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CASABLANCA

 Casablanca-Settat, une « méga-région » à fort potentiel

Casablanca était appelée autrefois Anfa
Selon la légende, elle aurait été fondée par les Romains. Mais rien ne vient étayer cette version. Une autre hypothèse dit que l’origine de la ville serait berbère.
Selon les historiens,le nom d’Anfa apparaitrait sous des orthographes diverses dans les portulans du 14 e et 15 e siècles notamment, Niffe, Anafa, Nafé…Certains disent que le mot Anfa découle du mot arabe Anf « nez » et d’autres du mort berbère Anfa (sommet).
Casablanca était détruite et inhabitée durant trois siècles et une seule maison blanche sur le port était restée intacte.
Les marins et les pirates appelaient ce bout de colline « Casablanca » à cause de la bâtisse blanche.
 
Étudier à Casablanca: au cœur de la capitale économique du Maroc - Le  Figaro Etudiant

Maroc : affrontements entre des migrants et des habitants de Casablanca

De brefs affrontements ont opposé vendredi soir des migrants sud-saharien et des habitants de Casablanca, la capitale économique du Maroc.
“Les forces de l’ordre sont intervenues pour disperser les jeunes” et “il n’y pas eu des blessés”, selon un communiqué des autorités locales.
Les incidents ont éclaté en début de soirée dans le quartier Derb el Kebir, près de la gare routière, où vivent quelques centaines de migrants qui se sont installés dans des abris précaires.
Tout a commencé dans un jardin public, avec une dispute entre des jeunes du quartier et quelques jeunes migrants.





La tension est montée très vite, des jeunes des deux camps ont afflué, avec des courses poursuite, des bagarres, des feux de poubelles, des pneus brûlés et des jets de pierre qui ont endommagé quelques voitures, avant que les forces de l’ordre ne se déploient dans le quartier.


“Racistes,  racistes, Racistes!”, scandaient des migrants retranchés sur un terrain protégé par des grilles, tandis que la police incitait les riverains à rentrer chez eux.
“Nous, on les accueille. Qu’est ce qu’ils veulent ? Des appartements ? Nous-même, on se bat avec la vie tous les jours” s’indignait un vieil homme dans la foule de curieux attirés par les incidents.

                                                                            

Les trois villes les plus dangereuses du Maroc.



La criminalité prend des proportions alarmantes dans certaines villes marocaines, au point qu’est elle devenue l’une des principales causes d’inquiétudes des citoyens.
Devant un taux de criminalité qui monte en flèche, une délinquance juvénile qui fait l’éloge de la presse, et des faits-divers traumatisants qui font les gros titres des journaux, la situation semble inquiétante, et les chiffres de la DGSN en attestent.
Délinquances, Agressions, homicides, meurtres prémédités, violence gratuite… Voici les villes marocaines où on court le plus de risques de se faire agresser ?

Casablanca :


Selon les derniers chiffres de la DGSN, Casablanca est en tête de peloton des villes les plus dangereuses du royaume, avec 72 meurtres prémédités, 96.529 accusations, et 20.542 crimes avec violence.

Fès :


Avec un taux de criminalité qui va crescendo, la ville impériale est devenue la deuxième ville, la plus dangereuse du royaume, en effet, plus de 37 homicides ont été enregistrés durant le premier trimestre de 2014.

Tanger :


La troisième ville la plus dangereuse du Maroc, est Tanger, une ville ou le taux de criminalité bat son plein : vols spectaculaires, trafique de drogues, délinquances, banditisme… Près de 21 892 personnes ont été arrêtées, dont 17 521 en flagrant délit, ainsi plus de 25 000 affaires ont été traitées dont 22 affaires de meurtres.