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Valérie Trierweiler: quelle Première dame sera-t-elle ?
Jusqu'au bout, Valérie Trierweiler a voulu conserver son indépendance. Peut-être rester sur son quant-à-soi par rapport à un milieu politique qu'elle connaît depuis ses débuts dans le journalisme en 1988. Et préserver une distance face aux événements, fussent-ils ceux qui concernaient au plus près l'homme de sa vie.
Mais ce dimanche 6 mai 2012 fut le jour où tout a basculé. La brillante et exigeante - hautaine et inflexible, disent ces contempteurs - journaliste politique de Paris Match et Direct 8 est comme passée de l'autre côté du miroir, lorsque son compagnon est devenu le 24e président de la République française au terme d'une épuisante campagne électorale.
Mais je continuerai à travailler d'une façon ou d'une autre si François est élu. Tout simplement parce que j'ai besoin de gagner ma vie. J'élève mes trois enfants et je ne suis pas rentière. Je ne veux pas vivre aux frais de l'État. Lorsque ma présence sera requise, ce sera différent, mais je continuerai à assumer ma vie personnelle », déclarait-elle durant la campagne. Sa volonté de conserver son métier après le 6 mai se heurte toutefois aux réalités du terrain et, pour des questions de sécurité comme de protocole, une telle activité apparaît bien incompatible avec sa nouvelle situation.
Contre mauvaise fortune bon cœur, Valérie Trierweiler - qui dispose d'une page officielle sur le site internet de l'Élysée et dont la marionnette vient de faire son entrée aux Guignols de Canal + - va donc réfléchir à ce qu'elle pourrait faire. « Si quelqu'un a des idées, je suis preneuse », plaisantait la nouvelle Première dame lors de la passation des pouvoirs le 15 mai à l'Élysée. Mais, quelques jours plus tôt, dans une interview au quotidien britannique The Times, Valérie Trierweiler assurait qu'elle ne serait pas « une potiche »… la même expression employée en son temps par Danielle Mitterrand, qui apparaît clairement comme son modèle, et dont elle soutient la Fondation France Libertés.
Une fondation justement devrait être la prochaine étape pour Valérie Trierweiler, comme cela fut le cas pour toutes les femmes de Présidents de la Ve République. « Ce qui m'intéresse, c'est le début, les enfants, l'égalité des chances », confiait-elle à Washington la semaine dernière. En attendant, son équipe est prête. Patrice Biancone, ancien journaliste de RFI et son ami, est devenu chef d'un cabinet qui devrait compter quatre à six personnes et dont la mission sera de gérer l'agenda de celle qui ambitionne d'être une Première dame « normale. »
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