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Cinq espèces exotiques envahissantes menacent la biodiversité mondiale.

Une plante et quatre animaux inquiètent de nombreux Etats à travers la planète.
Le frelon asiatique, la jacinthe d'eau et la moule zébrée font partie des espèces exotiques invasives, qui constituent l'un des facteurs directs de perte de biodiversité à l'échelle mondiale.
  • La jacinthe d'eau, une plante d'ornement devenue un cauchemar.




C'est l'espèce exotique envahissante terrestre la plus répandue dans le monde. Originaire d'Amérique du Sud, la jacinthe d'eau est désormais présente dans au moins 74 régions. Exportée du bassin de l’Amazone comme plante d'ornement, la jacinthe d’eau a rapidement envahi les plans d’eau douce et rivières tropicales.
Elle forme un épais matelas vert qui bloque la lumière, au détriment des espèces aquatiques (plantes et animaux) qui en dépendent. Lorsqu'elle se décompose, de grandes quantités de nutriments sont libérées dans l'eau.
Ce qui provoque une concentration excessive d'azote et de phosphore, insupportable pour de nombreuses plantes et animaux.
La jacinthe d'eau gêne aussi les navigateurs et les pêcheurs de nombreux pays, notamment au Bangladesh ou au Kenya. Elle peut ainsi recouvrir jusqu'à 17 000 hectares du lac Victoria, causant le déclin du tilapia, poisson dont se nourrissent les populations locales. Présente en Europe, en particulier dans les mares des jardins, sa prolifération y est encore limitée, car elle ne supporte pas bien le gel. Mais cela pourrait très bien changer au cours des prochaines années avec le changement climatique.
  • La moule zébrée, une espèce qui a envahi l'Europe et l'Amérique grâce aux bateaux.




Originaire de la mer Caspienne et de la mer Noire, la moule zébrée a envahi les lacs et les rivières d'Europe en se fixant sur des bateaux. Elle a envahi les Grands Lacs, en Amérique du Nord, à la fin des années 1980 par l'eau de ballast évacuée des navires. Elle a provoqué des ravages économiques et écologiques dans cette région. Elles privent notamment de nourriture des espèces locales.
Grâce à une rapide reproduction, des colonies, d’une densité supérieure à 700 000 individus par mètre carré , peuvent se constituer. Leur prolifération a été remarquée très rapidement, car elles obstruaient les tuyaux des usines de traitement de l'eau potable, les bouches d'incendie ou encore les centrales nucléaires. Très souvent, il faut attendre que les espèces invasives causent des dommages majeurs à l'économie pour que l'on commence à s'en préoccuper, ce qui retarde considérablement la prise de conscience du problème. Aujourd'hui, des politiques de prévention ont été mises en place, avec certains résultats encourageants.
  • Le rat noir, ennemi des agriculteurs, des oiseaux et des tortues.

Originaires d'Asie, les rats noirs ont causé de redoutables dégâts dans les greniers des agriculteurs. Ils ont vraisemblablement joué un rôle dans la propagation de la peste en Europe, au XIVe siècle.
Présents désormais dans 60 régions de la planète, ces rats sont extrêmement difficiles à éradiquer, car il s'agit d'espèces omnivores qui se nourrissent aussi bien des animaux que de végétaux.
Il semblerait néanmoins que l'on soit parvenu à en venir à bout dans certaines îles de la Polynésie française, l'éradication étant plus facile dans les milieux isolés.
Le rat noir y bouleversait la biodiversité, notamment en mangeant les œufs d’oiseaux et de tortues marines.
  • Le poisson-lion, un prédateur qui inquiète.




Originaire des océans Indien et Pacifique, le poisson-lion (ou rascasse volante) a été introduit par accident dans l'océan Atlantique par les navires de commerce. Il a colonisé les récifs coralliens des Caraïbes et de la Méditerranée. Il migre toujours plus au nord grâce au réchauffement des océans. C'est l'une des invasions les plus rapides au monde.
Il mange tous les poissons commercialisés, les crustacés mais aussi les poissons qui nettoient les coraux et récifs en mangeant les algues.
Cette espèce s'avère aussi dangereuse pour l'homme, car ses épines dorsales sont venimeuses et peuvent provoquer des douleurs intenses, des nausées ou des paralysies.
pour réguler cette prolifération, on encourage notamment les restaurateurs à le cuisiner ou encore on fait la promotion de la fabrication de bijoux avec leurs nageoires.
  • La fourmi électrique ou fourmi de feu, minuscule mais redoutable.


Elle mesure environ 1,5 millimètre. Détecté pour la première fois en Hexagone par un passionné d'insectes dans le Var à l'automne 2022, cette fourmi est originaire d'Amérique du Sud inquiète particulièrement les chercheurs. Elle tire son nom de la douloureuse décharge que provoque sa piqure.
Mais à la différence du simple coup de jus, la sensation peut durer plusieurs heures ! lorsqu'elles sont à plusieurs, les fourmis électriques se coordonnent entre elles pour frapper toutes en même temps. C'est une espèce extrêmement difficile à éliminer en raison de sa petite taille.
Surtout, elle ravage la biodiverstié locale. En Nouvelle-Calédonie, dans les forêts qu'elle a envahies, on n'entend plus aucun son d'insecte.