciales sont une réalité quotidienne 
  • Antarctique :
Le continent le plus froid de la planète, l’Antarctique enregistre des températures stupéfiantes allant jusqu’à -89,2 °C. Sa calotte glaciaire massive et son altitude élevée en font un environnement inhospitalier, où seules quelques stations de recherche humaines sont dispersées.


  • Russie (Sibérie)

La Sibérie orientale abrite Verkhoyansk, l’une des villes les plus froides du monde, avec des températures descendant jusqu’à -67,8 °C. La région est connue pour son climat continental extrême, avec des hivers longs et rigoureux.


  • Canada (Territoire du Nord-Ouest)

Les territoires du nord du Canada, tels que l’île de Baffin et le Yukon, connaissent des températures glaciales allant jusqu’à -58 °C. La vaste toundra et les régions polaires offrent des paysages époustouflants, mais des conditions de vie difficiles.


  • Norvège (Kirkenès)

La ville de Kirkenès, située à l’extrême nord de la Norvège, est surnommée “la capitale du froid”. Avec des températures moyennes de -17 °C en janvier, Kirkenès offre une expérience hivernale unique, notamment des aurores boréales spectaculaires.


  • Groenland

L’immense île du Groenland est recouverte d’une calotte glaciaire qui abrite les températures les plus froides de l’hémisphère nord. La station de recherche de Summit Camp a enregistré des températures allant jusqu’à -81,8 °C.


  • Islande :


Connue pour ses glaciers et ses volcans, l’Islande a un climat subarctique avec des températures pouvant descendre jusqu’à -30 °C. Le temps imprévisible de l’île ajoute à son charme rugueux et à son attrait pour les aventuriers.

  • Finlande (Laponie) :

La Laponie finlandaise est une destination touristique populaire pour les activités hivernales. Cependant, les températures peuvent atteindre -45 °C, transformant le paysage en un royaume de glace.


  • Kazakhstan (Akmola)

Situé dans les vastes steppes d’Asie centrale, le Kazakhstan a un climat continental extrême avec des températures descendant jusqu’à -39 °C.


  • Mongolie (Oulan-Bator)

La capitale de la Mongolie, Oulan-Bator, est l’une des capitales les plus froides du monde. Les températures hivernales moyennes sont de -25 °C, avec des pics pouvant atteindre -40 °C.


  • États-Unis (Alaska)

L’Alaska est le plus grand et le plus septentrional des États américains. La région de l’Arctique, notamment Barrow, connaît des températures glaciales allant jusqu’à -51 °C.


Il est important de noter que les températures varient selon les régions au sein de chaque pays. Néanmoins, ces 10 pays représentent les environnements les plus froids que notre planète a à offrir, où la vie et la survie sont mises à rude épreuve par des températures extrêmes.

La Chine et la consommation de sel


La Chine, un pays connu pour sa gastronomie riche et variée, figure parmi les pays avec la consommation de sel la plus élevée au monde. Cette affirmation, longtemps répandue, a enfin trouvé un fondement tangible grâce à des données récentes.
Pendant longtemps, obtenir des informations précises sur la consommation de sel en Chine s’avérait complexe. Les données manquaient de fiabilité et de précision, laissant place aux spéculations et aux estimations approximatives.
Cependant, des études récentes, menées par des chercheurs chinois et internationaux, ont permis de lever le voile sur ce mystère. Les résultats, publiés dans des revues scientifiques réputées, confirment la forte consommation de sel en Chine, mettant en lumière les défis pour la santé publique.
  • Des habitudes alimentaires ancrées dans la tradition

L’appétence pour le salé dans la cuisine chinoise trouve ses racines dans une longue histoire et une tradition culinaire bien établie. Le sel, un ingrédient essentiel, est présent dans la majorité des plats, allant des soupes et des ragoûts aux plats de viande et de poisson.
La cuisine chinoise met souvent l’accent sur les saveurs intenses, utilisant des sauces salées et des condiments riches en sodium. Cette pratique, bien que savoureuse, contribue significativement à la consommation excessive de sel dans le pays.
  • Des conséquences pour la santé

La consommation excessive de sel est reconnue comme un facteur de risque majeur pour de nombreuses maladies chroniques, notamment les maladies cardiovasculaires, l’hypertension artérielle et certains cancers.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande une consommation quotidienne de sel inférieure à 5 grammes par personne, mais en Chine, la consommation moyenne se situe bien au-dessus de cette limite.
  • Des initiatives pour réduire la consommation de sel

Face à ces enjeux de santé publique, les autorités chinoises ont pris des mesures pour encourager une réduction de la consommation de sel. Des campagnes de sensibilisation ont été lancées, des programmes de réduction du sel dans les restaurants ont été mis en place et des initiatives visant à limiter le sel dans les produits alimentaires transformés ont été déployées.
Cependant, la tâche reste ardue, car les habitudes alimentaires sont profondément ancrées dans la culture et les traditions. Il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation et d’éducation tout en investissant dans la recherche et l’innovation pour développer des solutions durables.
  • Conclusion

La Chine, un pays de gourmands, fait face au défi de concilier son amour du salé avec les recommandations de santé publique. La réduction de la consommation de sel est un objectif crucial pour la prévention des maladies chroniques. Le chemin est long et exige des efforts continus de la part des autorités, des professionnels de santé, des industries alimentaires et de la population elle-même.

