Les principaux instruments du folklore d'Ain Défali sont
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Nos coutumes.
Les principaux instruments du folklore d'Ain Défali sont
L’Univers
L’univers, c’est tout ce que l’on peut toucher, détecter, sentir, mesurer ou déceler. Il comprend les êtres et organismes vivants, les planètes, les étoiles, les galaxies, les nuages de poussières, la lumière et même le temps. Avant la naissance de l’univers, les notions de temps, d’espace et de matière n’existaient pas.
Benya, le fantôme vivant.
J’entends toujours parler d’un certain Benya, un fantôme vivant, né à Ain Défali en 1954, qui, paraît-il, erre de village en village. Personne n’arrive à mettre la main sur lui. Il est solitaire et avoisine actuellement les 54 ans.Pour le moment, il a juste un an.
Mais non ce n' est pas un mutant,
c' est qu' il n' as pas encore de dent.
Et puis, manger proprement,
ce n' est pas amusant.
En attendant, c' est évident,
il vivra jusqu 'à cent printemps...
aba, que l'instituteur utilisait en 1954-1955 à l'école de la gare de Aïn Défali pour permettre à ses élèves de s'exprimer. Fixé sur le tableau noir par un clou, ce personnage pouvait prendre une multitude de positions. Il pouvait marcher, courir, lever les bras, etc... et quelques compléments dessinés sur le tableau permettaient de le rendre vivant : une pierre le faisait trébucher, un panier à la main et il allait au souk, un ballon au bout de son pied et il marquait un but à la plus grande joie des enfants qui l'avaient eux- mêmes baptisé Benya" .Matériel pédagogique rustique, certes, mais innovant cependant, Benya a joué un rôle non négligeable dans l'apprentissage de ces élèves qui venaient à l'école avec bonheur malgré l'éloignement de leurs douars.La Tour Eiffel se paie un lifting !
Inaugurée le 31 mars 1889, la tour Eiffel fête, mardi, ses 120 ans. Pour l’occasion, la "vénérable dame" se refait une beauté. À grands coups de pinceau.
Les peintres commencent par le sommet et redescendent au fur et à mesure vers la base du monument. Malgré quelques accidents, les travaux n’ont jamais fait de morts.
Haute de 324 mètres (avec l’antenne), la tour Eiffel, en fer puddlé, pèse environ 7 000 tonnes.
Surmortalité des abeilles: Des mesures s'imposent !
Les abeilles et autres pollinisateurs sont les symboles malheureux de ce désastre sanitaire et écologique. Plus de 85 % des espèces végétales sur terre s'appuient sur l'action des pollinisateurs. Difficile d'imaginer un seul repas auquel les abeilles ne soient pas conviées.
C'est l'automne à Ain Defali

L'automne est bien là.
Il fait beau.
Le soleil brille tous les jours.
Les arbres ont revêtus leurs plus belles couleurs pour le plaisir des yeux.
L'automne, cette année, est tout de même magnifique.
Le froid commence à se faire sentir

Avant de dépouiller les arbres majestueux

L'été est fini mais l'automne est si beau !

L'automne raconte à la terre les feuilles qu'elle a prêtées à l'été.
L'arbre se sauve en faisant tomber ses feuilles.
L'automne est une demeure d'or et de pluie.
De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre.
Tout l'automne à la fin n'est plus qu'une tisane froide
L'automne est une saison sage et de bon conseil.
Automne. Le post-scriptum du soleil.
L'automne est le printemps de l'hiver.
Les feuilles sèches préparent la tisane de l'automne
A l'automne les arbres font des stripteases pour faire pousser les champignons.
Les nouvelles sont comme les feuilles d'automne. Le vent qui les porte les malmène.
Quelques blagues
Au beau milieu du douar Béni Sennana, Laoula se balade avec une vache. Il rencontre le vieux Larbi :
- Bonjour Laoula, tu fais quoi avec ta vache ?

