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La toxicomanie et la jeunesse d'aujourd'hui.

Ces drogues coûteuses, dangereuses et que l’on croyait réservées aux pays riches ont pourtant fait leur apparition dans les pays pauvres.
  • COCAÏNE.
Cette "poudre blanche" circule dans les soirées animées des grandes villes. La jeunesse dorée commence à "sniffer" ses petits rails, "juste pour faire la fête". Si elle reste aujourd’hui encore l’apanage des classes "favorisées", c’est bien évidemment en raison de son coût prohibitif.

Les effets : L'usage de cocaïne provoque une euphorie immédiate, un sentiment de puissance intellectuelle et physique et une indifférence à la douleur et à la fatigue. Ces effets vont laisser place ensuite à un état dépressif et à une anxiété que certains apaiseront par une prise d'héroïne ou de médicaments psychoactifs. Une autre caractéristique de la cocaïne est de lever les inhibitions, ce qui peut conduire à commettre des actes de violence, des agressions sexuelles, des dépenses compulsives, etc. La sensation de "toute-puissance" entraînée par la cocaïne en fait un produit qui risque d'engendrer des passages à l'acte. Par ailleurs, les matériels utilisés pour "sniffer" peuvent transmettre les virus des hépatites A, B et C, s'ils sont partagés entre plusieurs usagers. Excitant puissant, la cocaïne provoque une dépendance psychique importante. Il est difficile d'arrêter une consommation aiguë de cocaïne, tant la nécessité d'en reprendre est importante. L'apaisement, même avec la consommation d'une autre substance, est très difficile.
  • ECSTASY.

Pilules-performances, pilules-fêtes, potions magiques ? De plus en plus répandue dans le milieu de la nuit, l'ecstasy pour certains ne serait même pas une drogue. Ah bon ? L’ecstasy semble séduire de plus en plus de jeunes, notamment dans certaines boites de nuit. Et pour cause ! Généralement "gobée" avant une soirée, elle permet aux utilisateurs de danser pendant des périodes prolongées au point que certains ne sentent plus les signaux de détresse de leur organisme tels que la déshydratation, les crampes musculaires, les étourdissements, l’épuisement ou le surmenage.

L’ecstasy fait partie d’une nouvelle série de substances apparues avec l’évolution de la chimie. Elle est fabriquée par synthèse dans des laboratoires clandestins par des chimistes. Son apparence externe ressemble à celle de l'aspirine, mais elle est très souvent coupée avec tout un tas d'autres produits plus ou moins dangereux (antidépresseurs, caféine, morphine, sédatifs, hormones...).
Les effets : ils sont semblables à ceux produits par le LSD et le sentiment de relaxation est semblable à celui du cannabis. Si elle plaît tant aux jeunes, c’est parce qu’elle favorise la communication entre les gens, elle provoque un fort sentiment d'appartenance au groupe. L’ecstasy exacerbe également tous les sens, en particulier le toucher. Une sensation ordinaire peut ainsi devenir exceptionnelle. Elle provoque facilement de pénibles tensions musculaires, généralement au visage et plus particulièrement aux mâchoires, claquements des mâchoires, grincements des dents, déshydratation corporelle, sécheresse de la bouche, sudation, nausées, étourdissements, épuisement et surmenage. Elle provoque également une accélération artificielle du rythme cardiaque et une augmentation de la pression artérielle. L’ecstasy engendre des troubles de la coordination rendant notamment la conduite d'un véhicule dangereuse et elle peut empêcher l'érection chez l'homme, ainsi que l'orgasme masculin et féminin.

  • L’HEROÏNE. 

Plus rare que l’ecstasy ou la cocaïne,  mais  de très mauvaise qualité. La"kharchacha", cette capsule de pavot séchée, on la trouve dans toutes les herboristeries. Elle serait assez prisée chez les toxicomanes qui, à l’aide de vapeur, récupéreraient le résidu actif de la plante sous forme de "jus". Si la légende a retenu l’image de l’héroïnomane s’injectant sa dose. Conséquences : les effets se font sentir de façon plus graduelle, mais n’en sont pas moins irréversibles.
Les effets : l'utilisateur éprouve une intense sensation de bien-être, suivie d'un état de gratification ou d'une sensation de faim. Mais il reste indifférent à la douleur, les pulsions sexuelles sont absentes, il ressent une sensation de chaleur et de lourdeur, son humeur devient changeante. De même que la dose requise pour produire cet effet peut entraîner une certaine agitation, des nausées et des vomissements. La tolérance à l’héroïne s’acquiert très vite et entraîne une très forte dépendance psychologique et physique.

Inhalants, solvants et médicaments

Ils ne sont pas considérés comme des drogues puisqu’ils n’ont pas été conçus pour ça. Sauf que… ils ne sont pas chers, on les trouve partout et ils ont des effets psychotropes.