La vie des Inuit, les nomades du nord

 

Dans les régions les plus froides et les plus isolées de la planète, vit une communauté millénaire connue sous le nom des Inuit. Isolés du reste du monde pendant des générations, ces nomades ont développé des traditions surprenantes pour garantir leur survie dans l'environnement le plus extrême de la Terre. Parmi ces pratiques figurent la polygamie, l'adoption d'enfants orphelins, et la vieille tradition de partager leurs épouses avec des visiteurs étrangers, des actions qui ont renforcé la cohésion sociale et la continuité de leur communauté. 
La résilience des Inuit est impressionnante : ils ont appris à construire des igloos capables de maintenir une température intérieure jusqu'à 60°C plus chaude que l'extérieur, malgré des températures descendant en dessous de -60°C, où le vent lui-même pourrait être létal. Ils vivent profondément connectés à la nature, écoutant le vent pour prédire les tempêtes, utilisant des animaux comme alliés pour se déplacer et chasser, et détectant les fissures dans la glace qui pourraient signifier la différence entre la vie et la mort. 
Alors que leur environnement gelé est menacé par le changement climatique, les Inuit font face au défi de s'adapter à un monde qui pourrait modifier complètement leur mode de vie. Cette vidéo de Mundo Sin Censura vous invite à découvrir les fascinantes traditions et curiosités qui ont permis à cette extraordinaire ethnie de survivre dans le lieu le plus inhospitalier et létal de la planète.

Arrêtez de boire ces 10 boissons !

  • Boissons énergétiques

Oubliez la promesse de rester éveillé : les boissons énergisantes sont bourrées de caféine, de sucre et d’ingrédients artificiels qui font plus de mal que de bien. Une consommation excessive a été associée à des irrégularités du rythme cardiaque, à l’hypertension artérielle et à la prise de poids. De plus, une consommation excessive peut entraîner de l’anxiété ou des problèmes digestifs.
  • Sodas sucrés

Les sodas sont chargés de sucre, de sirop de maïs à haute teneur en fructose et d’un tas de calories vides. Une canette de temps en temps ne vous tuera pas, mais si vous buvez régulièrement du soda, vous vous exposez au diabète de type 2 et à des problèmes dentaires, comme les caries ou l’érosion de l’émail.
  • L’alcool

Un verre ou deux n’est pas la pire des choses pour vous, mais une consommation excessive d’alcool est néfaste pour votre santé. Les lésions hépatiques, le risque accru de certains cancers et la prise de poids sont autant d’inconvénients liés à la consommation d’alcool. Gardez donc un œil sur votre consommation.
  • Boissons pour sportifs

Bien qu’elles soient souvent présentées comme une solution de réhydratation, les boissons pour sportifs peuvent contenir une tonne de sucre, de sodium et d’additifs artificiels. Bien qu’elles soient utiles après une bonne séance d’entraînement, si vous en buvez trop, vous vous exposez à un risque accru de maladies cardiovasculaires, de prise de poids et même de goutte.
  • Boissons caféinées riches en calories

Une tasse de café est un bon stimulant le matin. Cependant, les versions riches en calories comme les frappuccinos ou les mokas ne contiennent que des sucres, du lait entier ou de la crème fouettée, ce qui entraîne une explosion de calories. En fait, certaines de ces boissons peuvent dépasser les 1 000 calories !
  • Eau aromatisée

Certes, le goût est bon, mais les arômes contiennent beaucoup de sucres et de conservateurs. L’eau aromatisée peut, entre autres, nuire à votre santé dentaire. Il est préférable de ne pas la consommer en trop grande quantité.
  • Smoothies préemballés

Les smoothies sont un excellent moyen d’obtenir votre dose quotidienne de fruits, de légumes et de protéines. Cependant, les smoothies préemballés sont souvent chargés de conservateurs, de sucre et d’arômes artificiels. Ils manquent également de fibres et d’éléments nutritifs par rapport à un smoothie fait maison.
  • Thé glacé sucré

Faites-vous une faveur : la prochaine fois que vous prendrez un thé glacé sucré, regardez d’abord les ingrédients. Le thé glacé en bouteille ou en boîte contient souvent des niveaux élevés de sucre. Si vous en buvez trop, vous risquez de prendre du poids, d’avoir des problèmes dentaires et de présenter un risque élevé de diabète de type 2.
  • Sodas light

Une alternative saine au soda ordinaire semble être la version light, n’est-ce pas ? Détrompez-vous. Les versions diététiques n’ont pas la même teneur en sucre ou en calories que leurs homologues ordinaires, mais elles contiennent une tonne d’additifs et d’édulcorants qui contribuent également à la prise de poids et aux problèmes cardiovasculaires.
  • Jus de fruits

Les jus de fruits peuvent sembler une bonne idée à première vue, mais ils sont souvent chargés de sucre et très caloriques. Ils ne contiennent pas non plus les nutriments et les fibres nécessaires à une alimentation saine, et il est donc préférable de les éviter en grande quantité. Voyons maintenant ce que vous devriez boire à la place.