- Je vais mener la vache au taureau.
- Mais ce n'est pas ton papa qui fait cela d'habitude ?
- Si, si, mais la vache préfère le taureau.
La belle mère et la jument :
C'est un jour de deuil chez Lyazid : sa vieille jument a tué sa belle mère en lui assenant une énorme ruade. Tous les habitants du douar Béni Sennana viennent aux obsèques. Touché par la foule venue honorer la défunte, Mohamed s'adresse à un cousin de Lyazid :
- C'est émouvant de voir ce monde ! A voir le nombre de personnes présentes pour venir lui dire un dernier adieu, cette femme devait être très aimée !
Le cousin lui répond :
- Vous vous méprenez Mohamed... Ils sont tous là pour acheter la vieille jument.
Le bon cheval
hone ! - Hein ? Tu plaisantes ! C'est parce que la semaine dernière je suis allé aux courses de chevaux,Femme intelligente ou belle :Fatima demande à son mari :
- Tu préfères quoi comme type de femmes ?
Si tu devais faire un choix entre une femme très intelligente et une très jolie femme, tu prendrais laquelle ?- Mais ni l'une ni l'autre, mon amour. C'est toi que j'ai choisi ! Tu le sais bien !
- Mais non mon ange ! Allez, prend ta pelle et termine ta soupe.
Le vrai con :Un père est à table avec ses trois fils.
Mustapha, âgé de 13 ans, avale une gorgée et recrache dans son assiette : - Bahhh !!! Elle est dégueulasse ta soupe ! C'est quoi cette merde...Le père se lève et lui flanque une grosse mandale en lui conseillant d'être poli.
Driss, âgé de 10 ans dit alors :- Mais papa ? Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Pourquoi tu le bats ? Il a raison elle est pourrie ta soupe !Le père se lève à nouveau, lui donne une énorme claque et lui demande de ne pas jurer et de boire cette soupe.
Said, âgé de 5 ans, lève alors les bras pour se protéger. Le père lui dit alors :- Pourquoi as tu peur ? Si tu es gentil et respectueux avec moi, je n'ai aucune raison de te taper ! Said lui dit alors : Oui mais enfin je me méfie ! T'es tellement con !
Laoula s'approche d'une poule et lui dit : - Bonjour madame la poule ! Vous allez bien ? La Poule : - Ca va très bien ! Bon, c'est vrai que tous les matins Laouni vient me voler mes oeufs mais autrement je vais bien …Laouni halluciné : -Nom di diou !!! Y fait causer les poules ?-->
Les filles d’Ain Défali peinent à terminer leurs études.
Pour des raisons tant pratiques que culturelles, de nombreuses familles rurales à Ain Défali préfèrent investir dans l'éducation des garçons plutôt que dans celle des filles. Nombreuses sont les filles dans les campagnes dans notre région qui n’accèdent pas à l’école ou ne peuvent pas poursuivre leurs études secondaires. Les principales raisons sont : l’enclavement des douars, l’absence de routes, de transports communs, des mentalités rigides traditionnelles. A cause de l’éloignement, les familles dans les campagnes préfèrent que leurs filles restent dans la maison au lieu de les envoyer chaque jour à un établissement scolaire à des dizaines de kilomètres du foyer familial.
Les classes sont fréquemment installées dans des régions d'accès difficile pour les élèves. La plupart des parents estiment que leurs filles doivent se marier tôt et les privent, ainsi, de la scolarisation malgré les tentatives des enseignants. Quelques-unes quittent l’école au milieu de l’année scolaire.
A vous, de trouver des solutions pour encourager davantage la scolarisation de ces filles rurales...
Contes choisis.
Conte 1 : Un vieil homme avait un troupeau d’ânesses. Et il avait 3 fils. Il décida de léguer la moitié du troupeau à son fils aîné, le quart au deuxième et le sixième au troisième. Et ce qui restera, décida-t-il, ce sera la part de Dieu. Et il mourut. Les trois frères se réunirent pour faire les comptes. Le père avait laissé 11 ânesses...Pour le fils aîné, la moitié du troupeau : 11 divisé par 2 = 5,5 ânesses . C’est ennuyeux !
Pour le deuxième, le quart du troupeau : 11 divisé par 4 =2,75 ânesses. C’est regrettable !
Pour le troisième, le sixième du troupeau : 11divisé par 6=1,83 ânesses. Un vrai massacre ! Quant à la part de Dieu, elle était 0,92 ânesses .
Le troupeau des 11 ânesses commençait à trembler pour sa survie !
Quant aux 3 fils, ils menaçaient de s’entretuer. Le plus sage des 3 frères décida d’aller consulter un vieil homme. Il lui dit : calmez-vous, j’ai une idée. J’ai dans mon cabanon une ânesse qui ne sert à rien, prenez-la, vous pourrez toujours me la rendre. Le frère ramena cette gracieuse ânesse à la maison. Avec les 11 autres, cela faisait un troupeau de 12 ânesses !
On recommença le partage.
Pour le fils aîné, la moitié du troupeau : 12 divisé par 2 = 6 ânesses, bien entières !
Pour le deuxième, le quart du troupeau : 12 divisé par 4 = 3 ânesses bien complètes !
Pour le troisième, le sixième du troupeau : 12 divisé par 6= 2 ânesses, avec 8 pattes !
Au total, les 3 frères s’étaient partagé : 6 + 3 + 2 , cela fait 11 ânesses...
Et oui, il en restait une, la gracieuse ânesse du vieil homme. Bizarre, bizarre !
L’un des frères la ramena au vieil homme en lui disant : « Pfitt, elle ne sert à rien votre gracieuse ânesse, je vous la rends ».
La morale de cette histoire, la voici : la grâce de Dieu, comme l’ânesse, elle intervient... en plus, par surprise, par grâce, gratuitement, sans qu’on s’y attende, sans qu’on l’ait voulu, sans qu’on l’ait décidé : comme surcroît au moment où l’on s’y attend le moins. Comme l’ânesse, elle ne fait que passer, la grâce. Elle rentre par une porte et elle sort par l’autre. C’est un vrai courant d’air.
Apparemment, elle ne sert à rien.
Et pourtant, elle réconcilie les frères séparés et elle permet la survie du troupeau, et en plus, chacun des 3 frères reçoit plus que prévu.
Conte 2 : Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'anim
al était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.
Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!'
La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures.
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Conte 3 : Il était une fois un âne plus gourmand que les autres qui, chaque fois qu'il passait devant un clocher , s'arrêtait pour lever des yeux pleins de convoitise vers un magnifique pissenlit qui poussait sur le campanile.Un jour son maître compatissant décida de hisser la bête afin de lui permettre d'atteindre son nirvana gastronomique, en utilisant forces poulies et treuils, tout le village se mit à hisser l'animal. Mais le noeud plus coulant que nécessaire, lui serra le coup au point que l'âne commença à braire d'angoisse. Ce que les vaillants habitants interprétèrent comme un signe de satisfaction: l'âne semble très content et ils insitèrent à maintenir l'âne sur sa station, soit disante préférée. Evidemment l'âne ne mangea jamais son pissenlit et tout le village pleura amèrement sa mort.
Les Objets Anciens du Bled.