  • LES INHALANTS.
En vente dans toutes les drogueries, les inhalants sont des produits chimiques à vapeur psychotrope. Ils sont rarement considérés comme des drogues puisqu'ils ne sont jamais fabriqués à cette fin. Pourtant, ils arrivent en tête des produits recherchés par les plus pauvres et notamment par les "enfants des rues". Peu chers, leurs effets sont dévastateurs.
Qu’il s’agisse de colle à séchage rapide, de solvants comme les diluants de peinture ou les dissolvants à ongles, de cirage, de liquides servant au nettoyage ou de l’essence à briquet, les utilisateurs versent ou vaporisent ces produits dans un sac ou sur un linge.
Effets à court terme : leur inhalation procure un sentiment d’allégresse et d’euphorie semblable à celui causé par l’alcool, qui s’accompagne d’une sensation d’engourdissement et d’apesanteur. Mais ces produits engendrent également un manque de coordination motrice, des difficultés d’élocution, un ralentissement du rythme respiratoire et cardiaque, ainsi qu’un sentiment de témérité et de toute puissance.
Effets à long terme : l’utilisation prolongée entraîne une détérioration physique et psychologique progressive, allant de la confusion mentale à la paranoïa et aux dommages cérébraux. L'usage régulier de solvants crée une accoutumance qui nécessite une augmentation des doses pour obtenir les effets initiaux. Un "inhaleur" de colle peut, par exemple, être amené à avoir besoin de 8 à 10 tubes de colle, plutôt qu'un seul, pour obtenir les mêmes effets. La dépendance psychologique à l'égard des solvants est assez courante et se traduit par un besoin compulsif de continuer à inhaler ces drogues.
  • LES MEDICAMENTS "PSYCHOACTIFS". 
Ils comprennent plusieurs catégories : les tranquillisants et anxiolytiques, les somnifères, les neuroleptiques ou antipsychotiques et les antidépresseurs. Outre qu’ils sont pris hors de toute prescription médicale, ces médicaments sont généralement associés à l’alcool et au haschich, ce qui accentue ou au contraire annule les effets de chacune des substances ingurgitées. Généralement absorbés en doses massives, il s’ensuit une dépendance physique et/ou psychique.

…Et drogues de tous : Alcool et tabac

En vente libre, la société ne les considère pas comme des drogues. Les spécialistes s’insurgent : est qualifiée de drogue toute substance naturelle ou synthétique capable d'engendrer une toxicomanie.
  • L’ALCOOL.

Tous les professionnels sont unanimes : depuis 5 ans, l’usage de l’alcool se banalise, notamment chez les jeunes et les femmes. La raison est simple : librement vendu dans toutes les grandes ou moyennes surfaces, sa consommation est d’autant plus facile qu’elle est de moins en moins stigmatisée. Pas question pour eux de pointer du doigt celles ou ceux qui aiment à partager un apéritif entre amis ou boire un petit verre de vin avant le repas. S’ils s’inquiètent aujourd’hui, c’est parce qu’ils reçoivent de plus en plus de gens qui en absorbent des quantités "faramineuses" : cela va de l’eau de vie à la vodka ou au whisky, en passant par… l’alcool à 
brûler !
Ses effets : L'alcool n'est pas digéré : il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme. L'alcool détend et désinhibe. À court terme et lorsqu'il est consommé à des doses importantes, il provoque un état d'ivresse et peut entraîner des troubles digestifs, des nausées, des vomissements... Mais surtout, en entraînant une diminution de la vigilance, il est souvent responsable d’accidents de la circulation, quand ce n’est pas du travail. De même que l’alcool entraîne une perte de contrôle de soi qui peut conduire à des comportements violents, à des passages à l’acte, à des agressions sexuelles, voire au suicide. À plus long terme, l’usager risque de développer de nombreuses pathologies : cancers, maladies du foie (cirrhose) et du pancréas, troubles cardio-vasculaires, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression, troubles du comportement).
  • LE TABAC.

Brun ou blond, light ou super light, roulé, en cigare ou en pipe, le tabac nuit tellement à la santé que l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et l’association mondiale de psychiatrie le considère comme une drogue très dangereuse. Pourtant, quel fumeur a conscience de se droguer quand il va au bureau de tabac ou achète sa cigarette au détail ?
Ses effets : le tabac contient de la nicotine, qui possède un effet "éveillant" anxiolytique et coupe-faim. Les produits du tabac (cigarettes, cigarettes à rouler...) sont composés d'additifs (humectants, goût, saveur, etc.). La combustion de ces produits crée de nouveaux composants (monoxyde de carbone, goudrons, etc.) nocifs pour la santé. Ainsi, le tabac augmente la pression artérielle, accélère le rythme cardiaque et détériore les artères. Les risques coronariens et les décès par infarctus du myocarde sont deux fois plus élevés chez les fumeurs. Le tabac a des effets nocifs sur le déroulement de la grossesse (prématurité, poids de naissance inférieur). Les fumeurs s'exposent également à des troubles au niveau de tout l'appareil respiratoire, notamment au risque de bronchite chronique et au risque de cancer du poumon.