Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est Ban Ki-moon connaît-il le dossier du Sahara. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Ban Ki-moon connaît-il le dossier du Sahara. Afficher tous les articles

Ban Ki-moon connaît-il le dossier du Sahara ?


Les propos tenus à Tindouf et à Alger par le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon, constituent un dérapage inédit de la part d’un SG de l’ONU. Ban Ki-moon a tout simplement dévié de sa mission, impliqué l’organisation onusienne dans des positions qui ne sont pas les siennes, avec un réel risque de miner tout le processus de règlement de la question du Sahara et d’entraîner la région dans des perspectives sombres. 
Sa complaisance et son indulgence vis-à-vis d’un Etat fantoche, aux dépens de la neutralité et de l’équidistance nécessaires entre les parties, renseignent sur un tropisme évident. Un tropisme que renforce l’omission programmée de questions centrales telles le recensement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, les détournements de l’aide humanitaire internationale, la menace terroriste qui pèse sur toute la région, sans parler des risques plus que sérieux de déstabilisation que représente l’établissement d’une entité indépendante qui n’en possède ni les attributs, ni les fondements légaux. 



L’autre bourde révélatrice de l’alignement de Ban Ki-moon est le changement, selon son humeur à lui, de la terminologie traditionnellement utilisée par les Nations Unies s’agissant de la question du Sahara. Le terme “occupation” pour qualifier le recouvrement par le Maroc de son intégrité territoriale, outre qu’il soit sans fondement politique ou juridique, constitue une insulte pour le Maroc, Etat membre des Nations Unies et, plus grave encore, implique l’ONU dans le conflit et en fait à la fois juge et partie. 


Alors que son périple dans la région devait promouvoir un règlement politique, durable et mutuellement acceptable, Ban Ki-moon a étonnamment fait preuve d’une incapacité de discernement déconcertante. Comment en effet peut-il remettre sur la table la question du référendum quand bien même l’ONU et le Conseil de Sécurité ont conclu, depuis longtemps et de manière définitive, que le référendum était inapplicable pour des raisons objectives que Ban Ki-moon ne devrait pas ignorer ? D’où d’ailleurs la recherche d’une solution politique négociée sous l’égide des Nations Unies, qui a donné lieu au plan marocain d’autonomie sous souveraineté du Royaume, proposition qualifiée par la communauté internationale de “base sérieuse et crédible”.
C’est à croire que le SG de l’ONU ignore tout du dossier du Sahara et se laisse allégrement influencer par la propagande fallacieuse et toxique algéro-polisarienne et par les conseils de collaborateurs manifestement intéressés.