Le Khandjar ou poignard courbe
Ses lames à double nervures sont en acier. Le fourreau est habillé de laiton et le poignée en corne et os. Sa longueur avoisine 40 centimètres.
Le turban est un couvre-chef, consistant d'une longue écharpe enroulée autour du sommet de la tête. Le turban est de multiples formes, couleurs et tailles, la longueur de tissu excédant rarement cinq mètres. À noter que pour les musulmans, il est aussi le linceul qui ne les quitte pas. Si la mort vient à les surprendre lorsqu'ils sont seuls, ce turban qui doit faire 2 fois leur taille et être plus large que les épaules, permet à celui qui les trouve de les enterrer selon le rite de l'islam, dans un linceul à même la terre.
La Choukara ou Sac de berger.
Le Guerrab ou porteur d’eau :
Le guerr
ab, porteur d'eau ne passe pas inaperçu, habillé dans son costume et son chapeau multico
lore. Son habit est composé de coupelles de cuivres ou de fer blanc. Il fait retentir sa cloche pour annoncer sa présence. Le porteur reste néanmoins une des attraction de la place. Vous pourrez quand même lui demander de vous servir un verre moyennant quelques dirhams. Il n'hésitera pas non plus à poser pour la photo mais là aussi attendra en retour quelques pièces.La lampe à pétrole est un luminaire constitué d'un réservoir contenant du pétrole lampant (distillat de pétrole), qui monte vers le bec grâce à une mèche. Le tout est surmonté


On utilise du carbure, sorte de charbon conditionné à haute T°C, qui a une propriété étonnante : quand on verse de l'eau dessus, il se dévellope un gaz inflammable, l'acétylène ! Une "ancienne" méthode de pêche à l’explosif consistait à remplir une canette de carbure, puis du sable, jettée à l'eau elle finit par exploser, la déflagration du gaz faisant exploser la panse des poissons, qui remontent alors à la surface ...

Le Sebsi :
détachable en forme de raccord de cyphon de lavabo mais tout petit dont les fumeurs mettent du "kif" 'une sorte de "hachich . Le sebsi est utilsé souvent par les vieux surtout dans les compagnes mais il est en en voie de disparition.Le nom de l’objet est un cadenas. Le cadenas servait à verrouiller les portes de granges, des armoires…On utilise encore cet objet, mais il est plus sophistiqué.

Le fer à repasser :
Cet objet est un fer à repasser. Il servait à repasser les vêtements. On utilise encore cet objet dans certains douars, mais il a beaucoup changé et, il est devenu un appareil électrique.
Un " halène " a le manche en bois, un peu ovale, et c’est pointu. Cet objet sert à percer le cuir. On l’a remplacé par des machines électriques.
On s’en servait pour rendre le bois lisse. Aujourd’hui, on utilise le rabot, mais il est fait en métal et il est électrique.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Le tatouage est associé, dans l'imaginaire collectif japonais, à la criminalité. Les personnes tatouées sont exclues de nombreux espace...



















